ϟ ÂGE & DATE DE NAISSANCE : 11 ans, née le 08 décembre (pour l'année , je vous laisse faire le calcul)
ϟ LIEU DE NAISSANCE : Manoir familial à Godric's Hollow ( ouest angleterre)
ϟ ANNÉE & MAISON : 1er année, Poufsoufle
ϟ ORIENTATION SEXUELLE : Un monsieur qui demande son orientation sexuelle a une petite fille est soit un docteur , soit un pervers. Je ne vois pas de blouse blanche, ni de stéthoscope. Faites vos conclusions.
ϟ DESCRIPTION DE LA BAGUETTE MAGIQUE : Pommier, ventricules de dragon , 29.7 cm , particulièrement flexible et à forte personnalité (tendance à faire des étincelles pour se faire remarquer).

ϟ BUT DANS LA VIE : Découvrir le monde serait un bon début, mais avant ça, il faut travailler à l'école et avoir son ASPIC sinon mes parents ne me laisseront pas tranquille. Après je sais qu'ils font ça pour mon bien. J'aimerai aussi gagner le championnat de bavboulle. Et apprendre la langue de diverses créatures magiques.

ϟ CE QUI COULE DANS VOS VEINES : Descendante par mon père de la famille Selwyn ( une des plus vieille famille de sorcier d’Angleterre) et par ma mère de la famille Meliflua (bien connue pour ses membres aux idées oligarchiques), sans contexte de sang pur. Et on me l'a assez répété depuis ma naissance... rien que de penser aux journée passées à apprendre l'arbre généalogique, j'ai la tête qui tourne.

ϟ VOTRE ANIMAL DE COMPAGNIE : Une chatte noire, fine et élégante, de 2 ans, aux yeux vairons (un iris bleu et l'autre doré) nommée Holda.Cette minette ne se prend pas pour n'importe qui et sait mettre au pas tous les autres matous du dortoir. Sinon, elle adore chasser et me ramener des cadeaux. De préférence vivants et dans mon lit. Chez mon grand-père j'ai aussi pleins d'autres créatures étranges et magiques. Notamment un Abraxan du nom de Jour-de-chance II.

ϟ SIGNE PARTICULIER : Joueuse émérite de Bavboules, malgré son jeune âge, déjà bien classée au niveau régionale. Joue du violon. Corne les pages des livres neufs. Arrive à bouger ses oreilles et à siffler entre ses dents.

ϟ DESCRIPTION PHYSIQUE ; Capella est l'une de ces petites filles pleines de vie dont l’exubérance se voit dans le moindre de leurs gestes. Elle est toujours en action , en mouvement. Même la nuit : son lit devient un vrai champs de bataille et il lui arrive assez souvent de faire des crises de somnambulisme pour aller se balader Dieu seul sait où.

Cette précipitation entraine parfois quelques maladresses. Verre, tasse, vase... les récipients contenant du liquide courent de grands risques avec elle dans les parages. D'autant plus que c'est une gauchère contrariée. Heureusement, la demoiselle compense par de bon réflexe; ce qui lui a bien souvent évité quelques catastrophes.

Sa démarche a de l'aisance. Un je ne sais quoi de bondissant tout en restant gracieux. Son port de tête est haut, presque altier, même si par goût de la bravade la gamine s'avachit assez souvent sur sa chaise dans un air de mollesse affectée qui se dissipe dès qu'un sujet l'intéresse.

Plutôt de constitution fluette, Capella est maigre mais pourtant grande pour son âge. C'est un trait de famille. Tout comme son nez, droit et long; cela donne à sa voix une drôle d'intonation.

Ses pommettes sont saillantes, son menton proéminent avec un front très large et légèrement convexe qui structure son visage.
Comme pour illuminer sa figure plutôt pâle, ses yeux sont d'un bleu vif et profond, très brillant et mobiles, soulignés par des sourcils fins, hauts mais horizontaux.

Sa bouche est grande. Quand Capella sourit , c'est à dire presque tout le temps, on peut apercevoir ses dents du bonheur. (ses deux dents de devant sont un peu écartées)

Ses cheveux longs de teinte noisette ornent admirablement cette figure qui sans être d'une beauté remarquable est plutôt agréable à regarder. D'autant que son ovale, reflète fidèlement et instantanément toutes ses émotions ainsi que ses sentiments. Pas besoin de légilimancie pour savoir ce que l'enfant pense: ses traits rieurs, peuvent parfois se rembrunir d'un seul coup, sous l'effet d'une émotion ou d'une pensée mélancolique.

