Secret du moment


A. LICHUAN WHITELAW
(TROUVÉ)

Finalement, tu as plus de points communs avec Lone que tu ne le prétends.

Alors, vous savez ce que c'est ?
Nouvelles de Legi !
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Quelle est la nouvelle la plus terrifiante ?
La #1
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La #3
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La #12
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La #13
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La #15.
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Celui-qui-Sait
Celui-qui-Sait

ϟ FONCTION : Maître incontesté des ragots.
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RÉSULTATS DU CONCOURS D'ÉCRITURE — PUMPKINS & GOOSEBUMPS
MessageSujet : RÉSULTATS DU CONCOURS D'ÉCRITURE — PUMPKINS & GOOSEBUMPS RÉSULTATS DU CONCOURS D'ÉCRITURE — PUMPKINS & GOOSEBUMPS EmptyDim 1 Déc 2013 - 1:13

Résultats

PUMPKINS & GOOSEBUMPS
Concours d'écriture

Et voici venir sans plus attendre les nouvelles effroyables de nos membres pour le concours d'écriture d'Halloween. Votez pour votre préférée, et expliquez votre choix à la suite de ce sujet.


#1 : Jake Cavendish.

Consigne : Votre histoire devra se dérouler dans le futur.

« Je savais que je n’aurai pas dû parier que j’étais capable de revenir sur le chemin de traverse. » murmura le jeune garçon, en resserrant son manteau contre lui.
Le chemin de traverse était vide, les vitrines brisées, chaque magasin dévalisé, personne n’avait pris la peine de venir remettre en ordre après que les moldus aient envahi le centre sorcier. Tim avait parié qu’il était capable de venir passer la nuit sur le tristement célèbre chemin des horreurs. 
Il gravit alors une volée de marches et entra dans une maison semblable à tous les magasins, abandonnés, sales, cassés… Il décida de chercher une chambre. Après tout, s’il devait y passer la nuit autant y dormir. Tim poussa la première porte et atterrit dans une chambre de bambin. Il avait un peu de mal à bien y voir. Un lourd rideau masquait la fenêtre, ne laissant qu’un fin filet de lumière. 
Au moment où il tourna le dos au couffin près de la fenêtre il entendit un pleur de bébé. Sursautant, le garçon se retourna et vit le berceau se balancer violemment de gauche à droite sans que les bruits de pleure ne cessent. Tim esquissa un pas vers le lit d’enfant et celui-ci cessa de bouger aussi violemment qu’automatiquement, ainsi que les pleurs qui furent remplacés par des rires d’enfants. La respiration courte, il décida d’en avoir le cœur net et s’approcha du couffin. Il lâcha un hurlement quand il vit le cadavre d’un lapin blanc égorgé, le sang gorgeant les draps blanc du couffin. Tim recula et, dans la hâte, il trébucha sur des cubes en bois atterrissant au sol avec un nuage de poussière. Toussotant il se releva, mais sentant ses mains poisseuses il y jeta un coup d’œil et aperçut du sang, hurlant à nouveau le garçon courut jusqu’à la porte, qui se referma violemment.

« Josh ? C’est toi ? Ce n’est pas drôle … »
Mais le dénommé Josh ne répondit nullement. La porte de l’armoire en bois massif à l’opposé de la pièce, s’ouvrit doucement en grinçant. Baissant la tête sur la gauche pour mieux voir, Tim fut rassuré de voir son ami. 

