Secret du moment


A. LICHUAN WHITELAW
(TROUVÉ)

Finalement, tu as plus de points communs avec Lone que tu ne le prétends.

Alors, vous savez ce que c'est ?
Nouvelles de Legi !
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Agapa Luella Carracci
Agapa Luella Carracci

: Terrible thing, to have your identity taken from you.

ϟ ÂGE : 38
ϟ FONCTION : Auror | Traqueuse dangeureuse
ϟ AVATAR : Rosamund Pike
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ϟ LIENS : You were sharp as a knife to get me. You were a wolf in the night to get me back. The wishes I've made are to vicious to tell. Everyone knows that I'm going to hell.

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Vai a farti fottere | Agapa Luella Carracci.
MessageSujet : Vai a farti fottere | Agapa Luella Carracci. Vai a farti fottere | Agapa Luella Carracci. EmptySam 7 Fév 2015 - 13:46


Agapa Luella Carracci


carte d'identité
ϟ ÂGE & DATE DE NAISSANCE : 12 octobre 1969. Réellement 29 ans. Ce que vous voyez est bien sûr loin de la vérité.
ϟ LIEU DE NAISSANCE : Palermo, città di chiese e falsa fede.
ϟ ANNÉE & MAISON : Beauxbatons. Auror.
ϟ ORIENTATION SEXUELLE : Une préférence pour les mâles à chair tendre.
ϟ DESCRIPTION DE LA BAGUETTE MAGIQUE : De l'Aubépine, un bois contradictoire. Ventricule de dragon, 26.7 cm. Très Rigide.

ϟ PATRONUS : Tigre à dents de sabre.

ϟ AMORTENTIA : L'odeur de l'huile d'olive, de la terre brûlée, de l'encens sacré des églises mais aussi du vent frais trouvé en pleine nature.

ϟ ÉPOUVANTARD : Une personne, grande, floue. Un visage déformé, sans réel apparence mais avec juste un sourire malicieux. Entouré d'une ombre, prêt à disparaitre.
ϟ ALBUS DUMBLEDORE OU BELLATRIX LESTRANGE ? : Aucun. Si ce n'est qu'il lui faut suivre l'alignement de son sauveur, ou plutôt traqueur.

ϟ CELUI-QUI-SAIT OU PHILÉAS FOLENGRAIN ? : Qu'ils crèvent tous dans leur sang rempli de pus d'une noirceur plus sombre que celle de l'encre qui a coulé pour partager leur mensonges.

ϟ SUCRÉ OU SALÉ ? : Salé.

ϟ BUT DANS LA VIE : Retrouver celui qu'elle cherche. Ou ne pas le retrouver. Elle ne sait pas ce qu'elle veut, effrayée par les conséquences qu'il peut amener avec lui.
ϟ CE QUI COULE DANS VOS VEINES : Sang mêlé, ignoré par Agapa. On lui a fait croire qu'elle n'est qu'un enfant maudit, né de parents sans pouvoirs magiques. Elle le croit encore.
ϟ VOTRE ANIMAL DE COMPAGNIE : Un chat de rue aussi têtu qu'elle qui vient squatter le bol de nourriture qu'elle lui laisse tous les jours sur le balcon et qui rentre quand bon lui semble s'allonger sur son canapé.
ϟ SIGNE PARTICULIER : Métamorphomage, elle vole les signes particuliers des autres. Rien ne lui appartient.


physionomie

ϟ DESCRIPTION PHYSIQUE ; Comment vous expliquer que son corps vous ne le verrez jamais tel qu’il est réellement. Comment expliquer qu’elle-même refuse de le voir, ce corps source d’un désespoir qui est incontrôlable. Certaines personnes donneraient leur âme au diable pour profiter du même pouvoir, Agapa vendrait avec plaisir son corps pour avoir une âme à laquelle se rattacher. Rien ne lui fait croire que ce corps est le sien. Aucune raison d’en être sûre, les miroirs ne sont que un reflet de ces formes, elle ne peut se voir elle-même.

Cette chair n’est qu’une pâte à modeler, comme celle qu’utilisent les enfants pour s’amuser. Pas d’amusement, un besoin vital, une addiction, de se sentir appartenir à une forme physique. Ses mains chaudes ne servent qu’à toucher son visage, le tirer, le déformer sous la douleur. Douleur de cœur, douleur d’esprit, douleur troublée. Une âme floue qui habite ses différents corps, qui se change pour la faire parvenir à ses fins. Son corps n’est qu’un moyen, une arme, une extension de sa baguette magique et non le contraire. Une chose qu’elle ne respecte pas, comme un chasseur sanguinaire qui n’utilise pas toutes les parties de sa proie après l’avoir tuée. Ceux du début connaissent son apparence réelle, bien qu’elle ne la considère pas comme la sienne.

