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: Where is the rhum gone ?
ϟ ÂGE : 52 ϟ FONCTION : Revendeur au noir ; videur ; boxeur ; inutile à la société ; z'auriez pas une 'tite pièce ? ϟ AVATAR : Woody Harrelson
ϟ LIENS : Power Rangers !
Tortues Ninja !
| MIKE -- Livin' in America Sujet : MIKE -- Livin' in America Dim 1 Mar 2015 - 22:54 |
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Michael Christopher King
▬ carte d'identité ϟ ÂGE & DATE DE NAISSANCE : 42 ans, né le 27 juillet 1956. ϟ LIEU DE NAISSANCE : vous ne pouvez pas savoir à quel point cette question lui fait plaisir. Mike est né à Las Vegas, dans le Nevada, aux États-Unis. Il est donc AMÉRICAIN – yipikayeee, motherfucker. Il met un point d'honneur à en conserver l'accent. ϟ MÉTIER & ANCIENNE MAISON : ancien Poufsouffle qui se voyait à Gryffondor, mais bon, on est ce qu'on est. Aujourd'hui… hm… eh bien, il n'est pas grand-chose. Il revend des objets rares (ou de la camelote rare) pour se faire un peu d'argent, en toute illégalité. Parfois il est videur, parfois il boxe un peu… Il se démerde, quoi. Oh, et il n'a pas de maison, il vit chez les autres, comme un adorable parasite à taille humaine. ϟ ORIENTATION SEXUELLE : hétéro, eh, sérieux, tu trouves qu'il a l'air d'une lopette ? ϟ DESCRIPTION DE LA BAGUETTE MAGIQUE : tout un programme. La baguette originale de Mike mesurait 23 centimètres, était en bois de séquoia et contenait un unique crin de manticore. L'emploi de l'imparfait s'explique par le fait qu'un jour, Mike s'est dit que la baguette serait plus jolie s'il lui taillait une crosse et un canon de revolver. Après l'avoir longtemps martyrisée avec son couteau et sans tenir compte des drôles d'étincelles qu'elle émettait, il a bien entendu fini par la casser. Qu'à cela ne tienne, il a planqué les morceaux restants dans un vrai pistolet moldu, tout content de sa trouvaille. Assez miraculeusement, elle continue de fonctionner une fois sur deux, et a une nette préférence pour les sorts impliquant des explosions et des dégâts irréversibles. Mike a une autre baguette, qu'il a volé à un sorcier alcoolisé dans un bar de Chelsea : elle mesure 25,5 centimètres environ, est en bois d'orme et contient (apparemment) une plume de phénix. Elle lui obéit extrêmement mal, mais il la garde pour pouvoir quand même en présenter une, au cas où on le lui demande. Au final, il n'a plus vraiment le matériel adéquat pour pratiquer correctement la magie – mais à vrai dire, ça ne lui fait ni chaud ni froid. ϟ PATRONUS : ça fait une éternité qu'il n'a pas lancé ce sort, il espère de tout cœur ne jamais avoir à le faire. Mais la dernière fois, c'était un coyote.
ϟ AMORTENTIA : l'essence, l'alcool, le tabac, le cuir, le feu de bois et la poussière. Mais étrangement, le mélange est beaucoup plus doux qu'on pourrait le croire, et plus protecteur qu'agressif.
ϟ ÉPOUVANTARD : un tireur d'élite menaçant, qui le braque avec sa baguette et l'aveugle, ne lui laissant pas la moindre chance de s'échapper, qui se rapproche et qui va l'attraper, lui faire mal, et le mettre devant le juge et le foutre en tôle et faire sa vie un enfer et RIDIKULUS, BORDEL ! Tiens, le flic magique s'est pris une balle moldue dans le crâne et il est mort – pour une raison obscure, il trouve ça hilarant. |
ϟ ALBUS DUMBLEDORE OU BELLATRIX LESTRANGE ? : Plutôt Dumbledore, Lestrange est dix fois trop cinglée… Mais, bah, au final il s'en fiche : comme si un type comme lui pouvait avoir un rôle à jouer dans une guerre comme celle-là ! Du moment qu'il mange à sa faim et qu'il dort tranquille, loin des barreaux d'Azkaban, tout lui va.
ϟ CELUI-QUI-SAIT OU PHILÉAS FOLENGRAIN ? : Ni l'un ni l'autre. Le premier représentant l'insécurité, le deuxième la loi, aucun des deux ne le tente, franchement.
