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Invité

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Lauralee Elena Day

▬ carte d'identité

ϟ ÂGE & DATE DE NAISSANCE : 18 ans, née le 16 Août.
ϟ LIEU DE NAISSANCE : A Rouen, en France, lors du voyage de noce de ses parents.
ϟ ANNÉE & MAISON : Septième année, Poufsouffle.
ϟ ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle.
ϟ DESCRIPTION DE LA BAGUETTE MAGIQUE : Baguette souple, pour coeur l'écrin de licorne, mesure 21 centimètres, faite en bois d'aubépine.

ϟ PATRONUS : un corbeau.

ϟ AMORTENTIA : Une odeur de shampoing, mélangée à la senteur du tabac froid. Elle croit déceler une touche de framboise, aussi.

ϟ ÉPOUVANTARD : Une gigantesque araignée. Les arachnides et Elena, ça fait deux.

ϟ ALBUS DUMBLEDORE OU BELLATRIX LESTRANGE ? : Albus Dumbledore. Sûrement.

ϟ CELUI-QUI-SAIT OU PHILÉAS FOLENGRAIN ? : Elle ne sait pas trop quoi penser. Elle dirait Philéas Folengrain, car elle ne comprend pas vraiment où veut en venir Celui-qui-sait.

ϟ SUCRÉ OU SALÉ ? : Le choix est tellement horrible, ça devrait être interdit. Sucré, juste pour le coca.

ϟ BUT DANS LA VIE : Finir sa scolarité est déjà assez d'un objectif à remplir pour qu'elle réfléchisse à d'autres.
ϟ CE QUI COULE DANS VOS VEINES : C'est une sang-mêlé.
ϟ VOTRE ANIMAL DE COMPAGNIE : Un lézard, adorable petite bête qui se loge sur son épaule très souvent (et auquel elle a offert un petit ruban rose, si c'est pas meugnon).
ϟ SIGNE PARTICULIER : Elle a une grosse brûlure sur l'épaule gauche. Ce n'est pas une cicatrice-trop-d4rk-du-à-un-passé-encore-plus-d4rk, elle s'est prise une casserole bouillante par inadvertance. Et elle peut déboîter ses doigts (vous voyez le truc écoeurant que font vos potes parfois, se bloquer les phalanges).

▬ physionomie

ϟ DESCRIPTION PHYSIQUE ; Elena, c’est le genre de fille à passer souvent devant le miroir. Ca lui plaît bien. Et elle aime ce qu’elle voit dans la glace, aux premiers abords. Elle aime l’ondulation de sa chevelure blonde. Elle aime ses yeux bleus, très, trèèès bleu. Elle aime le résultat de tous les éléments de son visage se réunissant en un mélange convenable. Elle aime sa silhouette. Ni trop grande, ni trop petite. Elle prend ses seins en main, les remontent un peu pour leur donner plus de volume puis se dit finalement qu’ils ne sont pas si mal. Elle adore ses pieds. Ne lui demandez pas pourquoi, elle les trouve parfait. Ils n’ont pas une étrange bosse sur le côté extérieur, elle a des petits doigts de pieds tout mignons, des ongles bien manucurés, une forme très charmante. Elle ne souffre –le mot est dur, chacun ces fétiches- pas de podophilie, mais des fois, quand elle doute un peu, elle se dit qu’ils sont tellement parfaits qu’ils mériteraient un éloge (genre un bouquin pour louer leur beauté).

