Secret du moment


A. LICHUAN WHITELAW
(TROUVÉ)

Finalement, tu as plus de points communs avec Lone que tu ne le prétends.

Alors, vous savez ce que c'est ?
Nouvelles de Legi !
ϟ 02/15 : Mise à jour générale. Venez donner votre avis sur le design ici, et découvrir l'event spécial . Vous pouvez en savoir davantage de façon générale ici et découvrir les autres events

ϟ 09/14 : Nouvelles activités ! Vous pouvez participer à la Gazette ici et profiter de la radio de Legilimens.

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ϟ Et surtout, n'oubliez pas de participer à la vie du forum de n'importe quelle façon ♥


 
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Caesar Peters - Don't know what to write
MessageSujet : Caesar Peters - Don't know what to write Caesar Peters - Don't know what to write EmptySam 1 Mar 2014 - 20:24

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Caesar Caligula Peters


ab jove principium
ϟ ÉTYMOLOGIE : Caesar (prononcer « Keïssar ») porte le nom de deux empereurs Julio-Claudiens. Elle les tiens de son père, féru d'Histoire antique moldue. Son prénom étant étrangement masculin, elle est surnommée Casy (prononcer « Keïssy »).
ϟ ÂGE & DATE DE NAISSANCE : 17 ans. Née le 3 janvier 1978.
ϟ LIEU DE NAISSANCE : Edwinstowe, un petit village situé au centre de la Forêt de Sherwood. Comté de Nottinghamshire, Angleterre.
ϟ ANNÉE & MAISON : Serdaigle. Septième année.
ϟ ORIENTATION SEXUELLE : Vraisemblablement hétérosexuelle.
ϟ DESCRIPTION DE LA BAGUETTE MAGIQUE : C'est un bois pur. Blanc. Lumineux. Son manche en sycomore est gravé d'étranges arabesques rappelant les temps anciens. Vingt-huit virgule soixante-quinze centimètres de longueur, animés par un ardent cœur de dragon.

ϟ PATRONUS : Une grosse pieuvre. Parce que ça flotte les pieuvres. Ça fait pas splach. Dédicace à l'otarie. (Hors plaisanterie, elle n'arrive pas à le lancer parce qu'à cause de son père elle pense que les patronus peuvent être utilisés pour le mal)

ϟ AMORTENTIA : Un doux mélange de rose et de fenouil.

ϟ ÉPOUVANTARD : C'est elle, mais masquée. Aveugle. Elle ne peut rien voir, rien savoir. Elle n'a pour l'instant jamais réussi à se débarrasser d'un épouvantard.
ϟ ALBUS DUMBLEDORE OU BELLATRIX LESTRANGE ? : Albus Dumbledore, sans la moindre hésitation. Caesar est du côté du bien & sait Dumbledore très attaché aux valeurs de son père.

ϟ CELUI-QUI-SAIT OU PHILÉAS FOLENGRAIN ? : Philéas Folengrain. Caesar n'aime pas ne pas savoir. Elle ne poursuit absolument pas Celui-qui-Sait mais sa présence la gêne.

ϟ SUCRÉ OU SALÉ ? : Sucré. C'est une jeune fille très féminine.

ϟ BUT DANS LA VIE : Son principal projet est de découvrir à cause de qui son père a été envoyé à Azkaban et de lui faire payer. Ensuite, elle envisage de devenir Auror. Elle ne semble pas douter de sa réussite. C'est une Serdaigle, après tout.
ϟ CE QUI COULE DANS VOS VEINES : Du pur sang de sorcier, mais c'est une pure coïncidence. Les Peters sont des gens très simples, et surtout relativement pauvres. Ils n'ont pas la moindre prétention de ce côté.
ϟ VOTRE ANIMAL DE COMPAGNIE : C'est une jeune chouette des bois aux plumes grises et marrons. Elle est très banale et a de grand yeux interrogateurs qui lui donnent l'air stupide. Elle l'est d'ailleurs probablement et mange tout ce qui lui tombe sous la main.
ϟ SIGNE PARTICULIER : Un sourire naïf et une blessure très mal cicatrisée sur le poignet droit.


a mari usque ad mare

ϟ DESCRIPTION PHYSIQUE ;
« Tu ressembles tellement à ton père, Casy. »
C'est ce que ta mère te disais lorsque tu étais enfant. C'est ce que les vieux amis bourrus de ton père te disent toujours. C'est vrai que tu lui ressembles. Non pas que tu ressembles à un homme, loin de là, tu es même très féminine pour quelqu'un qui a grandi dans la campagne. Mais tout ce que tu as, tu l'as hérité de lui. Les longs cheveux châtains, ton nez en trompette, tes yeux clairs et limpides. Même ton rire joyeux, tu le tiens de lui.
Tu as une taille très moyenne, parfois presque petite. Ta peau est parsemée de tâches de rousseurs discrètes, tu as les lèvres roses et un sourire un peu niais. A Poudlard, tu portes simplement ta robe de sorcière aux couleurs bleues et bronzes. C'est une robe de seconde main, évidemment, mais ton père est très attentionné et il a cherché longtemps pour t'en trouver une qui a l'air parfaitement neuve. Tu n'as honnêtement pas l'air plus intelligente que les autres dans cet immense tissu noir mais tant que tu n'as pas autant l'air d'un sac poubelle que Pansy Parkinson, ça t'es complètement égal. Tu te maquilles légèrement avec des teintes claires et dorées, parce que tu es assez coquette. La plupart du temps, tu laisses tes cheveux bouclés sans les attacher, en nouant simplement les mèches de devant pour qu'elles ne te rentrent pas dans les yeux. Parfois tu fais des chignons, parce que tu as passé la nuit à réviser les examens et que tu es trop fatiguée pour te coiffer de façon élaborée. Tu ne portes jamais le moindre accessoire. Tu n'as pas les oreilles percées et les bagues te gênent. Tu n'as pas non plus le moindre tatouage. Tu es quelqu'un de très simple en réalité.
En dehors de l'école tu portes beaucoup d'anciens vêtements de ta mère. Ils sont largement recousus et plus vraiment à la mode mais tu es le genre de personne qui a toujours l'air féminine, même dans des vieux pulls gris trop grands pour toi et des jeans usés.
Tu es très frileuse alors tu collectionnes les pulls en mailles et tu mets rarement des shorts et des jupes. Tu trouves ça un peu vulgaire aussi, parce qu'à Edwinstowe, dans le Nottinghamshire, on ne s'habille pas comme à Londres.
Mais malgré tes habits démodés et ton sourire de campagnarde un peu stupide, tu sens toujours très bon.
Ton physique plutôt banal et ta nature discrète te rendent absolument passe-partout. La seule chose qui détone chez toi, c'est cette affreuse cicatrice que tu as sur le poignet, misérable souvenir d'enfance.