ϟ SUCRÉ OU SALÉ ? : Sucré : il pourrait passer des heures sur son canapé à ne rien faire d'autre que manger des barres chocolatées et autres friandises pour gosses. S'il avait un canapé et de quoi s'acheter lesdites friandises, bien sûr. |
ϟ BUT DANS LA VIE : Dans la vie ? Sérieusement ? Vous ne préférez pas plutôt voir à court terme ? Bon, à court terme c'est facile, ça se résume à survivre, où plutôt à se laisser vivre sans avoir à trop se soucier de quoi que ce soit. À plus long terme, Mike aimerai bien avoir un bar, son joli petit bar malfamé à son nom, un petit coin de terre américaine en plein Londres. Mais ça nécessiterai un capacité de gestion et de projection dans l'avenir qu'il est loin de posséder… ϟ CE QUI COULE DANS VOS VEINES : Maman est une moldue et Papa un sorcier – c'est d'ailleurs pour ça que Maman l'a quitté. Maman aurait préféré avoir un gosse normal, mais bien sûr, il a fallut que le gosse soit contaminé par cette connerie. Tant pis, elle a fait avec. ϟ VOTRE ANIMAL DE COMPAGNIE : Quand on n'a pas de maison fixe, c'est difficile d'avoir un animal de compagnie fixe… Mike traîne parfois avec des clébards des rues, qui finissent par le larguer sans prévenir et avant que lui ne le fasse, comme à peu près tout le monde dans sa vie. En fait, il adore les animaux, il est capable de gagater comme un gosse devant n'importe quel chaton ; il adorerait pouvoir s'en occuper mais il ne peut pas, pas le temps, pas la place, pas l'argent. ϟ SIGNE PARTICULIER : Son accent américain, qu'il trouve infiniment badass, son chapeau de cowboy qu'il ne quitte jamais, et sa baguette-revolver, pas banale. Ah, et c'était un bon batteur quand il était plus jeune, et les rares fois où il retrouve des fûts sur lesquels taper, on s'aperçoit qu'il a plutôt bien conservé son talent.
▬ physionomie
ϟ DESCRIPTION PHYSIQUE ; Vous savez, dans les westerns, les méchants ont souvent des hommes de mains rigolos, un peu brutes, mais ni bien malins ni bien effrayants. Mike, physiquement, c'est un homme de main sans maître. Il est grand, avec son mètre 95 bien balancé, et il a la carrure de l'homme fier et viril. C'est une drôle de chance – lui préfère parler de "prédestination nationale", lorsqu'il se prend à utiliser des mots avec trop de syllabes – , mais il a une carrure d'athlète sans jamais avoir trop rien eu à faire pour la développer. Bien sûr, il a soulevé de la fonte, quand il était jeunot, histoire d'impressionner les copains et les filles, et de renforcer encore ces muscles venus d'on ne sait où ; mais au final, il n'en a jamais eu vraiment besoin. Peut-être que c'est l'usage de la batterie qui lui a donné ces larges trapèzes et ces puissants deltoïdes ; toujours est-il que sans avoir non plus le corps bodybuildé d'un action hero, Mike est suffisamment baraqué pour mener sa petite vie à bien sans qu'on ne le dérange. L'âge avançant, ses muscles s'affaissent peut-être un peu, mais rien de bien grave, la vitalité reste la même. L'âge commence d'ailleurs à strier son visage, faisant apparaître ça et là des ridules, des traits, qui affirment encore plus les angles déjà présents sur ce faciès affirmé. Entre et chien et loup. Le nez long et fort, le menton avancé, la mâchoire carré et le front saillant, pourraient donner à Mike le visage du bandit de grand chemin, du soûlard qui brise des dents à coup de poings dans les bars, cette tête inquiétante qui ne demande qu'à être fuie, s'il n'y avait ces yeux. Deux yeux d'enfants, qui regardent le monde avec une sorte d'innocence insolente, sans peur, sans inquiétude, remplis de choses futiles et d'une joie téméraire. Bleus comme un ciel d'été en Pennsylvanie, clairs et toujours joyeux, jamais méchants, jamais sérieux, ou trop rarement. Les émotions y passent sans filtre, pas toutes pures – Michael restant ce qu'il est – mais toutes honnêtes, et témoins d'une morale profonde et entière, comme deux fenêtres sur une âme-soleil. Mike sourit souvent, franchement, pour rien, ses dents carrées toutes exposées en un rictus vrai et enfantin. La joie de l'américain, quelle que soit sa source, est toujours enfantine, et son sourire a beau s'afficher dans des moments parfois sordides, il n'est jamais pleinement adulte. Mike a le physique de l'adulte, des éléments de l'attitude de l'adulte, mais d'autres arrachés à une enfance qu'il ne quittera certainement jamais. L'attitude de l'adulte, elle se dévoile dans sa démarche, assurée et large, sûre d'elle, sa manière de ne devoir de respect à personne, d'agir de la même manière face au premier ministre et face à Frankie le barman. Dans sa manière de s'habiller aussi, et dans sa fierté patriotique outrancière : jean de cow-boy, vieux t-shirt en peu crasseux, veste en cuir élimée, santiags, et chapeau toujours vissé sur la tête. Tête qu'il a chauve, parce que c'est plus pratique, mais dont il laisse parfois pousser les cheveux blonds lorsqu'il a la flemme de les raser. Ses habitudes vestimentaires et corporelles sont d'ailleurs dictées par cette même flemme : ça ne le dérange pas de traîner dans le même caleçon plusieurs jours de suite, et ça ne le dérange pas de ne pas se laver, d'être sale. C'est ça, la vie sans contrainte, vous répondra-t-il si vous lui reprochez son manque d'hygiène. D'ailleurs ses caleçons sont toujours plein de motifs étranges, comme celui avec des oursons, ou celui avec des mascottes moldues célèbres dont il est capable de citer tous les noms (un certain "Pikachu" en tête) – il les collectionne, en fait. Et il aime les grenouillères trop petites aussi, avec des motifs bizarres dessus, cela va de soi, qu'il utilise comme pyjama-habit-de-procrastination. Difficile de le prendre au sérieux en sachant tout cela, me direz-vous, en faisant preuve d'un admirable sens de la déduction. Ne vous en faites pas, il ne reste comme ça que chez lui, et tient à garder son image de cow-boy macho à l'extérieur. C'est un drôle de type, une sorte de guimauve en titane. Toujours est-il que lorsqu'il veut être menaçant et jouer des muscles, le sérieux revient, comme un bon gros paquet de phalanges dans la mâchoire.