Puis elle reporte son regard sur le miroir. Et là, elle tire la tête. Elle tire la tête car en y regardant plus près, elle voit des défauts. Beaucoup de défauts. Et plus elle se concentre sur eux, plus ils se multiplient, et elle répète ça toute la journée. Elle voit les cheveux secs, cassés, et les restes de teinture qui ont pâlis sa chevelure au point d’être presque blanche. Elle voit son visage, et voit les sourcils épais surplombant ses yeux clairs. Elle voit le nez un peu trop remonté à son goût, et elle le trouve même tordu, pour tout vous dire. Elle réalise sa lèvre supérieure plus proéminente que celle du dessous, et vaguement elle se demande si ça, c’est vraiment un défaut. Puis elle retourne à son corps. Et là, c’est la fin du monde. Elle voit la poitrine ridicule, la cicatrice sur l’épaule gauche, les poignées d’amour, les cuisses un peu trop épaisses, les mollets pas assez musclés, bref, les réactions typiques de la femme qui s’attarde sur ses formes. Elle se trouve courte sur patte, comme si tout son poids s’écrasait sur ses petites gambettes. Elle soupire. Elle n’est pas si mal foutue pourtant –hormis la poitrine quasi-inexistante. Elle se ravise. Aujourd’hui encore, elle n’attachera pas ses cheveux, pour cacher la cicatrice. Elle portera encore la robe de sa maison, qui cachait tellement bien son « décolleté », comme elle aimait le dire à son entourage. On ne verrait pas ses jambes, ni ses hanches, ni sa taille. Et encore une fois, elle remerciera celui qui a eu l’idée d’imposer la tenue, et qui devait aussi sûrement complexer autant qu’elle.

Ou pas.

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▬ psychologie

ϟ AIME : les licornes ϟ Coca ϟ Sécher les cours ϟ Fumer ϟ Être populaire ϟ le Chaudron Baveur ϟ Chocogrenouilles ϟ Les beaux bruns ténébreux ϟ les discussions inutiles ϟ Peindre ϟ les bougies ϟ les Fizwizbiz ϟ les plumes en sucre ϟ Honeydukes ϟ Ollivander ϟ la pop ϟ la mode ϟ les vêtements ϟ les chaussures ϟ la manucure ϟ la psychologie des gens ϟ les gommes ϟ les hippogriffes

ϟ N'AIME PAS : les épouvantards ϟ les araignées ϟ les peluches sur ses vêtements ϟ les mauvaises odeurs ϟ les dragées surprises de Bertie Croche (elle est tombée sur le goût crotte de nez. Un vrai traumatisme) ϟ les duels ϟ la botanique ϟ les mandragores ϟ l'eau chaude ϟ les gens mal habillés ϟ les vieux sorciers qui rabâchent leur exploits passés ϟ les jeunes sorciers qui se prétendent les rois du monde magique ϟ la tartiflette

ϟ DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE ; Ses cheveux démangeaient ses épaules découvertes, cachant habilement les bretelles inexistantes d'un haut qu'elle ne portait pas. Elle était assise sur le lit, la lumière se reflétant sur sa chevelure blanche. Elle aimait bien le blanc. Ca la vieillissait, elle et ses foutues valoches sous ses yeux. Ces cernes qui ne disparaissaient pas, malgré toutes ses siestes répétées. On se demandait si elle était insomniaque, parfois. Elle souriait, et on y voyait presque un regard moqueur. Elle était hypersomniaque, la jeune demoiselle. Loin de passer ses nuits à fixer le plafond, à compter les moutons ou à se droguer pour trouver le sommeil, elle dormait trop. Elle dormait trop, et elle avait toujours cet air désabusé, ses yeux embrumés. Elle était la jeune femme qui attisait la curiosité. Ca arrivait parfois qu'on la jalouse un peu, d'avoir cet air presque mystérieux. Puis on se ravisait en la traitant de catin, parce que ça lui allait bien. Aucune morale, aussi constante qu'un nuage ; vague au sens péjoratif, libre pour ceux qui voulaient bien le croire. Elle ne tiquait pas aux insultes, elle tirait sur sa clope. « Pute » ; parce qu’elle le voulait bien. Oui, elle avait dragué ton copain. Oui, il avait dit que tu étais bien plus jolie qu’elle, mais qu’elle était assez sympa comme fille. Oui, ils avaient couchés ensemble, et oui, il disait que c’était « l’alcool », qu’il avait « jamais voulu ça » mais que malgré tout « elle était pas si mauvaise au pieu ». Fallait lui en vouloir, à cette fille. Fallait la détester, elle qui se prenait à peine au sérieux. Elle se détestait, alors fallait pas se priver pour la rabaisser. Elle cherchait les problèmes, ce déchet ambulant. Fallait l’insulter, également. Elle avait tellement moins de valeur que vous. Et pourtant, dans son regard, tu croyais qu’elle était convaincue du contraire ; elle te perçait de son regard, elle semblait te juger et sur son visage, tu voyais écrit « tellement mieux que toi, misérable ». Pourtant, c’était une façade.