Châtain – Yeux bleus – Féminine – Sourire niais – Look de campagnarde.




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nam et ipsa scienta potestas est

ϟ AIME : Les Centaures ϟ Jouer à deviner les dragées surprises de Bertie Crochue ϟ Son père ϟ Sa sœur Domitie ϟ La campagne ϟ Le rose pâle ϟ Poser des questions ϟ Les histoires d'amour ϟ Les chansons tristes ϟ Serdaigle ϟ Vespasie ϟ Les blagues carambar ϟ Les poissons rouges ϟ Imiter les poissons rouges ϟ Rire ϟ Les gens amusants ϟ Danser sur des chansons campagnardes ϟ Etre coquette ϟ Les choses mignonnes ϟ Regarder le soleil un maximum de temps sans se brûler les yeux ϟ Les tartes au citron ϟ La mer, bien qu'elle ne l'aie jamais vue.

ϟ N'AIME PAS : L'inconnu ϟ Ne pas savoir ϟ Les propos vexants ϟ Avoir froid ϟ Les mangemorts ϟ Le Quidditch ϟ Abandonner ϟ Sa tante Berliose ϟ Les journalistes ϟ Attirer l'attention sur elle ϟ Qu'on lui fasse des reproches ϟ Le Chicaneur parce qu'elle n'y comprend rien ϟ L'injustice ϟ Les gens qui rigolent rarement ϟ Faire à manger ϟ Les fainéants ϟ Les mensonges ϟ Les gens qui mentent ϟ Les Strangulots ϟ Les Détraqueurs ϟ Lorsque Shagun lui fait la morale ϟ Les plats épicés ϟ Les activités trop masculines.

ϟ DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE ;
Tu es humaine, Caesar. C'est pour cela que les gens t'apprécient.
Comme eux tu as tes faiblesses, tes défauts. Et comme eux tu es un être paradoxal et contradictoire. Tu ne t'en rendais pas compte, au début. Mais tout le monde te le répète sans cesse. Ça ne te vexe pas, parce que tu t'apprécies comme ça. Ça ne te vexe pas parce que ça faisait rire ton père. Il te disait souvent que tu étais étrange. Mais étrange, tu ne l'es pas vraiment. Tu es juste humaine, encore une fois.

A Pré-au-Lard les gens te confondent souvent avec une Poufsouffle. Quoi de plus normal. Tu es quelqu'un de discret. Tu fais rarement de vagues et ton père t'a merveilleusement bien élevée. Polie. Personne ne t'a jamais vu dire de grossièretés, parce que ce n'est pas ton genre et que tu sais qu'il y a d'autres manières de s'exprimer. Tu es toujours souriante. Si on te demande de l'aide un jour, tu es sûre que tu accepteras, parce que pour toi les gens sont tous égaux et ont besoin des uns des autres. C'est sans doute parce que personne ne t'embête, mais tu ne fais aucune différence entre les Griffondor, les Poufsouffle et les Serpentard. Tu sais que les Serdaigle sont bien plus brillants et intéressants, bien sûr, tout le monde le sait chez les bleus. Mais juger les autres maisons, ça non. Il faut être juste lorsqu'on ne connaît pas les gens.
C'est sûrement parce que tu as grandi pieds nus dans les champs et que ton père t'a très vite mélangée avec des centaures, que tu es comme ça. Mais tu as du caractère. Certes les gens naissent égaux, mais lorsque tu en sais plus sur eux, tu as tendance à juger très vite. La moindre bonne action et tu apprécies une personne. Le moindre faut pas et tu la dénigres toute ta vie. La première impression est très importante pour toi. Tu ne sais pas que c'est stupide parce que personne n'a jamais osé te le dire, mais tu es comme ça.
Des Poufsouffle, tu as aussi l'optimisme. Tu n'abandonnes jamais. Il y a toujours de l'espoir pour toi. Certains te qualifient plus de personne bornée que d'optimiste, parce que tu es trop têtue pour écouter les conseils des autres. Parce que tu veux toujours avoir raison. C'est ici que tu commences, lentement, à devenir une Serdaigle.

