Secret du moment


A. LICHUAN WHITELAW
(TROUVÉ)

Finalement, tu as plus de points communs avec Lone que tu ne le prétends.

Alors, vous savez ce que c'est ?
Nouvelles de Legi !
ϟ 02/15 : Mise à jour générale. Venez donner votre avis sur le design ici, et découvrir l'event spécial . Vous pouvez en savoir davantage de façon générale ici et découvrir les autres events

ϟ 09/14 : Nouvelles activités ! Vous pouvez participer à la Gazette ici et profiter de la radio de Legilimens.

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ϟ Et surtout, n'oubliez pas de participer à la vie du forum de n'importe quelle façon ♥


 
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Milton; jinx me i'm famous
MessageSujet : Milton; jinx me i'm famous Milton; jinx me i'm famous EmptyVen 28 Fév 2014 - 21:54

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Milton David Kazan


carte d'identité
ϟ ÂGE & DATE DE NAISSANCE : Né le 12 Décembre 1970, ce qui me fait un total de 28 ans!
ϟ LIEU DE NAISSANCE : Boston, US.
ϟ ANNÉE & MAISON : Professeur de DCFM, et ex-Gryffondor.
ϟ ORIENTATION SEXUELLE : Tout ce qui  bouge, mais de préférence avec une jupe et des gambettes qui font saliver!
ϟ DESCRIPTION DE LA BAGUETTE MAGIQUE : Faite d'orme, contenant un morceau de ventricule de dragon, mesurant 27.2 cm et très rigide (comme ma...)

ϟ PATRONUS : Un paon, allez savoir pourquoi...

ϟ AMORTENTIA : Une odeur corsée, forte et déterminée, un mélange de fleurs rares et de musc, un parfum enivrant, celui de sa mère quand elle sortait le soir.

ϟ ÉPOUVANTARD : Il prend la forme d'une porte fermée que je n'ai pas la force d'ouvrir.
ϟ ALBUS DUMBLEDORE OU BELLATRIX LESTRANGE ? : Albus Dumbledore, sans hésitation. Je n'ai jamais été attiré par le côté obscure, et je ne pense pas que mon profil les intéressent..

ϟ CELUI-QUI-SAIT OU PHILÉAS FOLENGRAIN ? : Je dois bien avouer que "Celui-qui-sais" me met mal à l'aise un peu. Il semblerait que l'on ne puisse pas vraiment lui cacher grand chose. Mais je n'est aucune affection pour le ministre. Je peux rerépondre "Albus Dumbledore"?

ϟ SUCRÉ OU SALÉ ? : Sucré, comme le parfum de ces dames.


ϟ BUT DANS LA VIE :Gagner une quatrième fois le prix du sorcier le plus séduisant décerné chaque année par Sorcière Hebdo.
ϟ CE QUI COULE DANS VOS VEINES : Du sang pur, je ne sais pas si je dois dire heureusement ou malheureusement.
ϟ VOTRE ANIMAL DE COMPAGNIE : Un hibou grand duc, magnifique, mais assez stupide, prénommé Elia
ϟ SIGNE PARTICULIER : Je sais faire le porté de Dirty Dancing... Bon plus sérieusement, j'ai une cicatrice à l'épaule (communément admis qu'elle a été faite lors d'un combat avec un requin), sinon j'ai des abdos comme dans les films, je fais de la pub pour le dentifrice "Enfer de Dente" et je suis claustrophobe aussi!


physionomie

ϟ DESCRIPTION PHYSIQUE ; Faut bien dire que ce n’est pas pour rien qu’il plait aux femmes. Plutôt grand, baraqué, blond, aux yeux clairs, un sourire charmeur et un regard intense. De quoi faire fondre plus d’une minette. Qui plus est, il est soigné, il ne porte des vêtements ajustés, mettant en valeur son physique athlétique. Il ressemble aux gars dans les pubs de vêtements. Il est toujours tiré à quatre épingles et aime se donné un faux air négligé pour faire croire « que c’est pas fait exprès ».

Il a du charisme en plus, son immense confiance en lui, lui donne une aura qui fait que quand il entre dans une pièce on le remarque. Pareil quand il parle, même si on trouve qu’il débite des conneries, sa gestuelle et sa prestance font qu’on l’écoute. C’est du coup un bon professeur, même s’il a parfois tendance à exaspérer ses élèves.