Une silhouette fine, crinière blonde, yeux bleus, des mains de pianiste, des muscles de proie. Prête à s’enfuir comme une gazelle, prête à changer de physique au coin de la rue. Prête à se cacher, mais à se faire trouver en même temps. Trouver son âme, son physique, sa réelle forme n’est qu’une partie de cache-cache. Un jeu continuel, un cercle sans fin, comme le serpent qui mord dans sa queue. Les sentiments déforment le visage, le meurtre aussi. Un imposteur de ses victimes, une pâle copie de leur caractère qu’elle ne peut comprendre. Caractère défini qui lui échappe à travers les bouts des doigts, comme un courant d’air. Précis, choisi, presque calculé. Rien n’est laissé au hasard.

Mais son corps a elle n’est que le fruit du hasard. Un contrôle imparfait, rageant, la poussant à bout.




psychologie

ϟ AIME : L’excès. Comme une drogue que l’on demande toujours plus. Dont on ne peut se passer sans trembler, frémir de souffrance. Une douleur qui nous fait du bien pendant, après. Il lui faut toujours plus de vérité, de franchise, de danger. Des vibrations d’adrénaline qu’ils lui font rêver d’une vie baignée dans le dédain et le sang. L’art, la musique, pour adoucir ces écorchures, brûlures. Un piano poussiéreux au fond d’un manoir délabré. Des tableaux dans un musée sombre, laissé pour vide la nuit. Aucune présence à part la sienne et celle de ses prières.

Le tout réconforté par une seule chose : une ombre scrutant chaque mouvement derrière ses gestes.

ϟ N'AIME PAS : Le mensonge. L’impossibilité de faire face à la vérité. La fausse foi, les salopes qui agissent soi-disant au nom de dieu pour vous brûler vif. L’eau, les piscines, les bains. Tout ce qui peut vous noyer. La cigarette, même si elle fume comme un camionneur. Une tentation de figer la vie à n’importe quel moment, de figer l’image, l’apparence, les photographies. Ne pas pouvoir se défendre, faire preuve de pitié, demander de l’aide. Cette solitude, froide, tels des mains de croque-mitaine venant l’enlever à ses occupations. L’ombre qui la suit, la regarde et la provoque.

ϟ DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE ; Son visage se déforme, encore et encore, de tous les cotés on voit un autre profil. Des autres traits, des autres cheveux. La colère est là, plus que présente. Une amie de longue date qui ne vous quitte jamais vraiment. La rage se fait ressentir à travers sa peau qui se plisse, se déforme, tire de partout. Avoir le visage déformé par la rage n’est qu’une question d’habitude ici. Un miroir brisé en face d’elle, un visage qu’elle ne reconnaît pas pour la énième fois. Qu’est-ce qui lui dit que c’est bien elle qui se trouve là ? Que c’est bien elle qui habite ce corps rendu maudit ? On l’a provoquée, on s’est moquée d’elle et on l’a traitée de possédée. Ca l’a mis hors d’elle. Un cri de rage, de douleur. Les mains sur le visage pour arrêter le processus mais rien n’y fait. Tout est enclenché, tout est prêt à changer. Encore et encore. Devant elle des yeux, pas les siens, assoiffés de sang. Elle ne se reconnaît pas. Les autres non plus. Comment prouver que c’est encore elle, qu’elle est encore leur fille ? Aucune preuve non, à part ses souvenirs, son nom. Ses pensées ne tiennent plus en place, tout se mélange. Un vague de rage est venue tout anéantir pour l’emporter avec elle dans une folie épouvantable. Sa colère est la seule source qui la fait se sentir vivre. Rien d’autre n’y fait.

La peur, perdue, paniquée, une proie qui vient de se faire piéger par son ravisseur qui la traque depuis le début. Un clin d’œil moqueur, la cause d’un sentiment qui la ferait presque vomir. Peu de situations lui font peur. On pourrait même la qualifier de courage. Sauf avec lui. Les cheveux se rétractent. Les poils se dressent. Tout a l’air de devenir de plus en plus petit, de serrer encore plus qu’avant. Sa peau n’est plus à la bonne taille, elle voudrait pouvoir s’en débarrasser comme le font les serpents. Couper dedans, l’enlever, se cacher dans l’ombre. Personne ne peut la voir, pas dans état pareil. Aucun homme n’a le droit de voir ses yeux presque blancs, prêts à se retourner dans leurs orbites. Elle n’a qu’une envie : vomir encore et encore. C’est ce qu’elle déteste le plus, la peur. Des heures et des heures elle a passé à s’entrainer dans le noir, dans l’eau à ne pas sentir cette frayeur vous envahir comme de la glace qui remplit votre corps peu à peu. Rien n’y fait. Agapa ne peut que se sentir comme cette petite fille blonde, recroquevillée sur elle-même de peur qu’on vienne encore la frapper. Les prières n’aident pas. Dieu n’aime pas les peureux. Il ne les aide pas. Aucune aide de sa part ne sera apportée au gens suppliant l’effroi de ne pas les enlever.