« Josh, c’est vraiment pas drô… Josh ? »
Tim hurla, pour la troisième fois, quand le corps inerte de son ami tomba dans un bruit sourd. Dans un souhait de voir ce que son ami avait, il tenta de courir jusqu’à lui ; mais il ne put l’atteindre. C’est comme s’il courait dans le vide, ou sur un tapis roulant. Plus il agitait les jambes moins il avançait. Les rires d’enfants reprirent mais plus forts, plus stridents. 
La porte de la chambre, les portes de l’armoire et les fenêtres s’ouvrirent et se fermèrent à maintes reprises, de plus en plus violemment. 
Les rires se faisant plus proches, plus nombreux, Tim paniqua, se plaqua les mains sur les oreilles et sortit de la chambre en courant. 
L’escalier semblait avoir disparu, un homme au bout du couleur lui souriait et parla d’un ton calme « Tu as tué ton ami Tim ». L’homme se mit à rire. 
Tim entra dans la pièce en face de lui, la salle de bain, le calme oppressant bourdonna à ses oreilles et la lumière faiblarde grésillait au-dessus de sa tête. Le robinet de la baignoire s’alluma, l’eau brunâtre, devint rapidement rouge, puis se transforma en sang. Un murmure assourdissant répéta en boucle « meurtrier, meurtrier ». Tim vit le sang de la baignoire dégouliner le long des parois et atterrir au sol à vitesse déconcertante. Il se retourna et tenta en vain d’ouvrir la porte, le plafond semblait se rapprocher de lui, l’eau rouge sang coulait, coulait, coulait et montait à une vitesse folle. Tim se plaqua contre la porte et tenta de rester optimiste mais sans grande réussite. 
Les rires incessants des enfants se stoppèrent. La voix féminine hurlant « meurtrier », cria ce mot dans une dernière exclamation agonisante. Le sang au sol disparut d’un clignement d’yeux, le plafond reprit sa place, le tout redevint normal, comme si rien ne s’était passé. 
Tim sortit de la salle de bain, il stoppa net son avancée, son ami Josh se trouvait devant lui, la tête pendante sur la gauche, maintenue par un fin tissu de peau, un sourire vide de joie, et des yeux vides, Josh s’avança vers Tim dangereusement, ce dernier courut vers la droite et sauta par la fenêtre au fond du couloir. Atterrissant dans le jardin derrière la maison.
« Tu m’as tué Tim »
L’appelé se retourna et vit son ami la tête en place, mais le ventre ouvert sur la longueur et les entrailles dégoulinantes, sortant de son corps. Ce dernier pointa un couteau vers Tim. Tim recula et se retrouva vite acculé contre le mur de la maison. Josh asséna plusieurs coups de couteau sur son ami en murmurant « rejoins moi, rejoins moi mon ami ». Tim hurla de douleur, tentant de se débattre, en suppliant son ami d’arrêter. La maison semblait se mouvoir, et semblait elle aussi le voir mort. Tim fut engloutit par la maison, alors que la douleur le brûla de tout son être. Le béton de la maison encore liquide pénétra par tous les pores de la peau du jeune homme, Tim hurla à l’aide mais le ciment coula le long de sa gorge, ses poumons se gorgea de cette matière épaisse et grisâtre, il vit un dernier moment son ami Josh avant de se noyer dans le mur de cette maison maudite.
« Je savais que je n’aurais pas dû parier que j’étais capable de revenir sur le chemin de traverse. »  

#3 : Meredith D. Carter.

Consigne : Vous devrez utiliser les mots Pelouse, Serviette et Halogène.

Aujourd'hui l'Inspecteur Sullivan est venu me voir. Je ne pense pas avoir de don de voyance mais avant même qu'il n'ouvre la bouche, juste au moment où son regard a évité le mien, j'ai su ce qu'il venait me dire. Il a recommencé. Ce « Il », personne dans ce village ne sait qui il est, son âge, son métier, sa vie tout cela reste inconnu ; de la toute première disparition jusqu'à aujourd'hui, jamais personne n'a pu apporter la moindre information sur ce personnage. Hormis son sexe : masculin. Mais que peut bien valoir une telle information lorsqu'on sait de combien d'hommes est constituée la population ? Rien.L'inspecteur est parti maintenant. Je sais bien qu'il n'aime pas rester longtemps dans ma maison, probablement parce que c'est ici qu'à eu lieu la disparition de mon fils William. Son père et lui ont été incapables de le retrouver bien sûr, et sûrement que le goût amer de la défaite demeure profondément ancré lorsqu'il s'agit de sa première enquête. Moi, je ne leur en veux pas. Je n'ai après tout jamais trouvé les policiers très intelligents de toute façon.

Je suis maintenant installé sur ma terrasse, à siroter mon thé, tout en observant les enfants des maisons voisines courir sur les pelouses fraîchement tondues par leur père. Ce spectacle réveillait en moi une colère sourde. Comment pouvaient-ils laisser leurs précieux enfants agir aussi inconsciemment alors que venait de se produire un nouveau kidnapping ? Écœuré je rentrais chez moi, non sans avoir auparavant grommeler sur l'irresponsabilité des parents et la stupidité de leurs marmots, et si j'en jugeais par le regard réprobateur de Miss Hensley mon langage avait dû être bien trop coloré à son goût.
Une fois dans mon salon, mes yeux se posèrent par automatisme sur une photo posée sur le rebord de la cheminée. Elle nous représentait mon fils et moi autour d'une maquette de train, les visages souriants et le rire au bord des yeux. Quatre ans s'étaient passés depuis que mon fils avait disparu, quatre ans que je n'entendais plus son gloussement lorsque je prononçais un juron, que je n'apercevais plus son pull jaune « pikachu » comme il disait, celui qu'il portait la dernière fois qu'il avait été vu... Les autres parents dont l'enfant avait disparu étaient pour la grande majorité partis du village, incapables de rester dans un lieu aussi douloureux, les autres brandissaient leur douleur comme un bouclier et il était maintenant presque impossible de les croiser à une quelconque soirée ou fête de voisinage sans que leurs enfants ne soient collés à eux. Ces disparitions avaient presque eu du bon au fond...

Brusquement, un cri se fit entendre dehors, suivi d'un bruit métallique assourdissant. Aussi rapidement que mes vieilles guibolles me le permettaient je me précipitais à ma porte et constatais que Jodie Wilde venait de faire une rencontre plus ou moins douloureuse avec mes poubelles. Son vélo rose, lui, avait terminé sa course contre le chêne qui bordait l'allée. A genou près d'elle, je tâtonnais mes poches où devait normalement se trouver un mouchoir usagé, un trombone, un flacon d'un liquide incolore et une serviette en papier, c'est cette dernière que je tendis à la jeune fille.

