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Invité
| Valentine B. Montgomery & an old memory Sujet : Valentine B. Montgomery & an old memory Mar 4 Mar 2014 - 21:41 |
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Valentine Blanche Montgomery
▬ carte d'identité ϟ ÂGE & DATE DE NAISSANCE : 25 juin 1973, 25 ans ϟ LIEU DE NAISSANCE : Versailles, France ϟ ANNÉE & MAISON : Infirmière & ancienne serdaigle ϟ ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle (mais curieuse...) ϟ DESCRIPTION DE LA BAGUETTE MAGIQUE : 25cm - Bois de laurier - crin de licorne - rigide. ϟ PATRONUS : Antilope africaine.
ϟ AMORTENTIA : Le parfum de soleil qu'a créé sa mère
ϟ ÉPOUVANTARD : Une avalanche d'insectes, qu'elle transforme en avalanche de bonbons pour s'en débarasser. |
ϟ ALBUS DUMBLEDORE OU BELLATRIX LESTRANGE ? : Albus, sans hésitation. La magie noire me fait peur et me dérange.
ϟ CELUI-QUI-SAIT OU PHILÉAS FOLENGRAIN ? : Celui-qui-sait! Allez soyons fou, je suis une curieuse de toutes façons!.
ϟ SUCRÉ OU SALÉ ? : Acidulé. |
ϟ BUT DANS LA VIE : Des ambitions, je n'en ai pas de grandes. J'aimerais vraiment rester à Poudlard le plus longtemps possible et y faire ma vie avec quelqu'un de bien.ϟ CE QUI COULE DANS VOS VEINES : Du sang mêlé. Née de parents sorciers, mais tous deux de sang mêlé.ϟ VOTRE ANIMAL DE COMPAGNIE : Un fléreur, cadeau de son père pour se faire pardonner. Il s'appelle Niklaus, et il est très fidèle à Val'. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]ϟ SIGNE PARTICULIER : J'ai l'air un peu fragile. C'est ma morphologie, j'y peux rien.
▬ physionomie
ϟ DESCRIPTION PHYSIQUE ; Le sculpteur s’éveille au matin l’esprit obnubilé par elle. Le bloc est là. En place. Immobile. Burin. Marteau. Et taille. Et taille. De loin, une silhouette commence à se faire entendre dans la pierre. Fine. Gracile. Blanche car faite de marbre. Il y a une forme de frénésie dans ses gestes. Il la tient. Elle est devant lui. La femme qu’il imagine. Tandis que la pierre pleut sur le sol en gros paquet, on aperçoit des jambes fines, longues. Un pied, petit, tout en courbes.
Plus les heures passent, plus elle se fait voir. Cette silhouette manuscrite en plein et en délié. Des hanches généreuses, une croupe arrondie, un ventre encore plus blanc que le reste. Des flancs apparaissent. La pudeur cache ce que l’on ne doit voir. Des épaules menues, accueillante, donnant presque envie de les utiliser pour pleurer. Un cou fin, long, un peu trop fin, un peu trop long. Rapidement caché par une cascade de cheveux bruns. Tout en vague et en remous. Même la lumière sur ces boucles rappelle une étendue d’eau.
Le visage a présent. Le sculpteur s’arrête. Il cherche. Il se figure. Il détaille. Et il se remet au travail. Un menton carré, féminin mais masculin. Des pommettes saillantes, et un nez en trompette. Cette même peau toujours blanche. Il lui ferme les yeux car il est triste de ne pouvoir leur donner la couleur dont il rêve. Et enfin la bouche, charnue, entrouverte, accueillante elle aussi.
