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Invité
| Céleste ~ orphan of the sky Sujet : Céleste ~ orphan of the sky Jeu 10 Juil 2014 - 17:48 |
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Céleste Eeva Caulfield
▬ carte d'identité ϟ ÂGE & DATE DE NAISSANCE : 402 ans, 21 ans d'apparence, née un 30 janvier ϟ LIEU DE NAISSANCE : Une île finlandaise ϟ SCOLARITÉ : Durmstrang à ses débuts tenant davantage de la forteresse que de l'école. La torture physique était autorisée et prônée en ce temps-là... ϟ ORIENTATION SEXUELLE : Philanthrope ϟ DESCRIPTION DE LA BAGUETTE MAGIQUE : Bois de sorbier, écaille de dragon des glaces, 24,2 cm. La baguette est soigneusement enfermée dans son étui depuis plusieurs siècles... ϟ PATRONUS : Un lièvre arctique (de Mars ?). Il se manifeste d'une manière si vive qu'on ne distingue qu'une traînée argentée. Or impossible d'en produire un depuis la vampirisation. L’utilisation de la baguette est devenue obsolète.
ϟ AMORTENTIA : Le parfum de la neige battue par les vents du nord avec une nuance de café au lait.
ϟ ÉPOUVANTARD : Une horloge déréglée dont les aiguilles accélèrent de plus en plus. Le temps qui passe, l'éphémère, les proches qu'on voit mourir sont les pires souffrances terrestres. |
ϟ ALBUS DUMBLEDORE OU BELLATRIX LESTRANGE ? : Albus, sans conteste. Mais elle ne se sent pas concernée par tout ça.
ϟ CELUI-QUI-SAIT OU PHILÉAS FOLENGRAIN ? : Tout ce que je sais c'est que je ne sais pas.
ϟ SUCRÉ OU SALÉ ? : Mélange sucré-salé. |
ϟ BUT DANS LA VIE : Arrêter le temps, arrêter la Mort en marche, un rêve profondément naïf, aussi naïf que le vœu de Miss Univers qui souhaite la paix dans le monde. ϟ CE QUI COULE DANS VOS VEINES : Sang mêlé, mère sorcière et père moldu. Sang noble finlandais via son paternel. ϟ VOTRE ANIMAL DE COMPAGNIE : Un très jeune renne du nom de Miko (oui oui comme la crème glacée). Elle parvient à le miniaturiser et il l'accompagne partout dans sa poche. ϟ SIGNE PARTICULIER : Une tache de naissance à la base du cou en forme d'étoile, des dents très très pointues ? Elle a un ami imaginaire, Salomon (dit le Doge), un érudit italien de la Renaissance avec qui elle ne cesse de débattre sur des questions existentielles.
▬ physionomie
ϟ DESCRIPTION PHYSIQUE ; On repère de loin la tignasse rousse. On n'échappe pas aux yeux vert d'eau scrutateurs. Elle regarde dans ton âme, fait le contour, friande de secrets inavouables. La démarche est fluide, coulante comme le filet d'une rivière au printemps quand la neige commence à fondre. La demoiselle fait des bains de foule, se cogne volontairement aux humains, inspire les odeurs, apprend les gestes, les mouvances et les mots. Elle retient le contact des peaux nues contre la sienne. Ce sont des vêtements amples et légers qui la démarquent aussitôt. Jolie ? Elle l'est par nature. Sa beauté est sculptée par le froid du nord. L'épiderme diaphane semble concurrencer les rayons lunaires. Exceptée cette pâleur mortuaire qu'elle maquille au quotidien, n'a-t-elle pas la figure d'un ange, la figure de la prime jeunesse ? Une lueur incendiaire au fond des pupilles emprunte à la couleur pourpre quand la soif survient. Elle accapare en un instant autrui dans son ballet ardent. Il est vain de lui résister. C'est une chanson, celle d'une sirène. Charme de la voix, charme de la vue. Son rire est communicatif. Toujours l'ébauche d'un sourire sur ses lèvres même quand, dans sa gorge, monte un sanglot étouffé. Parce qu'elle pleure pour tout et rien. C'est la seule façon qu'elle a trouvé pour ne pas oublier son humanité.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]▬ psychologie