▬ psychologie
ϟ AIME : L'Amérique ; les animaux ; les friandises ; l'argent en liquide ; le whisky ; la gnôle ; le rhum ; la tequila ; la bière ; le whisky (hic) ; glander chez quelqu'un ; poser ses pieds sur la table ; dénicher des trucs rares ; les revendre cher ; la moto ; les feux de camps ; la batterie ; les flingues moldus ; les westerns ; les films de kung-fu ; les dessins animés du matin ; les héros pour enfants qui sortent des punchlines toutes les deux minutes ; sortir des punchlines ; les pin-up ; la clope ; les caleçons à motif ; les grosses rigolades ; les bagarres ; les gens conciliants ; les gens gentils ; les enfants ; les ados ; la nuit ; les soirées dans les bars ; les casinos ; les étoiles ; l'absurde ; la simplicité ; faire ce qu'il veut.
ϟ N'AIME PAS : Le Royaume-Uni ; Azkaban ; la police ; le Ministère ; les Mangemorts ; les gens peu fiables ; les vrais méchants ; le luxe ; l'excès de propreté ; la musique classique ; la mode ; l'ordre ; les trucs trop intello ; dormir à la rue ; le pessimisme ; ne pas disposer de son temps comme il l'entend ; ne pas obtenir ce qu'il veut ; devoir planifier des trucs ; les périodes creuses au niveau financier ; se faire jeter dehors ; qu'on se fiche de lui ; qu'on l'abandonne ; être tout seul.
ϟ DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE ; 11:37. Lundi matin. Un vent froid s'engouffre par une fenêtre en placoplâtre décrépi, aux vitres crasseuses, dont les vieux rideaux en tulle claquent en un rythme désordonné et agaçant. C'est l'hiver ; il neige à l'intérieur. C'est la banlieue de Londres ; dehors les gens crient, la musique hurle, les voitures klaxonnent et roulent trop vite. Le soleil tape, fait fondre la neige avant qu'elle ne touche le sol, et se réverbère sur les flaques d'eau logées dans les creux du bitume. Ce n'est pas une heure pour dormir ; l'appartement est froid, bruyant, trop plein de lumière, balayé par le vent. Pourtant, enroulé dans une couverture trop petite, allongé de tout son long sur un canapé miteux aux motifs d'un autre temps, la main gauche trempant dans le cendrier et seulement vêtu d'un caleçon, Michael Christopher King dort à poings fermés. Pourquoi ? C'est le résultat d'une nuit passée à boire et à rire dans un bar non loin de là, où il a ses petites habitudes. Il décuve. Mike est un fêtard, ou plutôt un soûlard. Il aime boire pour boire, et s'il avait une petite amie, elle lui dirait sûrement qu'il a un problème avec l'alcool. Mais il n'en a pas, parce qu'il a des problèmes avec les filles. Il ne sait pas les garder, d'ailleurs il ne sait pas les chercher non plus, il tombe toujours sur des garces. Au début, elles sont sous le charme, il n'est pas trop laid et plutôt gentil, et puis c'est un marrant, il les protège. Et puis elles le larguent. Il n'a jamais compris pourquoi, il ne cherche pas à comprendre. Il aimerai bien en trouver une qui reste… Mais sinon, tant pis. Il est bien comme ça aussi, à purger tranquillement une cuite dans un appartement qui n'est pas le sien, en train de baver sur un canapé qui ne lui appartient pas, sans personne pour lui crier dessus. C'est la liberté, ça. L'appartement est à un ami à lui, qui s'appelle Tommy. Tommy était avec lui hier soir, et Tommy est sûrement un peu trop gentil. Ça fait deux semaines que Mike dort là, il a éparpillé toutes ses affaires un peu partout, mis le bordel, ramené une télé de la décharge, l'a placée en plein milieu du minuscule salon, pour pouvoir regarder ses dessins animés du matin. Un rituel sacré s'il en est : depuis qu'il est tout gosse, il ne loupe quasiment jamais le rendez-vous. Il y a quelque chose d'infiniment doux, d'infiniment joyeux et de plein de bonne humeur, de bons souvenirs tout réconfortants et pleins d'énergie dans ses dessins animés du matin. Mike est un grand enfant, il vit l'action du cartoon avec conviction et connaît les génériques par cœur. C'est là le paradoxe du personnage : avoir passé sa nuit à boire avec la lie de la société, et en sortant du coma éthylique quasi habituel qui en résulte, allumer la télé et regarder des programmes pour gosses en se goinfrant de barres chocolatées et autres friandises pleines de sucre, content comme tout. Un loubard au cœur d'enfant. Dans le reste de l'appartement, on trouve encore plein d'autres objets qu'il a ramenés d'un peu partout, parfois trouvés, parfois achetés, parfois volés. L'illégalité ne le dérange pas, il vit dedans en permanence. La police, la loi, la justice, il les brave, mais il en a peur. Il a peur de se faire gauler. Il sait que sa petite vie d'errance est précaire et fragile, mais il refuse de se voir vivre autrement. Il a peur qu'on la lui enlève. Ces connards