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psychologie

ϟ AIME : les compliments - les jolies femmes - signer des autographes - quand on le reconnait dans la rue - le chocolat - les premiers jours du printemps - le whisky - se regarder dans la glace - le dimanche matin - enseigner - le quidditch - les montres hors de prix

ϟ N'AIME PAS : la jalousie - le vert - passer inaperçu - les tyrans - l'injustice - les culs pincés - les filles faciles - avoir froid


ϟ DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE ;
Cinq leçons sur la psychose - par Sigmund Van Beethoven

Frimeur : Il aime bien qu’on lui fasse des compliments. Disons qu’il a toujours cherché à avoir l’approbation des autres et maintenant qu’il la tient, il ne veut plus la lâcher. Il adore vous raconter les exploits qu’il a accompli pendant qu’il était en voyage pour écrire ses livres. Il n’aime pas vraiment perdre la face, et même dans ces cas-là, il s’en sort souvent avec un sourire.

Auto-satisfaisant : Je n’ai pas dit égoïste, ni égocentrique. Il pense régulièrement qu'il se suffit à lui-même. Mais que voulez-vous ? C’est une vedette, on y peut pas grand-chose. Il est se fascine lui-même et a une total confiance en lui-même qui le rends parfois difficile à supporter.

Philantrope : Malgré tout, il reste quelqu’un de bien. Disons que la magie noire et toutes ces conneries, très peu pour lui. Par contre, être un héros, ça ça l’intéresse. Il se verrait bien comme le sauveur de Poudlard mais il n’a pas encore décidé si c’était vraiment rentable de s’investir dans l’école.

Riche : Et oui, grand bien lui en fasse, il est riche. C’est difficile de le rater au premier coup d’œil et puis avec tous les livres qu’il a vendu et les dizaines de milliers d’élixir de d’estime de soi qu’il vend, inutile de dire qu’il n’est plus dans le besoin. Parfois, ça le rends encore plus insupportable.

Célèbre : A votre damne, mon bon monsieur ! (ou ma bonne dame !). Il a toujours voulu être célèbre. Depuis qu’il a quitté le foyer névrosé de ses parents, il ne rêve que de ça. Devenir célèbre ! Il a réussi dans un certain sens, ses travaux d’études sur les dragons et les loup-garous sont des références en la matière.

Dragueur : Très grand séducteur ! Il se doit de plaire à tout ce qui l’entoure : la secrétaire, les étudiants, la table, les chaises, … bref tout. Très soigné et propre sur lui, il a travaillé son sourire de séducteur et il a une certaine popularité chez la gente féminine qui n’est pas pour lui déplaire.

Insupportable : Vous l’aurez compris, il est difficilement supportable. La plupart du temps quand il ne cherche pas à attirer l'attention, il parle de choses qui de près ou de loin, ramènent à lui. Il a du mal à s’intéresser aux autres, a part les femmes, qui elles, ont toutes son attention. Sauf si les autres personnes sont des experts dans leur domaine, comme les autres professeurs de Poudlard par exemple. Pas méchant, loin de là, mais assez difficile à supporter c’est bien vrai.

Désinvolte : Il a toujours l’air de prendre tout par-dessus la jambe. On peut lui annoncer que l’école va fermer et il va réagir comme si ce n’était pas si grave. Il a tendance à tout prendre à la rigolade, et parfois, il perd le sens des responsabilités et des priorités…






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histoire

« Je me présente, je m'appelle Henry

Je voudrais bien réussir ma vie, être aime
Être beau, gagne de l'argent
Puis surtout être intelligent
Mais pour tout ça il faudrait que je bosse à plein temps »


Bon à ça près que je m’appelle pas Henry mais Milton, sinon ça colle plutôt pas mal. Ce que je vais vous raconter, ça reste entre nous hein ?! Je vous fais confiance et tout mais on est d’accord, vous allez pas me poignarder dans le dos après hein ?! Bon magnéto Serge… (Salut Thierry !)
 
Tome I : « La famille dure trois ans » - de Fredrick Bègue

La famille Kazan est une famille de sang pur qui réside à Boston, dans un manoir en bordure de la ville. Il s’agit d’une des rares familles de sang pur qui restent aux Etats-Unis. Originaire de Salem, quelques kilomètres au nord de Boston, les premiers Kazan était des paysans. Ils assistèrent impuissants à la chasse aux sorcières qui se tint vers la fin du XVIIème siècle et c’est à ce moment-là qu’ils perdirent foi en l’humanité. L’inquisition mis au bûché nombre de femmes innocentes qui périrent. Devant tant de haine, les Kazan migrèrent vers Boston, mais ils gardèrent toujours la marque de la peur du reste du monde contre eux. Plus tard, ils firent  fortune en investissant dans le chemin de fer et en développant un commerce du tissu. Ils ont fait fortune après la guerre de Sécession quand le commerce du coton repris et que le sud le vendait à des prix dérisoires. A l’époque déjà les Kazan étaient considérés comme riche grâce à leurs investissements dans le chemin de fer qui les avaient propulsés au sein de la haute société new-yorkaise. Ils assistaient à des dîners de gala en plein Manhattan et ils essayaient de prendre leur revanche sur le monde. Usant de leur pouvoir pour obtenir les meilleurs contrats, ils devinrent rapidement une des plus grandes fortunes d’Amérique.


