ÂGE & DATE DE NAISSANCE ; 31 juillet 1980, un peu plus de 15 ans...
ANNÉE & MAISON ; 5e année à Gryffondor.

AIME ; La magie, les longues soirées d'hiver, penser, jouer le héros en toutes circonstances, blaguer avec Ron, Hedwige, le souvenir de ses parents, les chocogrenouilles, concocter des plans, Albus Dumbledore, les fêtes, Sirius Black et la plupart de ses amis et des gens qui le soutiennent. On pourrait presque les compter sur les doigts de la main parfois, alors autant les citer tout de même...

N'AIME PAS ; La souffrance sur lui ou sur les autres (même si, pour lui, à force, on peut se poser la question...), se faire remballer par une fille, voir les gens pleurer, être célèbre - quoique... -, se plier aux règles, apprendre, danser, attendre, rester sans rien faire, se faire surveiller, Draco et la plupart des Serpentards, qu'on se moque de lui. Aaah, l’orgueil...

ÉPOUVANTARD ; Un Détraqueur...

PATRONUS ; Un Cerf.

DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE ;

. Héros . Aimant à embrouilles . Fin stratège . Amical . Sensible . Fourchelangue . Violent .

Harry est un garçon instable. Ça n'a rien d'une nouveauté, n'est-ce pas ? Beaucoup le voient comme un jeune homme charismatique et fort. Il est charismatique principalement grâce la légende qui se propage autour de lui, et il flanche souvent. Damn, ce gars n'est donc pas un héros ? Ah, ça, l'héroïsme, il en fait preuve presque quotidiennement. D'accord, j'exagère. Par là je cherche à dire que parfois, il en fait trop. Mais étant donné qu'il y a des raisons à tout dans ce sombre monde, laissez moi vous expliquer...

Si il se sent obligé de protéger les autres, qu'il y voit une nécessité vitale, ce n'est pas parce qu'il est plus généreux encore que mère Thérésa. C'est un homme, pas une sainte, hein. Malgré tout, Harry a la certitude qu'il n'aurait pas dû survivre et qu'hélas beaucoup ont déjà payés pour sa vie. Y comprit ses parents, et ça, il ne l'accepte tout simplement pas. Alors il essaye de racheter les fautes qu'il n'a pas directement commises. Simplement en vivant. Tout cela, il ne l'avouera jamais, c'est à se demander simplement s'il s'en rend compte. Il n'aime pas devoir quelque chose à quelqu'un. Il veut que tout le monde soit fier de lui, on peut facilement penser qu'il essaye juste de retrouver le sentiment naturel d'un enfant face à ses parents. Un amour rassurant et encourageant. C'est tout simplement cela, rien de plus compliqué.

Ça, c'était la grosse partie « je suis génial, je suis un héros ». Mais naturellement, Harry, ce n'est pas que ça. Il a une fâcheuse habitude à s'attirer des problèmes. On en vient à croire que c'est encore plus légendaire que le reste, chez lui. Doté d'un esprit stratégique hors-du-commun, il arrive à échafauder des plans – seuls ou non – qui en feraient frémir Ombrage. Particulièrement amical, il a un très grand sens de l'Honneur et de la Justice, jamais il ne laissera ses amis tomber, ou quelqu'un qu'il ne connait pas courir le moindre risque. Sensible, sous sa carapace, il ressent de la culpabilité pour tout mais surtout n'importe quoi. Au point que « C'est ma faute » est quasiment devenu sa devise. Malgré tout, il ne faut pas se sortir de la tête qu'il a des côtés assez flippants. Même carrément flippants. Parler le fourchelangue n'a rien de bien rassurant, déjà, en plus de cela, si on le cherche il peut devenir violent, réellement violent. De plus, il n'aime pas particulièrement qu'on le contredise, c'est limite maladif.

DESCRIPTION PHYSIQUE ;

. Gringalet . Brun . Yeux verts . Sa cicatrice . Ne sait pas faire les noeuds .

D'apparence plus que gringalet, Harry n'est pas bien grand et encore moins musclé. Ce n'est pas le parfait cliché du preux chevalier dans son armure, ça, c'est clair. Cela est surtout du au fait de sa sous-alimentation chez les Dursley. Et depuis les quelques années passées à Poudlard, le gamin prend du poil de la bête, si j'ose dire.

Il a les cheveux bien noirs de son père, ce qui leur donne d'ailleurs une très forte similitude, la même tignasse indomptable, si si... Et pour ses yeux, on dit qu'il a ceux de sa mère. Et ça, on n'arrête pas de lui dire, à vrai dire. D'un vert brillant.