« Tiens, utilise-la pour couvrir ton genou. »

D'une main tremblante la demoiselle obéit avant de retourner son regard mouillé sur moi. Je jetais un coup d’œil aux alentours, cherchant ses parents ou un quelconque adulte exprimant la moindre inquiétude, mais tout ce que je trouvais c'était des individus désintéressés, uniquement préoccupés par leur cocktail et brunch du dimanche, alors que devant eux se trouvait une enfant blessée, alors qu'aujourd'hui « il » avait recommencé et que Neville Doherty avait été enlevé. Les dents serrées, je regardais ces petites familles jouer à être parfaite, délaissant les autres et même jusqu'à leurs propres enfants. Je pris ma décision.

« Dis moi Jodie, est-ce que tu aimerais que le vieux Théo t'offre une part de gâteau pendant qu'on soigne cette vilaine écorchure ? »

Un hochement de tête et tous les deux nous nous dirigeâmes vers ma cuisine où reposait un superbe gâteau chocolat déjà entamé, ainsi qu'une grande carafe de limonade.

« Installe-toi. Je vais chercher de quoi nettoyer tout ça et ensuite nous prendrons un bon verre de limonade et tu auras droit à ta part de gâteau. »

Le trajet ne me prit que quelques secondes pendant lesquelles la petite fille n'avait pas bougé d'un pouce. Rapidement je pansais son genou, reproduisant des gestes que je n'avais plus eu à faire depuis que William m'avait quitté.

« Je sais que tu as encore mal ma chérie, mais j'ai une solution pour que la douleur s'arrête. Je sortis le flacon de ma poche. Tu vois ceci ? C'est une potion. Je vais en mettre quelques gouttes dans ton verre et une fois que cela agira tu ne sentiras plus rien du tout. Tu es d'accord ?
- Oui monsieur. Mais est-ce que ça veut dire que vous êtes un sorcier ?
- On peut dire ça, ma puce. Les adultes te diront que je suis un ancien professeur de chimie, mais entre nous je préfère me dire sorcier, tu ne penses pas ? Allez bois ça maintenant et ensuite tu pourras manger une part de gâteau. »

Sans ciller, j'observais le liquide prendre le chemin de son estomac et m'accordais un petit sourire en voyant le verre vide.

« M'sieur Théo je croyais que vous n'aimiez pas le chocolat.
- C'est vrai.
- Alors pourquoi vous avez fait un gâteau au chocolat ?
- … Eh bien tu vois, il se trouve que vous les enfants vous aimez le chocolat, alors quand c'est nécessaire j'en prépare un.
- Vous êtes bizarre. C'est u-un peu... com-comme si... Sa voix devint plus faible et je vis son visage prendre une teinte blanchâtre. Monsieur Théo, je me sens... »

Ses yeux se mirent à rouler et je la rattrapais in extremis avant qu'elle ne s'effondre sur le sol. Peut-être avais-je mis une dose trop importante de chloroforme ? Ce n'était pas bon. Il ne fallait pas qu'elle meure tout de même. Avec délicatesse, je raffermis ma prise sur son corps et m'avançais vers une porte dissimulée par l'impressionnante bibliothèque du salon. Elle menait jusqu'à une cache souterraine qui avait servi dans le temps à cacher des révolutionnaires contre les raids de l'armée dans le village. Je déposais la jeune fille endormie, et contemplais son visage pâle sous la lumière diffusée par les lampes halogènes. Elle avait l'air paisible. Elle avait eu l'air heureuse de recevoir tant d'attention, elle qui était généralement délaissée en faveur de son petit frère d'un an. Délicatement je déposais sur ses épaules un pull dont l'usure avait presque fait disparaître la couleur jaune et tout en caressant ses cheveux je fis un signe de la main vers un coin de la cave.

« Tu as de la chance Neville. Tu vas avoir une amie pour te tenir compagnie pendant quelques temps. »

# 12 : Electre P. Wilde.

Consigne : Si vous écrivez à propos d'un meurtre, l'arme du crime devra être une poêle à frire. Si non, l'objet des terreurs de vos personnages devra être une poêle à frire.

L'enseigne clamait « Peurs et frayeurs au shaker ! »

La maison avait quatre murs un peu vieillis, le toit biscornu. Un coq en métal tournait bravement sur son socle, au gré du vent et des courants. La colline qui l'hébergeait était vieille et rabougrie. L'herbe avait été anéantie par des traces de pieds, si bien que l'on pouvait distinguer un chemin, net, qui menait tout droit à la biquotte.

Erwan était un brave ; un chevalier comme on n'en fait plus. À l'âge de 20 ans, il avait réussi sa première quête, il avait délivré sa première princesse de son premier donjon. La trentaine passée, il avait remporté maints tournois, défendu maints château. À 45 ans, il avait des poches sous les yeux, le teint grisâtre ; il ne dormait plus, il était sans cesse pris de tremblements. Ses doigts semblaient plus être faits pour tenir une choppe qu'un biberon, le métal de son épée semblait bien usé et le chemin lui semblait si familier qu'il se demandait s'il n'était pas déjà venu ici. Avant d'appuyer sur la poignée de la porte, il rajusta son uniforme, sautilla deux petites fois.