Qu’en est-il aujourd’hui ? Ils ne sont plus aussi reluisants qu’avant, toujours riche, mais les caisses commencent à se vider. Il habite toujours la propriété de Boston, mais ont dû renvoyé nombre de leur personnel pour ne garder qu’une cuisinière et un majordome. Le jardin est en friche, et la propriété tombe presque en ruine. Mais les Kazan tiennent la façade à l’extérieur. Brillants et scintillants à chaque soirée de gala, sourire parfait, tenues  impeccables. Mais derrière les hauts murs d’enceinte du manoir, l’Age d’or n’est qu’un souvenir. A la tête de cette relique, Sir Elton Emil Kazan et sa femme, Lady Margareth June Kazan. Avant d’être mari et femme, ils étaient cousins. Car maintenir la richesse n’est pas le plus dur chez les Kazan, le défi est de conservé la pureté du sang. Si depuis longtemps la famille comptait des dizaines de branches permettant des mariages dans la famille mais avec des parents éloignés, ces dernières décennies, les choses se sont étriquées.

Sir Kazan tente tant bien que mal de maintenir le patrimoine de la famille à flots. Il est investisseur mais semble être doué d’une malchance qui le pousse à parier continuellement sur le mauvais cheval. Chacun de ses récents investissements à tournés court et Lady Kazan ne peut s’empêcher d’en être aigrie…

Déjà parents d’un petit Gale quand Margareth tomba à nouveau enceinte, elle pria le ciel pour obtenir une fille pour assurer la pérennité de la ligné. Margareth s’occupait de la pureté du sang tandis que son mari lui s’occupait de la richesse.

C’est ainsi que je naquis. Moi, Milton David Kazan, deuxième enfant issu d’un mariage incestueux et arrangé, dans une famille chérissant leur renommée d’antan. Bienvenue parmi nous Milton…


Tome II : « Le trône du père » - d’après E. Stark par J. Snow

Dans cette famille déjà bien meurtrie, j’arrivais comme deux chien dans un jeu de quille et encore l’expression est faible. J’arrivais de nulle part, et je n’étais pas l’enfant attendu. Comme je le disais ma mère aurait voulu une fille et mon père, s’il avait pu ne pas avoir d’enfants du tout, il s’en serait aussi bien senti.

Mon père, c’était un homme comme on en fait presque plus. Il était froid et distant, il voulait qu’on l’appelle Sir, on devait se taire à table, et ne jamais le déranger quand il travaillait ou qu’il lisait son journal. Nous devions l’embrasser avant d’aller dormir, là il nous donnait une accolade qui devait soulager sa conscience puis nous nous en retournions dans le noir de son indifférence. Que ce soit mon frère ou moi, nous étions logés à la même enseigne pour ce qui était de mon père. Vous verrez plus tard que pour ma mère, nous étions le jour et la nuit.

Il partait le matin tôt, nous laissant en proie aux humeurs de notre mère, et ne rentrait que tard le soir quand il était trop tard que le mal avait déjà était fait. Il prétendait fermer les yeux sur ce qui se passait dans cette maison, mais j’ai toujours su qu’il savait. Quelque chose dans ses yeux, dans le mouvement de sa moustache quand il nous regardait, me disait qu’il voyait que sa famille était une épave. Il sentait que tout foutait le camp par tous les trous mais il n’y pouvait rien, et n’y voulait rien. Il se concentrait sur son travail, oubliant de discipliner ma mère et d’apaiser ses rêves de grandeur. Il était un fantôme, probablement un grand homme, mais d’une transparence affligeante. Je savais qu’il avait le pouvoir de s’élever contre ma mère, contre ses mœurs qui ne suivaient aucune éthique mais il préférait fermer les yeux.
Je ne lui ai jamais pardonné de nous avoir abandonnés à ma mère. Que ce soit moi ou Gale, nous n’avons jamais pu compter sur lui. Enfant, je pensais que tous les pères étaient comme ça mais à l’école, je me rendis bien compte qu’il n’en était rien et j’en tirais la conclusion qu’il ne m’aimait pas.