Tu es obsessive, Casy. Lorsque tu t'es fixé un objectif, tu n'en démords pas. Celui pour lequel ton père est allé en prison, tu le trouveras, tu le sais. Tu risqueras ta vie pour ça, parce que tu es un peu trop excessive. Ta curiosité te détruira. Trop, vraiment trop curieuse. Tu es poussée à vouloir savoir, sans cesse. Savoir toujours un peu plus, jusqu'à ce que tu connaisses le sujet dans le moindre détail. Parce que tu as peur. Tu as tellement peur de l'inconnu. Tout ce que tu ne vois pas, tout ce que tu ne sais pas. Tout ça est un danger pour toi. Alors tu cherches, tu poses des questions, tu tentes des expériences. Mais tu sais que tu ne pourras jamais connaître le monde dans son intégralité alors tu évites d'y penser. C'est pour ça que tu veux vivre à Edwinstowe, Casy. Parce qu'ici tu connais déjà tout.
Tu as toujours eu tendance à te vexer très facilement, parce que tu tires des conclusions trop hâtives, que tu prends souvent mal ce qu'on te dit, même s'il n'y a pas d'arrière pensée. Ici encore, tu as peur. Tu es une peureuse, Casy Peters. Mais une peureuse étrange. C'est là que ton père a raison. Si tu te retrouvais dans la forêt interdite, tu serais tellement effrayée que tu refuserais de faire demi-tour. Tu continuerais à aller de l'avant, à la découvrir de fond en comble. Les loups-garous ne te font pas peur parce que tu sais tout sur eux. Les Strangulots non plus, et même pas les Scrout-à-pétards. Mais ce lac profond qui jouxte Poudlard, tellement mystérieux, tellement sombre. Tu ne sais pas ce qui s'y trouve alors tu as peur. Ton père a peut-être raison, Casy. Tu es peut-être vraiment bizarre.
Ton père ne te l'a jamais dit, mais il avait peur de ce que tu allais devenir. Ta fragilité l’inquiétait plus que tout. Il savait que si un jour tu te retrouvais dans l'inconnu, avec trop de questions et pas assez de réponses, tu flancherais. Tu ne résisterais pas. Il avait peur que tu deviennes folle, Casy. Folle, tu ne l'es pas du tout. Pas encore. Mais gare aux surprises que la vie nous réserve, Peters. Elles sont parfois bien garces.

En tant que Serdaigle tu es tellement discrète. Au premier abord tu es une personne normale et souriante. Tu discutes normalement et tu es plutôt agréable. Mais dès que tu te rapproches de quelqu'un et que tu sens que tu vas devenir amie avec lui, ta peur prend le dessus et tu le harcèles de questions pour savoir si tu peux lui faire confiance. Tes vrais amis sont indéniablement ceux auxquels tu ne poses plus de questions depuis longtemps, parce que tu sais déjà tout sur eux. Le seul problème, c'est que généralement, eux aussi savent tout sur toi.

Prends garde, Casy. Prends garde. Ce monde est rempli de mystères et ta vie est bien trop courte.

Gentille – Bien élevée – Souriante – Discrète.
Obsessive – Bornée – Trop curieuse – Juge très vite – Susceptible.

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MessageSujet : Re: Caesar Peters - Don't know what to write Caesar Peters - Don't know what to write EmptySam 1 Mar 2014 - 20:24

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usque ad sideras et usque ad inferos

« Ça ? C'est ce qu'on appelle une Pensine. Parfois, et je suis sûr que tu as déjà éprouvé la même impression, il me semble qu'il y a trop de pensées et de souvenirs qui se bousculent dans ma tête. »
ALBUS DUMBLEDORE


Les souvenirs sont des choses abstraites. Ils n'ont de sens que si on leur en donne un. Ils peuvent nous faire souffrir, rire, ou pleurer. Parfois on préfère les oublier, d'autres fois on les chérit de tout notre cœur. Mais ce qu'il faut savoir à propos des souvenirs, c'est qu'ils sont nous face au reste du monde. On peut voir de nombreux souvenirs dans une vie. Mais on voit surtout une vie à travers de nombreux souvenirs.
Peu importe nos origines. Peu importe nos espérances ou nos doutes continuels. Ce qui fait ce que nous sommes, ce sont ces instants bruts arrachés aux mains du passé.

Le premier flacon est vidé. La fumée sombre du souvenir se développe et prend forme. Des silhouettes noires se dessinent lentement, forment des arbres, et les soies noires laissent place à d'abondantes fougères.



FIN DE DEUXIÈME ANNÉE. 24 JUIN. FORÊT DE SHERWOOD.

- Est-ce que c'est comestible ? Je veux dire, la couleur est plutôt... étrange. En as-tu déjà mangé, Shagun ?
- Tu n'as pas d'inquiétude à te faire, Courte-patte. Les Moldus en mangent souvent.
- Dans ce cas je vais me laisser tenter. J'espère que ça a bon goût.

Tu croques à pleines dents dans le fruit cramoisi. Une douce amertume envahit ton palais et tu fronces les sourcils. Ce n'est pas très sucré, pour un fruit. Ce n'est pas mauvais mais tu n'aimes pas ça. Tu tends le morceau restant à Shagun qui le prend en souriant et l'engloutit. Shagun est un centaure. Il vit dans la forêt de Sherwood depuis toujours et c'est sans aucun doute ton meilleur ami. Les Serdaigle te regardent étrangement quand tu parles de lui. Pour eux être ami avec une créature magique est complètement loufoque. En particulier les centaures qui sont naturellement calmes et qui, généralement, n'apprécient pas la compagnie des hommes. Ceux de Sherwood ne sont pas plus sociables qu'ailleurs et tu les vois rarement. Mais celui-ci reste souvent avec toi. Tu te demandes souvent pourquoi. Tu lui demandes souvent pourquoi. Et la même réponse revient toujours. Ton père est garde-forestier. Il est chargé de maintenir l'équilibre entre les créatures magiques qui vivent dans les bois et les Moldus des alentours. Il lui arrive souvent de discuter avec les centaures et c'est lui qui t'as présenté à Shagun lorsque tu étais enfant.
Shagun est très vieux. En réalité, il ne l'est pas vraiment, mais à treize ans on considère que tout le monde est vieux, n'est-ce pas ? Il ne dit jamais rien mais tu penses qu'il reste avec toi par curiosité. Il aime que tu partages avec lui ce que tu apprends à Poudlard.