Il se recule et les derniers rayons du soleil viennent éclairer son œuvre. Là, caressée par la lumière, amadouée par la clarté, elle semble réelle. Humaine. Sans qu’on y est pris garde, elle est descendue du piédestal, elle est de dos. Elle est nue. Le temps d’un battement de cils et elle porte une robe fleurie, ses cheveux noués par un ruban lui révèlent un visage harmonieux. Ses yeux ont la couleur de la forêt au printemps. Elle s’avance, frêle, délicate, presque fragile. De pierre, elle semble maintenant en verre.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]▬ psychologie
ϟ AIME : La lecture - sa famille - le silence - le thé - les gens aux points de vues modérés - les trucs en fourrure tout doux - aider - la France - sourire - quand on lui fait confiance - apprendre un secret - Niklaus, son fléreur - les banquets - manger en général - le shopping - la bière - la contrebasse
ϟ N'AIME PAS : les personnes excessifs - être le centre de l'attention - les météos un peu trop extrême - transplaner - les endives - se sentir inutile - le noir - les mijorées - la musique moderne en général
ϟ DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE ; Peu commune. Légère. Radieuse. Valentine est un petit rayon de soleil qui passe entre les rideaux le matin pour venir vous réveiller. D’abord, il vous réchauffe, il est sympathique, vous ne lui voulez aucun mal, puis il arrive sur votre visage, se fait plus proche et là, il vous réveille. Vous avez envie de le tuer mais quand vous ouvrez les yeux, il baigne la pièce d’une douce lueur dorée.
Et bien Valentine c’est ça. Douce, s’énervant tellement jamais que quand ça arrive, on a l’impression qu’il neige. Suave, comme issue d’un rêve. Loin d’être une copie conforme de la réalité, elle a l’innocence que n’ont que les enfants. Celle qui fait s’émerveiller encore et encore. Très douce, elle sait être parfois piquante, surtout quand les gens qu’elle aime sont attaqués ou en danger. Elle devient protectrice face à l’injustice. Si quelqu’un souffre, en bonne infirmière, elle ne le laissera jamais seul, qui qu'il soit. Légèrement effrontée (de quel droit tu me réveilles ha ouais !), elle tient tête à ceux qui la prennent de haut. C’est plus pitoyable à voir qu’autre chose mais au moins, ça la détend. Malgré tout ça, elle est globalement adorable et fascinante. Encore faut-il être un brin ouvert car elle est originale. Très féminine. Très élégante. Elle incarne à merveille ce que les british appelle le charme à la française. Parfum enivrant, voix cristalline, il y a quelque chose d’irréel chez elle qui donne l’impression de s’être perdu aux pays des merveilles.
Autant vous dire que ça plait pas forcément à tout le monde mais qu’il est juste impossible de rester impassible face à Valentine. Soit on l’adore, on veut la protéger, lui faire des papouilles, ou alors on a envie de lui arracher la tête avec une table, de la peler avec un économe et d’en faire des sushis.
Elle s’en accommode plutôt bien, évitant les gens qui l’exècrent, illuminant la vie de ceux qui la trouve sympathique. Bref, elle prend la vie du bon côté et elle ne s’attarde vraiment pas sur ce qui ternie légèrement le tableau.