Pour un enfant, cette conclusion est la pire des accusations, si ton père ne t’aime pas alors c’est que tu es mauvais, que tu n’as de rien de bien en toi. Je craignais que les autres ne le découvre, alors je prétendais avoir un père aimant et je m’inventais ce paternel qui m’emmenait pêcher le weekend et me prenait sur ses genoux le soir pour lire ensemble mon livre d’école. Ce père avec qui je riais aux éclats en jouant dehors avec le tuyau d’arrosage et qui me rattrapait toujours avant que je tombe. Ce mensonge pris tellement d’importance que finalement, j’en vins à presque aimer mon père pour ce qu’il aurait pu être, et je me mis à focaliser ma haine sur ma mère qui elle, ne laissait aucune place au doute. Elle ne me portait pas dans son cœur…


Tome III : « La dame aux calmes plat  » - opéra par d’Artagnan

Il est maintenant temps de vous ouvrir la vraie porte de mon enfance. Ma mère. C’était une femme forte, grande, indépendante, déterminée. Je continue de penser que si elle avait eu une meilleure vie, elle serait devenue quelqu’un d’exceptionnel, mais mariée de force à son cousin qu’elle n’aimait pas, et mise en charge de la pureté du sang, elle perdit les pédales.

C’était une femme d’une beauté rare, une peau sombre, des cheveux noirs de geai, un corbeau majestueux dans ses robes de mousseline qui épousait langoureusement ses formes généreuses. Dans mes premières années, je pensais qu’elle avait été une princesse tellement elle était belle à mes yeux. Elle avait cette odeur forte des femmes de caractère, une odeur de fleurs rares, à la fois précieuse et enivrante. Je la trouvais sublime, elle irradiait. Quand elle entrait dans une pièce, les gens se taisaient, elle n’avait qu’à regarder quelqu’un pour qu’il se sente mal à l’aise. Elle était tentaculaire et terriblement intelligente. Mais la folie la prit quand elle se maria. Déraciné de sa terre natale dans le Texas, elle et son frère furent envoyé à Boston pour habiter dans la propriété familiale et pour elle, de se marier à Elton. Elle accompagnait mon père dans ses réceptions mondaines et on ne voyait qu’elle. Tout le monde s’accordait à dire que ce que mon père avait de mieux dans sa vie c’était sa femme. Elle attirait les regards et elle en jouait. Une femme qui était faite pour être dans la lumière, et briller au firmament, pas pour être enfermée dans un manoir décrépi et marié à un homme froid qui ne voyait même pas sa lueur. Frustrée, elle devint aigrie et fut dès lors la femme que je connais et que j’ai finis par haïr.

Dès ma naissance, elle semblait préférer mon frère à moi. Gale avait tout son amour, alors que je n’avais que son dédain et parfois, me semblait-il son dégoût. Je n’eus jamais la certitude de savoir pourquoi elle me détestait ainsi. Peut-être incarnais-je quelque chose qui la dégoutait mais quoi donc ?

Elle avait pour Gale des rêves de grandeurs, qui ne me concernaient définitivement pas. Elle en parlait comme d’un petit prodige qui était voué à un avenir brillant, futur héritier de la fortune familiale, elle le couvait. Même avec James, notre oncle, le frère de Margareth, c’était Gale qui avait l’avantage. Moi j’étais le petit, gringalet, un peu faiblard qui n’intéressait personne. Je sais que si aujourd’hui, je cherche tellement l’approbation de tous, c’est surtout pour me prouver à moi-même que je ne suis plus cet enfant inintéressant.

Mon père était absent, et j’arrivais à le lui pardonner à moitié, mais elle, elle était présente et elle me dédaignait. Elle personnifia pendant longtemps la colère que j’avais au fond de moi et qui me rongeais peu à peu.


Tome IV : « Orgueil et Promiscuité » - par les sœurs Bonté

Mon départ pour l’Angleterre fut légèrement précipité, suite à des événements qu’aujourd’hui encore je ne comprends pas vraiment.