qui pourraient lui vouloir du mal, si on les ignore, ils ne viendront pas le chercher. Il ne faut pas les provoquer, il faut être discret. Vivre sa vie librement, être heureux, profiter, et surtout, surtout se méfier des méchants. Mais qu'est-ce qu'il fait de sa vie, alors ? Eh bien… Pas grand-chose. Il revend des trucs, il sert de videur, il se fait de l'argent de-ci, de-là. Il adore dénicher des objets bizarres qui pourraient intéresser des acheteurs potentiels, des objets qui titillent sa curiosité et son imagination, qu'il aimerait bien garder pour lui, s'il pouvait se le permettre. L'appartement de Tommy en est jonché : un moteur à énergie perpétuelle, une horloge dotée d'un œil inquisiteur, une plume en givre, un feu follet dans un bocal, et des tonnes d'ingrédients pour potions… Recel, illicite. Il risque gros, mais tant pis, il est heureux avec tous ses trésors. Il s'arrangera pour tout vendre, et quand Tommy en aura marre de le voir squatter sans aucune gêne (ce qui n'arrivera pas avant longtemps, Tommy semblant ne pas oser trop lui reprocher quoi que ce soit), il repartira chez quelqu'un d'autre, et puis tout ça continuera. S'il ne trouve plus d'objets, il trouvera un autre job. S'il ne trouve pas d'autre job, il demandera à un ami de l'aider un peu, pour quelques temps. Il s'en sortira toujours, d'une manière ou d'une autre. Michael C. King s'en sort toujours. C'est un homme assuré, il n'a peur de rien, à part peut-être de la police. Mais dans le petit monde crasseux dans lequel il navigue, il n'y a rien ni personne qui ne puisse l'inquiéter. Il aime se battre tard dans la nuit, les bonnes grosses bagarres de piliers de bar desquelles il sort régulièrement vainqueur. Et même quand il perd, bah, il est content de s'être défoulé, et exhibe crânement, sur ses lèvres en sang, un sourire auquel il manque des dents. Il n'est pas d'une nature inquiète ; même dans la pire des situations, rien n'est grave, rien ne peut l'anéantir. Il a plein d'amis, des ennemis aussi, mais c'est la vie, ça donne du piquant au quotidien. Mike vit au jour le jour. Il sait être menaçant, jouer de ses muscles, effrayer, et il sait être adorable, protéger, consoler avec sa sensibilité de brute. Il jongle sur tous les tableaux avec l'agilité de celui qui ne se soucie pas du lendemain. Mike a une vision assez bipolaire du monde – il n'aime pas les choses trop compliquées. Il y a les méchants, avec qui il se bat et dont il se méfie, et les gentils, qu'il protège et à qui il est dévoué. Bien sûr, il y a les gens neutres, ceux qui lui donnent de l'argent. Mais sinon, il est persuadé que le monde est beaucoup plus simple qu'il n'y paraît. Il n'aime pas trop réfléchir. Réfléchir, c'est pour les lopettes. Il évolue dans un univers masculin, américain, où les valeurs de la force et de la vaillance sont reines. Il est outrageusement fier de son pays d'origine, qu'il considère comme la première nation du monde, la patrie des braves et des hommes, des vrais. Il n'aime pas l'Angleterre, ses gens guindés, son humour à double sens, son raffinement superflu. Il n'a pas besoin de tout ça. Parce qu'il aime les choses simples, il a un attrait particulier pour la culture moldue. Les armes à feu, principalement, et les motos, et tous ces trucs qui font du bruit et qui sont dangereux. Ça l'éclate, dans une drôle de joie enfantine. La magie complique sa vie, et même s'il la pratique, il en a un usage limité. C'est trop compliqué, trop raffiné pour lui. Il adore son flingue magique, par contre, c'est sa marque de fabrique ; un parfait mélange entre les deux mondes auquel il appartient. Il vit dans un quartier moldu, apporte un peu d'extraordinaire dans l'ordinaire, et ça lui va très bien. Dans peu de temps, il va se réveiller de sa cuite de la veille, comme un ours après l'hibernation, et bailler à s'en décrocher la mâchoire. Se griller une clope, et chercher dans la baraque un fond de whisky qui traîne. Allumer la télé, poser ses pieds sur la table, râler parce qu'il a loupé les dessins animés. Un peu plus tard, Tommy entrera, et Mike s'esclaffera, tout guilleret, à propos de la soirée d'hier soir qui était "putain de mémorable". Il ne va certainement pas s'excuser pour tout le fatras dans l'appartement, et invitera Tommy à s'asseoir avec lui pour regarder la télé, toujours en caleçon – Tommy va refuser, faire mine d'avoir quelque chose à dire, et finalement se raviser devant l'aplomb de l'américain. Dès qu'il ose dire un mot à propos d'un potentiel rangement ou même d'un déménagement, il n'obtient pour toute réponse d'un grand éclat de rire et une invitation à se détendre un peu. Mike est comme ça : envahissant. Mais pourtant, attachant.