Elle cherchait les problèmes, c’était une vérité. Elle allait taper pertinemment là où ça faisait bien mal, c’était aussi une vérité. Ca te donnait l’impression qu’elle te prenait de haut, c’était aussi indéniablement une vérité. Le seul mensonge, c’était cette pseudo-supériorité. Ca la rassurait dans son égo de te voir toi, quelqu’un qui a confiance en soi, perdre face à elle, cadavre ayant pour seul attrait de se rabaisser. Elle se disait qu’elle n’était pas si nulle que ça, et c’était son moyen de se protéger. Il ne fallait pas prendre ça personnellement, si ça pouvait vous rassurer, elle souffrait aussi dans le procédé. Mais c’était plus fort qu’elle, elle aimait bien chercher la merde. Puis, lorsqu’on laissait ça de côté –même si ce n’était pas simple- elle restait une pote adorable. Toujours à l’écoute, elle te donnait des conseils sur ce que tu te risquais à lui confier. Elle détestait écouter les gens. Réellement. Mais elle aimait qu’on compte sur elle, alors elle te prenait dans ses bras et elle t’écoutait parler.

Le plus drôle, c’était que de la même façon qu’elle écoutait tout le monde, elle disait tout à tout le monde.

Elle se dispersait, s’éparpillait, entre les secrets et ce qu’elle était aux yeux et oreilles des autres. Elle cherchait sans cesse à extraire tout ce qui faisait d’elle la jeune femme qu’elle était. Elle voulait raconter chaque détail, chaque relation, chaque révélation, chaque pensée, absolument tout et pourtant rien. Elle était un puzzle des plus simples, car elle donnait elle-même les réponses. Elle voulait qu’on la comprenne, elle voulait atténuer le poids de ses fardeaux alors elle les partageait avec ceux qui la fréquentaient –et parfois même les inconnus en soirée. Elle était comme une livre, accessible aux regards des autres, décrypté mot par mot. Et malgré tous ces secrets égarés, elle donnait l’impression d’être insaisissable. Pas parce qu’elle se comportait comme un être supérieure, ou parce qu’elle faisait la fille torturée qui disparait de votre vie une fois qu’elle en a trop dit, mais parce qu’alors que les mots et les aveux s’écoulaient de ses lèvres, elle construisait déjà un nouveau soi. Voilà ce qui était son plus grand atout : cette capacité à s’adapter. Ce don inné à se protéger de ses semblables, c’était tout Elena. Parfois, dans un moment de lucidité et de recul, elle se demandait quand elle avait commencé à adopter ce comportement de caméléon, cette carapace qui la protégeait des jugements. Elle ne trouvait pas de réponse. En écoutant parler les autres, on voyait mille et uns visages différents à cette fille. Elle pouvait être l’adorable confidente, d’autres fois la tapin soumise et fragile. Elle était la fidèle élève qui restait attentive au cours, puis elle se décidait finalement à te cracher la fumée de la clope au visage. Elle n’avait aucun poids réel. Elle enviait les autres, pour leur authenticité. Elle rêvait d’être comme ça, ne jamais changer. Trouver une valeur sûre. Un caractère propre à elle.

Puis finalement, elle se ravisait et tirait sur sa cigarette.