ϟ AIME : L'astronomie ☆ les sucettes au sang ☆ la vitesse ☆ l'hiver ☆ les errances ☆ s'introduire par effraction dans les églises et jouer de l'orgue ☆ la mécanique ☆ réparer les choses cassées ☆ les mots anciens et langues étrangères ☆ les maquettes ☆ tirer les cartes de tarot ☆ les photocopieuses ☆ chercher des trésors dans les lieux hantés ou abandonnés ☆ discuter avec des fantômes ☆ le chant des rossignols ☆ Arsène Lupin ☆ les nœuds papillon ☆ lancer des défis à Leor ☆ les écrivains russes ☆ les rubans ☆ faire des listes de mots ☆ la couture ☆ l'escrime ☆ les sapins de Noël ☆ les bonhommes de neige ☆ jouer à cache-cache dans les magasins ☆ le monde sous-marin ☆ son livre de chevet : Vingt mille lieues sous les mers de Jules Verne ☆ se promener sur les toits ☆ les cheminées ☆ imaginer la vie des passants ☆ faire un élevage de rennes ☆ visiter des écoles de nuit et dessiner ou écrire sur les tableaux à la craie ☆ confectionner des pulls en laine pour Leor ☆ déterminer ses choix par un coup de dés ☆ aller à des ventes aux enchères ☆ accorder des pianos ☆ se rendre à des enterrements d'anonymes ☆ emprunter des voitures stationnées sur les parkings des grandes surfaces ☆ construire des cabanes dans les bois ☆ les jeux de hasard ☆ la philosophie ☆ les énigmes ☆ les balançoires ☆ les aquariums ☆ le Quidditch
ϟ N'AIME PAS : L'aube ☆ la sonnerie des téléphones ☆ les armes à feu ☆ les hôpitaux ☆ les personnes pressées ☆ les nombres pairs ☆ le vernis qui s'écaille ☆ les croix ☆ l'ail ☆ l'été ☆ le temps ☆ les verres ébréchés ☆ les objets en cristal ☆ les clés quand on ignore ce qu'elles ouvrent ☆ la fonte des glaces ☆ la chasse ☆ les incendies ☆ les ascenseurs ☆ les pleurs d'enfants ☆ les cours d'eau asséchés ☆ le sable dans les chaussures ☆ la solitude ☆ le désert ☆ les histoires tristes ☆ les baisers ☆ les émotions fortes comme l'amour, la haine... ☆ la tricherie ☆ les mensonges ☆ l'alcool ☆ des concepts comme l'absolu, la morale, la justice, le bien et le mal ☆ les couteaux ☆ les ratures ☆ les flashs des appareils photos ☆ les collants effilés ☆ les surnoms ridicules que se donnent les couples ☆ la télévision allumée alors que personne ne regarde ☆ rester sans rien faire ou se sentir inutile ☆ quand quelqu'un lit par-dessus mon épaule ☆ les publicités ☆ les livres abîmés ☆ les fleurs fanées sur les tombes ☆ les chansons d'amour ☆ les pages blanches
ϟ DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE ; Les neuf planètes du système solaire. Les sept océans. A partir d'un point quelconque, avec un rayon quelconque, on peut décrire un cercle selon les axiomes d'Euclide. Les dix plaies d’Égypte. Les sept collines de Rome. Les quatre lois de la robotique d'après Asimov. Le ça le moi le surmoi de Freud. Trois cent cinquante quatre marches pour atteindre la couronne de la statue de la Liberté. PI. 3,14159265358973 [...] Mais son soleil se lève à l'ouest et se couche à l'est. Les faces de la lune régissent ses déplacements. Tout est à l'envers de nos conceptions habituelles. Elle est hors de tout modèle préconçu. Une humaine d'apparence comme vous et moi avec plus de quatre cent ans d'expériences. L'âge de plusieurs vies. Ne pas s'étonner quand elle vous parle de physique quantique puis une minute plus tard de la flore du Mexique en termes latins. L'esprit de Céleste est aussi infini que les cieux. Les limites sont floues tant elle a engrangé des connaissances de toutes sortes. Derrière le masque de petite fille il y a la sagesse, une rare intelligence et par-dessus tout une curiosité pour tout ce qui existe, le passé, le présent, les hommes, les abstractions. Excès de pensées permanent. Il faut toujours qu'elle se réfrène avant de perdre ses interlocuteurs. A ce petit cerveau de Einstein s'ajoutent la créativité, les lubies, le caractère enfantin et fantasque. Chaque jour, elle regarde le monde avec un œil neuf. L'émerveillement est toujours présent.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]▬ histoire
On collectionne des milliers de souvenirs. Je perds la trace de certains, j’en retrouve au fond d’un tiroir, des liasses de moments forts. Des océans émotionnels. Je fouille dans ma caverne d’Ali Baba. Les dates s’éparpillent, rosace numérale qui tourne à l’infini. Comment savoir le début du début, la fin de la fin ?
