ϟ ÂGE & DATE DE NAISSANCE : 27 ans, né le 1 Décembre mais on lui donne aisément cinq années de moins.
ϟ LIEU DE NAISSANCE : Londres. Les Hathorne naissent à Londres depuis trois siècles et meurent dans cette ville. Aucun d'entre eux n'a souhaité explorer le monde.
ϟ ANNÉE & MAISON : C'est un ancien Gryffondor. Aujourd'hui, il s'occupe de la Salle du Temps tout en essayant de ne rien dérégler.
ϟ ORIENTATION SEXUELLE : Des filles ou des garçons ? Au secours. Il est déjà parti se réfugier sous sa couette.
ϟ DESCRIPTION DE LA BAGUETTE MAGIQUE : Faite dans un bois de cerisier, elle mesure 28,7cm et contient un crin de licorne. Petit détail insignifiant, elle est cassée en deux depuis un mois et elle ne tient que grace à du scotch, ce qui la rend inefficace mais c'est un secret.

ϟ BUT DANS LA VIE : Leor ne veut pas combattre le mal, ni même faire carrière au Ministère. Ses buts sont simples : protéger Céleste, cette gamine qui le suit partout, cette moldue perdue dans les rues de Londres qu’il a recueilli parce qu’elle avait les mêmes yeux que Ravel ♦ Ne plus avoir peur de dormir sans couette la nuit ♦ Arracher la langue de tout ceux qui prétendent que les sangs pur sont supérieurs.
ϟ CE QUI COULE DANS VOS VEINES : A l’origine, les Hathorne étaient des sorciers et la lignée s’est perpétuée pendant un long moment (ce qui n’a pas exclu les mariages entre cousins). Une erreur a suffit pour voir le sang être souillé. Depuis un siècle, ce sont des sang-mêlés.
ϟ VOTRE ANIMAL DE COMPAGNIE : Un vieux chat qu’il a recueilli depuis trois ans. Une boule de poils encore craintive qui ne sait que miauler pour avoir à manger. Il n’a pas de nom, ça change selon les jours : le chat, la bestiole… Leor possédait aussi une souris, mais une cohabitation entre ces deux animaux était impossible. Le rongeur est devenu un repas.
ϟ SIGNE PARTICULIER : Ce sont ses yeux, deux billes noires cerclées de blanc. Des pupilles qui ne se dilatent plus. Anormal. Les gens ont tendance à fixer cette curiosité, se demandant pourquoi et comment est-ce qu’il peut voir. C’est un accident, il est tombé du deuxième étage, des connexions ont certainement sautées et depuis, sa vision est chamboulée. Les couleurs sont fades, seul le rouge et le bleu ont toute leur consistance.

ϟ DESCRIPTION PHYSIQUE ; La foule de Londres. Visages indistincts, similarité des corps, rien ne distingue ton voisin de droite, de celui de gauche, encore moins de cet homme qui te fonce droit dedans. Tu l’évites de justesse, pivote, ta maigreur est enfin utile. Toi qui te plains tout le temps d’être trop chétif, d’avoir le corps d’un garçon de dix sept ans (même si il faut l’avouer, tu n’auras jamais l’allure d’un homme, coincé dans un amas de chair, petit garçon). Tu profères quelques insultes à l’adresse de cette foule qui te retarde et te voila arrivé devant la cabine qui mène au Ministère. Ton costume est froissé, de toute façon, il est trop grand pour toi et cette chemise qui n’est pas repassée! Ces vêtements sont un carcan que tu ne supportes pas. Porter des tissus aussi étriqués, c’est une torture. Pourtant, l’armoire déborde de pulls, jeans et autres t-shirt informes. Un costume ne masque pas la maigreur, ça l’accentue, c’est morbide. Un coup d’oeil à tes mains. Tu fais craquer les os un à un. Et la voix de ton père résonne : « Leor ! Tu as de si belles mains, si tu continues de faire ça, tes doigts vont se tordre » Tu ne l’as pas écouté et regarde le résultat : les doigts arachnéens sont déformés, les mains du pianiste sont devenues inutiles, c’est à peine si tu peux encore jouer du violon. Le soleil claque sa lumière dans tes cheveux, petite tête rousse, crinière indomptable. Quelques gestes désespérés pour leur donner une allure acceptable, c’est encore pire qu’au réveil. Ce roux, tu en es atrocement fier, malgré les remarques, les attaques, tu sais que c’est un élément qui te distingue du reste. Arrête donc de te frotter les yeux ! Regarde, à présent ils sont rouges. Tu devrais porter des lunettes, toutes ces poussières, c'est ingérable. Quoi encore ? Mais bien entendu qu’ils sont beaux tes yeux, tu ne dois pas en avoir honte. Reconnais qu’ils sont singuliers, surtout avec ce noir (aile de corbeau comme dit Céleste). Et ne pense pas à mettre des lentilles, tu te souviens de la dernière fois ? Non ? Bien entendu que tu n’as pas oublié. Assume Leor et peut importe que les couleurs soient devenues fades. Tu ne vois pas les nuances, mais est-ce si important ?