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▬ histoire

« Attention ! », elle entend. D’un geste brusque, sa tête se tourne –elle sent sa nuque craquer, outch- et elle voit le regard de ses parents, paniqués. Ce n’est que quelques secondes plus tard qu’elle ressent une immense chaleur son épaule gauche. Le corps réagit avant l’esprit, de sa gorge sort un cri strident et elle se recroqueville sur elle-même. Son père accoure à son chevet, sa mère est partie chercher ce que l’enfant saura plus tard être de la glace. La sensation de froid soudaine lui arrache un autre cri, qui finit en un long soupir douloureux. Quelle idée, que de laisser bouillir de l’eau et de la laisser sans surveillance, avec une gamine de six ans à peine dans la pièce. Elena a chaud, les larmes coulent à flots sous les gestes protecteurs de ses parents.

Elle a toujours eu peu de chance, elle en était fermement convaincue.

« C’est fini entre nous. », et le voilà qui part. Elle le regarde, sous le choc. Elle se tient, immobile, pendant quelques minutes. Puis, ses jambes prennent le contrôle –ou plutôt le perdent- et Elena s’affale au sol, larmoyante. Ce sont là les derniers mots de son petit-ami, maintenant son ex, après deux ans de relation. Elle l’a surpris, les souvenirs se font vagues, en train d’embrasser une autre fille. Et présentement, elle se délecte du résultat de la confrontation. Son maquillage est ruiné, sa bonne humeur envolée, et ses sentiments noyés. Elle est triste, blasée. Tout ce qu’elle voulait et veut entendre de lui, c’est un « Désolé mon cœur, je t’assure qu’il n’y a que toi. J’étais un peu bourré, voilà tout », avec ce sourire qui a charmé la blonde dès leur première rencontre. Mais non. Il est parti, sûrement aller retrouver la cause de son envol prématuré. Elle veut appeler sa meilleure amie, partager son chagrin et lui dire combien elle l’aime encore, ce con. Mais chanceuse comme elle est, la personne que son petit-ami a embrassé n’est autre que cette même meilleure amie (autrement, ce n’est pas drôle). Alors elle reste là, à ses genoux, le visage bouffi par les larmes qui ne cessent de couler.

Son cœur se serrait dans sa poitrine.

« Vos résultats sont désastreux. », déclare le prof de botanique avec cette moue qui calmerait la libido du plus excité des centaures du coin. Elle soupire. Elle n’a jamais aimé les plantes de toute façon, et encore moins les mandragores. Et il a fallu que ce soit le sujet des examens cette année. Malchanceuse ? Oh, si peu. Elle émet un rictus à cette pensée. Ce dernier semble surprendre son prof, ou bien le vexe, il se braque et lui ordonne de rester après les cours. Elle grommelle une injure inaudible, et retourne s’asseoir. Une fois les élèves sortis, elle a le droit à des remontrances, des discours facétieux et des plaintes à mi-égarées. Elle sort de la pièce en hâte, dans l’espoir de trouver une cachette pour fumer tranquillement. Et non. Pas à Poudlard. Même pas en rêve. Elle se ravise, et tire la tête. Elle retourne à ses quartiers, et s’affale sur un canapé.

Comme le temps était long.

« Ta baguette est cool, Elena. Ca fait au moins 4 ans que j’veux te demander, ça dit quoi sur ta personnalité ? » Elle reste muette, un peu perdue et perplexe. Elle ne sait pas comment leur dire sans se rabaisser, se ridiculiser, ou encore les vexer que c’est un caractère particulier. Elle réfléchit aux termes qu’Ollivander a utilisés en lui remettant son bout de bois, la toute première fois. « Vous semblez pleine de paradoxe. » « Très inconstante, vous devez vous adapter facilement, non ? » « Ou alors… Un vrai caméléon. Vous mentez souvent ? » Elle n’a jamais su si le vieil homme l’avait complimentée, ou bien cernée et pointé ce qu’elle considérait son pire défaut. Et elle sait encore moins comment l’expliquer, au jour d’aujourd’hui. Surtout à ses camarades curieux, probablement mécontents si éventuellement, ils apprennent l’attitude polyvalente qu’Elena adopte à l’accoutumée. Faute de savoir que dire, elle balbutie et espère s’en sortir avec des murmures de « paradoxale », « flexible » et « ch’ais pas trop ».