« Entrez, entrez, ne vous faites pas désirer. »

Le magicien avait une grande renommée. La rumeur disait que des années auparavant, peut-être un siècle, il était au service du roi. Un malentendu l'avait fait chassé du château, et il s'était depuis installé ici, se spécialisant dans l'éradication des peurs. La porte s'ouvrit, et une lumière rassurante baigna la pièce. Le chevalier entra. Son regard fit le tour...s'arrêta jusqu'à l'évier, la cuisine. Pas un seul regard pour l'homme de magie. Il s'immobilisa, pris de tremblements.

« Vous avez beaucoup de choses à me dire, je crois, asseyez-vous. »

Le bras de l'homme monta lentement et désigna un des objets sales posés dans l'évier. Il s'assit sur le fauteuil confortable et soupira longuement.

-J'ai toujours été un chevalier sans peur et sans reproche. Mais voilà qu'un jour, la vingtaine passée, j'ai ma princesse, j'ai trois gosses. Alors je...je m'engage dans d'autres affaires, je...je les évite. Je profite de la vie. Mais voilà. Ma princesse, c'était une sorcière. Un jour, je suis revenu et ça n'a plus jamais été pareil. Je...

Sa voix devenait de plus en plus aigüe tandis qu'il parlait, et sa barbe semblait de plus en plus n'être qu'un effet de maquillage. Il ne regardait pas le magicien – à quoi ressemblait-il finalement, il ne le savait point – mais l'objet de ses peurs et frayeurs, là, juste là, dans l'évier. Ça avait un manche, c'était aplati. Erwan se leva, très lentement, attiré par la chose. Sa grosse main ferme la prit par le manche, tandis qu'il la fixait comme si elle pouvait lui bondir dessus.

-La vaisselle n'a pas été faite, je...

« Oui ? »

Au mur, un portrait : un enfant. L'espace d'un instant, Erwan crut que c'était l'un des siens.

-S'il vous plaît, jetez cet objet, je n'en peux plus, débarrassez-moi de ce sortilège, de cette peur, de ce père !

Une femme, ça doit faire la vaisselle, la cuisine, ça doit faire le ménage, ça doit s'occuper des enfants. Tu es parti, Erwan ? Tu voulais t'amuser, conquérir de nouvelles princesses, ne pas faire face à tes responsabilités ? Alors apprends un peu.

Le silence se fit.

La poêle tomba de la main d'Erwan, et le chevalier recula de nouveau vers le siège, effrayé. L'atmosphère lui paraissait de plus en plus sombre, il sentait une boule au fond de sa gorge qu'il avait envie de cracher, de vomir. Viscéral, ça le prenait aux tripes, violemment. La poêle devenait noire, toute noire. Un étrange liquide s'en épandait et avançait jusqu'à lui, pas à pas, lentement, millimètre par millimètre, tandis que le chevalier criait. Du magicien, aucun bruit. Il se contentait même de rester obstinément immobile, rigide et droit sur ses pieds.

« De quoi avez-vous peur ? »

Sa voix imposante remplit l'espace. Pendant un instant, on aurait cru que son ombre venait de grandir. « De quoi avez-vous peur ? »

-L'ombre...le machin...le truc, ça grandit, ça va jusqu'à moi, ça va me bouffer ! LA POÊLE !

L'ombre se propageait. Déjà, elle avait atteint ses pieds, remontait le long de ses cuisses glabres. Maintenant, elle visait le torse et grimpait les courbes de sa poitrine plutôt garnie, escaladait sa chevelure rousse. Il crut son dernier jour arriver, allait insulter le magicien lorsque le produit gluant et visqueux s'inséra dans sa bouche ; Erwan s'évanouit.

Dehors, des rossignols chantaient. Le magicien ramassa la poêle sans aucune peur, la remit à sa place initiale...il ne ferait pas la vaisselle aujourd'hui.

Le soleil se leva et un homme à la chevelure rousse se frotta les yeux. Un homme ? Que nenni, une femme. Car Erwan était une femme : en témoignait sa poitrine, son visage dégarnie, la forme de ses hanches. Elle bailla, paisiblement...La biquotte, les peurs, la poêle...rêves. Elle se rendit compte tout d'un coup qu'elle était installée sur un lit, lequel était des plus confortables : une couverture douillette, la place chaude à ses côtés. Rien ne lui semblait anormal, et elle ne paraissait pas se souvenir de la veille. Elle s'habilla, puis descendit.

La vaisselle n'était pas faite.

« Alors, chérie, bien dormi ? »

La poêle reposait sagement dans l'évier, la tête en bas, inoffensive.

-Comme un marmot. Et toi ?

