Justin,

Tu sais que je ne suis pas du genre à envoyer des hiboux bêtement, de peur de paraître égoïste, ou déplacée. Mais si je le fais ce soir, c'est parce que ça ne va pas. J'ai besoin de te parler, que tu m'aides, et si je n'ai pas fais appel à Sybella, c'est parce que je me suis souvenue de ce que tu m'avais dis sur le terrain de Quidditch, il y a quelques mois. Tu m'as très bien fais comprendre que tu serais toujours là pour moi - c'est bien ça ? Eh bien, j'ai besoin de toi. De ta présence physique comme morale. J'ai besoin que tu me conseilles. Oh, je t'en pris, viens à moi Justin. Tu es le meilleur ami que je n'ai jamais eu - et n'aurais jamais.

J'ai l'impression d'être égoïste, parce qu'il est presque 22h, et que tu as surement mieux à faire. J'ai l'impression de t’arracher à ta famille, comme je t'ai toujours arraché aux autres, de toute façon. Alors je t'en supplie, une dernière fois ; viens. J'habite au 1 Vallance Road, Bethnal Green, Londres. Si tu ne viens pas, ça ne fait aucun doute que je comprendrais ta décision. Si tu ne viens pas, je ne tenterais plus de te joindre, ne t'en fais pas.

Je n'ai pas envie de t’alarmer, mais c'est presque une question de vie ou de mort - la mienne dans tous les cas. Si tu n'as pas mangé, sache que j'ai préparé deux trois trucs un peu dégueu' et j'ai du jus de citrouille, ainsi que de la Bierreaubeurre bien fraîche. J'ai aussi une chambre d'amis si jamais il est trop tard pour rentrer chez toi - eh oui, le transplanage, c'est encore un peu compliqué pas vrai ? J'ai cru entendre que ton amie Galatea avait essayé, et avait perdu une jambe à l'autre bout du monde : qu'elle sauterelle, celle-là. Trêve de bavardages, je t'attends, Justin.

P.S : Lilith est gourmande, pense donc à la nourrir si tu souhaites me répondre en retour. Sinon, elle décidera que ton lit est plus confortable que sa cage et ce, pour quelques semaines. C'est long, quelques semaines.

Je t'embrasse, mon Justin.

Ta Gaya - la folle.

Mon Amour,

Oui, maintenant je peux le dire, je peux l'écrire : mon Amour. Je suis fière de t'avoir auprès de moi et ce, depuis des années. Mon cœur me hurlait des choses incompréhensibles depuis des semaines, mais je n'y comprenais rien. Instinctivement, j'ai pris une plume, et je t'ai écris. Certes, j'avais besoin de parler de ces problèmes futurs qui me rongent comme une vieille maladie. Mais j'avais besoin de valider mes sentiments. Réels, profonds : envers toi, et toi seul. Je suis bien avec toi, je l'ai toujours été. Et j'ai compris quand tu as sonné hier soir, le regard apeuré. Sans doute t'attendais-tu à me voir dans un piteux état. J'avais probablement l'air d'une névrosée, en manque de drogue. En manque de toi. J'étais à bout de souffle, j'avais besoin de ton oxygène. J'avais besoin de revivre, Justin.

Je t'ai entendu sortir cette nuit, et j'ai compris ton besoin d'isolement. Je l'ai vu dans tes yeux quand tu attendais que je dorme. Je l'ai sentit dans ta voix quand tu m'expliquais que tout irait bien. Je l'ai même sentit dans ton souffle quand nous nous sommes embrassés. Tu étais submergé, et c'est tout naturel. Tu n'étais qu'à quelques pas de la porte d'entrée, pourtant, tu étais beaucoup trop loin de moi. Je sentais l'angoisse revenir, m'assaillir de plein fouet. Je suffoquais. Je pensais que tu ne reviendrais jamais, que tu avais à ton tour abusé de moi, de ma bonne volonté, de mon amour - comme l'ont fait bien d'autres avant toi. Je pensais qu'une nuit avec moi t'avais amplement rassasié, et j'ai pleuré. Oui, Justin - j'ai pleuré. Et Dieu seul sait que je ne pleure jamais. J'ai frappé l'oreiller sur lequel tu t'étais assoupi, j'ai hurlé ton prénom comme on hurle à la mort. J'ai tapé sur les murs, mordu ma propre chaire : je te voulais encore. Et puis, j'ai entendu la porte d'entrée, alors que je m'étais faite une raison. J'ai senti ton parfum, ton odeur. Et alors j'ai réalisé à quel point j'étais égoïste. J'avais réagi comme une enfant gâtée. Une de celles qui hurle quand elle veut une nouvelle part de gâteau. Mais tu n'es pas quelque chose dont j'en redemande un peu, Justin. Tu es ce dont j'ai besoin tous les jours, toute la vie. Maintenant, je sais. Maintenant, je me sens mieux. Je comprends ces boules dans l'estomac en ta présence. Je comprend les frissons quand tu t'approchais pour resserrer le nœud de ma cravate verte et argent.