Chance, où étais-tu ?

« En fait.. Même si t’as des parents cools, que t’as eu une adolescence plutôt normale, avec les emmerdes et tout et tout, que t’es moyenne en cours et que t’es une sorcière qui se respecte.. T’es malchanceuse. J’trouve. » Merci. Il manquait plus que d'être prise en chasse par Celui-qui-sait.

Ca lui allait droit au cœur (et elle irait se consoler en regardant sa série télé préférée, avec un Docteur qui sauve les inspecteurs perturbés sautant des toits).

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▬ hrp

ϟ COMMENT NOUS AS-TU DÉCOUVERT ? Top-sites, et vu que j'étais sur des forums RPGs autre avant, je vous avais déjà souvent vu.

ϟ LE NOM DE LA PERSONNE SUR TON AVATAR ; Imogen Poots.

ϟ QUE PENSES-TU DU FORUM ? Magnifique. Ca doit bien faire un an que je veux m'inscrire, mais c'est la première fois que je rejoins un RPG avec avatars "réels".

ϟ AS-TU LU/VU TOUS LES HARRY POTTER ? J'ai vu tous les Harry Potter, et lu le 3ème.

ϟ SUR COMBIEN D'AUTRES RP ES-TU INSCRIT SANS COMPTER CELUI-CI ? Deux. Dont un qui va bientôt fermer. ;A;

Sujet : Re: LED by your beating heart Dim 5 Jan 2014 - 0:06

♥

Invité

Merciii ! (Oui, il fallait un peu d'amour chez les Poufsouffles, ça manquait de jaune nosweetpdo1

)

Sujet : Re: LED by your beating heart Lun 20 Jan 2014 - 22:22

♥

Invité

Wazay, excusez-moi du retard ! J'demande un petit délai please, j'ai pas su gérer avec les partiels. Mon histoire est écrite, mais sur mon téléphone. Donc j'attends d'avoir mon pc plus de 5 minutes pour pouvoir tout réécrire. Voilà, pardon ~~fouettez-moi~~

Sujet : Re: LED by your beating heart Jeu 23 Jan 2014 - 0:29

♥

Invité

Voilààààààààààààààààààààà ! J'ai enfin fini. Désolée du retard (de pas parler de Celui-qui-Sait, parce qu'Elena est une sale gosse égocentrique qui se concentre que sur elle /crève/) ;A;

Sujet : Re: LED by your beating heart Mer 29 Jan 2014 - 2:36

♥

Citation :: Elle ne souffre –le mot est dur, chacun ces fétiches- pas de podophilie, mais des fois, quand elle doute un peu, elle se dit qu’ils sont tellement parfaits qu’ils mériteraient un éloge (genre un bouquin pour louer leur beauté).

Citation :: Ce n'est pas une cicatrice-trop-d4rk-du-à-un-passé-encore-plus-d4rk, elle s'est prise une casserole bouillante par inadvertance.

Invité

Je vais te souhaiter la bienvenue... avec TELLEMENT de retard qu'en fait ça en devient stupide de le faire mais tant pis parce que tu as choisi Poufsouffle et ça mérite un autre message d'accueil (na).

Comme Lucas je suis vraiment impressionnée par la description physique, je fais partie de ceux qui trouvent que c'est un calvaire (shame on me) mais tu as merveilleusement su t'en tirer.

Pour moi LED c'est le genre de fille qu'on adore détester et qui a aussi un beau potentiel d'évolution en rp, donc amuse toi bien à la torturer ♥
(puis j'adore l'anecdote de la casserole et la cicatrice)