Le magicien lui sourit ; que pensait-il à cet instant ? Au sort qu'il avait lancé à ce pauvre mari ou à celui qu'il s'était lancé ? Échanger les rôles allait être bénéfique et lorsque Erwan retrouverait la mémoire, peut-être aurait-il appris sa leçon.

« J'ai eu des clients toute la nuit ! Tu pourras faire la vaisselle ? »

Un cauchemar, c'était un cauchemar. Elle avait l'impression que la poêle la narguait de nouveau, qu'elle...

-Pas de problème, je m'y mets tout de suite !

« Et tu iras chercher les enfants à la garderie, ils n'attendent que toi ! »

Piégé. Et ce piège, infernal et diabolique s'était refermé sur lui avec une diabolique efficacité. Il lança un dernier regard au miroir et tout lui revint : sa femme, le sort. Piégé. Avant de hurler, il passa ses mains sur ses formes rebondies, puis, ouvrit la bouche.

Dans le miroir, une femme criait, toute seule.

Le sorcier, lui, sourit.

Une nouvelle et passionnante journée allait pouvoir commencer.

Ô toi manant qui prend ta femme pour une buse,
Danse, danse, danse, danse,
Car au petit matin ta panse,
De bière ne sera plus. Et le soleil
Dans le ciel brillera,
Tu profiteras, tu échangeras
De sexe un moment avec moi.

# 13 : Abigail A. Adams.

Consigne : Votre histoire devra se dérouler dans un supermarché.

Convenience Store.