- Tu ne poses plus de questions, ces derniers temps, Courte-patte.
- C'est parce que je sais tout sur toi, Shagun. Je connais ta famille, tes enfants, ta nourriture préférée... Il rit. Cesse donc de te moquer !
- Je ne me moque pas, Courte-patte. Je suis impressionné par le fait que tu saches tout de moi alors que tu parles si peu de toi.
- Si tu veux savoir, pose-moi des questions ! Tu lui souris gaiement.
- J'ignore ce que je pourrais demander. Raconte-moi juste une anecdote.
- Une anecdote ? Comme une bêtise que j'aurais faite ?
- Pourquoi pas, Courte-patte.

Sa voix est douce et grave. Tu aimes qu'il t'appelle comme ça. Shagun est comme ton deuxième père. Et tu es comme sa quatrième fille. Vous êtes de la même famille, alors tu rougis légèrement en lui racontant ta bêtise, parce que tu n'en es pas très fière.

- C'était en première année. On devait être mi-novembre. Je me suis infiltrée dans la réserve du professeur Rogue pour voler de la Branchiflore. Si j'avais su qu'il y passait son temps, j'aurais peut-être été plus discrète ! En tout cas j'ai eu tellement d'heures de colles et perdu tant que points que les Serdaigle m'ont lancé des regards noirs pendant des mois !

Il éclate de rire.

- Qu'est-ce qu'une Courte-patte comme toi voulais faire avec de la Branchiflore, petite ?
- Tout un tas d'expériences fascinantes. Tu évites la question. C'est en tout cas la seule fois où j'aie fait quelque chose d'interdit.
- Ton père ne t'a-t-il pas appris à ne pas voler ? Il est curieux.
- Si, mais les élèves n'ont pas le droit de s'en procurer. Encore moins ceux qui sont en première année.
- Dans ce cas tu dois attendre.
- C'est vrai. J'y songerai la prochaine fois que je m'infiltrerai dans le bureau du professeur de potions !

Tu éclates de rire et Shagun fait de même. La journée ne fait que commencer.

Les doux piaillements des oiseaux s’amplifient, deviennent le bruit confus d'une foule. Les verres s'entrechoquent. Les sorciers se bousculent. Les tables sont toutes prises.



SIXIÈME ANNÉE. 3 JANVIER. LONDRES.

Tu remues ton café aux noisettes tout en pensant à tout ça. Encore. Ce qu'il s'est passé t'obsède. Chaque minute, chaque seconde est une torture. Tu ne supporte pas d'être impuissante. Tout ça s'est déroulé sous tes yeux sans que tu puisses rien y faire. Si seulement tu avais été plus grande. Si seulement tu avais réagi plus vite. Si seulement... Tu regardes ta tasse. Le café est froid. Tu le remues depuis une demi-heure maintenant et tu n'y as pas touché. Tu l'as oublié. Tu oublies tout ces derniers temps. Sais-tu quel jour on est ? On est le 3 janvier. C'est ton anniversaire, Casy. Est-ce que tu t'en souviens ? Tes amis t'ont sûrement envoyé pleins de lettres à Edwinstowe. Seulement tu n'y es pas. Tu refuses de retourner là-bas. Le seul souvenir de ce qu'il s'est passé te donne envie de fondre en larmes. Tu ne supporterais pas de revoir ce champ. Cette maison. Sherwood.
Tu vis chez ta tante Berliose en ce moment. Tu n'aimes pas cette vieille femme. Elle passe son temps à se plaindre du poids que tu pèses sur elle financièrement et à répéter en boucle « Je savais que ça arriverait ! ». Comment peut-elle être aussi insensible ? Tu es en ruines. Ta vie est en ruines. Domitie n'est pas là. Elle est partie en Irlande avec ses amis. Elle essaye de fuir ce qu'il s'est passé. Elle rêvait tellement d'une vie normale, Domitie. La pauvre.
Tu lèves légèrement la tête, regardes Londres à travers la vitrine. Le Chemin de Traverse est bondé. Les passants pressés courent les bras pleins de paquets. Noël est passé pourtant. Noël. C'est vrai. C'était Noël il n'y a pas longtemps. Quel jour sommes-nous ? Quand devras-tu rentrer à Poudlard ? Tu regardes le journal de l'homme assis près de la vitrine. Tu n'as même pas le temps de lire la date. Tu es happée par le gros titre.

- Histoire fascinante, n'est-ce pas ?

Il est plutôt maigrichon, et vu son chapeau melon et son air légèrement hautain, il travaille sans doute au Ministère. Il semble décidé à engager la conversation avec toi. Soit il aime les adolescentes, soit il a vu ton air triste et il est trop curieux pour rester sans rien faire. Il continue.