Justin, tellement de différences, et pourtant, c'est toi. En fait, ça a toujours été toi. Mais pourquoi est-ce maintenant que je le réalise ? J'ai toujours cru que tu n'avais d'yeux que pour les autres filles - jusqu'à penser que c'était Syb l'élue de ton cœur, la haine amenant à l'amour non ? Pourtant je ne t'ai jamais détesté, et maintenant, je peux le dire : Je t'aime, Justin.

Mais notre amour est-il seulement possible ? Je ne sais même pas si l'on peut parler d'amour. Une nuit -aussi merveilleuse fut-elle- est-ce réellement de l'amour ? Pour moi, c'est clair. Mais nous savons tous les deux qu'il serait compliqué de continuer ensembles, même si j'en ai le cœur déchiré. Je ne veux pas t'avoir seulement une nuit, Justin. C'est égoïste, mais je te veux à vie. Malheureusement, je pense que l'on doit en parler toi et moi. Face à face. Rester avec toi, tout en restant parmi eux, est-ce seulement possible ? Dis moi...

Je t'entends bouger dans la pièce à côté. Je m'empresse d'aller te glisser la lettre dans les doigts, glissant de même un ou deux baisers sur tes lèvres. Il faut qu'on en parle, Justin. Même si ça fait mal. Et même si on se blesse, sache que mon amour pour toi sera constant, voir croissant - parce que ça a toujours été comme ça, finalement. Pourquoi cela changerait-il ?

Je t'embrasse, mon amour Justin.

Gaya -

P.S : *quelque chose est écrit illisiblement, comme gommé.*

Mon Amour,

Nous sommes un couple, et maintenant j'en suis sure. J'en ai eu la validation après cette journée passée à tes côtés. Nous étions deux contre le reste du monde, comme si finalement, rien d'autre n'était important. Main dans la main, regards verrouillés l'un sur l'autre ; nous étions fort. Nous sommes forts, mon amour. Et à vrai dire, je pense que j'ai fais mon choix. Les Mangemorts, c'est terminé pour l'instant. J'ai décidé de mettre cette vie de côté pour la passer auprès de toi - aussi longtemps que possible. C'est bien plus agréable nos journées, plutôt que de traquer des personnes que je ne connais même pas. Tu es plus agréable. Tu es aimable. Je t'aime.

Ne sois pas étonné, ou même déçu si je ne te dis pas les choses en face ; comprends simplement que c'est difficile pour moi. Je n'ai jamais aimé, je n'ai jamais été aimée. Je ne sais pas comment m'y prendre, j'espère faire de mon mieux. Te l'écrire est beaucoup plus simple pour moi, même si tu lis cette lettre devant moi, une main posée sur ma cuisse. J'en ai des frissons, Justin. J'ai l'impression que notre amour est bien plus fort que tout. J'ai l'impression que, grâce à toi, je suis quelqu'un de nouveau. Plus forte, plus belle. Je pourrais déplacer des montagnes si seulement tu me le demandais. Oh, Justin. Je suis amoureuse de tes yeux, de ta voix, de tes cheveux, de ton sang même et de l'oxygène que tu respires. Tout ce que tu touches est béni. Oh Justin, que m'as-tu fais ?

Il est où le temps où nous étions les meilleurs amis sur terre ? Le temps où se croiser dans les couloirs était normal, sans sous entendus ? Je me plais à y repenser, imaginant ce que toi, tu pouvais ressentir pour moi. J'ai l'impression que c'était il y a des années, mon amour.

Tu es resté chez moi quelques jours depuis, et je ne peux que remercier le Seigneur le destin, le sort qui nous est favorable. Nous sommes un couple ; je le redis, je le répète pour que jamais tu n'en doutes. Moi je n'en doutes pas. Tu as la plus grosse place dans mon cœur, et je dirais même que grâce à toi, j'ai repris confiance en moi. Je suis heureuse, Justin. Tu entends ? Heureuse, et ça grâce à toi. Au fond, qui d'autre aurait pu me rendre aussi bien qu'un être que j'aimais déjà ?

Tu es parti il y a de ça quelques minutes voir ton patron, et j'ai déjà le cœur qui s'emballe. J'ai l'impression qu'on me coupe les vivres chaque fois que tu pars. C'est horrible, et égoïste - encore une fois. Pardonnes moi. Tu liras cette lettre quand à mon tour, je partirais remplir mon dossier d'inscription pour devenir Professeur. J'espère que je te manquerais autant que tu me manques - tiens, l'égoïsme frappe encore.