Le bonheur, cette cruelle sensation qui vient s’installer dans vos pensées. Vous faire rêver. Vous porter toujours plus loin. Pour disparaître à n’importe quel moment, sans raison. Tout s’écroule, comme un château de cartes. Un seul souffle emporte tout avec lui. Une sensation qu’elle n’a pu croiser qu’à de rares occasions. Parfois il était là. Parfois elle trouvait un vent d’apaisement parmi la solitude, entourée d’art. Ces rides s’effacent, les cernes s’estompent, les cheveux deviennent plus clairs. Un aura s’émane de son corps. Aura rare. Tellement rare qu’elle ne sait plus trop ce qui le cause. Le retrouver peut-être ? Se trouver en face à face ? Mais cela entrainera aussi de la peur. Comment pourrait-elle sentir de la peur et en même temps du bonheur. Chose impossible, tordue. Ces pensées ne sont que mensonges pour se leurrer. Trouver quoi faire.

Cela ne fait que se mélanger. Rien n’est concret. Elle ne comprend pas comment elle doit les utiliser. Ce qui les provoque, les accentue. Un objet, une action, une parole ou une pensée. Tant de choses qu’on ne peut ignorer. Causes de ce malheur, ce changement continu de physique. Malédiction jetée par les gens autours d’elle. Ils la trouvent, partagent leur malheur, leur souffrance alors qu’elle est sur le point de les achever. Leur frénésie s’accapare de son esprit, un instant. Ce qui est nécessaire pour pousser un cri aigu dans sa tête, une douleur extrême, des lumières blanches devant les yeux. Elle ne veut pas de leurs sentiments, elle en a déjà assez avec les siens. Un éclair de foudre et tout disparaît. Le calme reviens. Leurs âmes partent. Sa vision rebrousse chemin.

Il n’y a strictement rien à comprendre. Lunatique au point de se détester. Arrogante à la faire s’éviter elle-même. Courageuse pour prendre des risques inutiles. Peureuse de se mettre en danger. Assez gentille et attentionnée pour soigner ses propres blessures. Son mental ne se permet pas de se raccrocher à elle-même. Aucun point d’attache. Pas de point de repère. Des désirs qui partent et reviennent en même temps que les aléas de son corps. Tout n’est qu’une chose abstraite. Difficile de se trouver dans un brouillard infini.



histoire

1970
Une enfant rejetée dès sa naissance. Poussée au bord du lit, aux pieds de sa mère qui ne pût s’empêcher d’hurler en voyant à quoi elle avait donné vie. Un diablotin, un bébé envahi par les ténèbres de l’enfer. Elle est là, enroulée dans ses couvertures, en train de pleurer pendant que ses cheveux passent du noir au blanc et au rouge. Son père a été chercher le prêtre du village. L’infirmière est une nonne, à genoux dans le coin de la pièce, en train de prier. La femme qui a donnée naissance à cette chose pleure, hurle, tel une hystérique en essayant de pousser son bébé du bord du lit avec ses pieds. Des heures plus tard la petite chose s’est calmée, ne pleure plus et a repris son apparence normale. Une croix de cendres sacrée sur son front pour empêcher les démons de revenir. Mais ils resteront là, à ses cotés, jusqu’à la mort. Tel une ombre accrochée à son esprit.

Princeps gloriosissime cœlestis militiæ, sancte Michael Archangele, defende nos in prœlio et colluctatione, quæ nobis est adversus principes et potestates, adversus mundi rectores tenebrarum harum, contra spiritualia nequitiæ, in cœlestibus.

Les jours sont longs, l’enfant a faim, son visage et ses yeux changent. Vite lui donnent-elle à manger, pour faire passer la rage, pour espérer apaiser le démon en elle. De l’eau bénite pour la laver tous les matins. Des prières tous les soirs. Une relation froide entre les parents et leur progéniture. L’amour n’a pas sa place en enfer. On s’occupe de l’enfant en espérant pouvoir le changer, effacer cette terrible malédiction qui hante cette famille. Seulement quand elle sera redevenue normal, il y aura de la place pour de l’affection. Sa mère ne comprends pas, pleure tous les soirs en demandant à Dieu pourquoi elle a reçu cette punition. Le père lui nie, nie sa magie, ses pouvoirs et ment à tout ceux qui souhaitent l’écouter. Des langues de vipères font courir les histoires sur la famille dans tout le village et les environs. Pression incessante de l’environnement sur ce couple qui se doit de détester leur fille.



1976
Six premières années sont passées. Lentes, une vraie torture. Comme si on la noyait encore et encore. Le prêtre passe tous les jours, prier pour Agapa. Il lui apprend des phrases toujours plus longues en Latin. Langue morte pour des sentiments d’espoirs qui ne font plus vivre. Elle est enfermée dans cette maison, jour et nuit. Pas d’amis, les enfants ne veulent pas la voir. C’est ce que disent ces parents. Ils ne veulent pas jouer avec elle car elle n’est pas comme eux. Tous les jours ces paroles résonnent dans la chambre de l’enfant : pas normale, pas comme eux. Comment devient-on normal ? Comment devient-on comme eux ? Des pensées qui s’accaparent son esprit, tous les jours, à chaque heure de la journée.