Un soir d’hiver, en rentrant de l’école, je retrouve ma mère et mon oncle en discussion dans le salon. Je la vois me sourire, et me tendre les bras pour que je vienne sur ses genoux. J’ai 10 ans, à peine quelques jours avant mon onzième anniversaire, je ne sais pas ce que tout cela veut dire mais elle est là, me souriant pour la première fois comme si elle m’aimait. Elle m’attrapa et me pressa contre sa poitrine. Tant d’amour manqua de me faire pleurer, même si ses gestes sonnaient faux, ils étaient tellement plus que ce à quoi j’étais habitué. Elle me parla pendant de longues minutes de l’amour qu’elle me portait et de ce que je devais lui faire confiance. Je ne comprenais pas ou elle voulait en venir mais mon oncle James s’y mit lui aussi. Il commença à me parler « comme à un homme » qu’il disait. Il me dit qu’il savait que j’étais un garçon intelligent et que je comprendrais. J’étais complétement perdu, je ne savais pas ce qui se passait.

Ma mère et James continuait de se jeter des regards inquiets. Je commençais à me demandait si quelque chose n’était pas arrivé à quelqu’un, quand mon père entra dans le salon. Il nous regarda, sans vraiment nous voir, comme à son habitude. Ma mère lui expliqua qu’elle pensait qu’il était préférable que je parte en Angleterre pour suivre mes études, qu’elle avait déjà envoyé une lettre à Poudlard pour obtenir une dérogation et qu’elle attendait une réponse positive dans les prochains jours.

J’entendais d’une oreille ce qu’elle disait. Ce que j’entendais c’est qu’elle avait trouvé le moyen de se débarrasser de moi pour de bon, mais pourquoi l’Angleterre, pourquoi aussi loin ? et surtout pourquoi ce départ précipité ? Mon James avait encore sa main sur mon épaule et il était tendu, je le sentais. Mon père acquiesça sans demander plus d’explications, et ma mère promis de ne plus l’importuner avec ça. Quand il fut parti, elle me sourit à nouveau de son sourire mal assuré et faux. Dans son regard, je sentais qu’elle avait peur de moi et qu’elle voulait à tout prix se débarrasser de moi.
Je passais les deux mois d’été sans aucunes explications, mon frère Gale fit colère sur colère car il ne voulait pas que je parte, mais moi, je compris que j’avais fait quelque chose de mal. Etait-ce parce que mon poisson rouge était mort parce que j’avais oublié de lui donner à manger ? Étais-je un meurtrier et était-ce pour cela qu’elle me détestait encore plus ? A partir de ce moment, James devint un peu plus proche, comme s’il me surveillait, que croyait-il que j’allais retuer d’autres poissons ? Pour cela, aurait-il encore fallu que j’en ait un ! Mais ma mère n’avait pas voulu m’en racheter un.

A la fin des vacances, James et Margareth organisèrent mon départ pour Poudlard, je devais résider quelques jours chez une cousine de mon père qui habitait Londres et qui m’emmènerait à Kings Cross en temps et en heure. Au moment des adieux, je compris que ma mère était soulagée de me voir partir, James lui regardait ma mère avec un tel bonheur que j’avais enfin fais quelque chose pour la rendre heureuse et je m’en suis allé vers l’Angleterre.



Tome V : « Sept ans au gibet » - starring Brad Pitt

Enfin à Poudlard, je pu respirer. Je goutais à la liberté et j’expérimentai s un endroit où je pouvais être qui je voulais. Les gens ne savaient pas du tout qui j’étais, certains avaient vaguement entendu mon nom et encore, je pouvais donc devenir qui je voulais et je ne me suis pas fait prier.

Dès les premiers mois à Poudlard, je savais que je ne quitterais plus l’Angleterre et que ce serais ma maison pour toujours. J’allais faire ma vie outre-Atlantique, loin de ma famille envahissante et j’allais pouvoir devenir qui je voulais. Cette bouffée d’air frais fit de moi un garçon nouveau. Je fus envoyé à Gryffondor, et je me mis sérieusement dans mes livres pour ne surtout pas être renvoyé, je voulais rester là, le plus longtemps possible.

C’est là que j’ai découvert qui j’étais vraiment car dans l’ombre du manoir familial, je n’avais jamais pu savoir ce à quoi je ressemblais, ni qui je voulais être. Je me rendis compte que les filles me regardaient avec intérêt et à ma grande surprise, je découvris que j’avais un physique dit « attrayant ». C’était pour moi une première, on me remarquait. Je m’habituais vite à cette petite notoriété et je commençais même à la cultiver. J’intégrais l’équipe de quidditch et plus les mois passaient, plus j’appréciais ma nouvelle vie.