Je t'aime, Justin. J'ai besoin que le monde entier en soit conscient. Et je pourrais passer des heures à l'écrire, me foulant le poignet, brûlant mes doigts, gaspillant du parchemin : Je t'aime. Et je dis "Merde" au monde entier, parce que rien ne vaut plus que ton bonheur à mes yeux. Je vis désormais pour toi. Prends soin de moi. Je ne sais même pas si j'en vaux la peine, finalement, égoïste comme je suis.

Reviens vite, j'ai froid. Et j'ai du mal à respirer.

Je t'aime.

Mon Amour,

J'ai lu ta lettre, et je me rends compte à quel point tes mots sont justes. Tu parles d'imprévu, et mon corps a frissonné tellement ce mot nous colle à la peau. Je relis cette phrase encore et encore, parce qu'elle résume notre relation. Elle résume tout. Tu es mon tout. Tu es mon imprévu. Et je ne conçois plus rien sans toi. C'est d'ailleurs peut-être très précoce, mais c'est vrai. Tout ce que je fais, tout ce que je lis, dis, me rapporte à toi. C'est comme une évidence. En fait, ça a toujours été comme cela. Je m'étais toujours dis que dans une autre vie, une autre dimension et dans d'autres circonstances, tu serais l'homme que j'aime. Pourtant, je n'ai pas voyagé bien loin, ni même changé de planète : tu es là. Et je t'aime.

Comme tu le sais, je suis partie aux Caraïbes avec mes parents - le transplanage s'est plutôt bien passé d'ailleurs, même Lilith a survécut. J'aurais aimé te dire que mes frères et sœurs sont avec moi. Mais comme tu le sais, je n'en ai pas. Et si tu avais déjà rencontré mes parents, tu aurais compris pourquoi. Tu dis dans ta lettre précédente que tu veux savoir mon enfance, mon passé, le métal qui me forge : j'ai été adoptée, mon amour. Je ne suis pas la fille de mes parents, du moins, pas légalement. Mais qu'est-ce qui est légal de nos jours ? Même pas notre amour. Pourtant, je les aimes comme personne. J'en veux à ceux qui m'ont délaissés - mais peut-être avaient-ils une bonne raison. Et maintenant que tu sais ça, tu sais majoritairement ma vie. Contrairement aux apparences, je n'ai pas eu de vie géniale, hors de l'ordinaire. Je veux savoir tout de toi, moi aussi. Je crois que je pourrais passer des heures à te lire, mon amour. Rien que de savoir que tu penses à moi en l'écrivant me rend malade.

Je vois que Lilith est déjà très impatiente d'aller te porter cette lettre. Pauvre bête, elle va devoir faire beaucoup de kilomètres. Et tu sais combien je l'aime, cette chouette. Voilà qu'elle me croque la main. Je ne tarde plus, et je t'envoi de même une photo de moi, une photo magique et mouvante, pour que tu puisses me voir sourire en pensant à toi. Je t'aime, Justin. Et c'est magique comme je suis folle amoureuse de toi.

Prends soin de toi, j'ai hâte de sentir ta présence dès mon retour. Tu me manques.
Je reviens vite.

Gaya. *un cœur est dessiné à côté.* ♥

P.S : J'ai été accepté à l'école d'Enseignement Magique ! Je suis tellement heureuse. Et ça me rappelle tes quelques mots : même si nous étions sans argent, rien ne m'empêchera de t'aimer. Alors oui, nos deux petits boulots combinés sont amplement suffisant. (Au pire des cas, mon père peut nous prêter quelques Gallions. Mais je sais que tu déclineras l'offre.) Je t'aime.

Spoiler:

Cette photo là, c'est pour toi, et seulement toi. Pour ne pas que tu m'oublies. Pour que tu te souvienne comme j'étais ce soir là, le soir où tu m'as embrassé. Te souviens tu de l'avoir prise, cette photo mon amour ?

Spoiler:

Mon Amour Justin,

Pardonne moi de répondre aussi tardivement, mais Lilith connait mal les Caraïbes, et du coup, elle a préféré nous attendre sagement au Manoir. Je sais que tu attendais une réponse rapide, et du coup, je m'excuse encore une fois de ne répondre que maintenant.