Elle laisse tomber une assiette, la porcelaine tombe en éclats par terre. Une gifle dans la figure donnée par son père. Sa mère lève le ton de sa voix et prolifère des jurons en italiens. Encore une gifle. Des larmes lui remontent aux yeux, elle ne peut pas s’en débarrasser. C’est trop tard. La transformation s’est enclenchée. Tout devient flou et la rage lui monte à la tête. Rien ne peut être discernée par la folie qui l’emmène avec elle dans un autre monde. Tel une hystérique elle hurle, son visage se déforme, Agapa tire sur sa peau. La colère devient son nouveau visage. Toutes les assiettes tombent sans les toucher. Les vases explosent. Les objets volent contre les murs pour rebondir et blesser les deux autres personnes dans la pièce. La magie est incontrôlable, c’est la première fois que cela arrive. Les voisins entre dans la maison et l’attrapent par la nuque, ils la plaquent parterre. Une nonne et le prêtre s’emparent de l’enfant pendant que les villageois aident les parents, blessés, à se relever. Tout est encore flou, Agapa se débat mais rien n’y fait. Leur bras la tiennent par la poitrine et la soulèvent vers une voiture. Dans un coin de sa maison une ombre, un homme debout, le visage caché.

Attachée à un lit, l’enfant pleure à chaudes larmes. L’enfant crie. Ses paroles résonnent contre les murs froids fait de vieilles briques. Une seule fenêtre fait passer la lumière qui se trouve en dehors du couvent.

« Laisser moi partir ! Laisser moi sortir ! »

Les jours d’après l’enfant reste au couvent. Tel une prisonnière qu’on ne peut relâcher par peur de récidive. Elle est emmenée dans les archives, sa punition, où elle devra copier des textes en Latin jour et nuit pour renforcer sa religion. Une croyance qu’elle doit prouver en récitant des prières devant des anciens à l’église, quatre fois par jour. Une vie digne du moyen-âge pendant deux semaines. Le temps que ses parents trouvent une solution pour reprendre leur fille chez eux. Ce n’est qu’après ce temps là qu’elle a le droit de retourner chez elle.

Interdiction de sortir plus loin que son jardin ou l’église, donnée par le village entier. Personne ne veut la voir, personne ne veut courir de danger avec ce monstre dans les parages. La chambre est remplie de jouets pour s’occuper toute la journée et de livres, pour apprendre ce qu’elle aurait dû voir à l’école. Si elle avait été normale. Dès qu’Agapa sent un sentiment monter lors de la présence de ses parents, elle s’efforce d’effacer toute sensation. Se tirant les cheveux jusqu’à en avoir mal. Ce n’est que étant seule qu’elle peut laisser son esprit libre de voyager au gré de son envie. Une vie restreinte, marquant au fer rouge l’expérience de vie de la petite fille.

Agapa prie encore et encore pour redevenir normale. N’ayant aucune idée de l’étendue de ses pouvoirs. Elle pense être possédée. Seule la nuit, sa porte fermée à clé de l’extérieur, elle n’a que ses prières pour lui tenir compagnie et lui donner espoir.

Dieu du ciel, Dieu de la terre, Dieu des Anges, Dieu des Archanges, Dieu des Patriarches, Dieu des Prophètes, Dieu des Apôtres, Dieu des Martyrs, Dieu des Confesseurs, Dieu des Vierges, Dieu qui avez le pouvoir de donner la vie après la mort, le repos après le travail, parce qu'il n'y a pas d'autre Dieu que Vous, et qu'il ne peut y en avoir si ce n'est Vous, le Créateur de toutes choses visibles et invisibles, Vous dont le règne n'aura point de fin : nous supplions humblement Votre Glorieuse Majesté d'user de Sa Puissance pour nous délivrer de toute tyrannie des esprits infernaux, de leurs pièges, tromperies, méchancetés, et de nous conserver indemnes de tout mal.

1980
Quatre années sont passées, plus aucun incident majeur n’a eu lieu depuis. De temps en temps une lampe qui pète dans sa chambre, un objet qui vole ou sa fenêtre qui vole en éclat. Rien de plus. Aucun sentiment, aucun danger, aucune punition. Les prières ont changés. Un sentiment étrange s’installe. Des mots pour faire disparaître ses pouvoirs, mais aussi ceux qui les ont apportées. Ceux qui lui ont apportés la vie. Une délivrance demandée au Seigneur. Tous les matins, tous les soirs, à l’église. Fanatique, en quête de liberté, une croix en bois autour du cou. Les parents qui pensent que leur fille devient comme eux, prête à tuer n’importe quel démon si il le faut. Ils ne la regardent jamais, peur de croiser son regard. Leur seul lien est un soin minimal. Le réconfort se trouve sur les bancs de l’église.

