ϟ ÂGE & DATE DE NAISSANCE : J'arrive sur mes 24 ans, le 9 juin.
ϟ LIEU DE NAISSANCE : Je suis né à Dublin, Irlandais et fier !
ϟ ANNÉE & MAISON : Anciennement Serpentard, je travaille à Prés-au-lard depuis deux ans.
ϟ ORIENTATION SEXUELLE : J'avoue avoir une préférence pour les courbes féminines... Celles des hommes sont nettement moins... en fait ils en ont pas, alors comme ça c'est fait.
ϟ DESCRIPTION DE LA BAGUETTE MAGIQUE : Bois se sycomore et cœur de sirène de 28 cm.

ϟ BUT DANS LA VIE : Renouer avec sa sœur, retrouver Leah, trouver un job mieux payé.
ϟ CE QUI COULE DANS VOS VEINES : Sang-mêlé, qu'on arrête un peu avec ces histoires de sang. C'est rouge merde.
ϟ VOTRE ANIMAL DE COMPAGNIE : un jeune husky de même pas 6 mois.
ϟ SIGNE PARTICULIER : Sur les côtes, une cicatrice aussi grande que son majeur acquise après une partie de Quidditch où j'ai finis à l'infirmerie. Un triskel tatoué entre les omoplates et enfin... un loup garou. C'est particulier, nope ?

ϟ DESCRIPTION PHYSIQUE ; J’suis pas un gars petit. En fait, j’suis dans la moyenne : ni trop grand, ni trop petit. Nan, sérieux, être grand, ça sert à quoi à part devoir se baisser dès qu’on passe une porte ? Puis surtout, chez Gringotts, c’est pas pratique, vous avez vu comme c’est tous des nains ? Mh… nah ! J’pense que un mètre quatre-vingt c’est bien. J’ai les cheveux ébène, en bataille, je me coiffe jamais. Sauf si passer-sa-main-pendant-une-seconde-dans-ses-cheveux c’est se coiffer. Dans ce cas, oui, je me coiffe, tous les matins. Faut dire, c’est pas ça qui va me prendre du temps sur mon emploi du temps. Mes yeux, ils sont du genre gris ou noisettes, voir même verts, je sais pas vraiment. Des fois ils sont bien gris comme il faut, d’autre plus bruns. En tout cas on m’a toujours dit que j’avais les yeux clairs, quoi qu’il arrive. On m’a dit aussi que j’avais des yeux assez beaux, mouais, fin bon, des yeux c’est des yeux quoi. Ca sert à voir et puis c’est tout ! Bon, je vais pas me plaindre, j’aime bien qu’on me complimente sur mon physique, c’est vrai. M’enfin. J’ai des sourcils assez épais, et de la même couleur que mes cheveux, c’ta dire noir. Ça fait un p’tit air ténébreux, c’est pas mal ça, pour les donzelles. J’ai souvent une barbe de trois jour, j’aime bien, je tiens à la garder, ça me fait un p’tit look « rock » après tout.
Après, y'a des fois où mon visage peut être dur. Assez dur même. Les traits serrés, les yeux sombres, les sourcils froncés... c'est un peu mon expression habituelle. Je suis pas ce genre de gars à sourire chaque seconde de chaque minute de chaque heure. On me le reproche souvent, mais que voulez-vous ? J'ai pas une expression très avenante et rassurante, on peut même dire que je tire la gueule les trois quarts du temps. Quand on me regarde, on a juste l'impression que je vais tuer quelqu'un, et si le regard pouvait tuer, je ne doute pas qu'un grand nombre de sorciers seraient déjà morts depuis bien longtemps.
J’entretient plutôt bien mon corp, faut dire, j’me suis mis à la muscu’ très jeune, puis pour être dans l’équipe de Quidditch, fallait être résistant, alors quoi de mieux que porter des poids pendant une ou deux heures pour encaisser les chocs des poids des balles et des joueurs des autres équipes qui nous tombaient dessus ? D’ailleurs, j’ai une cicatrice près des côtes, je crois que je l’ai eu en jouant au Quidditch, quand je me suis réveillé à l’infirmerie de Poudlard. Je suis tatoué, un triskel, sur le haut du dos, s’avez, entre les deux omoplates. Je me suis fait ça quand je suis allé vivre à Londres après ma sortie de Poudlard. J’avais toujours voulu m’en faire un.
J’aime bien m’habiller en cuire. Enfin, veste en cuire, puis Rango, j’ai une paire de Rango, j’vous jure, jamais je m’en séparerais. C’est des sortes de bébé pour moi. Aussi précieuses que ma sœur (Bon d’accord, ma sœur est plus importante, si on me disait de choisir entre les deux, je choisirais ma sœur, mais c’est normal !). Jean, veste en cuir, maillots au corp ou chemises, rango, et quelques fois des baskets. J’aime bien ces lunettes aussi, les lunettes moldues, les « Ray Ban », elles me vont pas mal sans me venter. Après, bien sur, je sais aussi porter des costumes, cravate, nœud pap’ ou non, chaussures de villes… Mais c’est vraiment pour des trucs importants.

