ϟ ÂGE & DATE DE NAISSANCE : 1977, December 21st - 21 ans
ϟ LIEU DE NAISSANCE : Angleterre, Londres
ϟ ANNÉE & MAISON : Serveuse au Deus Ex Machina - anciennement à Serdaigle
ϟ ORIENTATION SEXUELLE : Indéterminée
ϟ DESCRIPTION DE LA BAGUETTE MAGIQUE : Chêne, 21.5 cm, nerf de cœur de dragon, force et courage

ϟ BUT DANS LA VIE : Retrouver son frère de sept son cadet et revenir pour sauver sa mère.
ϟ CE QUI COULE DANS VOS VEINES : Papa dit que je suis de sang pur, mais maman dit que ce n'est pas vrai.
ϟ VOTRE ANIMAL DE COMPAGNIE : Une chatonne (bébé chaton femelle, promis ça se dit!) rousse nommé Friture, qui est à moitié Fléreur.
ϟ SIGNE PARTICULIER : Elle a une hypersensibilité aux sorciers, elle ressent parfois ce qu'ils ressentent et comprend parfois ce qu'ils pensent, de manière non-verbale. Elle est en train d'apprendre à maitrîser cette faculté grâce à un professeur de Legilimancie. Cette faculté est très faible, mais le maîtriser un minimum lui permettrait de contrôler par dessus tout ses maux de tête.

ϟ DESCRIPTION PHYSIQUE ; June est un petit bout de femme pas bien dodue. Ses traits fins et ses cheveux souvent tirés en arrière la font paraître si jeune. Malgré un sentiment de solitude, et un passé parfois dur à affronter, June est une battante, et le visage qu'elle montre aux gens est rayonnant, tout comme le sont ses deux pupilles vertes. En communauté, elle affiche principalement un sourire sincère mais tout de même timide. Elle se dessine régulièrement à l'encre de sa plume une forme d'aigle au niveau du poignet, comme s'il s'agissait d'un tatouage permanent. C'est une habitude qu'elle a prise depuis qu'elle travaille en tant que serveuse. Comme elle aime dessiner, ce geste l'apaise avec la dureté du travail qui l'attend. Ses tenues au travail ne couvrent pas grand chose de son corps et elle profite de ses heures de libre pour s'enfiler dans des t-shirt larges et des pantalons qui lui couvrent jusqu'au gros doigt de pied.

ϟ AIME : Elle aime le calme, celui qui vient avant la tempête, mais également celui qui vient après. Celui qui lui permet de gribouiller quelques petites formes au coin d'une table. Elle aime l'ivresse que lui procure la musique, bien qu'elle sache se contrôler lorsqu'elle est en service. Elle aime également les bonbons acidulés, ceux qui donnent la grimace et qui lui font faire des têtes un peu bizarres. Elle est d'ailleurs friande du citron, et en ajoute pratiquement sur tous ses plats et dans toutes ses boissons (si, si, la Biéraubeurre légèrement citronnée, c'est très bon!). Elle aime les animaux, ceux qui sont petits surtout, qui tiennent dans le creux de sa main.

ϟ N'AIME PAS : Elle n'aime pas l'agressivité car cela la rend nerveuse et la déroute complètement. Elle n'aime pas le bruit des volets qui claquent lorsque le vent souffle dehors, elle se planque sous les couvertures dans ces cas-là, et chantonne jusqu'à ce que ça se calme, quitte à ne pas dormir. Elle a horreur des gens qui se grattent à côté d'elle, non seulement ça lui donne envie de se gratter, mais en plus ça la dégoûte.

ϟ DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE ; June est une jeune femme très calme extérieurement, mais qui pense énormément, même trop. Si son corps parvient à se relaxer, son esprit est constamment en ébullition. Observation de ce qui l'entoure. Analyse de ce qu'elle ressent, a ressenti, ou ressentira. Cet état lui vient de sa mère, avec qui elle a toujours eu des relations très fusionnelles étant plus jeune. Elles n'avaient rien besoin de se dire, elles se ressentaient. Son père, très nerveux et autoritaire, l'a enfermée dans cette nervosité mentale. Plus il lui reprochait de ne rien dire, de ne rien exprimer, et plus elle s'enfermait. Elle est loin d'être dépressive, solitaire ou triste, elle aime juste montrer son calme. En espérant que celui-ci permette à autrui d'en prendre de la graine. Ce qui n'a d'ailleurs jamais marché avec son père, bien trop fier de son caractère bien trempé. A l'école, elle était plutôt sociable, disons qu'elle ne sautait pas sur les gens pour les saluer, mais son sourire était au moins suffisant pour montrer qu'elle n'allait pas les mordre ou partir en courant. Outre tout cela, June est une jeune femme forte. Depuis son départ de la maison, elle n'a qu'une idée en tête et se sent capable de tout et n'importe quoi pour y parvenir. Sa mère, si soumise au paternel, croyait en elle, et c'est tout ce dont elle avait besoin pour trouver force et courage. Aujourd'hui, elle se sert de ses moments de solitude pour réfléchir à tout cela, ne pas baisser les bras et avancer quoi qu'il arrive. Elle se sent relativement bien dans cette nouvelle vie, ses mains n'étant plus liées par ce père si dur à vivre, mais elle voue une réelle obsession à son désir de retrouver son frère et de retourner auprès de sa mère pour la voir vivre à nouveau. June a la hargne quand il s'agit de vivre, et elle espère que c'est ce qui les réunira pour de bon.