Un jeudi soir, l’église est vide, seul elle s’y trouve comme d’habitude. A genoux sur le bois massif, une croix dans les mains. Des larmes sur le visage. Mais Agapa ne s’y trouve pas seule, depuis quelques semaines de temps en temps une ombre l’observe. Elle n’ose pas regarder l’ombre, de peur qu’on la provoque, peur d’une poussée de rage. Ce soir l’homme se cachant dans l’ombre vient s’asseoir à coté d’elle. Il ne s’agenouille pas, il l’observe pendant qu’elle prie, pendant qu’elle ressent sa présence. Ses yeux ne s’ouvrent pas, aucun besoin, elle profite de la présence de quelqu’un à coté d’elle sans la juger. Sans mots. Comme des ondes échangées. L’ombre pose sa main sur ses cheveux, des caresses, avant de repartir aussi silencieusement qu’il n’est venu. Un sourire sur les lèvres de la petite fille. Du réconfort.

La même situation, plusieurs fois en quelques mois. A chaque fois le même rituel : les yeux fermés, une main sur l’épaule, le dos ou la tête. Les prières ne sont plus secrètes à présent. Elle ose les dire à voix haute, un sentiment de sécurité avec cet inconnu. Hadès dans l’ombre qui l’accueille les bras ouverts.

Agapa descends les escaliers. Ils ont oubliés de fermer la porte à clé et elle a entendu des bruits. Des voix étouffées. Pieds nus sur le plancher elle s’avance vers le salon où se trouvent trois silhouettes. Du sang écarlate vient éclabousser sa robe de nuit blanche, sa peau d’enfant. Hypnotisée par les deux corps qui tombent à terre, dans une flaque rougeâtre, elle s’avance encore. L’enfant tombe à genoux dans les flaques, ses yeux posés sur les corps de ceux qui lui ont infligé cette douleur. Ses prières n’ont pas été en vain, exaucées. Une main lui lève le menton pour rencontrer ses yeux. Des yeux sombres, froids, qui ont l’habitude de voir un tel massacre. Une mâchoire carrée, arborant un sourire malicieux. Le sang sur ses doigts créant des peintures sur le visage de la file.

« Regarde-moi, et regarde-les… Tu voulais les voir mourir, peut-être que tu as prié pour ça. N’aies pas peur, je t’offre ce que tu souhaites »

Elle réalise, comprends, la situation. L’ombre de l’église se trouve devant elle. Le réconfort apporté par cet homme, ses grandes mains sur son dos. C’est lui. Agapa peut coller un visage sur l’inconnu. Il l’a écoutée, il l’a aidée. Il est son Dieu à elle. L’homme se penche, ses lèvres près de son oreille. Chuchotant quelques mots.

« Une règle petite sorcière, ne laisse personne offenser la magie »

Un baiser sur la joue. Il se volatilise. La laisse seule parmi ces cadavres. Le lendemain on la retrouve, encore à genoux devant la scène. La fille est renvoyée au couvent pour y vivre. Plus aucune famille, des soupçons par rapport au meurtre. Sa vie n’est que prière et ennui. L’année passe lentement, une année pour oppresser son envie de se changer. Elle ne peut montrer ses pouvoirs. Seul réconfort : un morceau de miroir laissé dans la pièce par le meurtrier. Il veillera sur elle. Une promesse dont elle doute.

1981
Une lettre étrange. Des noms encore plus étranges. De la magie. Des explications. Elle a des pouvoirs magiques, un monde caché parmi le nôtre. Les paroles de l’inconnu le soir du massacre prennent sens. La nuit ses pieds courent, encore et encore. Echappée de cet enfer, enfin elle goûte à l’air frais. Un sac sur le dos, peu d’affaires, en route vers la gare la plus proche. Une journée en train, avec le peu d’argent qui lui restait et la voilà en France. Les achats, la baguette magique, de la reconnaissance pour son apparence. En route pour l’école.

1988
Sept ans passé à Beauxbatons. La dernière année, dernière ligne droite. Des années de rigueur, meilleure élève de la classe. Introvertie, elle s’efface. Echappe aux regards des autres, de peur de créer à nouveau un incident. Des sentiments qu’elle ne comprend pas, qu’elle n’arrive pas à doser. La peur d’être punie à nouveau. Un autre monde s’ouvre, dans l’entraînement, la discipline et les livres de sorcellerie. Grand potentiel, refusant toute tentation. Son seul intérêt : des lettres. La première à l’arrivée à l’école. Les autres après, tous les mois. Ses mots passionnés pour écrire ses exploits, ses sentiments qu’elle refuse de laisser sortir de son corps, ses sentiments à l’égard de l’homme. L’homme qui lui répond, niant ses paragraphes douteux, remplis de réactions infantiles. Il ne parle que peu, le peu qu’il lui faut pour qu’elle continue sur sa lancée.

Dernier mois à l’école. Un choix à faire pour plus tard. Auror. Carrière qui se doit de refouler tout sentiment envers la personne en face de nous. Carrière de traque, ce dont elle a besoin pour le retrouver. Sa voie se trace, ses sentiments se calment. Un jour lors d’une visite au village près de l’école, dans une boutique, une voix s’élève derrière elle. Son ton froid, son accent. C’est lui. Son homme.