- Enfin, c'est surtout une histoire sordide !
- Sordide... Oui... Peut-être...
- Qu'est-ce que vous en pensez ?
- Pardon ?
- Je vous demande ce que vous pensez de cette histoire. « Un garde-forestier interné à Azkaban ». Cet homme était pourtant un fervent admirateur de Dumbledore, à ce qu'on dit.
- Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise ? Tu espères vraiment que ton ton glacial le refroidira. Tu te trompes.
- Et bien, dites-moi, vous pensez qu'il a eu raison ?
- Il est à Azkaban. Vous pensez vraiment que je vais vous dire qu'il a eu raison ?
- Hum, oui, vous n'avez pas tord. Les élèves de Poudlard sont bien perspicaces de nos jours ! Vous êtes à Serpentard ?
- Vous ne posez pas un peu trop de questions ?
- Je vais prendre ça pour un oui.
- Comme vous voudrez.

Tu te lèves, laisses quelques pièces sur la table et pousses la porte. Dehors, la neige recouvre doucement les rues de Londres. Tu te balades encore, regardant les vitrines, admirant les robes, les livres, les friandises. Tu n'achèteras rien et tu le sais. Ta famille a toujours été pauvre et ta tante Berliose est prête à te faire payer le moindre navet que tu manges. Tout à coup, tu sursautes. Une chouette vient de se poser maladroitement sur ton épaule.

- Vespasie.

Tu la caresses doucement. Vespasie est ta chouette. L'une des dernières choses qu'il te reste. Elle te picore légèrement la tête pour te faire comprendre qu'elle a une lettre. C'est le Ministère. Le procès aura lieu en Février. En attendant ton père reste à Azkaban.

Tout s'évapore. Les bruits, les passants, tout ça disparaît. Par terre, l'herbe fraîchement coupée se dessine timidement. Deux silhouettes se forment.



AVANT SA PREMIÈRE ANNÉE. 8 JUILLET. EDWINSTOWE.

Tu ne vis pas vraiment à Edwinstowe. Tu vis un peu plus loin, plus près de la forêt, de l'autre côté du champ. Ce champ tu le parcours chaque jour depuis des années. Tu inspires doucement, sens la douce odeur de l'été. On est en plein mois de juillet mais Sherwood reste très humide. C'est pour ça que les Centaures aiment cet endroit. On s'y sent bien. Tu t'y sens bien. Et tu pensais que ta sœur s'y sentait bien. Jusqu'à ce jour.
Vous marchez côte à côte sur le chemin du retour. Elle fait presque ta taille alors qu'elle a deux ans de moins. Elle te dépassera sûrement plus tard, mais ça t'es égal parce que tu aimes la regarder. Elle ressemble tellement à ta mère. La peau si pâle, les cheveux si noirs, et ses yeux, tellement sombres... Elle rit moins souvent, ta sœur, ces derniers temps. Tu l'as remarqué mais tu ne dis rien. L'été est assez fatiguant, même quand on habite à la campagne. Tu te dis que ça lui passera, qu'elle est simplement triste de te voir partir à Poudlard en la laissant seule à la maison pour la première fois. C'est triste mais elle n'est pas aussi à l'aise que toi avec ton père. Elle a du mal à accepter le fait d'être isolée et loin du monde. C'est parce qu'elle ressemble tellement à ta mère. Ta mère aussi elle avait du mal. Peut-être un peu trop. C'est certainement pour ça qu'elle est partie. Tu sais que ta sœur lui en veut terriblement, et tu es triste pour elle mais le départ de Kate ne t'émeut pas. Vous n'avez jamais été très proches. Il faut dire que votre père et toi, avez toujours été fusionnels. A cause de ça ta sœur se sent rejetée et abandonnée. Tu sais qu'elle n'attend qu'une chose. Aller à Poudlard, faire sa vie, devenir quelqu'un. Patience. Elle a déjà neuf ans. Le temps passera vite.

- Casy, je vais aller vivre chez notre tante Berliose. A Londres.
- Comment ça ? Domitie qu'est-ce que tu irais faire chez Tante Berliose ? Papa a besoin de toi ici ! En plus...

Elle te coupe.

- Je refuse de passer ma vie ici.
- Ce n'est pas ta vie, Domitie, c'est juste deux ans. Papa ne peut pas s'occuper de la forêt tout seul et tu le sais. D'ici ton entrée à Poudlard, il aura le temps de trouver quelqu'un pour l'aider.
- J'en ai déjà parlé avec lui, je pars à la rentrée en même temps que toi. Je reviendrai pour les vacances d'été.
- C'est très égoïste, non ? Attends la fin de tes études à Poudlard et tu...
- Casy !

Elle t'a coupée encore une fois, mais cette fois-ci elle s'est arrêtée. Elle reste immobile, debout dans l'herbe. Et elle plonge ses yeux noirs dans les tiens. C'est la première fois qu'elle te regarde comme ça. Comme si tu l'avais blessée. Elle n'a que neuf ans. Une enfant de neuf ans ne doit pas souffrir. Surtout pas elle. Surtout pas Domitie.

- Casy, je n'irai pas à Poudlard.

Sa voix se brise sur la fin de la phrase. Elle est au bord des larmes. Tu ne comprends pas. Poudlard, c'était son rêve. Chaque été elle t’entraîne jusqu'à la gare et vous regardez les élèves partir en rêvant d'être à leur place. Elle a déjà choisis son wagon, sa place près de la fenêtre. Elle économise depuis des années pour pouvoir acheter des friandises à ses nouveaux amis.

- C'est quoi ces bêtises, Domy ? Pourquoi tu n'irais pas à Poudlard ? Attendre c'est pas si long, tu sais ? Je te jure que...
- Casy ! Tu vas arrêter avec tes questions ? J'en ai marre que tu te mêles de tout ! Tu veux savoir pourquoi je ne vais pas à Poudlard ? Hein, tu veux le savoir ?! Parce que je suis une Cracmol, voilà pourquoi !