Ella courut vers son père, ours en peluche à la main, traversant le rayon des boites de conserves à toute allure. Tournant dans l’allée du milieu, elle dérapa, la semelle de ses tennis couinant sur le sol carrelé de gris du supermarché. Il l’attendait, arrêté à coté du caddie déjà à moitié plein. Arrivée à sa hauteur, elle tira sur le côté de son jean à plusieurs reprises, demandant de sa voix fluette
— Papa, on peut prendre des cookies ? S’te plaîîîît !
L’homme soupira, visiblement déjà fatigué de devoir contrôler cette gamine pleine d’énergie un dimanche matin, en plus de supporter la musique entêtante de la supérette et les clients nombreux et pressés. Il hocha la tête, et la fillette courut chercher un énorme paquet de cookies au chocolat et aux noisettes. Elle se hâta vers son père, encombrée par les deux objets qu’elle transportait. Mais celui-ci, alors qu’elle s’approchait, ne tendit pas la main pour prendre le paquet, et semblait à l’affut. Il se tourna vers elle et murmura :
—   Tu entends ?
Elle tendit l’oreille mais ce fut le silence qui frappa son tympan.
—   Qu’est-ce qu’il y a ? Je n’entends rien p’pa !
—   Justement. Il n’y a rien à entendre. Plus aucun bruit. Plus de musique, plus de gens qui parlent. On est tous seuls.
Elle balaya l’allée du regard. L’espace, auparavant encombré d’hommes et de femmes plus pressés les uns que les autres, était totalement vide et silencieux. Elle remarqua autre chose : il semblait s’étendre à perte de vue. Elle se tourna vers son père, les yeux écarquillés de peur, puis de nouveau vers le reste de l’allée. Il avait vu aussi, et la pris dans ses bras, la serrant très fort contre lui. Il se mit à avancer, tentant de remonter le couloir, marchant lentement d’abord, puis faisant de plus en plus de grandes et rapides enjambées.
—   OHÉ ! IL Y A QUELQU’UN ?
Rien d’autre qu’un silence de mort lui répondit. Réalisant qu’il n’arriverait jamais au bout de l’allée centrale, il décida de tourner dans un rayon quelconque. Il n’eut aucun mal à en venir à la fin, mais poussa un cri de surprise et serra sa fille plus fort contre lui en réalisant qu’ils étaient revenus à leur point de départ : il venait de se retrouver juste à côté de son propre caddie, abandonné quelques instants plus tôt. Il s’avança encore un peu, regarda à l’intérieur du chariot, sans trop savoir pourquoi. Il se redressa et sauta en arrière, son cœur ayant fait un bond dans sa poitrine, et il hurla. Mais ce furent deux voix qui retentirent, deux voix dont il n’aurait su dire laquelle n’était pas la sienne. Sa fille tourna la tête et poussa elle aussi un cri strident, qui fut dédoublé aussi. Face à eux se trouvaient deux exactes copies d’eux mêmes, qui avaient crié en même temps qu’eux.
—   VOUS ÊTES QUI PUTAIN ?
Cette fois, ce fut sa voix seule qui retentit. Les doubles s’avancèrent vers eux, de plus en plus vite et avant qu’il ait eu le temps de faire un quelconque mouvement leur avaient foncé dessus, traversant le caddie, et s’étaient fondus en eux. Il comprit, sans même savoir comment, qu’ils venaient de voir des copies d’eux mêmes en retard sur eux de quelques instants seulement. Il réalisa alors la gravité de la situation. S’il croyait encore, peu de temps auparavant, que c’était lui qui perdait la boule, il était presque sûr que ce qu’il voyait était bien réel, désormais. La panique afflua dans son cerveau, et il sentit soudain son sang battre dans ses tempes. Il pensa surtout à sa fille. Il fallait qu’il fasse quelque choses pour les sortir de là. Il devait bien y avoir un moyen de s’échapper ! Il tenta de reprendre ses esprits, et, en caressant les cheveux roux d’Ella, fit un effort surhumain pour se rappeler où étaient les caisses. Il semblait que cette information avait été effacée soudain de son esprit. Sa fille regarda par dessus son épaule, alors qu’un bruit de grésillement se faisait entendre, bien qu’il n’y fasse pas attention. Elle articula d’une toute petite voix :
—   Papa, papa, papa… Retourne toi papa j’ai peur…
Il ne réagit pas. Elle l’appela de nouveau, en criant cette fois et il sortit soudain de la léthargie dans laquelle il avait été plongé, et se retourna. Le grésillement était celui des lampes qui s’éteignaient, et la lumière, en disparaissant, emportait avec elle les rayons pour ne laisser que des ténèbres et ce qui semblait être du vide. Il écarquilla les yeux, se mordit la lèvre jusqu’au sang, et soudain subit une décharge d’adrénaline qui décida enfin ses jambes à bouger : il se mit à courir le plus vite qu’il pouvait, tenant sa fille dans ses bras aussi serré qu’elle même tenait sa peluche.  Il tourna à droite une première fois, se retrouva de nouveau dans la même allée. Se remit à courir, tourna à droite, et continua ainsi pendant quelques minutes, les ténèbres effaçant la réalité derrière lui comme une comme effacerait un brouillon incorrect. Sa fille se mit à hurler, et il finit, sans même comprendre comment, par arriver aux caisses. Aucun membre du personnel n’était là et il recommença à paniquer, la lumière continuant à s’éteindre. Il ne voyait d’ailleurs rien d’autre à travers les vitres qui s’étaient couvertes de tags, comme les caisses s’étaient elles couvertes de poussières et de morceau de plâtre. Il se dirigea néanmoins vers les portes vitrées que la peinture avait rendu opaques et, posant sa fille sur le sol, qui s’agrippa immédiatement à sa jambe, se mit à taper dessus de toutes ses forces, se retournant de temps en temps pour voir le danger se rapprocher de plus en plus. Ella continuait à hurler, serrant son petit corps contre lui, et pleurant de toutes ses forces. Soudain, il remarqua un extincteur non loin de là où il était, repris sa fille dans ses bras le plus vite qu’il put, alla se saisir de celui-ci et, revenant devant les portes vitrées, l’y jeta de toutes ses forces se lançant à sa suite sans se demander ce qu’il y avait derrière les portes, persuadé qu’ils allaient mourir là, effacés de la réalité, alors que l’obscurité s’abattait sur eux. Il garda les yeux fermés un moment, persuadé d’être à présent dans le néant, et ce fut la sensation de sa fille qui bougeait contre lui qui lui fit finalement écarter les paupières, qu’il plissa immédiatement, aveuglé par le soleil qui baignait le parking. Il reprit d’une main le caddie et le poussa jusqu’à la voiture, sa fille sur l’autre bras qui agitait le paquet de cookies qu’il avait finalement acheté. Il s’arrêta un instant après l’avoir déposée par terre près de la Ford, interloqué par le fait qu’il n’avait aucun souvenir d’être passé à la caisse et que son cœur batte aussi vite et fort dans sa poitrine, et se retourna vers le supermarché, où les gens entraient et d’où ils sortaient, discutant, comme si de rien n’était. Il haussa les épaules, rangea les courses, installa sa fille dans son siège, s’installa au volant, et démarra le moteur, se demandant soudain ce qu’ils avaient bien pu venir faire là alors qu’il savait pertinemment que la supérette avait fermé des années auparavant et qu’elle attendait d’être détruite.

#15 : Charlie N. Daniels.

Consigne : Votre personnage principal devra être une personne âgée.

Il a toujours aimé la mer. Depuis gamin, il rêvait de partir sur cette grande étendue bleue pour devenir un aventurier, un héros comme tous ces marins qu'il voyait revenir à quai en chantant. Dans mon sac de matelot, j'ai mis tout c'que j'avais de plus beau. Toute sa vie, ça avait été son souhait le plus cher. Il voulait s'en aller, plaquer sa petite vie bien rangée. Il n'avait qu'à traverser une rue, celle qui avait d'abord séparé son école du port, puis le bar où il avait été forcé de travailler. Il était faible. Après tout, il n'en a jamais été capable, il est resté cantonné à la terre ferme, en partie épouvanté par cette magnifique force meurtrière qui montait et baissait au rythme des marées. L'aventure, les combats sur l'océan et les filles de joie, ce n'était pas pour lui. Pourtant, chaque nuit, il préparait son sac. Il espérait au fond de lui trouver la force de s'engager auprès d'un capitaine vicieux qui accepterait histoire d'avoir un nouvel homme à tout faire. Et chaque matin, c'était la même chose, il soupirait en prenant la route du bar, de peur d'arriver en retard et de ne plus avoir de travail. Il en profitait, écoutait les histoires merveilleuses qui parlaient d'île au trésor, ou de navires espagnols pillés. Tout semblait plus beau de l'autre côté de l'océan.