Pour finir, elle est un tas de trucs et son contraire. Le tout sans le faire exprès, elle vous fera rire par sa maladresse, qui déclenchera aussitôt une réaction impulsive qui vous n’aurez pas vu venir et qui vous surprendra. Mais elle a un cœur gros comme ça, et elle vous écoutera toujours quoi que vous ayez à dire. Si elle le peut, elle vous tendra la main, et jamais au grand jamais, elle ne vous jugera.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]▬ hrp
ϟ COMMENT NOUS AS-TU DÉCOUVERT ? Topsite d'obsession ;)
ϟ LE NOM DE LA PERSONNE SUR TON AVATAR ; Ashley Greene
ϟ QUE PENSES-TU DU FORUM ? Le design est .... fabuleux!!! L'intrigue intéressante, j'aime bien les forums aux intrigues pas trop noires :)
ϟ AS-TU LU/VU TOUS LES HARRY POTTER ? Tous lu (5 fois chacun!), tous vus (récemment car je crachais dessus après le 3 qui avais raté toute l'histoire d'après moi :S)
ϟ SUR COMBIEN D'AUTRES RP ES-TU INSCRIT SANS COMPTER CELUI-CI ? Un seul :) |
| | | Invité
| Valentine B. Montgomery & an old memory Sujet : Re: Valentine B. Montgomery & an old memory Mar 4 Mar 2014 - 21:46 |
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| Peu importe ce qui nous définis, nous finissons par n’être que le résultat de nos actes. Nous ne sommes pas définis par notre naissance ou notre famille. Nous sommes nos choix, nos doutes, nos opportunités, ce pourquoi on se bat, ce qui nous tiens éveillé la nuit, ce qui fait accélérer notre cœur et ce qui finiras par nous tuer…
Si j’avais pu choisir, je ne serais pas née à cette époque. Beaucoup, dans mon entourage, pensent que c’est ce qui expliquerait ma façon d’être. Je n’aurais pas choisi cette famille non plus. Ils sont fabuleux et adorables, mais c’est ce qu’ils ont fait de ma vie qui me déplait. Tant que nous y sommes, j’aurais même choisi un autre pays ! La France, c’est beau, mais le camembert, ça pue ! Dans mes rêves, je suis une américaine, qui a vingt ans au début des années trente et qui sort dans des bars écouter du jazz et danser. Mais en vérité…
Je suis née en France, au milieu des années soixante-dix, et fait partie de ces personnes qui naquirent avec une marque. Un symbole. Un tatouage, inscrit sur la peau, au beau milieu du visage, et dont on ne débarrasse jamais vraiment. Je suis la fille de ce qui sera plus tard le ministre français de la magie.
Jean Montgomery est un homme bon. Des idéaux pleins la tête et un don certain pour convaincre les gens. Enfant déjà, il savait que c’était dans les hautes sphères politiques qu’il voulait percer, et pour son plus grand bonheur, il disposait de toutes les qualités requises. Sa femme, Isabelle, est une sorcière réservée, qui tient une parfumerie sur l’équivalent du chemin de traverse, mais à Paris. Là-bas, derrière les vitres ternies de la parfumerie « Beltane », se trouvent des senteurs hors du commun. Les flacons contiennent des essences de joie, de soleil ou encore de bleu. C’est dans cette atmosphère enivrante et ambitieuse que je suis née. Moi, Valentine Blanche Montgomery, c’est là que j’ai mis un terme à ma retraite feutrée dans le giron maternel pour venir ici-bas, jouer la partie que le destin avait écrite pour moi.
Je ne me rendis pas compte de suite que je n’avais pas eu de chance au tirage. Je trouvais ma famille parfaite. Une mère aimante, qui cuisinait comme personne, un père rassurant et sécurisant, et presque tout pour faire le bonheur d’un enfant. Alors, je ne pressentais pas encore le petit tas d’embrouilles qu’allait devenir ma vie. Il faut dire aussi, qu’à cette époque, mon père n’était que directeur-adjoint du département des affaires étrangères. Autrement dit, il était souvent en déplacement car il travaillait avec d’autres pays, mais pas trop car il n’était qu’adjoint. Mais mon bonheur ne devait pas durer. Dès qu’il fut nommé directeur du département des affaires étrangères, je le vis de moins en moins, tandis que son impact sur moi se faisait de plus en plus sentir. Plus il sortait de ma vie, plus ma vie tournait autour de lui. C’est à cette période que j’ai commencé à craindre les autres. A l’image de Sartre.
J’étais en deuxième année à l’école de Beauxbatons quand ça arriva et, n’étant alors qu’une enfant, je n’ai pas vu la catastrophe arriver. Avant de continuer dans mon histoire, laissez-moi vous touchez deux mots de cette école fabuleuse, qu’il m’a pourtant fallu quitter.