Est-ce que c'est un choix que tu me demandes de faire ? Je veux dire : me demandes-tu de choisir entre les Mangemorts-ma famille- et toi ? Justin, je ne peux pas. Ce sont deux choses bien différentes. Je comprends tes craintes, je comprends tes doutes. Et tu me demandes de faire ce choix crucial au point le plus important de ma vie : je pense avoir retrouvé mon père biologique. Et j'aimerais t'en parler en personne, histoire que ma vie privée ne se retrouve pas lue par un inconnu si jamais Lilith se trompe de destinataire. Laissons-nous du temps ? Quelques mois, quelques semaines ? Quelques heures ? Justin, mon corps explose de l'intérieur de par ton absence trop longue, et tu me demandes de faire un choix ? Je ne conçois pas ne pas te revoir - jamais. Mais tu veux une réponse. Une vraie, réponse. Alors la voilà, même si ça me tue, même si en ce moment même, mes larmes souillent le parchemin : quittons nous, Justin. Finalement, c'est la meilleure des solutions. Le seul côté positif de cette déchirure, c'est de te savoir désormais en sécurité. S'il n'y a eu aucune fuite, personne ne sait pour nous. Pour nos longues nuits, nos longs moments ensembles, où nous ne faisions rien, si ce n'est nous regarder. Je t'aime, Justin. Pour toujours et à jamais. Et même si tu vis loin de moi, et même si tu rencontres une autre femme, et même si tu m'oublies : moi je ne t'oublierais jamais. Tu es une partie de moi, une partie de mon âme, une partie de mon corps et de mon cœur. Mes poumons, mon oxygène. Je t'en supplie, laisse moi au moins les deux vêtements que tu as oublié chez moi : ils sont emplis de ton odeur.

Justin, je t'en supplie ne m'en veux pas. Laisse moi simplement faire le tri dans mes pensées, apprendre à connaître mon père, et reviens moi. Qu'on puisse au moins se parler. Je t'aime, mon amour. Et je suis capable d'aller le hurler au milieu du hall du Ministère.

P.S : Je viens de me relire, et ma lettre est pleine de contradictions. C'est parce que je suis pas bien, je me sens mal, et cette rupture m'a totalement vidée. Je suis un pantin, un gros ballon vidé d'air. Je suis une loque, un monstre. Et j'ai besoin de toi.

A la Beuglante, est rattaché un petit colis contenant le paillasson parfaitement intact, encore couvert des salissures bien connues du malfaiteur, et un petit parchemin avec un montant à trois chiffres plutôt exorbitant d'un magasin de chaussures.

JUSTIN. FINCH. FLETCHLEY. JE TE HAIS.
Non content de bousiller mon sommeil en venant hurler des horreurs à ma porte à une heure complètement inappropriée – note qu'il n'y a cela dit AUCUNE heure pour venir un jour te pointer chez moi -, tu vomis sur le paillasson. Et tu m'écris pour me dire que tu n'en as rien à faire.

Ah, t'en as rien à faire ? ET BIEN PAS MOI. MOI JE VAIS TE LE FAIRE BOUFFER, CE PAILLASSON. Foi de Tyrel. Je n'ai même pas compris un traître mot de tes élucubrations, t'étais tellement ivre que tu ressemblais à un énorme et vieux fût d'hydromel puant. C'était lamentable, triste, déprimant, sordide, horrible. Tu. Me. Dégoûtes. Toi et ta sale manie de venir faire le troll sous mes yeux, et de me dire à moi que c'est entièrement et exclusivement ma faute. MAIS DE QUOI BON SANG, DE QUOI PAR TOUS LES KRAKENS ?! Et en plus t'as salopé mes chaussures, qui valent plus chères à mes yeux que ta petite vie misérable de larbin. C'est pas parce que t'astiques les manches de mon frère que tu dois t'en prendre à moi, c'est TA médiocrité qui est à blâmer !!

Si c'est l'échec cuisant de ta vie, si c'est ton incapacité à devenir un adulte mature et responsable, ou si c'est je ne sais quelle connerie insipide et puérile de ta part qui te met dans des états pareils, alors un conseil : arrête le Whisky-pur-feu, prends tes affaires et va t'installer en Alaska. UNE BONNE FOIS POUR TOUTES. Parce que je me contrefous éperdument de tes problèmes et que c'est la première et dernière fois que tu me …. tu me … Je te hais.

Sybella.

PS. Ne me réécris plus. Ceci n'est même pas une menace, c'est un ordre. Si tu OSES encore me faire l'affront d'une Beuglante pareille, je viens directement chez toi et je t'émascule. Et non, tu ne veux pas savoir comment, crois-moi.

PS1. Voici, ci-joint, la facture des dits « talons en écaille de Boutefeu chinois ». Parce qu'au prix qu'elles m'ont coûté espèce de sale veau illettré, il est HORS DE QUESTION QUE TU NE PAIES PAS LE NETTOYAGE.

PS2. J'espère que le paillasson plein de vomi que tu as contaminé t'es tombé dessus. Voilà ce que ça fait, gros poivrot. Et pour ton information, Dean et Seamus n'ont pas du tout apprécié.

La lettre - car cette fois-ci il s'agit d'une lettre - est écrite à la va-vite. Et le hibou livreur a apparemment trop mangé, car il semble avoir été engraissé pour faire ses besoins à peine arrivé chez le destinataire ...