Il n'est jamais parti et ne partira jamais. Les années sont passées et le jeune homme passionné s'est transformé en un vieillard qui l'est tout autant. À quatre-vingt-six ans, il descend tous les jours la longue rue qui mène au port pour voir arriver de nouveaux bateaux. Au loin, il regarde les pavillons en espérant que l'un d'eux sera noir. Il n'a vu des pirates que deux fois dans sa vie et il s'en rappelle comme si c'était hier. Il n'avait que huit ans quand ils ont accosté pour ravager le village. Sa mère a dû le cacher dans une cave, avec plusieurs enfants du village. Il en avait trente-deux lorsqu'ils sont revenus. Ce n'était qu'un petit port, une petite ville sans ressources, sans grands investisseurs. Il a peut-être failli mourir ce jour-là, mais depuis ces hommes l'obsèdent. Peut-être que s'il avait pu, il serait parti avec eux. Quand il racontait ça à sa famille, on le prenait pour un fou. Même ses petits-enfants réagissaient bizarrement. Il n'était qu'un vieillard atteint de rhumatisme. Qu'est-ce qu'il irait faire sur un bateau pirate ? Voguer, partir à l'autre bout du monde et plus encore.

« Mais grand-père, si tu t'en vas, tu vas mourir.
— Les grands hommes meurent pour leurs passions, ma chérie.
— Donc pas toi. Toi, t'es un grand homme à faire des crêpes ! »
Faites des gosses, les leurs vous le rendront bien.

Et pourtant, ce matin-là c'était l'événement inespéré. Alors qu'il arrivait difficilement au port, pas trop vite pour ne pas être essoufflé, il entendit un coup de feu, des cris, des pleurs. Les pirates ne sont pas des anges tombés du ciel. Les pirates ne sont pas justes et protecteurs de la veuve et l'orphelin. Les pirates n'ont pas comme seules victimes les bateaux du gouvernement. Ce serait trop simple, trop  lassant. Il y a tellement mieux à faire quand on est au-dessus de toute lois. Il ne sait pas quoi faire. Il est vieux, sans avenir et finit par s'approcher. Aujourd'hui, il rencontre ses idoles, ces personnes qu'il a toujours respectées. Il est fou. Il les voit avec leurs sabres qui menacent les pauvres filles d'accepter de baisser leurs culottes pour leur bon plaisir.

Il ne peut plus bouger. Il a peur, il jubile. Tous ces sentiments sont trop contradictoires. Il a plus de quatre-vingts ans il ne veut plus entendre parler de soupe aux choux. Aujourd'hui, il abandonne sa vie. Aujourd'hui, il devient un pirate, un vrai, comme ceux qui pillent parce que c'est drôle, qui boivent du rhum à finir minable couché dans une porcherie. Il s'approche du capitaine, cet homme majestueux avec un beau tricorne, cet homme qui à l'odeur n'a pas pris de douches depuis au moins un mois. Cette puanteur, c'est l'aventure, rien de plus.

« Mon capitaine, je pars avec vous !
— Qu'est-ce que tu dis papi ? Tu rigoles là ? J'suis gentil, va-t-en, j'ai pas de temps à perdre avec toi.
— Non, j'embarque ! »

Et sans attendre de réponse, il s'approche de la barque où l'équipage a commencé à entreposer le butin. Derrière lui, les gens du village le regardent avec un air scandalisé. Cet homme est fou, ce n'est pas nouveau. Le capitaine, lui, ne comprend pas. Il doit penser que c'est une arnaque, une technique pour le rouler. C'est tellement grotesque après tout. Il sort son pistolet et finit par lui tirer dessus en soupirant. Le grand-père qui essayait de monter dans la petite embarcation finit par tomber à l'eau. Son cadavre nourrira les poissons. Il a toujours aimé la mer. C'était l'aventure de sa vie. Il est mort le vieillard. Les pirates sont des personnes sans foi ni loi. Et ils mangent des rats.

Lucas Drifloon
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: Nah. It's not me, I don't know this "Drifloon". What a shitty name, by the way. Me ? I'm just Nessie. Don't mind me.

ϟ ÂGE : 30
ϟ FONCTION : Ancien Serpentard ; Gamin borné et blessé, guidé par ses mauvais choix. Ex-mangemort actuellement en reconversion.
ϟ AVATAR : Alex Pettyfer.
ϟ ABSENCE ? : En Suisse pendant un an ; présence réduite.