La mer déjà j’aime la mer. L’océan et sa plainte doucereuse. Heureuse je le suis toujours, par instants. C’est chaotique. C’est lumineux. La vie dans les veines. La vie qui pulse. Petite fille sur la plage à courir, les mollets dans le sable, les joues à contrevent. Fraîcheur de l’écume. Joie, ô joie. Honore la pluie, les flocons qui tombent sur la langue, les forêts royales, les princesses blizzards. J’épouse les tempêtes, je cours le monde. Je reviens toujours devant la porte de seigneur mon père. Ses bras et ses murmures rauques m’accueillent. Lumppari qu’il m’appelle. Petite boule de neige. La langue du nord, aussi asséchée par les grands froids que polie par les chaleurs des grands cœurs loyaux. Son royaume qui s’étend sur toute une île. La nôtre. Lui et moi. Maman n’est plus avec nous. Partie avec les neiges éternelles de là-haut.
Je lui ai demandé de m’emmener voir l’ailleurs. Je veux m’égarer volontiers. Père n’abdique pas. J’attends que le monde vienne à moi. Je me fige dans la même posture au carreau cassé d’une fenêtre d’où s’échappent des houles gelées. Et j’attends en fixant les horizons frappés par ce soleil qui fait pâlir nos pupilles. Ce sont les mêmes hivers qui s’alignent jusqu’à ce que la magie bouleverse mon petit monde bien rangé comme il faut. Ce don paraît avoir été fait sur mesure. Une curiosité qu’il faut apprivoiser. Une seconde nature à dompter. Ça faisait partie de moi ? Ça a toujours été en moi ?
Une espèce de géant armé d’une hache et vêtu d’une chemise à carreaux, m’arrache à mon chez moi sous le regard contrit de mon seul parent. « Il va falloir être forte, Lumppari. Quand tu reviendras l’été prochain, tu auras beaucoup grandi. Ta mère…ta mère a toujours souhaité ça pour toi. » Mais pas lui. Sa fille, sa toute petite qui refusait de parler et préférait chanter avec les oiseaux, sa chétive qu’il chérit plus que tout…Dire adieu. Ça sonne faux, comme toujours.
Il faut apprendre la pureté du sang, la discipline élémentaire, la vie taciturne. Les humiliations publiques font partie du cérémonial, du baptême du feu. La nudité offerte à la foule des regards froids. Une fille à Durmstrang. Outrage à la gent masculine qui y règne. Le dortoir est presque vide. Les donjons sont humides. J’étanche ma soif de chaleur en usant des paquets et des paquets d’allumettes magiques avant de m’endormir. Dans cette chambre plongée dans l’insoluble. La nuit, il ne faut pas avoir peur. Dans les rêves agités, Salomon me rend visite. L’ami imaginaire. Le fabulateur de première classe. Plus rien ne m’atteindra demain, j’ignore les remarques acerbes sur mes tenues froissées. J’ignore qu’on s’adresse à moi. Je ne fais qu’un avec les murs, le nez dans mes livres, les paroles qui touchent de l’impalpable. Des débats animés, parfois virulents. Les années passent plus vite. Et c’est déjà fini. Le trépas scolaire.
Rentrer chez moi. Ce n’est plus pareil, la couleur des arbres a changé, l’air aussi, le vent rugit plus violemment. « Pourquoi les adultes mentent Björn ? » Je demande au bûcheron qui me raccompagne chez moi. Je dessine dans la neige avec un bâton. Des runes imaginaires. L’entrée est derrière moi et je fixe le gros bonhomme, poings sur les hanches. L’une des rares personnes qui ne m’a pas maltraitée, à qui je pouvais gueuler l’amertume, les colères passagères, tout ce qui me paralysait de l’intérieur. Il fallait bien briser la glace. « C’est dans leur nature. » Qu’il me répond d’un air évasif. Je louche vers Salomon qui compose un poème lyrique. Il hoche la tête, peu concerné par la question. Un soupir, une pression de la main, un au revoir.
Grandir, une obligation que nous impose les Grands ? Pourquoi choisir une voie plutôt qu’une autre ? S’il y a tant de possibles, pourquoi rester entourée de quatre murs ? Le père qui disait m’aimer, qui m’appelait Lumppari, où s’est-il égaré ? Il est distant. Seul. Rongé par les souvenirs de sa bien-aimée. Il me revoit en elle, il revoit son tragique destin. « Ta mère souffrait d’un mal incurable…à ta naissance, on m’a dit que toi aussi…tu ne vivrais pas longtemps. » Pas assez longtemps pour dévaler les montagnes, parcourir les revers du monde. Ça coupe dans le vif. La hache de Björn à la base du cou. Les poumons sanglotent. La poitrine se contracte. Le mal est là. Il sommeille.