Beauxbatons est un château luxueux et très raffiné. On y trouve des jardins par dizaines, même au beau milieu d’une tour, ou bien cachés derrière des rideaux donnant sur nulle part. Là-bas, tout est élégance et beauté, les plats y sont gourmets, la musique y est symphonique, en un mot, la vie y est belle. Pas étonnant pour une fille de parfumeuse, mais je tombais rapidement en extase devant cette école qui fut mon véritable premier amour. Là-bas, mes robes fleuries, mes nœuds dans les cheveux et mon penchant pour la littérature y était banal et commun. Entourée d’autres personnes ayant les mêmes passions, nous discutions des heures de Verlaine et Rimbaud en n’abordant jamais leur goût du revers pour ne pas blesser la bienséance. Là-bas, j’étais moi-même, la lumière irradiait du sol au plafond peu importe où vous étiez dans le château. Je m’y plaisais, comme dans un conte de fée.
Mais ce paradis ne m’était pas destiné. Un autre, en revanche, radicalement différent allait m’ouvrir ses portes et m’accueillir en réfugiée. Quand mon père fut élu Ministre de la Magie, ma vie devint un enfer. Mon nom avait tant de résonnance que je n’entendais plus rien à travers l’écho. On se retournait sur moi dans les couloirs, on me questionnait, m’observait, j’étais traquée, scrutée, espionnée. Dans bien des cas, je me retrouvais être le centre d’une attention bien incommode. Je rougissais à n’en plus finir, perdait mes moyens, bégayait. Ma vie n’était plus qu’une succession de prise de pieds dans le tapis et l’école qui, autrefois, avait été un havre de paix et d’épanouissement, devenait un endroit hostile dont je rêvais de fuir. Loin de baisser les bras, et soutenue par mes amis, je me fis violence pendant une année entière. Agissant comme si de rien et prétendant n’en avoir que faire. Mais ma bulle éclata quand mon petit ami rompit avec moi et cela finit dans les journaux. A la douleur de la première peine de cœur venait s’ajoutait la colère et la honte d’être à la une. Je maudis mon père à ce moment, du plus profond de moi, jusque dans les entrailles de mes entrailles, je maudissais ce poste qui avait fait de moi de la chair à scandale.
Mes parents, bien intentionnés, quand ils lurent ce journal, se précipitèrent à l’école pour réparer les pots cassés. Mais ils arrivèrent trop tard. Ma décision été prise et bien prise. Je quitterais le pays. Ma mère appuya ma volonté, expliquant avec les mots que je ne trouvais pas, que j’avais le droit de choisir la vie que je voulais et que je ne devais pas me laissait porter par les ambitions de quelqu’un d’autre. Mon père essaya de s’excuser, de se justifier, il parlait comme lors de discours quand le ministère avait fait de la merde. Si j’écoutais ? Plus depuis longtemps. Faute d’avoir su préserver mon rêve à Beauxbatons, mon père m’ouvrit tout de même les portes de Poudlard pour que je puisse y refaire ma vie. Son cadeau d’adieu fut l’animal qui deviendra plus tard mon meilleur ami. Craignant que je me sente seule, et connaissant ma peur des autres, il m’offrit un fléreur. Une charmante créature ressemblant à chat avec de grandes oreilles pointues et une queue de lion. Le sien était tacheté comme un guépard et il était adorable. Cette jolie bestiole ne sert pas qu’à être beau, les fléreurs sont particulièrement fidèle à leur maître et par-dessus tout, il sente quand les gens sont mal intentionnés. Autant dire que vous avez un détecteur à crétins avec vous. De plus, ils peuvent être intrigués par des personnalités intéressantes. Le compagnon parfait qu’il me fallait. Je l’aimais déjà et l’appelait Niklaus.
Ma mère m’accompagna à King’s Cross, le premier de septembre, et j’arrivais en troisième année, inconnue et incognito.