L'ensemble de sa personne dégage un air de santé et de franchise optimiste, mais aussi de petite fille sage. Cette impression est renforcée par ses vêtements qui semblent tout droit sortis du dernier magasine de la mode pour jeunes sorcières de bonnes familles et bien élevées.

ϟ AIME : les tartes aux citrons, les trucs qui ne servent à rien, sa bavboulle porte bonheur, poser des questions, les chapeaux, sa famille ( même si parfois ils l'agacent), les vieilles demeures, le chocolat, se faire des amis, les ballades en balais, être mal coiffée, la franchise, la musique, l'exploration, les créatures magiques, les lits douillets, les runes, les vacances, les soirées de fête, les longues discussions au coin du feu pour refaire le monde, sa boussole, l'imprévu, les dragées de Betty crochu, les soufflets, les bibliothèques, les orages, les endroits et les gens bizarres, holda, les nuits étoilée, l'été, une bonne couverture, recevoir des compliments .

ϟ N'AIME PAS : La perfection, les clowns, les légumes verts, tante Araminta, les blagues pas drôle, la divinations, les chaussures qui couinent, les photos ou tableaux moldus (c'est triste, ça ne bouge pas), sentir des pieds, ceux qui vous font la morale, les personnes qui se curent le nez, qu'on critique sa famille, ne rien faire, les contes pour enfant avec une morale stupide à la fin, les conventions, les robes de sorcières trop serrées, les ongles sales, la neige, se tenir droite, les portes qui grincent, les tricheurs, les réunions mondaines, les peignes, les cimetières, les livres neufs, les bombabouses, les saules cogneurs irritables, les bocaux durs à ouvrir, les bains froids, les boissons chaudes, s'ennuyer, les punitions, la chasse aux animaux magiques ou non, les endroits peints tout en blanc, les chatouilles .

ϟ DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE ; Le trait de caractère dominant de Capella est son optimisme.

"Le découragement ? L'apathie ? Connais pas !" Voilà bien ce que l'ainée de la famille Selwyn peut dire à tout le monde ainsi qu'à tout moment, en toute sincérité et en toute vérité. Car la demoiselle est une enthousiaste impénitente que rien n'arrive à abattre. A tel point que les vicissitudes de la vie ont très peu d'emprise sur son moral ; si elle tombe, elle se relève le plus vite possible et reprend sa marche comme si rien n'était arrivé. Le jour où on la verra se retirer dans sa coquille et bouder la vie, on pourra être sur que la fin du monde est proche.

En bref, Positive et idéaliste : Capella voit toujours une issue favorable à tout. mais bizarrement, elle reste très lucide sur chaque situation. la jeune fille a cet espèce d'instinct qui lui fait voir clair là ou il faut et en parallèle, une naïveté de fond qui la rend attachante.

Plus que tout, la gamine croit dur comme fer à ses rêves. Et vous aurez beau lui démontrer par A+B que ce qu'elle souhaite est presque impossible, elle vous répondra que « presque » ne veut pas dire complétement et continuera son chemin tête baissée persuadée qu'elle atteindra son but.

C'est aussi un être à la personnalité latente fougueuse et rebelle, tout en restant conformiste . (sur ce dernier point, le vernis de l'éducation y est pour beaucoup)
Un peu autoritaire et tenant à son indépendance comme à la prunelle de ses yeux, Capella ronge son frein face aux normes que lui dictent sa famille et la bienséance. Alors gare aux étincelles à l'adolescence ! D'autant que quelques actes de rébellion commencent à pointer le bout de leur nez.

Pour continuer sur ses points négatifs, l'enfant possède un vilain penchant pour les jolies choses. Ayant grandit dans l'opulence, la petite a une maigre notion de la valeur de l'argent. Elle dépense donc sans compter, n'éprouvant pas le besoin de faire des économies et étalant ostentatoirement ses richesses.

Mais même si la jeune sorcière paraît superficielle, elle n'est pas sotte pour autant. Sa forte imagination alliée à son intuition peut lui donner du génie. De plus elle est curieuse et a l'art de poser les questions les plus abracadabrantes qui parfois tombent juste. Bien encadrée, elle pourra donc devenir une excellente élève.

Cependant, Capella reste une enfant qui a aussi besoin d'encouragements, de compliments et parfois de flatteries pour agir. Pas qu'elle cherche pas à se donner en spectacle ; elle a seulement besoin d'un stimulant, car cette demoiselle est souvent inquiète et manque de confiance en elle-même. Une fois qu'elle est assurée de l'approbation des autres, elle peut aller de l'avant avec beaucoup d'entrain. Ainsi, lorsque Capella entreprend un projet, elle s'y donne corps et âme, inconsciente de ce qui se passe autour d'elle et oubliant même de se nourrir et de se reposer convenablement.