Mais continuons donc sur ce chemin, il est très... très... Très... Comment dire... Il ne voit rien sans lunettes. Et quand je dis rien, c'est plutôt pas grand chose. Ou alors des masses colorées dispersées un peu partout.
Mais évidemment, le plus important chez lui, c'est sans doute sa cicatrice. Assez visible (forcément, en plein milieu du front, ça aide pas à trouver un boulot), il a prit cependant l'habitude de laisser ses cheveux la recouvrir. Parfois, elle lui fait si mal qu'il a envie d'en hurler. Mais à la place de ça, il se contente de grimacer avec des mimiques parfois hilarantes. Bien que la situation ne s'y prête guère, je vous l'accorde.

Pour ses vêtements, Harry a l'habitude des moldus, alors autant dire que les robes de sorcier, c'est pas encore trop son truc. Malgré tout, il évite de la ramener là dessus. Dès qu'une occasion se présente, il se présente – lui même ahah – en costume, il faut dire que c'est sans doute parce qu'il n'a pas vraiment eu l'occasion de participer aux bals, aux mariages ou même aux enterrements lorsqu'il habitait à Little Whinging, alors il se rattrape maintenant. Il porte les couleurs de Gryffondor fièrement et ne s'en cache pas, de toutes façons, même si il essayait, il serait immédiatement reconnu, non ?

Ah oui, dès que la température baisse, il se présente toujours avec son écharpe rayée or et rouge. Et aussi, il ne sait pas nouer une cravate. Autant dire que c'est une vrai catastrophe avec celle qu'il porte quotidiennement. Les gens pensent qu'il fait ça pour se donner un style, non, non, il ne sait vraiment pas faire.

BUT DANS LA VIE ; Vaincre Voldemort bien sûr ! Devenir Auror, accessoirement, et mener une vie normale, plus secrètement.

CE QUI COULE DANS VOS VEINES ; Sang-mêlé... Par sa mère née Moldue, éwi.

VOTRE ANIMAL DE COMPAGNIE ; Hedwige, une magnifique chouette blanche aux tendances jalouses bien trop développées.

« Les hommes n'ont pas peur de mourir mais ils ont peur de vivre. »

Tout commence par un éclair vert. Un éclair qui déchire l'espace et un long son sifflant, désagréable. La mort frappe comme la foudre, rapide, fracassante et impitoyable.

« Avada Kedavra ! »

Le début hélas n'est pas bien glorieux. C'est justement la fin. James Potter s'écroule et il y a des bruits dans l'escalier, son cri étouffé a plongé la modeste maisonnette dans une ambiance des plus... Glauques ? Lily se précipite vers le berceau d'Harry et c'est à cet instant que la bénédiction – ou malédiction ? – prend forme. Au second éclair vert, la mère s'écroule. Un. Deux. Trois. Au troisième... Hé bien non. Justement. Le sacrifice de sa vie, ça, Lord Voldemort ne l'avait pas prédit. L'enfant dans son berceau continuera à vivre cette nuit là. Seul. Seul avec le souvenir du sourire de sa mère et la voix de son père. Seul avec cette cicatrice qui marquera son front d'un terrible éclair.

C'est en cet instant que cet enfant inoffensif devient un des plus grands dangers. Mais un espoir aussi. Et l'espoir, c'est sans doute le plus fort, le plus important. Malgré tout, notons qu'il est devenu en l'espace d'un instant « Celui qui a survécu ». Même s'il l'enfant n'y peut rien, dans le sens où il n'a pas déclenché cela, il devra affronter ce qu'il attend. Et il faut dire que... Autant être honnête... Il sera pas aidé. Mais alors pas du tout hein.

Harry habitera avec son oncle Vernon, sa tante Pétunia et son cousin Dudley, les Dursley. Peut-être pas les meilleurs parents que le garçon pouvait avoir, c'est vrai. Vivre la moitié de sa vie dans un placard, sous l'escalier, ne sera pas non plus le meilleur souvenir d'Harry. Grandir en étant clairement le larbin d'une famille qui ne veut pas de vous, sans aucun amour parental ni même familial n'aida pas le garçon. Pétunia et Vernon, tellement dégoutés par la magie qu’exerçaient les parents d'Harry tout autant que lui même, refusèrent catégoriquement de lui laisser ne serait-ce prendre connaissance et conscience de sa différence quant au monde dans lequel il vivait.