« Auror ? Pourquoi choisir une voie aussi réductrice ? » Longtemps a-t-elle voulu entendre sa voix. Un manque insatiable. Qui ne peut être remplacé par personne. Une seule envie : sentir ses mains sur son dos, sentir son souffle dans sa nuque. Tel une drogue, elle en a besoin. Peur de cette dépendance. Une baguette dans le dos elle ne peut se retourner pour le regarder. « Peut-être pour la justice » Il jure, énervé par son audace. « La justice, Carracci, c’est une voie détournée pour acquérir du pouvoir »

1992
Trois ans en tant qu’Auror pour le ministère. Une place qui lui va si bien. Des gens contents de ses services. Auror qui ne se laisse pas faire, prête à sacrifier ce qu’il faut, à tuer sans réfléchir ceux qui le méritent. Protéger les sorciers. Faire semblant de les protéger plutôt. Répondre oui à la justice du ministère. Etre leur serviteur. L’ennui s’installe tous les jours mais elle n’a pas d’autres voies.

Ses pas la promènent à travers les rues de Paris. La foule est comme toujours là, la bousculant pendant qu’elle marche vers chez elle. L’envie de retrouver une lettre dans sa boîte aux lettres. Une relation épistolaire qui a continué. Froide, peu de sentiments dans les écrits mais toujours présente. Elle relève la tête de ses pensées, regarde les passants autour d’elle. Ses yeux se rivent sur une mâchoire qu’elle reconnaît, un clin d’œil de sa part et un rire moqueur. Il continue son chemin. Perdu dans la foule. Son cœur brisé. Le flou remplace sa vision, elle fuit, la peur d’une rage incontrôlable.

1994
Troisième fille blonde, aux yeux bleus, trouvée morte. Tuée avec un sort, ouverte avec un couteau. Elle reconnaît le rituel. La fille ressemble comme deux gouttes d’eau à Agapa. Son corps étalé comme une peinture classique. Il joue avec elle, il se moque d’elle. Elle qui n’est qu’une enfant capricieuse.

Quelques mois plus tard, après une demande, la voilà. Ses affaires installés dans son nouvel appartement à Londres. Une nouvelle carrière dans un nouveau ministère. Elle sait qu’il se trouve dans la même ville. Le jeu ne sera plus le même, le chat et la souris ont échangé de rôles. Elle veut l’attraper, le toucher, le tuer et en même temps le garder près d’elle. La traque commence.



hrp

ϟ COMMENT NOUS AS-TU DÉCOUVERT ? Topsite ! Comme quoi ça arrive vraiment !

ϟ LE NOM DE LA PERSONNE SUR TON AVATAR ; Rosamund Pike.

ϟ QUE PENSES-TU DU FORUM ? C'est beau, c'est sombre, et ça a de la profondeur au niveau du contexte! Ca fait du bien!

ϟ AS-TU LU/VU TOUS LES HARRY POTTER ? Lu, vu, relu et revu. Même vu en vrai, sisi.

ϟ SUR COMBIEN D'AUTRES RP ES-TU INSCRIT SANS COMPTER CELUI-CI ? 2, totalement différents.

Fray O. Cabble
Fray O. Cabble

ϟ ÂGE : 42
ϟ FONCTION : Psychologue scolaire ; Fantôme en déni ; Ex-Serdaigle.
ϟ AVATAR : Hugh Dancy
https://2img.net/r/hpimg11/pics/256635tumblrmo8pqsLzd81r0jkkko2r1250.gif

ϟ LIENS : You won't like me when I'm psychoanalyzed.
Therapy doesn't work on me.

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MessageSujet : Re: Vai a farti fottere | Agapa Luella Carracci. Vai a farti fottere | Agapa Luella Carracci. EmptySam 7 Fév 2015 - 15:07

    Dawww, ce choix d'avatar. Je t'aime déjà, et merci pour les compliments sur le forum et le contexte (le design va bientôt changer pour un plus clair, nous fuis pas). /mur/ Le personnage a l'air vachement original à première vue, j'ai hâte de voir ce que tu vas en faire et je te souhaite la bienvenue !

    EDIT : AHHH mais j'viens de capter que t'avais pris le scénario de Wallace. Fray va être JALOUX, attends-toi aux foudres d'un fantôme (ça fait pas peur, mais voilà). è_é
http://miettes-petillantes.blogspot.fr/
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Invité


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MessageSujet : Re: Vai a farti fottere | Agapa Luella Carracci. Vai a farti fottere | Agapa Luella Carracci. EmptySam 7 Fév 2015 - 18:51

BIENVENUE ♥

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(je suis heureuse de pouvoir mettre ce gif quelque part xD)

Bon, tu sais que tu t'engages avec un personnage complètement toqué et qu'en plus de ça, côtoyer Wallace, c'est un peu le danger constant, mais il ne faut pas avoir peur wowowowowowowowo. Merci de tenter Agapa ♥♥ Et j'aime déjà ce début de fiche, donc j'ai hâte de lire la suite et de voir comment tu vas t'approprier le personnage soinlovewithacat
Lawrence E. Sullivan
Lawrence E. Sullivan

: Look at all the fucks I give.