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MessageSujet : Re: RÉSULTATS DU CONCOURS D'ÉCRITURE — PUMPKINS & GOOSEBUMPS RÉSULTATS DU CONCOURS D'ÉCRITURE — PUMPKINS & GOOSEBUMPS EmptyMer 4 Déc 2013 - 0:22

    Si vous souhaitez garder votre choix secret, pensez à dire au moins que vous avez voté à la suite de ce sujet, que nous puissions comptabiliser les votes de façon certaine. Dans le cas contraire, à cause des doubles-comptes, le vote sera considéré comme nul. wowowowowowowowo 
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MessageSujet : Re: RÉSULTATS DU CONCOURS D'ÉCRITURE — PUMPKINS & GOOSEBUMPS RÉSULTATS DU CONCOURS D'ÉCRITURE — PUMPKINS & GOOSEBUMPS EmptyMer 4 Déc 2013 - 1:37

Eh bien, voilà, j'ai voté, et j'ai voté pour la nouvelle de Meredith. Se placer du point de vue du "méchant" est quelque chose qui marche toujours très bien sur moi, elle a donc gagné mes faveurs :)
Ceci dit, j'ai aimé toutes les nouvelles, elles étaient toutes très cool surtout la mienne
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MessageSujet : Re: RÉSULTATS DU CONCOURS D'ÉCRITURE — PUMPKINS & GOOSEBUMPS RÉSULTATS DU CONCOURS D'ÉCRITURE — PUMPKINS & GOOSEBUMPS EmptyMer 4 Déc 2013 - 12:12

Je vous jure que on s'est pas concertées mais je vais voter Abigail. 
Avant d'expliquer mon choix, juste, bravo à tout le monde (on y est arrivés !) et en tant que modo je suis super contente de voir que le concours a attiré du monde \o/

Jake : j'ai bien aimé ta nouvelle, la pseudo boucle temporelle avec la répétition de la phrase au début et à la fin. Après étant pas fan de tout ce qui est sang partout etc. J'ai pas pu voter pour toi (mais comme tu vois c'est qu'une question de goût personnel). 

Meredith : parfaite. 

Electre : Je dis juste chapeau parce que tu as vraiment su bien décrire les émotions ressenties quand on est terrifié. Je me suis mise à avoir peur des poêles en même temps que ton chevalier. Les références mêlées du MA au contemporain étaient parfaites.

Abigail : J'ai voté parce que c'est celle qui m'a fait le plus peur. Voilà. L'ambiance était horrible, l'utilisation de la contrainte comme il le fallait. Je lisais en ayant peur de ce qui allait arriver aux deux protagonistes et j'aime les fins biscornues qui te laissent un mauvais goût dans la bouche alors que tout doit être terminé.

Charlie : Tu es HORRIBLE. Tu es horrible et tu le sais. J'ai voulu pleurer en lisant la fin de ta nouvelle, pleurer et rire et c'est pas cool Charlie. C'était super bien écrit, c'était touchant et la fin était écœurante. Voilà.

Vous êtes tous supers
Charlie N. Daniels
Charlie N. Daniels

: Son ombre glisse et sa semelle claque. Charlie caresse le trottoir. Il n'a que les os, l'esprit et la peau, Charlie va danser ce soir.

ϟ ÂGE : 38
ϟ FONCTION : Libraire chez Fleury & Bott – Membre de l'Ordre du Phénix
ϟ AVATAR : Oliver Sykes
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ϟ LIENS : born to be wild
we can climb so high
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MessageSujet : Re: RÉSULTATS DU CONCOURS D'ÉCRITURE — PUMPKINS & GOOSEBUMPS RÉSULTATS DU CONCOURS D'ÉCRITURE — PUMPKINS & GOOSEBUMPS EmptyLun 9 Déc 2013 - 8:24

    J'ai ENFIN pris le temps de tout lire et franchement toutes vos histoires sont superbes. ♥
    Bon j'ai voté pour celle de Meredith que j'ai particulièrement aimé mais c'était trop dur de choisir. D:

    Sinon, Meredith je suis contente que tu me trouves horrible cette fois. ♥ Enfin c'est totalement le sentiment que je voulais donner donc je suis contente d'avoir plus ou moins réussi. :D
Lucas Drifloon
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MessageSujet : Re: RÉSULTATS DU CONCOURS D'ÉCRITURE — PUMPKINS & GOOSEBUMPS RÉSULTATS DU CONCOURS D'ÉCRITURE — PUMPKINS & GOOSEBUMPS EmptyDim 29 Déc 2013 - 6:16

    N'ayant pas eu plus de votes, je les clos. Merci à vous trois d'avoir justifié votre choix en tout cas. Meredith est donc notre grande gagnante, du haut de ses quatre voix.

    Pour ma part, j'ai voté pour Meredith. Elle a corrompu mon esprit en mettant des noms des personnages du forum, et j'ai trouvé le tout super bien foutu (et un poil flippant tout en étant drôle). Mais toutes vos histoires m'ont fait rire et avaient cette dimension effrayante. Chapeau bas. Et merci d'avoir joué le jeu.

    Récapitulatif des points :

    #1 : Meredith D. Carter : 80 points pour Gryffondor.
    #2 : Jake Cavendish : 60 points pour Serpentard.
    #3 (ex aequo) : Electre P. Wilde. Abigail A. Adams. Charlie N. Daniels : 40 points chacun.

    Edit : Points comptabilisés.
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