OUAIS. Ouais j'adorerais que tu t'écrases. D'ailleurs tu ne mérites que ça. Et sache pour ta gouverne que si j'ai besoin qu'on me fasse un cours magistral sur les créatures magiques, je ne m'adresserais JAMAIS à toi (parce qu'il me semble bien que tes résultats à ce sujet frôlaient le Troll). Et je ne sais pas ce que tu as avec moi, peut-être que tu es simplement obsédé par moi, peut-être que tu es jaloux, jaloux de ma vie, mais va te faire soigner Finch-Fletchley, t'es une vraie plaie ! Une plaie dont je préférerais me soigner plutôt que d'avoir à endurer tes gamineries de bébé pleurnichard et vomisseur.

Ca me fait presque de la peine de voir que tu t'es réfugié dans l'alcool, tiens. Je sais pas comment le prendrait Joshua. Que son employé fidèle soit addict au Whisky-pur-feu ... Tu risquerais pas un peu ta place, Finch ?

J'ai jamais demandé à ce que tu viennes pleurer devant chez moi. Je ne recueille pas les causes désespérées, je ne suis pas Mère Teresa, et je n'aurai JAMAIS la moindre compassion pour toi. Sache-le, imprime-le bien dans ton petit crâne de moineau et n'imagine même pas un seul instant que tu aies la possibilité de récidiver devant chez moi un autre soir de toute ta vie. Ou je finirai à Azkaban, mais pour une bonne raison.

J'en viens à me dire que quelque chose ne tourne pas rond. Que tu as pété les plombs pour de bon. Je ne sais pas ce que tu as fait, je ne sais pas du tout pourquoi tu es encore plus suicidaire et kamikaze qu'avant. Mais je vais le savoir. Et quand ça sera fait, crois-moi, tu préféreras encore n'avoir jamais vu le jour.

S. Tyrel.

PS. Au fait, il paraît que la remise de la boutique aurait été complètement mise en désordre la nuit dernière ... J'espère que ce n'est pas toi qui as du tout ranger. Ca a du prendre un temps fou.

Cher cher cher Justin,

A côté de cette lettre tu trouveras (si tu n'es pas encore à moitié endormi comme la dernière fois où tu as confondu tes corn-flakes avec les graines de Pee-Wee), sur la table une fournée de beignets. Très bon avec du nutella. Une nouvelle recette dont tu me diras des nouvelles. Dans le frigo il y a aussi un hachis-parmentier de canard pour ce midi.

Depuis un moment tu sembles fatigué et surtout triste. Je ne sais pas ce qui se passe, mais je te connais tu sais et même lorsque tu me dis que tu es juste à l'ouest à cause de ton travail, je sais que quelque chose ne va pas. Tu sais très bien que je suis là pour toi, si tu veux de l'aide, une oreille attentive ou juste un câlin il suffit de le dire. C'est pas drôle de te voir comme ça !
Sinon ce serait bien de se faire un week-end avec Dean et Seamus, une randonnée avec les tentes, le feu de camps et les chamallows ! Je ne demanderai pas à Sybella de nous accompagner, ne t'inquiète pas je sais très bien que ce serait l'enfer sinon.

PS : A part ça, il faut absolument que l'on prépare notre fête pour Halloween, tu t'occupes des boissons ?

Bon appétit et bonne journée.
Signé Hannah.

Yo Justin,

Andy m'a raconté que ton rêve le plus cher était de devenir un vrai Jedi alors je me suis sentie obligé de te proposer mon aide.
En même temps, elle a insisté en disant que tu serais un super bon chevalier Jedi, surtout que ton nom commence par J comme le mien, et que ça ferait énormément plaisir à PPS. Tu comprends que face à toute cette pression, je n'avais pas le choix. Mon sens de l'honneur était en jeu.

En gros, ça fait assez longtemps que je me suis converti au Jediisme et c'est pour ça que j'accepte d'être ton maître afin que tu puisses passer les épreuves.
Je sais, tu ne t'attendais sûrement pas à une nouvelle pareille venant de moi, surtout qu'on ne s'est jamais vraiment parlé à Poudlard. Seulement, je pense que c'est nécessaire. Je ne peux pas te laisser t'égarer, tu risquerais de rejoindre le côté obscur de la Force. Surtout qu'à ce que j'ai compris, Andy te voit comme son propre maître. Je tiens à te préciser d'ailleurs que ça ne me pose aucun souci, même si c'est une des raisons pour lesquelles je veux que tu aies un bon apprentissage.
Ça ne sera pas évident vu que tu n'es plus à Poudlard mais c'est un détail. Nous avons la Force de notre côté, jeune Padawan, ils ne peuvent rien contre nous.

En attendant ta réponse, je t'encourage à respecter à la lettre le Code Jedi.
Ce n'est pas facile tous les jours, surtout avec Zahari dans les parages, mais vu que je vois en lui l'image de Dark Vador, on peut se permettre quelques écarts.

Ton futur maître, Jude.

Mon Maitre Yoda.