ϟ ÂGE : 38
ϟ FONCTION : Directeur des Serpentards, professeur pratique de DCFM, tireur d'élite de baguette magique, membre de l'Ordre, BAMF.
ϟ AVATAR : Matthew Gray Gubler
ϟ ABSENCE ? : Activité principalement le week-end pour cause de Terminale sauvage /o/

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ϟ LIENS : It'll be alright
We may make it through the war
If we make it through the night

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MessageSujet : Re: Vai a farti fottere | Agapa Luella Carracci. Vai a farti fottere | Agapa Luella Carracci. EmptySam 7 Fév 2015 - 19:10

    Bienvenue parmi nous wowowowowowowowo Déjà Rosamund Pike je ne peux rien dire à part te faire une demande en mariage. Et puis ce prédef est du tonnerre de Dieu, c'est un excellent choix ♥ J'ai hâte d'en lire davantage ! En tous les cas bon courage pour ta fiche, n'hésite pas à nous contacter si tu as besoin de quoique ce soit. Merci de tes compliments ducktoyzboub
Ruby J. Avery
Ruby J. Avery

ϟ FONCTION : Etudiante en 7ème année ϟ serpentard
ϟ AVATAR : lucy pretty hale.
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ϟ LIENS : about me & people

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MessageSujet : Re: Vai a farti fottere | Agapa Luella Carracci. Vai a farti fottere | Agapa Luella Carracci. EmptySam 7 Fév 2015 - 19:26

    BIEEENVENUUE heartheart
    J'espère que tu te plairas parmi nous !! kinderkinderjajaja
    En tout cas bon courage pour le restant de ta fiche pourtoalily
Joy C. Jackson-Powell
Joy C. Jackson-Powell

: She stood in front of the mirror a long time, and finally decided she either looked like a sap or else she looked very beautiful. One or the other.

ϟ ÂGE : 37
ϟ FONCTION : Ancienne élève de Poufsouffle, Auror reconvertie en videuse au Deus Ex Machina
ϟ AVATAR : Tatiana Maslany
Vai a farti fottere | Agapa Luella Carracci. 824076ImagedeprofilJoy

ϟ LIENS : There are those who know and those who don't know. And for every ten thousand who don't know there's only one who knows. That's the miracle of all time— the fact that these millions know so much but don't know this.

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MessageSujet : Re: Vai a farti fottere | Agapa Luella Carracci. Vai a farti fottere | Agapa Luella Carracci. EmptyDim 8 Fév 2015 - 12:12

    Ce scénario de fou que Wallace nous a pondu là et que tu as choisi ! ♥ Rien que le début de la fiche me laisse rêveuse, tu écris merveilleusement bien et j'ai vraiment hâte de découvrir la suite, genre, vraiment. L'actrice colle parfaitement au personnage, de plus, bwef, c'est un sans-faute ! ♥ Il nous faudra absolument des liens et, pourquoi pas, des RP.

    Bon courage pour le reste, je suis sûre que tu vas faire des miracles !
Maya A. Holmes
Maya A. Holmes

ϟ FONCTION : Travaille au ministère de la magie (département de la justice magique)
ϟ AVATAR : Lily Collins.
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ϟ LIENS : fiche de liens & présentation

mes rps: avec farrell et avec aramis

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MessageSujet : Re: Vai a farti fottere | Agapa Luella Carracci. Vai a farti fottere | Agapa Luella Carracci. EmptyDim 8 Fév 2015 - 14:08

Bienvenue ici ! Bonne chance pour ta fiche :3
Natanael A. Greyjoy
Natanael A. Greyjoy

: It's not my fault if in God's plan, He made the Devil so much stronger than a man

ϟ ÂGE : 39
ϟ FONCTION : Professeur d'astronomie
ϟ AVATAR : Lee Pace
ϟ ABSENCE ? : Jusqu'en juin pour cause de partiels et autres réjouissances

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ϟ LIENS : I can't drown my demons, they know how to swim.

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MessageSujet : Re: Vai a farti fottere | Agapa Luella Carracci. Vai a farti fottere | Agapa Luella Carracci. EmptyDim 8 Fév 2015 - 14:38

Ahugyguy Rosamund Pike. Gone girl m'a tellement traumatisée ;;

Bienvenue ici et bon courage pour finir cette fiche, ton perso m'a déjà l'air fort flippant prometteur (mais c'est un PV de Wallace, alors c'était obligé ♥ ).
Basile Y. Flaversham
Basile Y. Flaversham

: When I woke up this morning, I got myself a beer.