Son principal talon d’Achille est qu'elle peut être franche à l'extrême ; la jeune fille n'hésite pas à dire ce qu'elle pense même si cela peut être blessant. Dans ces moments là, la diplomatie est lettre morte. Surtout que ce que les gens prennent pour un manque de tact évidant, Capella l'interprétera pour de la sincérité. Ce qui est pour elle une vertu essentielle. En fait, c'est sa façon bien à elle d’être elle même, sans faux semblants, ni sentimentalisme. Pourtant, même si la jeune Selwyn ne fait pas vraiment de cadeaux dans ses jugements, elle peut soudain vous surprendre par une pointe de générosité, une bonne action là où on ne l'attendait plus.

Car une de ses qualités cardinales est sa gentillesse. Ainsi, Capella oublie facilement et pardonne du fond du cœur le mal qu'on lui a fait. Malheureusement, elle est incapable de grandes manifestations sentimentales. Sa famille ne l'a pas habitué aux élans de tendresse et elle est mal à l'aise face aux personnes trop tactiles ou démonstratives. Il n'empêche que c'est quelqu'un de chaleureux, avec le cœur sur la main et loyale en amitié.

Même si cela risque de lui jouer des tours durant sa scolarité, c'est aussi une bavarde de premier ordre, surtout lorsqu'elle est en bonne compagnie. Et sans être le pitre de la classe, elle sait très bien détendre l’atmosphère et s'amuser .

Par contre ce ne sera jamais aux dépens de quelqu'un d'autres car Capella ne supporte pas qu'on se moque d'autrui. Elle aura tendance à prendre sous son aile les faibles et les marginaux qui sont habituellement la risée de tous et à tendre la main à ceux qui en ont besoin, quitte à se mêler de ce qui ne la regarde pas.

Une erreur de casting , voilà ce qu'est Capella.
Elle aurait pu naître n'importe où , n'importe quand et n'importe qui aurait été ravi de voir débarquer sur cette terre ce petit rayon de soleil sur vitaminé.

Mais ce coquin de destin a décidé de faire un tour à sa façon , en lui donnant le jour , par un froid matin d'hiver, entre les murs glacé de l'antique et imposant manoir Selwyn.

Il ne faut pas se voiler la face. Cette petite fille fut une déception pour quasiment tous les membres de sa famille. Et cela dès le premier instant.

À peine née, son père, Ebenezer, Ignatus Selwyn, drapé dans le snobisme de son rang, (et de son emploi de membre du ministère, étage Département de la justice magique, Services administratifs du Magenmagot) tient son héritière à bout de bras pour une inspection critique. Sa première constations fut faite sur un ton pincé :
« J'aurai préféré avoir un fils. »
Ce à quoi, sa femme, Elnath, Atria Selwyn, née Meliflua, à peine échevelée par le travail répondit sur un ton courtois :
«  Mon ami, nous ferrons mieux la prochaine fois. »

Ce fut la première fois que l'altière jeune femme blonde, imminente membre de la ligue des sorcières de bonne naissance, fit cette réflexion. Mais pas la dernière.

Il faut dire que la petite Capella Deneb Selwyn n'y mettait pas du sien pour complaire à ses géniteurs.
C'était un bébé plein de vie, n'hésitant pas à exprimer relativement tôt son opinion très personnelle sur sa vision des choses. À cause d'elle, l'austère maison quitta son silence de bon aloi et entra dans l'aire du bruit.
Que ce soit par d'insupportables gazouillis ou par vagissements indécents, ses parents eurent à subirent cet affront et leurs efforts conjugués furent vint pour enseigner à leur progéniture l'art et la manière de se comporter en bébé parfait.

Cette petite entêtée ne semblait pas vouloir comprendre que quand on nait dans une famille de sorciers pouvant prouver son ascendance de sang pur jusqu'à vingt générations en arrière, il y avait un rang à tenir. Non, on ne vomissait pas sur l'épaule du ministre de la magie. On ne bavait pas non plus, surtout en faisant des bulles, sur les genoux d'une des amies de Mme Selwyn. Et surtout, surtout, on ne devait pas sourire comme ça. Est ce que ses parents souriaient à n'importe qui? Non ! Ils prenaient soin d'offrir de rares rictus qu'à des personnes strictement sélectionnées dans une liste d'intimes murement réfléchie. Ah ! Que cet enfant était désespérante.

Au moins, et ce fut sans doute là la seule satisfaction que le couple en tira, leur rejeton exubérant semblait doué pour la magie car beaucoup de ses colères enfantines furent accompagner de démonstrations pyrotechniques du plus bel effet qui mirent à mal l'ordre des choses dans le service des elfes de maison.