Si tu savais comment ta lettre m'a redonné le sourire, j'avais écrit une réponse, mais je l'ai perdu sur le chemin de la tour des hiboux, du coup je m'excuse pour cette attente. Depuis que tu es parti, la salle commune de Poufsouffle est devenue bien calme et je me donne beaucoup de mal pour mettre de l'ambiance, mais je ne suis pas sûre que les gens m'apprécient autant que toi.

En fait, je dois avouer que je m'ennuie beaucoup en ce moment, entre mes colles hebdomadaires avec Monsieur Delpech, mes cours de rattrapage en astronomie avec Miss Crow et enfin mes cours particuliers avec Isaac -même si ça me plaît bien de passer du temps avec lui-, j'ai beaucoup moins de temps pour jouer. De toute manière, personne ne veut jouer avec moi, sauf Jude et Galaad, mais ils sont vieux et ont souvent d'autres choses à faire, surtout maintenant qu'ils jouent dans un groupe.

Les autres élèves de mon âge, pensent que je suis stupide et suicidaire. Flora Preston, une débile de notre maison, a même dit que j'allais sûrement me faire virer de Poudlard avant d'avoir mes BUSES, si je les ai. Je me fiche bien de ce qu'elle peut penser, elle ou les autres, c'est juste que parfois j'aimerais bien avoir un ami rien que à moi pour faire les quatre cents coups. Heureusement que j'ai Ulysse et PPS. D'ailleurs je crois qu'elle a pris un peu de poids à force de manger tous les bonbons de premières année de Serpentard, il va falloir que je la fasse un peu courir, il ne faudrait pas qu'elle devienne aussi grosse que le Professeur Lewis.

Cela dit, ne pas avoir d'ami, me permet au moins de pouvoir m'entraîner avec Oswald, afin devenir titulaire dans l'équipe de Quidditch. Il dit que je suis vraiment douée et que si je persévère je serais sûrement la meilleure batteuse que Poufsouffle n'est jamais eue. Ouais je sais, je t'impressionne.

Je dois te laisser, j'ai une bande de Serpentard qui me course depuis ce matin, mais je ne sais même plus pourquoi. Ah si, peut être les cookies.

Hâte de vous revoir, toi et Hannah.

Ps : Jude a dit qu'il nous ferait, PPS et moi, entrer dans la salle commune de Serpentard, je te raconterais bien sûr.

Ps bis : Ne t'en fais pas pour moi, je suis un Padawan qui déchire.

Ton Padawan.

(Plus bas une griffure de PPS) ← C'est sa manière de dire bonjour.

Finch !

J’espère que tu es content du super cadeau que j’ai pris la peine de t’offrir. Au cas où tu n’aurais pas compris, il s’agit d’un haricot en carton. Tu sais, les petits récipients d’hôpital pour vomir dedans. Je me suis dit que ça évitera que tu gaspilles un PUTAIN DE PAILLASSON la prochaine fois que tu te mettras mal.
J’ai aussi une très jolie photo de toi à la soirée Halloween, je te l’ai joint ci-contre. Tu sais, c’est celle que tu as faite avec Seamus quand …. Enfin bon, je pense que l’image parle d’elle-même. Inutile de croire que tu as le seul exemplaire entre tes mains, j’ai dupliqué l’original. On sait jamais, des fois qu’il te prendrait l’envie de vouloir faire ton coming-out en public, j’ai les moyens de t’y aider.

Passe un joyeux et sage Noël, Finch-Fletchley. Les fêtes, c’est sacré !

Tyrel

Hey Justin,

Je suis arrivé hier à Londres et j'ai passé ma journée à faire mes achats de Noël, autant te dire que je suis ruiné et que je suis bon pour faire des heures supplémentaires, mais je ne pouvais pas ne pas faire un cadeau à mon partenaire de chambre favoris (bien que ça ressemble plus a un No Man's Land).

Ce n'est pas un truc de fou, mais je pense que cela va te faire marrer. Voilà donc un T-Shirt "Je suis le 1er Maitre de PPS", uniquement pour toi. C'est une petite boutique indépendante qui permet de créer son propre T-Shirt et j'ai tout de suite pensé à toi. Après tout c'est un peu notre mascotte, d'ailleurs elle est en vie ? J'espère que ça te plait, on se voit au nouvel an !

JOYEUX NOEL.

Dean.

Cher Maitre,

Déjà Joyeux Noël et bonne année. Je ne sais pas trop quand tu recevras cette lettre, vu que tu es sûrement retourné chez toi pour Noël, mais j'espère que tu seras content de ce petit cadeau. UN SABRE LASER. Attend pas n'importe lequel, celui d'Obi-Wan Kenobi, qui de plus est joué par un Ecossais, le grand Ewan McGregor. Comme ça tu pourras te battre avec classe et tu seras le dieu des prochaines soirées déguisées !

PPS est réellement incroyable ! Hier elle a volé tous les caleçons des septièmes années de Serpentard, ils étaient terriblement en colère, mais ils sont tellement cons qu'ils pensaient que c'était Jude le voleur. Au moins, je n'ai pas été collée.