Décembre 1996, Chaudron Baveur
« Joyeux anniversaire ma grande. »
Des claquements de portes retentissaient dans le vieux bâtiment qu'était le Chaudron Baveur. Des claquements de portes, des voix graves et des couinements dans les escaliers. Cela faisait un mois déjà qu'elle vivait ici, qu'elle avait embrassé sa mère et qu'elle lui avait promis d'accomplir sa mission de sœur. Sa mission de fille. Qu'elle serait fière d'elle. Elle avait regardé une dernière fois son père, ses yeux verts brûlant de dégoût, à l'autre bout du couloir. Il n'allait pas la suivre. Il n'allait pas la rallier au rang des Mangemorts. Elle partait et ne reviendrait plus jamais. Elle n'était plus sa fille. Elle ne l'avait jamais été.



June a découvert le monde en hiver 1977. Sang pseudo-pur. Père Mangemort. Homme puissant. Mère soumise. Rien d'extraordinaire.
Maman lui avait toujours dit que leur sang n'était pas si pur que ça. Autant du côté des Horton que du côté maternel, June avait des ascendants moldus, mais son père n'était pas du genre très conciliant. Ces moldus étaient des erreurs. Ces sorciers qui avaient sali ce liquide dans leurs veines, n'étaient que de pauvres tâches sur l'arbre généalogique. Et les tâches, ça se frotte, ça se nettoie et ça s'oublie. Aidée par sa mère, soumise mais très protectrice, June apprit à ne pas rejoindre les idées de son père. De garder toute forme de respect envers autrui, en secret de son mari, bien évidemment. Elles développèrent une relation très fusionnelle qui leur permit de se comprendre sans même se parler. Le soutien qu'elles avaient l'une pour l'autre fut la seule chose qui tint Alicia Horton en vie, sa fille. Son bébé. Mais pas la seule, tout compte fait.



Août 1996, Maison des Horton
« Un frère ? Maman qu'est-ce que tu dis ? Tu délires ? Il est mort, Maman, il est mort en couche, rappelle-toi ! Il y a douze ans, Maman, c'est fini ! » Les yeux suppliants d'Alicia Horton lui arrachaient le cœur. Que voulait-elle dire ? Pourquoi parlait-elle de cet enfant qui avait dépérit douze ans auparavant ? June n'avait que sept ans à l'époque. Sa mère, enceinte, s'était enfermée à Sainte-Mangouste pour des Complications dues à la grossesse, avaient-ils dit. Revenue de l'hôpital magique, le bébé était mort. Ils n'avaient rien pu faire. On n'en avait plus parlé. Ça n'était qu'un mauvais rêve. Son père, trop occupé en cet instant à se cacher en tant que Mangemort, depuis la chute du Seigneur des Ténèbres. « Il va le faire tuer, s'il le retrouve. Il va le faire tuer, et il me tuera ensuite. Je t'en supplie June, retrouve-le avant Lui. Protège-le. Protège ton frère. »

Ce frère, supposé mort, était en réalité en vie. Comment avait-elle pu cacher son existence durant toutes ces années ? Comment avait-elle eu la force d'abandonner son propre fils ? « Je veux que tu lui dises que je ne l'ai pas abandonné. Je veux que tu lui dises que je l'aime. Que j'ai fait ça pour son bien. Que ça m'a brisé le cœur. Je l'aime autant que je t'aime, June. Et tu l'aimerais, toi aussi, si tu le connaissais. » Les larmes explosaient pour Alicia. June sentait ce liquide chaud mutiler ses joues creuses, ruisselant jusque dans sa nuque. La réalité était que ce fils n'était pas de Garth Horton, qu'Alicia avait fauté. Et que ces choses finissent par se savoir, ne cessait-elle de brailler. Il aurait fini par l'apprendre, et garder ce bâtard sous le même toit qu'un meurtrier était délirant. Inconscient. Immoral. Ce jour-là, son choix avait était rapide mais puissant. L'éloigner le plus possible de cet homme malsain. Lui sauver la vie. June jura qu'elle le retrouverait et qu'elle le protégerait. Mais pour cela, il lui fallait partir, et quitter sa mère dans un contexte plus que dangereux pour elle, et elle n'y arrivait pas. « Viens avec moi. Aide-moi à le retrouver. Je ne peux pas te laisser avec Lui. S'il ne te tue pas pour ça, il est en train de t'anéantir petit à petit depuis des années. Tu ne vis plus. Je ne peux pas te laisser toute seule. » Mais Alicia n'avait pas la force de partir. Ces décennies aux côtés de son tyran l'avait peu à peu habituée à cette tyrannie, et ses racines avaient commencé à devenir des souches si solides, que partir maintenant lui donnait l'impression de s'arracher du sol. Elle était lasse de toute cette vie. Son avenir à elle était perdu à présent, il était vain, mais elle voulait sauver celui de ses enfants. Leur donner le peu de force qui lui restait. Leur donner un espoir.