Je ne désirais pas mentir. Par contre, il était hors de question de tout dire. Plus ou moins facilement au début, je jonglais entre le vrai et le faux. Oui j’étais française et j’avais étudié à Beauxbatons. Mais non, les raisons de mon changement d’école n’étaient pas bien claires. Peu importait, je me faufilais entre les mailles des doutes pour ne pas revivre le calvaire. Envoyée à Serdaigle, je retrouvais dans cette maison la passion pour la science qui m’animait à Beauxbaton. J’étudiais dur, et je continuais de lire et de rêver. J’étais la même seulement, l’environnement ne collais plus tout à fait à moi. Sombre, et un brin rustique, l’école ne me ressemblait plus. Moi, douce, élégante, féminine, artiste, je me heurtais à des murs nus, des tenues sobres, des dîners qui n’avaient plus l’éclat et la lueur de Beauxbatons. Il me fallut du temps pour apprendre à aimer cette école, et ce qui déclencha mon attachement fut, sans doute, le fait qu’elle m’accepta comme j’étais, et qu’elle me fit oublier mes malheurs. Vers la fin de mon cursus, brillant au demeurant, je me spécialisais en médicomagie. Mon éternel altruisme avait fini par gagner. J’entrais à Ste mangouste pour un stage, et n’en ressortie que pour rejoindre l’école qui allait, plus que jamais, devenir ma maison, Poudlard. A cette époque, mon père était encore ministre de la magie. A l’heure où j’écris ces lignes, il l’est toujours mais le ministère lui cherche un successeur. L’âge et les manigances politiques ont dû venir à bout de son aura, il n’est plus l’homme qu’il était et depuis peu, je retrouve le père de mon enfance.
Aujourd’hui, je suis la personne que l’on réveille sans scrupules au beau milieu de la nuit pour une fièvre un peu forte, des élèves et des chats pétrifiés par un serpents géants ou faire repousser tous les os d’un bras, enfin bref pour tout et surtout n’importe quoi…
Mais vous savez quoi, j’en redemande encore…
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| Valentine B. Montgomery & an old memory Sujet : Re: Valentine B. Montgomery & an old memory Mar 4 Mar 2014 - 21:53 |
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| Nooooooon!? C'est trop beau pour être vrai! Tu l'as fait! T'es reviendu! Ho putain, je t'aime toi EDIT (après lecture): Ha la revoila la jolie plume RE-EDIT: T'es chiante hein?! Il faut toujours que tu te fasses prier |
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: Nah. It's not me, I don't know this "Drifloon". What a shitty name, by the way. Me ? I'm just Nessie. Don't mind me.
ϟ ÂGE : 30 ϟ FONCTION : Ancien Serpentard ; Gamin borné et blessé, guidé par ses mauvais choix. Ex-mangemort actuellement en reconversion. ϟ AVATAR : Alex Pettyfer. ϟ ABSENCE ? : En Suisse pendant un an ; présence réduite.
ϟ LIENS : Substract love, add anger.
| Valentine B. Montgomery & an old memory Sujet : Re: Valentine B. Montgomery & an old memory Mar 4 Mar 2014 - 23:21 |
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| En voilà, une jolie fiche~ ! Donc on efface le tableau. ♥ Malgré quelques petites fautes de relecture qui pourraient être évitées, j'ai trouvé cette Version 2.0 très bien écrite et agréable à lire. L'idée d'en faire la fille du ministre de la magie français est plutôt bonne et bien emmenée pour pas faire grosbill et j'aime son côté rayon de soleil. La description physique est supermieux et puis je ne vois rien d'autre qui soit négatif à redire ou corriger donc : présentation validée !
CONFETTIS ! Pense à envoyer ton secret à Celui-qui-sait. Tu peux poster toutpartout. |
| | | Invité
| Valentine B. Montgomery & an old memory Sujet : Re: Valentine B. Montgomery & an old memory Mar 4 Mar 2014 - 23:28 |
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| [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]YOUHOU!*oops on a vu que j'avais pas de culotte...* Merci pour le coup de pied dans les fesses, bizarrement, vous avez pas fait exprès mais je crois que j'en avais besoin, c'est ce que dit Milton, je suis "chiante" En tout cas merci pour la seconde chance, et à moi le RP! |
| | | | Valentine B. Montgomery & an old memory Sujet : Re: Valentine B. Montgomery & an old memory |
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