Profites bien de tes vacances, on se voit bientôt à Pré-au-Lard, maintenant que tu y vis.

JOYEUX NOËL.

Tu me manques. Ton Padawan, Andy.

Hey Justin !

Joyeux Noël ! J'espère que tu t'ennuies pas trop de notre présence, et surtout de celle de Sybella.
J'ai la la vague impression que vos rapports s'améliorent de jour en jour. Quand ça sera ta deuxième meilleure amie, tu n'oublieras pas de nous remercier, Hannah et moi.

Pour te remercier de ta patience, je t'envoie un super cadeau qui j'espère te fera plaisir. C'est une nouvelle batte de Quidditch. Je me rappelle que la tienne a pris un sacré coup lors de ton dernier match contre Serpentard. (Mais la tête de Malefoy quand il a vu le cognard arrivé sur lui en valait la peine.)

On se voit au nouvel an !
Seamus.

Salut, Finch,

Noël, c'est une sorte de nomansland, du coup, j'ai pensé que tu étais dans le droit de savoir. J'ai retrouvé mon père. J'ai son nom, son adresse, et j'attends sa réponse quand à une éventuelle rencontre. Le seul hic dans l'histoire - eh oui, tout n'est pas rose, on est bien placés pour le savoir - c'est qu'on m'a dit de lui que c'était la pire raclure de merde vivante sur terre, et aussi que les mages noirs l'avaient aidé à s'échapper d'Azkaban : je suis officiellement la fille d'une raclure de poisson mort qui sent la mort. Mais bon, avant de tirer des conclusions hâtives, j'attends de le rencontrer, et si tu le souhaites, je te tiendrais au courant des suites de cette histoire. Ah oui, j'ai glissé dans la lettre un cadeau de Noël pour toi. Je sais, tu ne t'y attendais probablement pas, mais tu me manques, c'est un fait, et mes sentiments ne se sont pas envolés en quelques semaines. Du coup, j'espère que cette écharpe tricotée de mes propres mains aux couleurs jaunes et noires te plaira - j'ai mis beaucoup de temps à la faire.

Passe de Joyeuses Fêtes de Noël, Finch.
Et à un de ces jours, je l'espère.

Gaya.

Cher Justin le seul homme dans mon cœur,

Nous voilà chacun dans nos coins respectifs pour fêter noël, je ne sais pas si finalement tu es parti dans ta famille ou si tu es resté à l'appart (ne fait pas de mauvaise farces à Sybella s'il te plait, je suis certaine que vous vous entendrez bien un de ces jours si vous faites un effort chacun de votre côté), dans tous les cas tu restes le bienvenu chez les Abbot si tu veux passer pendant les vacances (mes parents t'adorent et Louisa attend impatiemment de parler Quidditch avec toi). Pour tout te dire je suis un peu triste de te voir aussi éloigné géographiquement de moi, c'est que au bout de presque huit ans je me suis habituée à voir ta tête tous les jours, la colocation renforçant aujourd'hui cette impression. Bref, ce n'est pas correct de ma part de parler de choses tristes en cette période de l'année qui doit au contraire respirer la gaieté. Je comptais tout de même t'offrir un petit cadeaux comme d'habitude et Pee-wee le déposera pendant la nuit de Noël (je t'interdis de veiller pour l'ouvrir avant l'heure !), je veux que tu gardes la surprise jusqu'au bout, c'est ça aussi la magie de cette fête après tout. J'ai réfléchi longtemps avant de choisir pour le contenu de ton présent, je pense avoir fait le bon choix et de toute manière tu pourras le rendre s'il ne te plaît pas (je n'en ferais pas conséquence).

Merci d'être cet ami formidable. Joyeuses fêtes.

[le cadeau est le dernier Nimbus sorti cette année, accompagné d'un nécessaire de nettoyage et des tickets pour un match au choix de la coupe de Quidditch de Grande Bretagne.]

Justin,

Si on m'avait dit qu'un jour, je recevrais une lettre écrite de tes propres mains, le jour de la Saint Valentin, j'aurais rigolé, et mon cœur ce serait un peu plus déchiré, encore. Ta lettre m'a fait beaucoup de bien, vraiment, parce qu'après ce qu'il s'est passé, j'ai eu besoin de t'oublier - et malgré de nombreuses tentatives, c'est toujours compliqué. Mais que veux-tu ? Le monde, la vie même, c'est quelque chose d'affreux. J'espère que tu as toi aussi passé une superbe Saint Valentin, parce que tu le mérites, parce que tu es quelqu'un de génial, et qu'une fille comme moi ne pourrait jamais espérer mieux. Tu mérites tout l'or du monde, Justin. Vraiment. Et si je pouvais revenir en arrière, *la phrase est rayée avec beaucoup de haine.* Ne t'en fais pas, j'essaie de prendre soin de moi. Je suis encore à Poudlard, et du coup je me sens entourée, je m'attends parfois à te voir au détour d'un couloir, et tu me prendrais la même, et nous irions admirer les étoiles. Je ne garde que les moments positifs passés avec toi - du moins, j'essaie.