▬ histoire
« C'est quoi encore, ces conneries ? John, je te préviens… Je te préviens, si ce que t'as à me dire ne me plaît pas… Je te jure que tu vas le sentir passer… »Ses poings massifs sur les hanches, du sang de bœuf sur son tablier de cuisine, Cassie King, née Cassie Norris, dévisage son mari avec une haine toute ménagère. Sa carrure épaisse et son visage menaçant semblent en train de chauffer, comme un moteur au démarrage, pour mieux exploser par la suite. Ses cheveux blonds décolorés s'échappent de sa queue de cheval comme pour souligner sa colère, et ses yeux bleu pale lancent des éclairs, exigeants une réponse. En face d'elle, John King ne tente même pas de faire face. Il est freluquet face à sa femme, misérable, tenant nerveusement son chapeau entre les mains, fixant un point invisible sur le mur de leur appartement miteux de Vegas. À ses pieds, une lettre, et quelques plumes. Des plumes de hibou. « Cette saloperie de piaf a failli m'arracher les yeux ! J'ai eu le temps de lui briser une aile avant qu'il se casse, j'espère qu'il va crever dans son coin… Mais d'après ce que j'ai compris, je peux même pas compter là-dessus. Il va bien y avoir un putain de… magicien, ou de sorcier, une connerie de ce genre pour lui réparer l'os à coup de baguette. Je comprend rien à ce qui se passe, mais ce que je sais, c'est que tu m'as menti, John. Mais alors, bien comme il faut. » « Tu ne m'aurais jamais cru… » « Parce que t'attendais que je découvre tout ce merdier moi-même, peut-être ? » Elle avait fait un pas en avant, et fulminait. John se recroquevilla contre le mur. « T'aurai jamais pu me cacher ça toute ta vie… Tes petites affaires de jeu, de chance extraordinaire, tes fameux copains que j'avais pas le droit de voir, les types louches qui passent à la maison tous les deux jours, et ces saloperies de hiboux qui nous suivent comme des ombres… Je me suis toujours douté d'un truc pas normal, mais tu vois, jamais j'aurai cru à une histoire pareille. La magie, les trucs pour les gosses… Dans quoi tu m'as embarqué, John ? Tu crois que ça me fait rire ? » Elle avança encore d'un pas, et ses yeux étaient injectés de sang. Ses mains cherchaient quelque chose sur quoi se refermer, et John cacha son cou du mieux qu'il pu. « Je t'ai épousé, je t'ai fait un gosse, j'ai cru que t'étais un type solide. En fin de compte, t'étais qu'une larve, mais soit, j'aurai fait avec – au moins, t'étais HUMAIN. Là, t'es quoi au juste, John ? C'est quoi, cette putain de lettre ? C'est quoi, ce tribunal de la magie ? C'est quoi, la loi du secret ? Pour un secret, c'est clair que c'en est un gros, oh oui… Salaud, espèce de pauvre salaud ! Tu crois que j'avais envie de ça, moi ? Je m'en fous, de tes histoires de magie de merde ! Ça n'existe pas pour moi, tout ça ! T'es qu'un putain d'égoïste, John. Maintenant, je me retrouve dans cette merde jusqu'au cou ! Tu mériterais que je t'écharpe… »John ne se fit pas écharper, cependant, il passa la pire soirée de sa vie. Il dut expliquer à sa femme ce qu'il en était, en évitant le plus possible de la contrarier, ce qui, au vu de la gravité de ses révélations, se révéla impossible. Il jouait aux casinos moldus de Las Vegas, et gagnait régulièrement, grâce à la magie. Jamais trop, pour ne pas éveiller les soupçons. Il avait quelques amis influents qui, sous réserve d'un paiement correct, le couvraient face au gouvernement magique. Mais ses amis s'étaient fait prendre, et lui avec. Voila pourquoi il était convoqué au tribunal de la magie des Etats-Unis : escroquerie, abus magique sur moldu, violation de la loi du secret. Il risquait gros, il n'avait pas de moyen de s'en sortir. On lui avait pris sa baguette. Cassie King le crut sur parole ; énormément d'indices dans sa vie conjugale l'y poussaient. Sa décision fut claire et sans appel : elle le quittait sur le champ. Peut importe sa situation désespérée, elle ne voulait plus rien avoir à faire avec lui, ni avec la magie, ni avec cette ville et ses casinos puants, ni avec ce pays et ses tribunaux secrets. Elle prenait le bébé, tout l'argent qu'il restait, et elle partait. Elle les rayait, lui et la magie, de sa vie. * * * L'Angleterre et Londres furent bientôt le terreau d'accueil de la famille américaine, plus par dépit que par réel attrait pour