Et là tout s'effondre. Ta petite sœur a lâché son panier par terre et elle fond en larmes. Tu ne sais pas quoi dire. C'est Domitie. Ta sœur. Tu sais la réconforter d'habitude. Mais là tu es impuissante. Il n'y a en réalité rien à dire. Rien qui puisse la réconforter. C'est une Cracmol. C'est son monde qui part en fumée. Ses rêves sont en ruines. Tu commences à te rendre compte que la vie n'est jamais comme on voudrait qu'elle soit. Il y a toujours des surprises. Certaines sont meilleures que d'autres. Les tiennes semblent meilleures que celles de ta sœur. Tu es trop curieuse, Casy. Tu te demandes depuis combien de temps elle le sait. Comment elle l'a su. Si elle comptait te le cacher. Les Cracmols sont-ils une espèce différente de la tienne ? Doit-elle suivre les cours des Moldus ? Tu brûles d'envie de lui poser toutes ces questions. Mais tu te retiens. Elle les hait, tes questions. Domitie, elle n'aime pas trop parler d'elle. Elle se braque facilement. Et cette après-midi là, quand tu la serres dans tes bras, tu te promets de ne plus jamais lui en poser, des questions.

Le champ part en fumée. La température baisse, le soleil s'éclipse. Les grands bois se dessinent encore une fois autour de deux personnages.



SIXIÈME ANNÉE. 22 DÉCEMBRE. FORÊT DE SHERWOOD.

Depuis combien de temps es-tu là ? Des heures ? Des jours ? Tu as l'impression que le temps s'est arrêté. Pourtant il n'en est rien. Le soleil commence à se lever et sa douce lumière dorée vient caresser tes cheveux. Les larmes de ton visage ont été séchées par la température ambiante. On est en plein hiver. Mais tu n'as pas froid. Les bras de Shagun, entourés autour de toi, te réchauffent. Il t'a serrée contre lui toute la nuit. Tu sais qu'il est aussi triste que toi. Mais il sait aussi, malgré l'amour qu'il lui porte, que ton père a eu tord. Il n'aurait jamais du faire ce qu'il a fait. Toi aussi tu penses qu'il a eu tord. Tu lui en veux tellement. Comment a-t-il pu vous abandonner Domitie et toi ? Qui va s'occuper de cette forêt maintenant ? Tu peux sentir la tristesse du centaure, mais lorsque les premières gouttes de dégel tombent sur son poil brun, il desserre son étreinte.

- Ils te cherchent, Courte-patte.
- Je sais.
- Tu dois y aller. Ils ont sûrement de nombreuses questions à te poser.
- Je sais aussi. Moi aussi j'ai des questions à leur poser.
- Ne t'emballe pas.
- Je dois savoir.
- Non, Courte-patte, tu n'as pas besoin de savoir. Laisse le Ministère régler cette histoire. Reste en dehors de ça.
- Je ne peux pas, Shagun.
- Tu peux.
- Je ne veux pas dans ce cas. Je dois savoir qui était ce Mangemort, le retrouver et lui faire payer sa dette. Il doit aller en prison.

Il te caresse doucement la joue, sourit tristement.

- Tu ressembles à ton père, Casy.

C'est la première fois qu'il t'appelle comme ça. Il sait que tu n'auras plus beaucoup d'occasions de le voir dorénavant. Ta maison va bientôt être envahie par le Ministère et les journalistes, si ce n'est pas déjà le cas. Tu vas devoir te trouver un autre endroit ou vivre.
Tu en veux à Shagun de te comparer à ton père alors qu'il vient de faire quelque chose d’impardonnable. Mais tu ne dis rien. Parce que tu aimes Shagun. Et parce que tu aimes ton père. Tu sais qu'il était juste. Et que tout ça, il ne l'a fait que par gentillesse.
Tendrement, tu embrasses le Centaure sur la joue. Puis tu t'écartes et tu rebrousses chemin. Tu parcours à l'envers cette partie de la forêt que tu as traversée en courant cette nuit. Tu évites soigneusement les racines sur lesquelles tu as trébuché. Et tu marches lentement. Par delà la forêt. A travers le champ. Jusqu'à chez toi.

Enfin, le dernier flacon est vidé. La fumée devient plus sinueuse, l'ambiance pesante. La pièce prend des couleurs sanguines. Le bruit du se fait discret. Personne ne bouge mais tout le monde tremble.



SIXIÈME ANNÉE. 21 DÉCEMBRE. EDWINSTOWE.

C'est le froid qui te sort de tes rêves. Tu es allongée sur ton lit à penser à Poudlard qui te manque déjà et à Noël qui approche. Le soleil se couche et ta chambre prend des teintes orangées. Mais tout à coup tu frissonnes. Tu te lèves, inspectes le radiateur. Il n'est pourtant pas en panne. Le froid doit venir de dehors. C'est presque l'heure de manger alors tu décides de descendre préparer le dîner. Tu dévales doucement les marches des escaliers. Ton père est déjà dans la cuisine qui jouxte le salon.

- Papa, on a problème de chauffage ?

Il sursaute.

- Qu'est-ce qu'il y a, ma chérie ?
- Il fait vraiment très froid. Surtout dans ma chambre. Pourtant le radiateur est en marche et...

Tu t'arrêtes. Tu viens d'entendre un bruit. Quelque chose a bougé. Dans le placard où vous rangez les conserves et les bocaux. Tu en es sûre.