ϟ AIME : l'odeur de la fumée + l'odeur de la clope (même si je ne fûme qu'à mes heures perdues) + le whisky + la bieraubeurre + la bière ambré moldue (houla, vous allez me prendre pour un alcoolique !) + la philosophie + les films d'horreur + les chocogrenouilles + collectionner les cartes de ces dernières, il ne me reste plus beaucoup de personnages à avoir (depuis le temps...) + le caramel + le café bien fort + les biscuits français + manger en général + le Quidditch + les dragons + tout ce qui vole + les sous-vêtements en dentelle féminins + les rango

ϟ N'AIME PAS : pleurer + le chocolat noir + les couleures fluo + les rayures + les bananes + les films romantiques + les gnomes + les licornes + les chats + le coca, cette boisson moldue, comment font-ils pour en boire à toute heure ? + les ours en peluche + les femmes trop grandes + les lits simples + les sacs de couchage + se lever tôt + les transports moldus mis à part les voitures + le chant lyrique + les choses mal empilées + les affaires qui traînent chez lui

ϟ DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE ; Au premier abord, j’suis le genre de sorcier qu’on n’a pas envie d’aller voir et à qui parler. On peut me trouver froid, distant, p’t’etre même un peu flippant. Méfiant et vigilent, je regarde tout ce qu’il se passe autours de moi, j’analyse tout, j’appréhende, je calcule. J’aime faire des analyse des choses, des gens, m’imaginer leur vie, sans juger, cependant. Je suis assez mystérieux, j’aime pas dévoiler mes secrets, c’est pour les faibles ça. Et je suis pas faible, moi. Je révèle peu de choses sur ma vie, ma famille, mes amis, sauf quand je connais bien les personnes et que je sais que je peux leur faire confiance, mais encore une fois, je dois toujours analyser avant. Ah ouais, j’aime pas pleurer, avoir cette sensation d’infériorité, cette sensation de vulnérabilité… Dès que les larmes me montent au yeux, je supporte pas. Je me sens faible à ses moments là, et j’aime pas me sentir faible. J’suis ce genre de gars assez rancunier, qui a du mal à pardonner. Je retiens les choses, les plus anciennes même, et j’oublie pas ce que les gens font, ce qu’ils ont fait. Ils ont beau dire avoir changé, beau avoir changé totalement, je l’oublie pas, et il me faut du temps pour accepter des excuses. En fait, faut trouver les bons arguments pour que je soit totalement sûr… Je suis aussi très impatient. Sérieusement, j’aime pas attendre, je pète des câbles facilement pour ça, parce que je sais pas patienter. Être assis là à rien foutre pendant trois quart d’heure, une heure, c’est pas mon truc. Faut que j’fasse quelque chose, que je m’occupe. Et encore, pour moi, le temps passe trop lentement, je supporte pas d’attendre, si ce n’est trente secondes ou encore une minutes de plus. Je suis rusé, je réfléchis beaucoup à comment préparer mes coups, comment me sortir des certaines situation, et ça me viens au tac au tac. Je suis assez ambitieux, je veux beaucoup de choses, et je suis prêt à tout, pour y arriver. J’aime réussir ce que je fais, et tant que je réussis pas, et bah je continue, c’est pas compliqué. J’aime bien séduire les femmes, faire mon gentleman, être gentil, les attirer, autant physiquement que moralement. Bien sur, je joue pas avec, ou que très rarement. Je me sens trop coupable après, et Celui-qui-sait sait, que je culpabilise très vite, trop vite. Je suis assez protecteur aussi, que ce soit avec ma sœur ou quelqu’un qui est important pour moi. C’est sur, ma sœur, je pourrais jamais la lâcher, la laisser seule à un endroit où j’ai pas confiance. J’serais même capable de la suivre pour être sûr qu’elle arrive bien à destination sans encombre, s’avez ? M’enfin. Après, dans ma tête (cette sale caboche !) je suis totalement perdu quand mes sentiments entrent en jeu. Vous savez, on peut penser que je suis sûr de moi lors de mes choix sentimentaux, mais en fait, j’hésite, souvent, longtemps, toujours perdu de ce côté-là, comme si je marchais dans un désert sans fin, sans oasis pour me laisser une opportunité. Puis, j’ai beau avoir l’habitude d’analyser les gens, leurs expressions, leurs sentiments, j’arrive pas à traduire mes émotions, à les comprendre, à les analyser comme j’analyserais un sorcier passant devant moi. Y’a des fois, je m’invente même une vie de philosophe. Je commence à sortir de ces phrases, incompréhensibles dignes des plus grands sorciers devenus philosophes après leurs études. Bon, okey, j’me lance un peu des fleurs là… On va juste dire que j’me débrouille, mais je vais sûrement pas en faire mon avenir, croyez-moi ! Pour finir, on dit souvent que j’ai le mot pour faire rire, que je sais les mimiques à prendre… Pour ma part, c’est dans ma nature (okey, mes chevilles enflent, je sais !). D’accord d’accord, des fois, c’est pas du goût de tout le monde, mais bon ! J’aime bien le sarcasme aussi, c’est assez drôle, puis on va dire que j’l'utilise plutôt bien.