Bonne journée, Justin. Prends soin de toi de même.
A bientôt, Gaya. xx

Cher Maître Jedi,

Je te souhaite un joyeux anniversaire un peu en retard, mais ce n'est pas ma faute il y avait grève des hiboux. Comme si les hiboux avaient des droits à revendiquer. Enfin, j'espère que tout va bien dans ta petite vie avec ta colocation de rêve et surtout prend soin de toi. J'ai cherché pendant des mois un cadeau à ta grandeur et du coup j'ai demandé à ma mère, pas Mlle Crow, mais la styliste de le faire pour toi. Donc voilà un haut absolument unique inspiré de ton maillot de Quidditch, auxcouleurs de Poufsouffle, mais avec la tête de Yoda devant, parce que tu es le meilleur !

D'ailleurs c'est moi qui ai récupéré ton numéro dans l'équipe et j'essaye de te faire honneur en m'entraînant tous les jours. Samedi dernier on a pulvérisé les serpentards, si tu avais vu la tête de Lynwood dans les gradins, c'était vraiment trop drôle. Peut-être qu'un jour tu pourras venir me voir jouer et comme ça tu pourras revoir PPS qui devient meilleure de jour en jour. Bon je te laisse, profite de ton anniversaire et surtout de passer du bon temps.

Que la force soit avec toi.

Padawan McGildroy.

Yo Justin,

Je suis en train d'écrire une lettre au gars qui partage ma chambre, je crois que je ne m'améliore absolument pas, mais bon je me suis dit que ça fait toujours plaisir de recevoir une lettre, alors voilà, JOYEUX ANNIVERSAIRE. On fêtera ça comme il se doit et cette fois c'est toi qui sera K.O avant. Ne le dit pas à Seamus, il va dire que je vais perdre avant même d'avoir bu le premier verre.

Qui dit anniversaire, dit cadeau et tu te doutes bien que je t'ai trouvé un cadeau génial pour tes 18 ans, autrement dit une nouvelle crosse et des billets pour le match de ton équipe anglaise préférée. Si tu te demandes comment je sais pour ce sport étrange, je répondrais simplement que tes affaires sont incroyablement mal rangées. Enfin, je ne vais pas critiquer, tu sais aussi bien que moi, que ma partie n'est pas mieux. J'espère que ton cadeau te fera plaisir et si tu me cherches je suis en train de faire un gateau avec Hannah.

A ce soir partenaire.

Ps : On se fait une revanche sur la Play quand tu veux.

Dean.

(Cette lettre a été envoyé à la bonne date)

BON ANNIVERSAIRE JUSTIN. ♥

J'espère que m'en veux plus pour avoir débarqué dans ta chambre en gueulant ce matin et ça sans avoir encore apporté ton cadeau. Mais tu vois, fallait bien te réveiller. Pas de grasse mat le jour de son anniversaire, surtout qu'Hannah avait un gâteau.
Mais c'est pas grave. Je l'ai enfin, le cadeau. Je savais pas trop quoi prendre, alors j'ai trouvé ce jeu là, Star Wars: Dark Forces. J'espère que Dean te laissera jouer, ou tu pourras le faire quand il sera pas là, mais vu que Andy passe son temps à dire que tu es son maître jedi, j'ai pensé que ça serait de circonstances. Et bon, vu que je sais que Dean t'a sûrement fait un cadeau bizarre avec du sport moldu, je t'ai pris des places pour le prochain match des Harpies de Holyhead. Parce que le Quidditch c'est cool, et que je sais que tu les trouves mignonnes.

Ce soir, on se fout une grosse mine pour fêter ta majorité moldue mec. Dean va encore finir mort avant nous mais je te mets au défi de boire plus que moi sans salir le paillasson !
Seamus.

Cher Justin,

J’ai une excellente nouvelle à t’annoncer, je vais avoir un petit frère ou une petite sœur ! J’ai appris ça aujourd’hui, une vraie surprise, je m’y attendais tellement pas. Papa Oz, aurait pu me le dire tout de même, c’est pas comme si je le voyais jamais. En tout cas je suis tellement contente, même si j’ai un peu de mal avec Mademoiselle Crow… Tu pourras le dire à Seamus s’il te plaît ?

D’ailleurs, comment ça va à la colocation ? Toujours une bonne ambiance ? Pour ma part j’ai hâte de partir en vacance d’été, Jude va même venir chez moi pour faire du surf. Puis avec mes parents on va partir en Inde pour le mois d’août, j’ai tellement hâte, je t’acheterais un souvenir.

Hate de te revoir.

Andy J. McGildroy.