le pays : Cassie vouait une haine féroce aux irlandais, l'accent écossais était incompréhensible, et les gallois des gens bien trop pauvres et alcooliques. L'Angleterre, donc, vieux pays miteux remplis de beaucoup trop d'aristocrates, fut bientôt considéré comme le territoire ennemi sur lequel la vaillante famille King évoluaient avec le courage des transfuges et des infiltrés. Il ne se passait pas un jour de leur vie sans une célébration américaine ostentatoire face aux voisins rosbifs. Cassie avait même poussé le vice jusqu'à chanter l'hymne américain à pleins poumons lors du jubilée de la reine, s'attirant une plainte du voisinage dont elle se sortit de justesse, avec force panache. Michael grandissait, loin de Vegas, certes, mais élevé dans ce que sa mère considérait être un environnement familial sain : pas de pudding au petit déjeuner, pas de petit doigt levé pour boire une tasse de thé, pas d'accent britannique pathétique et surtout, pas de magie. Élevé à la dure, dans les quartiers populaires de l'East End londonien, par une mère qui n'hésitait pas à jouer le rôle du père et qui insistait pour qu'il devienne un homme, un vrai, à la force de ses muscles. Mike était réceptif à tous ces enseignements sans vraiment l'être, insouciant et déjà récalcitrant à l'idée d'obéissance, devenant ce que sa mère souhaitait qu'il soit en revendiquant pourtant n'écouter que lui. Il ne savait pas ce qu'était la magie, il ne savait pas qui était son père – « un connard » – et il s'en fichait bien. Il était heureux, simplement, sans avoir besoin de plus. Mais bientôt, évidemment, il reçut une lettre, la lettre d'admission à Poudlard. Et la réaction de sa mère fut très semblable à celle qu'elle avait eu pour la dernière lettre de ce genre, qui datait d'il y a dix ans déjà. Elle explosa de colère, le traita de tous les noms, le somma de lui dire pourquoi il ne l'avait pas prévenu qu'il avait de la magie en lui. Michael n'en savait rien, il ne comprenait pas ce qu'était cette lettre, même si une petite voix lui chuchotait qu'elle était la solution de bien des énigmes. Les lacets noués de Bernie Macintosh. L'assiette de soupe qui se vide toute seule. La veilleuse qui se rallume alors que l'ampoule est grillée. Ça expliquait énormément de choses, en fait… Mais sa mère ne voulait rien entendre. Elle brûla la lettre, l'envoya dans sa chambre, et lui jura solennellement que jamais ces histoires de magie ne l'attendraient. Evidemment, le Ministère de la Magie ne s'arrêta pas à des méthodes aussi rudimentaires, et comme la procédure l'exigeait, fit envoyer des copies de plus en plus nombreuse de la lettre d'inscription, jusqu'à ce que l'une d'entre elles atteigne enfin son but. Ce fut seulement après deux semaines de ferme bataille contre l'envahissante magie administrative et son armada de hiboux que Cassie King céda, plus excédée que jamais. Elle donna le minimum syndical à son fils, un peu d'argent et quelques vêtements, et le flanqua à la porte. Il voulait étudier cette saloperie de magie, soit. Mais ce serait sans elle. * * * Les études de Mike à Poudlard furent d'une remarquable normalité. Il fut envoyé à Poufsouffle, ce qui ne lui plut tout d'abord pas du tout, lui qui voulait Gryffondor, mais s'avéra lui correspondre parfaitement. Ce n'était clairement pas un acharné du travail, mais malgré des notes pas toujours brillantes, il passa toutes ses années du premier coup, et ses examens avec un relatif succès. Ses matières préférées furent les potions (il était bien le seul de sa classe) et les soins aux créatures magiques ; il obtint également d'excellentes notes à l'épreuve d'étude des moldus, sans jamais ou presque venir en cours. Il s'y fit des amis, appris énormément de choses, assouplit sa vision un peu rustre du monde et, comme d'habitude, fut heureux quoi qu'il arrive. Facilement fourré dans tous les mauvais coups possibles, il fut également le batteur de l'équipe de quidditch de Poufsouffle ( « ça doit pas être plus compliqué que batteur de batterie »), et un des instigateurs de l'incendie de la salle de divination ( « pour faire comme les sioux et lire l'avenir dans la fumée »), qui lui fit frôler de très près le renvoi. Globalement, un élève un peu agité, pas très assidu, mais pas méchant. Les ponts depuis