Cela n’empêche personne de vivre. Se savoir condamnée, n’est-ce pas l’opportunité de savourer une dernière fois les choses aimées ?
Dire à sa famille qu’on l’aime de toutes ses forces, voir le vrai visage de ce qui nous entoure, apprécier chaque met, chaque minuscule joie, même les peines, les atrocités, les misères, les combats, les délires, la pitié, le futur noir, les pénibles moments. Je me réfugie dans les bois. Je glisse dans la poudreuse. Un bain de neige. Je ne dors plus, passant mes nuits à constituer une armée de bonhommes de neige tout autour du château. Je ne sens pas le regard qui m’épie toujours. Je ne sens pas la brûlure cosmique de ses doigts. Il me fascine. Le regard est un camaïeu de gris et de rouge. C’est le silence complet, le silence glacé entre nous. Je n’ai pas peur alors que je me doute qu’il n’est pas comme moi. Pas tout à fait humain. Sa peau est morte. Son visage marmoréen a le charme des oubliés. Il est tombeau, avalanche, ciel étoilé. Il me prend la main pour une seconde chance. Le mal hurle en moi. Je crache du sang dans une quinte de toux. Les semaines passent, il se contente d’observer l’agonie. Il a un visage sans nom. Il est mon protecteur. Je reviens vers lui toutes les nuits. Il me tient éveillée du « bon côté ». « Cramponne-toi à la vie. » Il répète les mots. Ils s’inscrivent dans mes songes creux. Mon corps est faible, il est obligé de me soutenir sur la fin. On s’écrase lamentablement dans l’éternelle blancheur. « Rends-moi la vie. » Je ne supplie pas, j’ordonne, c’est ma dernière prière. Il sourit. « Sais-tu ce qu’est…un baiser ? » Un point rose qu'on met sur l'i du verbe aimer ? Humide et salé. De l’eau de mer sur les lèvres.
Quand je me réveille, tout est parti. Les sens en pagaille. Je n’ai pas rêvé. Il s’en est allé. Et moi, je suis de nouveau…moi ? L’égarée. Moi sans être moi. Il a comme aspiré la magie, sa quintessence. Un trou béant, mais je suis en vie. Que désirer de plus ? Mon cœur ne bat plus. J’ai vingt et un ans. Et je suis morte. La chasse aux vampires, ce n’est pas qu’une légende. Avant qu’il y ait régulation de ces êtres par le Ministère, chasser du vampire était le hobby de certains psychopathes. Fuir là-bas fuir.
Les siècles un à un défilent. Des lumières aux ténèbres. Être la reine des salons, préciosité et art baroque. Parler aux philosophes partout en Europe. Voltaire, Diderot...Devenir le point de départ et le point d'arrivée. Débarquer dans la vie des hommes, la leur ôter parfois par nécessité. Faire chuter tout un empire. Provoquer des guerres par inadvertance. Être le fruit du hasard, suivre le vent. La France et ses Louis et ses Napoléon. L'Italie et ses Médicis. L'Europe, les États-Unis. Lincoln et Kennedy. Suffoquer dans un monde trop grand. Je m'arrête souvent en pleine rue pour m'attarder sur des silhouettes. Des ombres que Chronos délie petit à petit. Et moi, témoin de la déchéance, je ne peux que contempler la fin des temps. Bombe atomique, homicides, agent orange. Les pauvres crèvent toujours autant sur le trottoir. Accepte ta vacuité. Quelques notes d'espérance cependant dans l'humain. Une palette de couleurs sentimentales.
J'ai aimé. J'ai joué. J'ai perdu. J'ai abandonné. J'ai retrouvé. J’ai gagné. J'ai aimé encore. J'ai trahi. J'ai séduit. J'ai péché. J'ai tué. J'ai fait le mal, le bien, l'amour, la haine, les rêves, le plaisir, les jalousies. J'ai appris, mal appris, je me suis obstinée dans l'erreur, j'ai tout foiré. J'ai brûlé, je me suis noyée, broyée, écorchée. J'ai disséqué les âmes, j'ai vendu la mienne, l'ai recyclée. Je suis comme je suis. J’aime celui qui m’aime.