Un jour à Pré-au-Lard, on a croisé Alister McHawlley, un médicomage très célèbre, adulée par les sorcières du monde entier, et je l’ai vu attirer les foules, et être le centre de l’intérêt, il a pris la parole pour dire quelques mots et il a fait rire toute l’assemblée, il était à l’aise et il me laissa pantois. Mais au moins, maintenant, je savais ce que je voulais devenir. Je voulais être lui. Carrière brillante, intelligence hors du commun, et playboy ! Je m’attelais donc à ma nouvelle vie. Le succès auprès des filles, je l’avais déjà, restait à faire mes preuves et à gagner en notoriété. J’étais particulièrement bon en DCFM, mais je ne savais pas trop quoi en faire.

Les années passèrent et mon enfance aux Etats-Unis me paraissait bien loin. Je n’en gardais qu’un mauvais rêve qui me réveillait encore au milieu de la nuit parfois, cette porte, de la lumière était visible en bas, et pourtant personne ne semblait décidé à l’ouvrir. Pas même moi ! Pourquoi donc ?

Mais à part des cauchemars d’enfants, j’avais presque oublié ma mère et mon père, seul Gale me manquait un peu et encore. J’avais trouvais une vraie vie ici. J’avais des objectifs et j’avais enfin trouvé ce que je voulais être.

A la fin de mes années à Poudlard, je partis en Pologne étudié les dragons. Avec un ami de classe, Robert. C’est de là que me vint ma célébrité.



Tome VI : « L’arrache cœur » - Poésie, auteur inconnu

Pendant mon voyage d’étude en Pologne, qui a quand même duré presque 3 ans, nous avons amassé un nombre incalculable d’information jusqu’à lors inconnues de tous sur ces créatures fabuleuses. Par exemple, nous avons découvert de nouvelles vertus au sang de dragons, on le connaissait comme remède puissant, mais il pouvait aussi être utilisé pour amener du courage à son buveur.

Nous avons aussi fait d’autres découvertes mineures mais vous comprendrez plus tard que c’est celle citée ci-dessus qui m’intéressa majoritairement. Lors d’une expérience, je fus blessé à l’épaule assez sauvagement. C’est ce qui fit dire à mon acolyte qu’il était temps de rentrer en Angleterre. Je rentrais donc blessé, alors qu’au même moment, sortait le livre rassemblant nos découvertes sur les dragons : « Sous l’œil du dragon ».

Ma blessure servit la publicité de notre livre, le bruit courait que l’un des auteurs s’était fait attaqué et cela fit vendre au-delà de ce que nous aurions pu espérer. Je gardais donc mon bandage deux semaines de plus en conférence de presse pour paraître plus blessé que je ne l’étais. Fort de notre notoriété, je proposais à mon ami de sortir la potion que nous avions découverte. Plutôt que de seulement en dévoiler la recette, je me proposais de la commercialisé comme la bieraubeurre ou autre. Il s’agissait d’une potion donnant de la confiance en soi. Un regain de courage. Robert hésita longtemps mais finit par capituler quand je lui annonçais qu’il n’aurait à s’occuper de rien. Il me laissa faire et je pris les rênes de cette entreprise.

Nous ciblions un public mixte, en quête d’estime de soi. Cela pouvait aller du jeunot qui cherchait à séduire sa voisine de table, de l’homme d’affaire qui avait une réunion importante, de la femme qui se rendait à un entretien d’embauche, du vieillard qui devais faire bonne figure au mariage de sa fille avec un crétin, bref tout le monde et n’importe qui. Cette potion fit fureur. L’argent rentrait mais ce n’était pas ce qui m’intéressait. Je ne suis pas un ange, je suis ambitieux mais je ne suis pas avide d’argent. L’argent donc, je n’en avais que faire, moi ce qui m’intéressais c’était les interviews, ma photo dans les magazines. On parlait de moi comme du « Dragon » et ce surnom me brossait carrément dans le sens du poil.

C’est à cette époque (pas si éloignée) que je devins l’homme un brin arrogant, sûr de lui, fier de son parcourt et un peu m’as-tu-vu. Je fus élu pour la première sorcier le plus séduisant par le magazine sorcière hebdo et depuis j’ai répété l’exploit trois fois de suite. Entre nous, cette année je pense que le titre est encore à moi…



Tome VII : « Mort d’un promis voyageur » - par Elia Kazan pour Norma Jane

La renommée commençait à retomber quand je reçu un hibou d’Albus Dumbledore me demandant de venir enseigner à Poudlard comme professeur de défenses contre les forces du mal. Je venais de finir une année d’études sur les loups garous et je décidais d’accepter. Cela me permettrait d’obtenir un salaire pendant que j’écrivais mon second livre. De plus, cela me remis quelques temps sous les feux de la rampe et ça n’était pas tout à fait pour me déplaire.