son entrée à Poudlard sont définitivement coupés avec sa mère, qui s'est paraît-il réfugiée dans l'alcool ; lors des grandes vacances, il se retrouve donc à vivre chez des amis, débutant ainsi son mode de vie de parasite. Ce pouvait être des amis sorciers ou des amis moldus, à qui il baragouinait une histoire comme quoi il était parti chez sa tante aux Etats-Unis la majorité de l'année, mais que cette même tante ne voulait plus de lui l'été venu : il s'est toujours débrouillé. Il sortit de Poudlard sans vraiment d'idée de métier, inscrit cependant à une université d'étude des potions, vu qu'il avait obtenu un E dans cette matière aux ASPIC (le seul, les autres notes allant de A à D). En dépit d'une réelle curiosité pour l'emploi des différents ingrédients magiques et leurs effets, il vint une fois, deux fois à l'université, et décida finalement que ce n'était clairement pas fait pour lui. Sa vie estudiantine s'arrêta donc là, pour laisser place à sa vie d'adulte, qui semblait pourtant en de nombreux points similaires. Toujours sans toit, Michael traîna pendant quelque temps à l'extérieur, avant de se faire recueillir par un ami nommé Simon. Il commença à tremper dans des milieux louches, à apprendre des combines, à expertiser des objets et à se créer un réseau d'acheteurs et de revendeurs. Il devint un pilier de bar notoire, l'ami sur qui on peut compter, l'américain du quartier qu'il ne faut pas trop embêter, l'énergumène qui a toujours des camelotes invraisemblables à vous présenter. Il exerça comme videur, garde du corps, boxeur clandestin. Il commençait à connaître Londres comme sa poche. Simon l'avait viré depuis longtemps, plus enclin à fonder un foyer stable qu'à couvrir les petites activités de son ami ; pas grave, il avait trouvé un lit ailleurs. Ça fait une vingtaine d'année maintenant qu'il vit la même vie, faite d'incertain et de débrouille. Il bouge souvent, toujours dans l'East End. Il n'a jamais revu sa vieille mère, d'ailleurs il n'y tient pas. Il est assez connu dans le coin, et devinez quoi ? Il est heureux. C'est une constante de son histoire, ça : Michael C. King est heureux.
▬ hrp
ϟ COMMENT NOUS AS-TU DÉCOUVERT ? En fait... Je suis Mila A. Alexandrova, sous un nouveau corps ICH BIN BACK ! Après une grosse période d'inactivité, je me suis dit qu'un nouveau personnage me motiverait pour repartir à la conquête du RP :D (et je garde Mila, of course, si ça m'est accordé !) ϟ LE NOM DE LA PERSONNE SUR TON AVATAR ; Woody Harrelson, ce mec mérite respect. ϟ QUE PENSES-TU DU FORUM ? Il me manquait :3 ϟ AS-TU LU/VU TOUS LES HARRY POTTER ? Les deux mon capitaine ! ϟ SUR COMBIEN D'AUTRES RP ES-TU INSCRIT SANS COMPTER CELUI-CI ? Nada, c'est avec vous que je repars sur le train fou des martyriseurs de clavier |
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: Nah. It's not me, I don't know this "Drifloon". What a shitty name, by the way. Me ? I'm just Nessie. Don't mind me.
ϟ ÂGE : 30 ϟ FONCTION : Ancien Serpentard ; Gamin borné et blessé, guidé par ses mauvais choix. Ex-mangemort actuellement en reconversion. ϟ AVATAR : Alex Pettyfer. ϟ ABSENCE ? : En Suisse pendant un an ; présence réduite.
ϟ LIENS : Substract love, add anger.
| MIKE -- Livin' in America Sujet : Re: MIKE -- Livin' in America Lun 2 Mar 2015 - 1:06 |
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| *Cache les Twinkies* ♥ OH MON DIEU, CE PERSONNAGE. Tu m'as tuée, tout simplement. Je sais pas par où commencer tellement il est merveilleux, original, drôle, génial, et l'émotion me submerge. C'est fou, il a l'air totalement perdu dans le monde d'Harry Potter, et pourtant il y colle si bien. J'adore son côté "PETIT GARÇON SOUS UNE CARAPACE BIEN VIRILE" et puis. Voilà, c'est juste un personnage parfait. En plus, on a besoin de gens neutres, et voilà un parfait "TRUE NEUTRAL" (ou chaotic neutral ?).
C'est génial de lui donner des métiers si originaux, et de faire partie du gang des "sans travail fixe" qui enchaînent les boulots de merde. JE VEUX UN LIEN AVEC FIZZ, JE VEUX QU'IL LUI APPRENNE A SE DÉBROUILLER SEUL COMME UN HOMME ET PAS UNE LOPETTE. Et qu'il squatte sa caravane. Ils ont pu se rencontrer en faisant tous les deux homme-sandwich l'année passée. ENFIN BREF, JE VIENDRAIS TE HARCELER POUR UN LIEN EN TEMPS VOULU.