Quelqu’un m’a aimée comme les enfants qui s’aiment Simplement savent aimer Aimer aimer…
Et il est là. Le garçon qui regarde en l'air. Il manque de me marcher sur les pieds. Je n'évite pas la collision. Je veux voir le regard qui se trouble. Il a cet air de philosophe étourdi qui amuse mon regard polaire. Salomon rit dans mon dos alors qu'il bafouille quelque explication fumeuse. Il déblatère encore. Je l’interromps et c'est le début de notre histoire.
« Je m’appelle Céleste. »
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Jacques Prévert, Je suis comme je suis Edmond Rostand, Cyrano de Bergerac
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]▬ hrp
ϟ COMMENT NOUS AS-TU DÉCOUVERT ? Corrompue par ce cher Leor *regard noir puis câline*
ϟ LE NOM DE LA PERSONNE SUR TON AVATAR ; Sophie Turner
ϟ QUE PENSES-TU DU FORUM ? On dirait qu'il y a une chouette ambiance ici ♥
ϟ AS-TU LU/VU TOUS LES HARRY POTTER ? Yes sir !
ϟ SUR COMBIEN D'AUTRES RP ES-TU INSCRIT SANS COMPTER CELUI-CI ? Cinq... |
| | | Invité
| Céleste ~ orphan of the sky Sujet : Re: Céleste ~ orphan of the sky Jeu 10 Juil 2014 - 18:10 |
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| | | Invité
| Céleste ~ orphan of the sky Sujet : Re: Céleste ~ orphan of the sky Ven 11 Juil 2014 - 0:33 |
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| Bienvenue belle Céleste. ♥ Je ne sais pas vraiment si tu as terminé ta fiche mais si ce n'est pas le cas, bonne continuation. |
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: Science has not yet taught us if madness is or is not the sublimity of the intelligence.
ϟ ÂGE : 38 ϟ FONCTION : Ancien élève de Serpentard, ancien Langue-de-Plomb, Mangemort en fuite ϟ AVATAR : Godfrey Gao
ϟ LIENS : From childhood's hour I have not been. As others were, I have not seen. As others saw, I could not awaken. My heart to joy at the same tone. And all I loved, I loved alone.
| | | | | Céleste ~ orphan of the sky Sujet : Re: Céleste ~ orphan of the sky Ven 11 Juil 2014 - 11:18 |
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| Bienvenue ! Han bon sang Sophie elle est toute jolie ♥ |
| | | | | | | Invité
| Céleste ~ orphan of the sky Sujet : Re: Céleste ~ orphan of the sky Ven 11 Juil 2014 - 13:57 |
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| Merci à tous, merci pour la validation et tous ces compliments ça me touche beaucoup ! *bisoute Leor-Chou* |
| | | | Céleste ~ orphan of the sky Sujet : Re: Céleste ~ orphan of the sky Ven 11 Juil 2014 - 14:21 |
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| Waouh, ta fiche est magnifique ** Je suis vraiment vraiment fan, tant du personnage que de ton style et j'ai hâte de voir la façon dont tu la feras évoluer en rp ♥
Ps : Bienvenue, même si avec un peu de retard ! |
| | | Invité
| Céleste ~ orphan of the sky Sujet : Re: Céleste ~ orphan of the sky Ven 11 Juil 2014 - 18:53 |
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| Arsinoé > aucun retard *-* j'adore le prénom de ton perso, merci tout plein d'être passée =) |
| | | | Céleste ~ orphan of the sky Sujet : Re: Céleste ~ orphan of the sky Ven 11 Juil 2014 - 19:01 |
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| Je viens de lire ta fiche... juste wow ! Ton style est follement extra, j'aime le personnage et ta manière de la présenter. L'ambiance qui ressort me donne des frissons. Brefouille je te souhaite la bienvenue en te poutouillant chaleureusement. |
| | | Invité
| Céleste ~ orphan of the sky Sujet : Re: Céleste ~ orphan of the sky Ven 11 Juil 2014 - 19:38 |
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| Bienvenue ♥
J'aime beaucoup le personnage (et ce n'est pas seulement parce qu'elle est rousse 8D ) et comme tout le monde j'ai vraiment apprécié ton style d'écriture poétique, dans une subtilité toute vampiresque - ceci ne veut rien dire mais je me comprends et c'est un compliment. Une rencontre Thadd et Céleste s'impose. J'ai hâte de te voir rp et t'épanouir sur le forum (Leor sait comment parler aux femmes et les faire venir sur le forum /meurt)
Amuse toi bien ♥ |
| | | | Céleste ~ orphan of the sky Sujet : Re: Céleste ~ orphan of the sky |
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