En arrivant à Poudlard, je me rendis compte que tout avais changé depuis mon départ. Les choses étaient devenues plus ou moins dramatiques. Une brigade inquisitoriale et le ministère ici et là fourrant son nez dans les affaires des gens. Par contre, à mon désarroi, "celui-qui-sait" sévissait toujours!

Je mis quelques temps avant de vraiment m’habituer. J’étais heureux de revenir à l’endroit même où j’avais découvert la vraie vie. Et enseigner avait quelque chose de fabuleux pour moi. Qui plus est, je pouvais continuer mes études de Poudlard, surtout quand elle ne nécessitait que de brefs déplacements à l’extérieur.

Il manquait une star au staff de Poudlard, je pris donc la place avec joie… Ma renommée était justifiée pas comme un certain Lokhart, mais pourtant, le fait que j’en use pour mon estime personnelle n’était pas du goût de tout le monde. Un ami né moldu m’appelait « Tony Stark ». Je mis quelques jours à comprendre...


Tome VIII : « Les fleurs du Mâle » - Parodie par JP Gauthier


Depuis mon arrivée, j’ai la côte auprès des étudiantes et même si certains ne me prennent pas au sérieux, je m’en fiche, je sais que j’ai fait mes preuves et que mon travail a de la valeur. Ensuite, effectivement je joue avec ma notoriété parce que c’est dans ma nature, mais là, encore, je ne suis pas mal intentionné, j’aime juste qu’on me cire les pompes. Je suis un philanthrope, je ne laisse jamais quelqu’un dans le pétrin, surtout pas quelqu’un de faible. Tout comme l’injustice, elle a le don de me sortir par les yeux. D’ailleurs j’ai tendance à me considérer un peu au-dessus des règlements et à faire justice comme je l’entends. Je ne maltraite les élèves disons juste que ceux qui tyrannisent les plus faibles, je les exècre. A partir de là, s’ils passent une nuit ou deux dans un cachot humide dont j’ai malheureusement perdu la clé, qu’est-ce que j’y peux ?

Aider Poudlard n’est pas mon but premier. Loin de là, loin de moi l’idée de la délaisser, mais je pense avant tout à ma carrière et à moi. Je sais que rester au top demande du travail et je ne suis pas prêt à sacrifier mon travail pour quelques étudiants que d’ailleurs je n’apprécie pas forcément plus que ça. Mais voilà, dans le cv ça fait bien et puis, c’est bon pour l’estime de soi.






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hrp

ϟ COMMENT NOUS AS-TU DÉCOUVERT ? Je suis là par l'initiative de Blanche :P

ϟ LE NOM DE LA PERSONNE SUR TON AVATAR ; Ryan Gosling

ϟ QUE PENSES-TU DU FORUM ? Je l'aime bien, il envoie la sauce!  weheartitbeaucoup  mydarkrevengelol 

ϟ AS-TU LU/VU TOUS LES HARRY POTTER ? Oui Chef! Tous Chef!

ϟ SUR COMBIEN D'AUTRES RP ES-TU INSCRIT SANS COMPTER CELUI-CI ? C'est le seul j'ai pas beaucoup de temps ^^

Lucas Drifloon
Lucas Drifloon

: Nah. It's not me, I don't know this "Drifloon". What a shitty name, by the way. Me ? I'm just Nessie. Don't mind me.

ϟ ÂGE : 29
ϟ FONCTION : Ancien Serpentard ; Gamin borné et blessé, guidé par ses mauvais choix. Ex-mangemort actuellement en reconversion.
ϟ AVATAR : Alex Pettyfer.
ϟ ABSENCE ? : En Suisse pendant un an ; présence réduite.

Milton; jinx me i'm famous 591767tumblrinlinemlz5bunmTU1qz4rgp

ϟ LIENS : Substract love, add anger.


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Milton; jinx me i'm famous
MessageSujet : Re: Milton; jinx me i'm famous Milton; jinx me i'm famous EmptySam 1 Mar 2014 - 6:02

    RYAN GOSLING !  vomitarcenciels Et marié à un ananas, qui plus est. 8D

    Je suis ravie que tu te sois laissé traîner jusqu'ici, et j'ai hâte de voir ce que ce personnage va donner ! Ça fait plaisir d'avoir un professeur de DCFM, on commençait à manquer de personnel à Poudlard.  pacmanomnom

    Et comme pour Blanche, n'hésite pas en cas de questions et sois le bienvenu !
http://miettes-petillantes.blogspot.fr/
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MessageSujet : Re: Milton; jinx me i'm famous Milton; jinx me i'm famous EmptySam 1 Mar 2014 - 12:23

Merci! Oui j'aime bien l'age de glace  kinderkinderjajaja 

Je me met sérieusement à ma présa ce soir normalement  ridemysushi
Wendy L. Hawthorn
Wendy L. Hawthorn

: Where's the powder ?