8 avril 1981 – Dublin

J’arrivais dans la chambre d’hôpital de ma mère, accourant vers elle pour lui sauter dessus et l’embrasser. Elle était fatiguée, couchée sur son lit blanc que je jugeais trop petit et tenait dans les bras un tas de couvertures roses. Je regardais de plus près tandis que mon père me faisait descendre du lit, me priant de faire attention : c’était le Bébé. Je regardais ma mère de mes grands yeux gris avant de demander « Il s’appelle comment ? ». Elle me regardait avec tendresse avant de répondre « Elle s’apelle Skandar. » j’ouvre mes yeux encore plus grand, avant de pousser un « Ah… » en un souffle. Ma petite sœur… Elle était belle, pour un bébé. Le plus beau bébé que j’ai jamais vu, et j’en ai pas vu beaucoup, moi, des bébés… Je vais la protéger. Promis !


8 Octobre 1985 – Appartement provisoire de Maman

Je regardais le combiné téléphonique. Appeler mon père, ne pas l’appeler… ? Je voulais savoir si Skandar allait bien, comment elle avait pris la séparation de Papa et Maman… le départ de Maman… Je regardais ma mère, occupée à la cuisine et finis par me saisir du téléphone, inscrivant le numéro de téléphone de la maison. « Allô ? » « Papa ? » « Sean ? Qu’est-ce qu’il y a ? » il avait une voix différente de ce matin, je ne savais pas trop ce qu’elle avait de particulier, mais elle n’étais pas pareil… comme les monsieur avec les nez rouges, dans les dessins animés, mais moins accentués. « Skandar va bien ? C’est elle qui a décidée de rester avec toi ? » il y eu un silence. Long, trop long pour moi. Puis, il répondit d’une voix ferme « Oui, c’est elle qui voulait rester. » je ne dis plus rien. Je regardais ma mère. J’imaginais Skandar. Je me mordis les lèvres avant de dire au revoir à mon père, presque sans voix.


1er Septembre 1986 - Grande Salle de Poudlard, avec le Choixpeau

« Mh… Tu es volontaire et loyal. Mais tu n’es pas patient, tout comme ton père l’était… » je jetais un regard anxieux vers la table des Gryffondors, où était autrefois assis mon père. « Poufsouffle ne te correspondrait pas… Mais est-ce que tu iras rejoindre les Gryffondors comme ton père ? Tu as la force, le courage, mais tu es aussi rusé, ambitieux et déterminé. » Je soufflais. Il allait m’envoyer chez les Serpentards… On m’avais souvent dit que le Choixpeau prenait en compte l’avis des sorciers… Mais je décidais de ne pas lui demander de ne pas me mettre chez les Serpentards. Pourquoi ? J’étais curieux de savoir ce que je deviendrais en étant un Serpentard, curieux de savoir pourquoi je devais y aller, mise à part mon caractère. Je regardais une seconde fois la table des Gryffondors avant de sourire légèrement « SERPENTARD ! ». Je souris plus encore sous les applaudissements des élèves, ainsi que les cris provenant de la table des Serpentard. En descendant les marches pour rejoindre ma nouvelle maison, je croise le regard métallique d’une petite blonde. Un regard qui resta ancré dans ton esprit de longues années, jusqu’à maintenant encore…