- Papa, tu as encore enfermé Vespasie dans le placard ? Tu te diriges vers la porte. Cette chouette est décidément trop gourm...

Il t'attrape le bras, visiblement extrêmement nerveux.

- Non, elle est dehors. Tu as du rêver, Caesar. Monte dans ta chambre je vais préparer le dîner.
- Papa... C'est toujours moi qui prépare le dîner.
- Oui, et bien pas ce soir. Monte dans ta chambre j'ai dit.
- Mais...
- Maintenant !

Dans ses yeux tu lis la peur. C'est la première fois que tu le vois comme ça. Il tremble de tout son être. Impossible de ne pas remarquer que quelque chose ne va pas. Ses pupilles sont dilatées. Sa respiration irrégulière. Tu veux savoir. Tu brûles d'envie de tout découvrir. Mais tu sais qu'il ne te dira rien. Alors tu montes doucement les escaliers et tu t'arranges pour qu'il te croie dans ta chambre. Mais tu tends l'oreille, silencieuse. Quelque chose ne va pas dans cette maison. Le froid s'intensifie. Encore. Encore. Tes mains sont gelées. Tu as même cru voir de la buée sortir de ta bouche. Tu attends quelque chose. Un bruit. Un craquement. N'importe quoi. L'attente se fait insupportable.
Et tout à coup la porte vole en éclats. Tu dévales encore une fois les escaliers, mais cette fois-ci dans un vacarme assourdissant. Et tu la voit. Elle se tient dans l'encadrement de la porte. Immense. Froide. Noire.
La mort.
La mort ne frappe jamais. Les détraqueurs non plus. Ils sont deux, peut-être trois. Tu n'en sais rien. Tout passe tellement vite. Tu vois la mort s'approcher de vous. Tu vois ton père paniquer. Il crie quelque chose. Tu n'écoutes même pas. Tu la fixes, elle. Et puis la lumière jailli. Bleue. Elle se reflète dans tes yeux, réchauffe ton corps. Tu sens l'air passer à nouveau dans tes poumons. Le détraqueur recule.
Le patronus de ton père est le plus beau que tu aies jamais vu. Grand. Majestueux. Fier. Son poil est parfaitement lissé. Sa crinière remue, comme agitée par une brise imaginaire. Sans même t'en rendre compte, tu murmures :

- Shagun.

C'est un cheval. Mais tu ignores pourquoi, un instant, tu l'as pris pour ton ami. Tu as senti sa chaleur .Puis ton père crie une seconde fois.

- FUYIEZ !

La porte du placard s'ouvre dans un fracas sinistre. Une fumée noire et opaque en jailli et brise la fenêtre avant de disparaître dans le ciel. C'est là que ton père te remarque, debout en bas des escaliers. Son visage se fige. Sa voix se brise.

- Je suis désolée, Casy. Je suis tellement désolée. Mais j'ai eu pitié. Il était tellement...

Et tu cours à travers la campagne.



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maegalcarmen

ϟ COMMENT NOUS AS-TU DÉCOUVERT ? Via topsite, en réalité ! Je bave sur le forum depuis des jours mais il m'était jusqu'ici impossible d'inventer un personnage.

ϟ LE NOM DE LA PERSONNE SUR TON AVATAR ; Natalie Dormer *_*. Et oui moi aussi ça me fait bizarre de la voir dans ce rôle haha, mais bon j'espère que ça passera !

ϟ QUE PENSES-TU DU FORUM ? Su-per-be. On passe à la suite ? :3

ϟ AS-TU LU/VU TOUS LES HARRY POTTER ? Au risque de briser votre magnifique chaîne de fans inconditionnels et dévoués : non. En fait je suis une grande grande grande grande fan... des films. Je me suis arrêté au tome 4 des livres, par manque de temps et parce que le 5 me passionnait pas.

ϟ SUR COMBIEN D'AUTRES RP ES-TU INSCRIT SANS COMPTER CELUI-CI ? Aucun ! Vous avez le monopole !:coeur :

Alors un petit texte supplémentaire pour vous dire que je suis en-chan-tée d'être ici et qu'à la base je devais m'inscrire après le bac mais que je n'ai pas résisté ! Si je m'inscris c'est d'abord parce que vous avez l'air hyper hyper gentils et que le rp me manque énormément mais c'est aussi pour relever mon niveau de français qui a considérablement baissé depuis que j'ai arrêté les RPGs (et que je suis entrée au lycée aussi xD). Donc, je vous serais hyper, hyper reconnaissante si vous me faisiez remarquer mes fautes, que ça soit orthographe, grammaire, n'importe quoi. Je prendrai tout hyper bien et je vous donnerai même des gâteaux ! Donc si un jour vous en voyez dans mes rps, n'hésitez pas <3.
Aussi je me suis rendue compte en faisant ma fiche que j'avais perdu tout style d'écriture. Tout ce que j'écrivais me paraissait fade et ennuyeux, du coup j'ai testé l'écriture avec « tu », j'espère que ça fait pas trop brouillon...
Ensuite j'espère vraiment ça fait pas Mary-Sue. A la base je voulais pas faire un truc tout dramatique caca, mais mes doigts appuyaient sur les touches du clavier tout seuls (ou alors c'était le gobelin atrophié avec lequel je partage mon cerveau...). Si le coup du centaure ça passe pas, je vais changer, pas de problème. J'ai fais exprès d'écrire ma fiche avant de m'inscrire dans le cas où il y ait de grosses modifications à faire.
Au fait ça vous fait aussi bizarre qu'à moi de voir la tête de cette actrice ? Je veux dire, ça me fait super bizarre de la jouer (mais son sourire est irrésistible *_*). J'espère que ça passera avec le temps.
Et voilà ! Sinon plein plein plein plein de poutoux !