Néanmoins, pour son onzième anniversaire, Albus Dumbledore force les Dursley à laisser Harry rejoindre Poudlard, avec l'aide – et l'arrivée pour le moins fracassante – de Hagrid. C'est ainsi que le jeune garçon découvrit enfin ce qui l'attendait. Même si il refusait d'y croire et que parfois encore il a l'impression de rêver. Ou juste d'halluciner, les faits étant bien trop négatifs pour faire partie d'un rêve... Bref. Il eut donc sa première baguette et bien sûr Hedwige, les deux ne l'ayant toujours pas quitté depuis. Mais également, il apprit l'existence d'un compte en banque et pas franchement à découvert, hein. Ses économies venant de ses parents étaient plus ou moins un des seuls souvenirs matériel qui lui restait d'eux. Ou même le seul. En vérité.

Dans le train qui le menait à Poudlard il fit la connaissance de Ron Weasley. Un garçon pas ordinaire. Sans doute dû faire qu'il était plus ou moins un des premier sorcier qu'il rencontrait. Enfin, c'est ce qu'il pensait. Et il apprit par la même occasion sa notoriété qui pour le moment était restée pour le moins inconnue. En revanche, peu habitué à toutes ces choses, la dégustation de chocogrenouilles n'en fut pas moins ardues. Il aurait pu se ridiculiser mais visiblement son camarade, et premier ami ici (premier ami tout court, chose qu'on s'évitera de préciser), était tolérant. Ou du moins, il se fichait de lui en légèreté. Très peu de temps après ils firent tous deux la connaissance d'Hermione, grosse tête aux chevilles enflées comme celles de tante Marge. D'un côté, forcément, pour Harry, lorsqu'Hermione sortait une phrase évoquant quoi que ce soit de magique, cela passait pour du chinois, ce qui contribuait d'avantage à l'incompréhension et à la faire passer pour un génie. Oh oui, il aurait pu avouer que tout cela le fascinait, mais à la place, il avait décidé de rester constamment sur la défensive. Il l'est toujours. Un peu moins cependant.

Lors de la répartition des élèves dans les différentes maisons, il se trouvait que le Choixpeau Magique semblait hésiter grandement entre Serpentard et Gryffondor, malgré tout, d'après les rumeurs que lui avait révélé Ron, le garçon supplia la créature de l'envoyer à Gryffondor. De cette façon, il se retrouva avec ses nouveaux amis, s'attirant simplement par son arrivée les foudres des Serpentards qui ne semblaient pas vraiment l'aimer. Particulièrement un certain Draco...

Malgré tout, le temps passe, Harry grandit et le danger avec lui. Parfois il doute. De lui, des autres, du monde, de la nécessité de sa propre existence. Qu'aurait été le monde si il n'avait pas survécu ? Est-ce que tout aurait été réellement différent ? Qu'aurait été le monde sans Lord Voldemort ? Est-ce qu'il aurait rencontré ses amis, les mêmes ? Est-ce que... Tellement de questions s'embrouillent si souvent dans sa tête que parfois il en vient à se demander qui il est. Et ce qu'il fiche ici. Trop sorcier pour être moldu, trop moldu pour être sorcier. Il n'a pas sa place à Poudlard comme il n'a pas sa place dans le monde. Et oui, cela lui fait peur. Parce que oui, il lui arrive d'avoir peur. D'avoir cette boule au ventre et cette envie de chialer. Il a passé des heures, des journées entières devant le Miroir du Riséd. Regardant sa mère sourire, son père et lui même. Après tout, c'est bien naturel. On lui a tellement de fois dit qu'il ressemblait à la fois à son père et à sa mère que parfois il en perd la notion de leur décès. Ils sont là, avec lui. Et pour toujours ils l'aideront à parvenir à ce qu'il souhaite plus que tout au monde : avoir une vie normale, même si pour cela, les épreuves risquent d'être bien difficiles..

COMMENT NOUS AS-TU DÉCOUVERTS ? ; Via un Top-site, même si je bave sur le forum depuis un petit moment maintenant.

LE NOM DE LA PERSONNE SUR TON AVATAR ; Vous êtes sérieux ? Daniel Radcliffe roooh !

QUE PENSES-TU DU FORUM ? ; Y a pas de mots. 8D

AS-TU LU/VU TOUS LES HARRY POTTER ? ; Les deux. Je suis suicidaire, mais y a des limites. xD

SUR COMBIEN D'AUTRES RP ES-TU INSCRIT SANS COMPTER CELUI-CI ? ; Deux, les deux miens, en faaait. ;D