26 mai 1992 - Forêt interdite

J’éclate de rire devant les mines déconfites des quelques jeunes filles que les gars et moi avions invités à passer une nuit dans un endroit « surprise ». Eux, s’étaient chargés d’emmener les étudiantes Serpentard à l’entrée de la forêt Interdite avant que la nuit ne tombe, tandis que je les attendais là, caché derrière un arbre, prêt à surgir devant eux pour hurler à la mort et ainsi effrayer les jeunes filles. Deux d’entres elles avaient d’abord criées comme des gamines avant de venir s’acharner sur moi, te tapant comme elles pouvaient sous les rire des sorciers et moi. Tout en gardant mes bras au dessus de ma tête pour me protéger des coups qu’elles me portaient je leur demandai d’un ton enjoué « Alors, la surprise vous plait ? ». Les deux Serpentard cessèrent de s’acharner sur moi et croisèrent leurs bras sous leur poitrine, frissonnant en regardant la forêt. La scène était pour autant dire très drôle à regarder. Je regardais la troisième, celle qui était restée derrière depuis qu’elles étaient arrivées, celle qui n’avait pas eu peur ; Leah Young, l’unes des filles les plus distantes et solitaire de la maison. Elle me plaisait, c’était sûr ! Ses beaux cheveux dorés bouclés, ses yeux de métalliques, sa silhouette fine et élancée, son intelligence et cette petite moue qu’elle faisait quand elle était vexée, sa curiosité et sa jalousie quand quelqu’un qu’elle n’appréciait pas réussissait ce qu’elle-même n’avait pas réussie. Elle me regarda elle aussi et mes yeux ne lâchèrent plus les siens. J’avais longtemps essayé de la draguer, de sortir avec elle, mais elle refusait chacune de mes avances, à croire que je ne lui plaisais pas, et pourtant, depuis le premier jour où nos regards s’étaient croisés : le jour de la rentrée à Poudlard, alors que je descendais les marches pour rejoindre la table de ma nouvelle maison, j’avais cette impression, étrange, que je contais pour elle. Elle sembla d’ailleurs comprendre mes pensées car elle détourna le regard avant de suivre les deux autres filles, qui elles même suivaient mes deux potes, se dirigeant au cœur de la forêt interdite. La soirée risquait d’être drôle.

Le crissement des feuilles, le craquement des brindilles. Aux aguets, je tournai la tête. J’étais à la recherche de Leah depuis maintenant une heure, sans aucune nouvelle d’elle. Elle était partie, disant qu’elle reviendrait vite, pour je-ne-sait-quelle raison. On était complètement saoul et pratiquement en train de dormir à cause d’une bouteille de whisky que j’avais ramené, ce qui fit que sur le moment où Leah nous l’annonça, on n’y fit pas très attention. Heureusement pour moi, j’étais le moins ivre des quatre, ce qui me permit de vite « reprendre » mes esprits. Je m’étais mis à sa recherche lorsque je me souvins qu’elle était partie depuis un moment. Il faisait nuit, nous étions dans la forêt interdite, et c’était dangereux. Et s’il lui était arrivé quelque chose ? Et si elle avait été attaquée ? Ou alors peut-être qu’elle s’était dégonflée. Tu sortis ta baguette pour lancer un « Lumos » discret. La lune venait d’être cachée par des nuages d’orage, ce qui avait enlevé toute la luminosité que j’avais quelques secondes plus tôt, en plus, elle était pleine. S’il n’y avait pas d’orage en prévoyance, ç’aurait été une belle soirée que nous aurions tous pu passer à la belle étoile. Avant de partir à la recherche de Leah j’avais demandé aux quatre serpentard de rentrer, au cas où aucuns de nous deux ne reviennes.

Je revenais sur mes pas, inquiet de n’avoir pas retrouvé la blonde. Mais peut-être qu’elle était rentrée à Poudlard. Si c’était le cas, autant rentrer. Je me dirigeais vers la sortis, repérant les endroits où nous avions laissé des marques pour vous retrouver dans la forêt et pouvoir en sortir. Alors que j’étais pile devant la sortie de la forêt, je remarquais une silhouette féminine, je me dirigeais vers elle en courant, gardant ma baguette bien devant moi pour m’éclairer. « Léa ! » c’était elle, elle venait de se retourner à l’entente de son prénom et ses cheveux dorés brillaient légèrement grâce à la lumière que procurait ma baguette. Arrivé à sa hauteur, je voulus ouvrir la bouche mais elle fut plus rapide « Je pensais que vous étiez rentrés, je ne vous ais pas retrouvé quand je suis revenue. » je plissais les yeux avant de demander « Tu étais passée où ? » elle sembla chercher un long moment, hésiter, avant d’affirmer « J’étais allé me balader, vous étiez complètement ivres et j’en avais marre de rester à vous regarder dormir comme des cons » j’haussai les sourcils, surpris de sa réponse avant de lui dire qu’il fallait rentrer à Poudlard, ne sachant pas si elle disait la vérité ou non. Je restais derrière elle tandis que nous nous dirigions vers l’école, tentant de trouver la chose qui avait changé, car elle avait changée, elle n’était pas la même que lorsqu’elle était arrivée.