Automne 1996
June avait finalement cédé. Sa mère paraissait si décidée qu'il lui avait été impossible de faire face. C'était la première fois qu'elle la voyait si active, si suppliante, d'ordinaire si passive. Elle avait promis. Alicia lui avait expliqué que le père biologique était un moldu. Ils arrêtèrent de se voir quand Alicia prit soudainement peur de la réaction de son mari s'il l'apprenait. Elle ne voulait pas risquer la vie de cet homme qu'elle aimait tant. Et qui l'aimait en retour. Acceptant sa sorcellerie. Il ne savait pas qu'elle attendait un enfant de lui.

June n'avait pas beaucoup d'informations supplémentaires. Un orphelinat, qui n'existait plus. Une ancienne adresse. L'hiver 1996 n'aida pas. Fuyant tout ce qui pouvait ressembler à son père, elle resta cependant dans les environs de Londres, espérant ne pas être loin s'il arrivait malheur à sa pauvre mère. Elle commença à organiser sa vie, se faire un peu d'argent, pour lui permettre de vivre. Elle se retrouva au Deus Ex Machina comme serveuse, dont les horaires lui permettaient de bouger plus facilement en journée.



La première fois que je suis allée à Poudlard, j'étais émerveillée. Cétait en Septembre 1989. Je crois que je m'en souviendrais toute ma vie. Mon cœur battait si vite sur ces barques, que j'en ressens encore les palpitations aujourd'hui. C'est encore mieux que ce que Maman me racontait. Maman aussi aimait Poudlard, elle me l'avait toujours dit. Elle était à Serdaigle. Sage et travailleuse, Maman disait que moi aussi, je serais sûrement dans cette maison. Elle me prenait la main, me regardait dans les yeux et m'embrassait tendrement le front. Elle avait raison. A peine le chapeau avait-il frôlé le sommet de mon crâne qu'il s'était écrié Serdaigle, sans d'autres explications. Papa n'était pas content, mais il disait que ça ne l'étonnait presque pas. Serdaigle était la maison des faibles. Des matières grises. Sans courage ni force, la matière grise ne sert à rien, répétait-il sans arrêt. Ses années à Poudlard furent tranquilles. Elle aimait étudier, mais comme tout élève, il y avait des matières, des sujets, qui passaient beaucoup moins. Elle aurait voulu travailler avec les créatures magiques, même si toutes les créatures magiques ne tiennent pas au creux de ta main, et ne sont pas dotés de poils, ne cessaient de lui répéter ses amis en riant. Ça lui plaisait, ça. Ses aventures sur un balai étaient plutôt catastrophiques, mais elle arriva peu à peu à tenir debout sans tomber de douze mètres, c'était déjà pas mal. Elle était douée pour la botanique. Tout comme pour s'occuper des créatures, June aimait travailler avec ses mains. Elle aimait la nature par dessus tout. Les matières plus intellectuelles comme l'Histoire de la Magie étaient pour elle très intéressantes, mais elle avait ses thèmes favoris. Bonne élève, elle bûchait des heures pour retenir les dates, faire des recherches, mais si un thème ne lui plaisait pas, son temps de travail se réduisait considérablement. Tout ce qui utilisait la baguette fut extrêmement difficile pour elle. Elle venait d'une famille sorcière, et aimait le monde sorcier, mais n'a jamais été très attirée par la baguette en elle-même. Elle apprit à la manier, à métamorphoser, à se défendre même. Ça n'était pas si compliqué, et parfois, c'était même excitant.

ϟ COMMENT NOUS AS-TU DÉCOUVERT ? Topsite Obsession27 si mes souvenirs sont bons

ϟ LE NOM DE LA PERSONNE SUR TON AVATAR ; Willa Holland

ϟ QUE PENSES-TU DU FORUM ? J'aime beaucoup l'ambiance générale (ou au moins le peu de ce que j'ai pu en voir jusqu'à présent). Il me fait beaucoup penser à un forum où j'étais. Il y a juste une petite chose qui me chagrine au niveau du design, c'est que je trouve que les « cases » sont un peu trop grandes, et j'ai un peu du mal à naviguer. Mais sinon, j'ai hâte de m'intégrer ! J'aime beaucoup le contexte un peu incertain, l'idée de missions. J'espère que mon personnage vous plaira :)

ϟ AS-TU LU/VU TOUS LES HARRY POTTER ? Yep, chef ! Lus, relus, vu, revus, et digérés ! Prête à les re-savourer dès qu'il est temps !

ϟ SUR COMBIEN D'AUTRES RP ES-TU INSCRIT SANS COMPTER CELUI-CI ? Un autre sur Harry Potter, mais avec un contexte complètement différent. Un autre forum RPG adapté de la série The Hundred.