PS : Vraiment vraiment désolée pour l'histoire à ralonge T.T. Ça doit pas être très clair en plus. Ohlala :/.

Lucas Drifloon
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: Nah. It's not me, I don't know this "Drifloon". What a shitty name, by the way. Me ? I'm just Nessie. Don't mind me.

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ϟ FONCTION : Ancien Serpentard ; Gamin borné et blessé, guidé par ses mauvais choix. Ex-mangemort actuellement en reconversion.
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MessageSujet : Re: Caesar Peters - Don't know what to write Caesar Peters - Don't know what to write EmptySam 1 Mar 2014 - 20:41

    Rien que pour le "caca" pour réserver un poste, JE T'AIME DÉJÀ. et le début est vachement bien écrit. En plus, Natalie Dormer est splendide (Même si elle sort avec Geoffrey et qu'il pue le ragondin décédé).  mydarkrevengelol 

    PS : Pense à mettre un avatar à la bonne taille (200*320) en lien dans la dernière case sur le profil, sinon ça se réduit. ;; Et sois la bienvenue !
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MessageSujet : Re: Caesar Peters - Don't know what to write Caesar Peters - Don't know what to write EmptySam 1 Mar 2014 - 20:51

Waw, super accueil, merci beaucoup *_*
Eh oui héhéhé, les caca vaincront ! En tout cas ils perdront si je ne descends pas manger immédiatement donc je réglerai les derniers détails tout à l'heure ~
Pour l'avatar c'est ce que j'ai fait mais je suis une bouseuse alors ça ne marche pas *pleure*. Promis je re-tente le coup ce soir !
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MessageSujet : Re: Caesar Peters - Don't know what to write Caesar Peters - Don't know what to write EmptySam 1 Mar 2014 - 21:03

    Envoie moi le lien de l'image de ton avatar (si y'en a pas, hébergée sur un hébergeur d'images comme [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et j'peux te la mettre dans le profil si ça marche vraiment pas. Mais en principe, c'est la case :

    "Lier l'Avatar à partir d'un autre site :
    Entrez l'URL de l'image Avatar que vous voulez lier."

    Owy, les caca vaincront ! Et bon appétit.  wowowowowowowowo  wowowowowowowowo 
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MessageSujet : Re: Caesar Peters - Don't know what to write Caesar Peters - Don't know what to write EmptyDim 2 Mar 2014 - 1:44

    Et je double-poste~

    Alors, première chose pour te rassurer d'emblée : ton niveau de français est excellent. N'ayant pas vu tes écrits d'avant, je ne peux te dire si ça a régressé ou non, mais je peux t'assurer que j'ai vraiment adoré ta fiche de fond en comble. Tu maîtrises parfaitement le « tu » de narration et écrit d'une façon très lyrique (je vais vraiment finir par ouvrir un fanclub des gens qui s'inscrivent ici, vous avez un niveau de malade, et cette fiche est merveilleuse). ♥ J'ai beaucoup aimé l'idée de la pensine et du découpage de l'histoire par chapitres. D'ailleurs, tu tiens le lecteur en haleine et le suspense a duré jusqu'à la fin (et comme je te l'ai dit, même s'il est résolu à la fin parce qu'on découvre que le père a hébergé le mangemort, ça reste mystérieux et abstrait/expliqué à travers ses yeux de petite fille). Bref, j'abrège tes souffrances et inquiétudes : tu es largement validée et même revalidée par le pouvoir du caca et des forêts amazoniennes ?

    Et puis je ne vois rien à redire si ce n'est les deux petites modifications que je t'avais dit dans la chatbox, mais c'était vraiment trois fois rien. Et ça ne fait ABSOLUMENT pas Marie Sue, au contraire : c'est une histoire très originale et complexe sous des apparences normales, et j'aime beaucoup ! (le centaure est trop adorable, au passage. Et son pauvre papa, il a vraiment eu la poisse. ;;). Et bien que l'actrice soit vieille IRL, si tu prends des images où elle a l'air plus jeune ça passe carrément. Ca ne m'a pas du tout choquée en la voyant, personnellement.

    N'oublie pas d'envoyer ton secret à Celui-Qui-Sait (par mp), puis tu es libre de poster partout où tu veeeux ! 8D
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MessageSujet : Re: Caesar Peters - Don't know what to write Caesar Peters - Don't know what to write EmptySam 29 Mar 2014 - 15:30

Trente ans après la guerre.

Déjà... IRENE !!! IRENE ADLER. Ca m'a fait un choc mais je suis totalement ok avec ce choix d'avatar (Natalie est une fantastique actrice).
Ensuite félicitation tu dois être la première qui utilise un mot que je ne connais pas : sycomore (du coup je me coucherai moins bête ce soir).
J'ai beaucoup apprécié les mots clefs à la fin de la partie physique et caractère qui sont vraiment pratique - même si j'ai tout lu, parfois on s'y perd un peu quand on arrive à la dernière ligne. (+1 aussi pour ne pas avoir lésiné sur ses défauts).
Son histoire m'a rendu très curieuse, et j'ai vraiment hâte qu'elle découvre qui est cette mystérieuse personne que son père cachait car je VEUX savoir. J'aime aussi l'originalité de son enfance.

voilà et sinon contente de voir que le forum te réussit bien
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MessageSujet : Re: Caesar Peters - Don't know what to write Caesar Peters - Don't know what to write Empty

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