1er Septembre 1993 – Grande salle de Poudlard, à la table des Serpentards.

Je regardais l’attroupement des premières années à Poudlard. Je cherchais quelqu’un des yeux. Je cherchais ma sœur. Là, je venais de la trouver. Elle semblait stressée, jusqu’à ce qu’elle aille s’asseoir sur le tabouret au centre de la grande salle, le Choixpeau sur la tête. Ca lui allait plutôt pas mal. Je souris. Soudain, il cria le nom de sa nouvelle maison : PoufSouffle. Elle se dirigea vers sa nouvelle maison, un peu moins timide. J’esquissai un sourire, et me retournai, discutant à nouveau avec mes camarades Serpentards.


Ruelle – 29 Novembre 1994

Un coup de vent vins ébouriffer mes cheveux déjà en bataille et faire voler ma veste. Après une soirée à un bar avec quelques amis, je rentrais chez moi, heureux de pouvoir avoir une bonne nuit de sommeil. Je levais la tête, la pleine lune n’allait pas tarder à être cachée par les nuages, comme l’autre nuit dans la forêt interdite quand j’étais encore élève à Poudlard. Je souris en repensant à cette soirée avant de m’engouffrer dans une ruelle peu fréquentée –et encore moins la nuit- afin de me rendre à mon appartement sur Londres plus rapidement.

Un bruit de pas, ou plutôt, des griffes raclant de sol de manière régulière. Rapides. Je me retournai, un chien errant sans doute ? Une ombre, haute, fine. Je plisse les yeux. Une lueur jaunâtre, ou plutôt deux, dans un coin, prêt d’un mur. Je m’avance avant de me rendre compte, seulement trop tard, que c’est un loup garou. Il me saute dessus sans que je ne puisse m’éloigner de quelques pas ou dégainer ma baguette. Je sens des crocs se plonger dans mon avant bras. Une douleur atroce me parcours alors le corp. Tout s’assombri, je lève les yeux vers le ciel, vers la lune. Mais celle-ci est complètement cachée par les nuages. Je commence à fermer les yeux, et la dernière chose que je pu entrapercevoir entre mes paupières mis closes furent des cheveux, dorés, bouclés, volants au vent.


28 Août 1999 – cimetière de Dublin

Je regardais le cercueil, là où le corp de mon père était couché. Je fronçais les sourcils. J’avais découvert la vérité peu après ma sortie de Poudlard : Skandar n’avait jamais choisie de rester avec mon père. Il nous l’avait fait croire, à ma mère et à moi. Sans doute pour ne pas être seul. Mais je lui en voulais. Je lui en voulais, car j’avais appris qu’il l’avait maltraité, qu’il n’avait pas joué son rôle de père. Je lui en voulais, et je ne lui ai plus adressé la parole. Je ne regrettai pas, ni de ne pas lui avoir parlé avant sa mort, ni de ne pas pleurer sur sa tombe. Je jouais mon rôle de fils en deuil. Mais de là à pleurer pour cette ordure, de pleurer après ce qu’il avait fait à ma sœur, ma sœur que j’avais promis de protéger… J’ai failli. Et plus jamais ça n’arrivera. Nous allions passer plusieurs jours ensembles avec Skandar. L’occasion pour moi d’essayer de me faire pardonner. Quoi qu’il m'en coûte, j’allais tenter de renouer avec ma sœur.

ϟ COMMENT NOUS AS-TU DÉCOUVERT ? Indirectement par une amie

ϟ LE NOM DE LA PERSONNE SUR TON AVATAR ; Tyler Hoechlin

ϟ QUE PENSES-TU DU FORUM ? Au début, j'ai eu du mal avec le codage, mais je vais m'y faire, j'ai juste besoin d'un peu de temps Ensuite, je trouve l'intrigue interessante, je voulais trouver un bon forum rpg HP et je pense que je suis tombée sur le bon

ϟ AS-TU LU/VU TOUS LES HARRY POTTER ? Je les ai tous vus et revus cet été, quant au bouquins, je suis en train de m'y mettre ouaiis, j'en suis à la chambre des secrets !

ϟ SUR COMBIEN D'AUTRES RP ES-TU INSCRIT SANS COMPTER CELUI-CI ? trois autre, et quand on compte les doubles-comptes....

ϟ VEUX-TU UN PARRAIN ? Je ne pense pas merci