En attendant, tout est bon. Je te valide, love. BON RETOUR ! |
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: Where is the rhum gone ?
ϟ ÂGE : 52 ϟ FONCTION : Revendeur au noir ; videur ; boxeur ; inutile à la société ; z'auriez pas une 'tite pièce ? ϟ AVATAR : Woody Harrelson
ϟ LIENS : Power Rangers !
Tortues Ninja !
| MIKE -- Livin' in America Sujet : Re: MIKE -- Livin' in America Lun 2 Mar 2015 - 20:42 |
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| Ow, merci tout plein :3 (han, des Twinkies, c'est mon obsession depuis que j'ai vu le film, je dois absolument goûter un de ces trucs.) Gnihihi, Fizz est arrivé quand je n'étais pas là, je dois dire que je le trouve kikinou comme tout, et que YES, a link is needed, complètement, y a trop de trucs à faire entre ces deux là
Je suis contente d'être de retour ♥ |
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: Science has not yet taught us if madness is or is not the sublimity of the intelligence.
ϟ ÂGE : 38 ϟ FONCTION : Ancien élève de Serpentard, ancien Langue-de-Plomb, Mangemort en fuite ϟ AVATAR : Godfrey Gao
ϟ LIENS : From childhood's hour I have not been. As others were, I have not seen. As others saw, I could not awaken. My heart to joy at the same tone. And all I loved, I loved alone.
| MIKE -- Livin' in America Sujet : Re: MIKE -- Livin' in America Lun 2 Mar 2015 - 21:06 |
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| Je veux un lien avec Joy. Genre, tellement. Ce nouveau personnage envoie du rêve. 8D C'est trop cool que tu sois finalement revenue. *_*
Je vais te stalker. (Mais tu m'en voudras pas trop, n'est-ce pas ? ♥) |
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: See our friends, see the sights, feel alright.
ϟ ÂGE : 28 ϟ FONCTION : Surveille les hiboux de la poste de Pré-au-Lard en duo de choc avec Dean ϟ AVATAR : Joseph Dempsie
ϟ LIENS :
▬ fiche
▬ liens
▬ courrier
| MIKE -- Livin' in America Sujet : Re: MIKE -- Livin' in America Lun 2 Mar 2015 - 21:13 |
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| Ce nouveau perso tellement epic. Re-bienvenue. ♥ Je viendrais te réclamer un lien avec Nikolaï quand j'aurais fini sa fiche parce que russe vs américain quoi. |
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: Where is the rhum gone ?
ϟ ÂGE : 52 ϟ FONCTION : Revendeur au noir ; videur ; boxeur ; inutile à la société ; z'auriez pas une 'tite pièce ? ϟ AVATAR : Woody Harrelson
ϟ LIENS : Power Rangers !
Tortues Ninja !
| MIKE -- Livin' in America Sujet : Re: MIKE -- Livin' in America Lun 2 Mar 2015 - 23:21 |
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| Lichuan : quand tu veux pour le lien ♥ Et je te stalkes déjà, na, je trouve Lichuan complètement magistralement awesome, donc on est quitte :D
Seamus : merci ! Et j'approuve ce lien, la guerre froide c'est la vie |
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: When I woke up this morning, I got myself a beer.
ϟ ÂGE : 37 ϟ FONCTION : Auror ; Ancien Gryffondor ϟ AVATAR : Jensen Ackles
ϟ LIENS : www — fiche
www — liens
www — lettres
| MIKE -- Livin' in America Sujet : Re: MIKE -- Livin' in America Jeu 5 Mar 2015 - 11:42 |
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| Je n'ai pas eu le temps de passer pour dire que j'adore ce personnage et qu'il nous faudra absolument des liens ! ♥ WELCOME. |
| | | Invité
| MIKE -- Livin' in America Sujet : Re: MIKE -- Livin' in America Jeu 5 Mar 2015 - 17:17 |
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| OH MON DIEU WOODY ♥ (je suis tombée amoureuse de lui dans Now you see me/Insaisissable). Je ne peux qu'approuver ton choix d'avatar, et mon dieu² j'aime ton personnage. Il sent l'originalité à cent mètres, il est tellement vivant et extraordinaire. Tu as une imagination folle et je trouve ça super que tu sortes des petites merveilles de ton joli cerveau (oui parfaitement j'ai vu ton cerveau et il est bo). Michael est simple, heureux, aux allures de gros dur, et pourtant il est rempli de faiblesses et de défauts mais qui le rendent attachant. Je vais forcément (sauf si tu viens dans mon lit avant) te demander un lien pour Hélène qui a le même âge, était à Gryffondor et a été aux States ; ainsi que Clément. Bref. j'aime les clins d'oeil (Cassie Norris /mur) et j'adore l'histoire tout simplement. (épouse-moi stp ♥) |
| | | | MIKE -- Livin' in America Sujet : Re: MIKE -- Livin' in America |
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