ϟ ÂGE : 33
ϟ FONCTION : Secrétaire de Philéas Folengrain ; dealeuse de poudre de fée sous le manteau.
ϟ AVATAR : Isabel Lucas
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ϟ LIENS : Deep a little digger and welcome to Neverland or owl me tight

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MessageSujet : Re: Milton; jinx me i'm famous Milton; jinx me i'm famous EmptyDim 2 Mar 2014 - 0:01

Bienvenue parmi nous  heartheart !
Oh, et, au fait.


Ca faisait 2 jours que ça me travaillait, alors voilà. @_@
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MessageSujet : Re: Milton; jinx me i'm famous Milton; jinx me i'm famous EmptyDim 2 Mar 2014 - 11:30

Mouhahahaha! Comme disent nos amis outre-manche: BRILLANT!!
Merci  slurpbaveslip
Lawrence E. Sullivan
Lawrence E. Sullivan

: Look at all the fucks I give.

ϟ ÂGE : 38
ϟ FONCTION : Directeur des Serpentards, professeur pratique de DCFM, tireur d'élite de baguette magique, membre de l'Ordre, BAMF.
ϟ AVATAR : Matthew Gray Gubler
ϟ ABSENCE ? : Activité principalement le week-end pour cause de Terminale sauvage /o/

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ϟ LIENS : It'll be alright
We may make it through the war
If we make it through the night

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MessageSujet : Re: Milton; jinx me i'm famous Milton; jinx me i'm famous EmptyDim 2 Mar 2014 - 15:22

    jfkfjfoe GOSLING.
    Après avoir grassement ricané sur la vidéo de Wendy, je te souhaite la bienvenue parmi nous. 8D Bon courage pour ta fiche, et n'hésite pas à mp en cas de souci ♥
Lucas Drifloon
Lucas Drifloon

: Nah. It's not me, I don't know this "Drifloon". What a shitty name, by the way. Me ? I'm just Nessie. Don't mind me.

ϟ ÂGE : 29
ϟ FONCTION : Ancien Serpentard ; Gamin borné et blessé, guidé par ses mauvais choix. Ex-mangemort actuellement en reconversion.
ϟ AVATAR : Alex Pettyfer.
ϟ ABSENCE ? : En Suisse pendant un an ; présence réduite.

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ϟ LIENS : Substract love, add anger.


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MessageSujet : Re: Milton; jinx me i'm famous Milton; jinx me i'm famous EmptyDim 2 Mar 2014 - 20:44

    Un mini-Lockart en plus sexy. J'aime beaucoup le surnom "Tony Stark" que lui donne son ami moldu. L'enfance de ton personnage fait un peu de la peine, mais j'apprécie le fait que tu l'aies fait évoluer en playboy confiant, et pas en ténébreuxtropd4rk. Et j'aime beaucoup l'idée de la potion qui donne confiance en soi.

    La fiche est tout à fait acceptable, et en dehors de petites fautes d'orthographe par ci-par là qui partiraient après une seconde lecture, je ne vois aucune raison de ne pas te valider sur le champ. Par contre, petit détail à modifier, quand tu dis "En arrivant à Poudlard, je me rendis compte que tout avais changé depuis mon départ. [...] un mec qui balançait les secret des gens." Celui-qui-Sait sévissait déjà du temps où Milton était à Poudlard, donc ce n'est pas nouveau. °q°

    Tu peux donc envoyer ton secret à Celui-qui-sait et poster toutpartout !

    PS : ton personnage est le MEILLEUR AMI idéal *tousse* pour Lawrence. Gryffondor, même âge et caractère radicalement opposé. Ça promet ! ♥
http://miettes-petillantes.blogspot.fr/
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MessageSujet : Re: Milton; jinx me i'm famous Milton; jinx me i'm famous EmptyDim 2 Mar 2014 - 22:17

Merci!!!  heartheart 
Je modifie la petite faute de "celui-qui-sait" avant de me lancer dans mes demandes!
Oui j'aime bien les histoire triste mais qui finissent pas trop mal! Ca donne des persos fun mais un peu névrosés =P

Mais je vais de ce pas demander un lien a Lawrence alors!  pacmanomnom 
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MessageSujet : Re: Milton; jinx me i'm famous Milton; jinx me i'm famous Empty

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