ϟ ÂGE : 36
ϟ FONCTION : Auror ; Ancien Gryffondor
ϟ AVATAR : Jensen Ackles
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ϟ LIENS : www — fiche
www — liens
www — lettres

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MessageSujet : Re: Vai a farti fottere | Agapa Luella Carracci. Vai a farti fottere | Agapa Luella Carracci. EmptyDim 8 Fév 2015 - 23:10

Welcome camarade Auror ♥

Hâte de lire ta fiche !
Vesper N. Haeven
Vesper N. Haeven

ϟ ÂGE : 38
ϟ FONCTION : Détective, trouveuse d'informations, fille de l'ombre. - Ancienne Gryffondor.
ϟ AVATAR : Rooney Mara
ϟ ABSENCE ? : Ralentissement jusqu'aux examens.

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MessageSujet : Re: Vai a farti fottere | Agapa Luella Carracci. Vai a farti fottere | Agapa Luella Carracci. EmptyLun 9 Fév 2015 - 0:06

Bienvenue !

Ce scénario. Je pense que tout le forum était en délire quand Wallace l'a posté. (j'ai lu la fiche au moins cinq fois pour dire. XD)

Puis Rosamund Pike quoi. Le parfait choix d'avatar. En tous cas, je suis impatiente de lire ta fiche. dancingqueen
Agapa Luella Carracci
Agapa Luella Carracci

: Terrible thing, to have your identity taken from you.

ϟ ÂGE : 38
ϟ FONCTION : Auror | Traqueuse dangeureuse
ϟ AVATAR : Rosamund Pike
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ϟ LIENS : You were sharp as a knife to get me. You were a wolf in the night to get me back. The wishes I've made are to vicious to tell. Everyone knows that I'm going to hell.

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MessageSujet : Re: Vai a farti fottere | Agapa Luella Carracci. Vai a farti fottere | Agapa Luella Carracci. EmptyLun 9 Fév 2015 - 19:53

Merci merci merci merci à tous ♥ Vous êtes tellement gentils!
Je peux l'annoncer officiellement: Ma fiche est terminée pourtoalily pourtoalily pourtoalily wowowowowowowowo wowowowowowowowo
Désolée pour l'immense pavé 8D J'ai pas su m'arrêter d'écrire en faite.. hum... Donc voilà, j'espère que ça vous plait! Bonne lecture! ♥
Fray O. Cabble
Fray O. Cabble

ϟ ÂGE : 42
ϟ FONCTION : Psychologue scolaire ; Fantôme en déni ; Ex-Serdaigle.
ϟ AVATAR : Hugh Dancy
https://2img.net/r/hpimg11/pics/256635tumblrmo8pqsLzd81r0jkkko2r1250.gif

ϟ LIENS : You won't like me when I'm psychoanalyzed.
Therapy doesn't work on me.

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MessageSujet : Re: Vai a farti fottere | Agapa Luella Carracci. Vai a farti fottere | Agapa Luella Carracci. EmptyLun 9 Fév 2015 - 21:07

    Merlin, cette fiche ! Je meurs, littéralement (ironie du sort, dit sous le compte de Fray). C'est une des plus belles fiches qui m'ait été donné de voir, et en te la validant j'espère que tu resteras très longtemps parmi nous. Parce que voilà, c'est juste parfait.

    Le personnage est profond et on voit que tu as longuement réfléchi à son caractère en reprenant à la perfection le scénario tout en y ajoutant ton grain de sel. On a de la peine pour cette Perséphone perdue, j'adore l'image de Wallace en démon sur son épaule. Tu as même réussi de faire de sa vie d'orphelinat et de son côté religieux quelque chose de beau et pas cliché. Bref, je sens que je vais aimer vos rp à toi et Wall-E. wowowowowowowowo C'est un style d'écriture tellement beau, tellement pur. Bref, je m'emballe mais... J'adore cette fiche.

    Et puis aussi, quand elle est petite elle me fait penser à Jean Baptiste Grenouille, mais sa fin en tant qu'auror la rend encore plus intéressante. J'ai hâte de voir le jeu de traque.

    Sinon, j'ai demandé à Wallace sur skype, et elle sur-valide, donc cette fiche est validée avec tout l'amour du monde ! vomitarcenciels vomitarcenciels

    PS : on t'aime déjà. Beaucoup, beaucoup.
http://miettes-petillantes.blogspot.fr/
Invité
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Invité


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MessageSujet : Re: Vai a farti fottere | Agapa Luella Carracci. Vai a farti fottere | Agapa Luella Carracci. EmptyMer 25 Fév 2015 - 17:43


Okay. Je ne pourrais jamais écrire comme cela. Probablement parce que j'ai pas les nerfs pour m'immerger dans un perso avec une telle psychose et, bon sang, j'étais angoissée et mal à l'aise tout le long de ta fiche.
Je suis en train de me dire que Wallace a un type : blonde avec des problèmes mentaux (coucou Arsinoé). C'est super bien écrit, je n'aurais pas su que c'était un prédef, je t'aurais dit que tu as donné naissance à un splendide perso. J'ai hâte de me mettre enfin à lire tes rps afin de voir si je ressens toujours la même chose.
Bienvenue chez toi

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