Deux hivers passèrent ainsi et quand le printemps revint, les Selwyn eurent la satisfaction de voir (enfin) arriver au sein de leur noble famille un héritier mâle digne de ce nom. Calme, grognon et surtout silencieux, Phineas, Andromadius Selwyn fut une bouffée d'air pour ses géniteurs, de plus en plus inquiets quand au comportement déplacé de leur ainée.

Grâce à lui, Capella fut reléguée au second plan et on ne s'occupa quasiment plus que de l'enfant prodige. Sous le prétexte d'une santé fragile, on envoya même la petite « en cure » chez son grand père maternelle. Ce séjour au bord de la mer , qui ne devait être que provisoire, se transforma en situation pérenne où on ne lui rendait que de rares visites à Noël et en été.

la demoiselle y resta donc jusqu'à la réception de sa lettre pour Poudlard. Et je dois l'avouer, ce fut là les plus belles années de sa vie.

Certes son grand père était un être acariâtre, 100% misogyne et pourtant, il se prit d'affection pour cette petite poupée maladroite qui usait les planchers à force de trottinements. Bon, il fallut un peu de temps pour l'apprivoiser ce papi grognon, cela ne se fit pas sans heurts, mais quand ce fut fait, il se créa une réelle complicité entre les deux êtres abandonnés par leur lignage.

Le premier point de rapprochement fut les bavboules. Grand amateur devant l'éternel, Montgomery Enoch Selwyn traina très tôt sa petite fille aux compétitions locales de ce sport de gentleman. La gamine montrant une certaine aptitude à ce loisir, son ascendant se fit un devoir de lui enseigner les règles de ce jeux trépidant, la coachant jusqu'à en faire un petit prodige.

Le deuxième point fut la musique. Pianiste doué, l'ancêtre trouva dans Capella son premier violon pour l'accompagner. Même si des fois, il existe un certains désaccord quand aux morceaux à jouer ( Enoch serait plutôt requiem alors que la jeune fille opterai pour des ambiances plus jazzy), leur duo est bien rodé et les voisins ont arrêté de se plaindre depuis 4 ans.

Et le troisième, et non des moindre, fut la liberté. En dehors des heures passées avec son précepteur, un sorcier du nom de Douglas Poch, sourcilleux mais patient, qui tentait tant bien que mal d'apprendre à l'enfant les bases de ce monde et tout ce qu'un représentant de la noble famille Selwyn devait savoir, la fillette pouvait faire ce qu'elle voulait. Explorer l'ancienne demeure, gambader sur la landes, consulter les livres rares et anciens de la bibliothèque, accompagner son grand père dans ses recherches sur la faune magique locale, rien ne lui était interdit. Sauf, bien sur, d'aller jouer avec les enfants moldus du voisinage.

Enfin bref, ce fut une enfance agréable qui fut interrompu par l'arrivée de la fameuse lettre.

Le vieillard tenta bien de convaincre sa fille que Capella n'avait pas besoin d'aller à Poudlard, qu'elle pouvait rester au manoir Meliflua, qu'il se chargerait de son éducation. Mais son beau fils ne voulu rien savoir et argua que si on voulait en faire quelque chose un jour ( notamment la marier), il fallait envoyer cette petite sauvageonne chez les serpentards. (afin qu'elle y trouve un bon parti, de sang pur , cela va de soi, dans le but ultime de perpétuer la lignée) .

Trois mois plus tard, la cérémonie de la répartition finie, Capella siégeait gaiement à la table des poufsouffles.

ϟ COMMENT NOUS AS-TU DÉCOUVERT ? Via topsite à force de voir la banniére... j'ai cliqué et le contexte m'a séduit par son originalité.

ϟ LE NOM DE LA PERSONNE SUR TON AVATAR ; anna chlumsky ( dans « l'été de mes 11 ans » , « My girl » en version originale)

ϟ QUE PENSES-TU DU FORUM ? Que dire? Le design est sobre, agréable. Les parties sont clairement définies et on s'y retrouve facilement. L’accueil est plus que chaleureux (et je vous en remercie encore). Il y a aussi beaucoup d'humour dans les règlements (ce qui est un très bon point) . Quand au concept... une pure merveille qui titille ma curiosité. Enfin bref, je sens que je vais me plaire parmi vous.

ϟ AS-TU LU/VU TOUS LES HARRY POTTER ? Tous lu ( même les livres bonus)... pour les films... non , n'en parlons pas je pourrai être méchante.

ϟ SUR COMBIEN D'AUTRES RP ES-TU INSCRIT SANS COMPTER CELUI-CI ? 2