ϟ AIME : Hiberner, rester cloitrer chez lui pendant des jours et vivre sous sa couette tout en regardant des films x Attraper des lucioles et prétendre que ce sont des étoiles x Les chats x La neige et faire de la luge x Les garçons x Les pulls en laine, bleu de préférence x Inventer de nouvelles recettes de cuisine, surtout des pâtisseries x Acheter des livres et ne pas les lire x Dessiner les passants x Les filles x Porter une cape et avoir l’impression d’être un super héros x Jouer à cache-cache avec la Directrice du Département des Mystères x Jouer du violon x Le théâtre x Voler le rôle des guides dans les musées et raconter n’importe quoi aux visiteurs x Les noeuds papillon x Faire des paris stupides avec Céleste x Les boissons colorées, surtout le vin rouge x Recueillir tous les animaux qu’il trouve x Le thé, de préférence à la vanille x Les tatouages mais sur les autres x Les odeurs dites bizarres, comme le sang x

ϟ N'AIME PAS : Faire le même cauchemar chaque nuit : Ravel qui l’accuse de ne pas l’avoir sauvé x Manger un plat qui n’est pas bien présenté x La magie lorsqu’elle ne lui permet pas de faire ce qu’il veut x Les garçons x Les gens trop bavards x Qu’on lui pose des questions à propos de ses yeux x Les jeans clairs x Devoir prendre une décision rapidement x L’alcool, surtout la bière x Le désordre qui règne dans son appartement mais il a la flemme de tout ranger x Ne pas avoir suffisamment de place pour ranger ses livres x Les chiens x

ϟ DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE ; This beastly boy wearing an adult's mask. Le silence mure la rue, tu as peur des autres, peur de la foule qui s’agglutine autour de toi et cherche à t’avaler. La présence d’autrui est une difficulté que tu ne parviens pas à surmonter. Fendre la ville de Londres te demande quelques efforts que tu n’es pas toujours capable de fournir. Il faut jouer des coudes, baisser la tête, murmurer quelques pardons. C’est une timidité effrayante, couplée à une peur des gens. Tu ne devrais pas rejeter tout le monde de cette façon. Tu sais, il y a cette petite brune qui t’apprécie, la nouvelle Auror et ne fais pas semblant de ne pas avoir remarqué ! Tout le Ministère est au courant. Mais bien entendu, tu refuses, encore et toujours. Pourquoi tu n’acceptes pas la présence de quelqu’un ? Personne ne pourra remplacer Ravel, c’est un fait, tu dois accepter sa mort et vivre pour toi. C’est ça ton problème majeur, tu vis avec des souvenirs. Le futur n’est pas pour toi, tu voudrais que le passé reste, qu’il ne s’effrite pas avec les années mais ta mémoire n’est pas parfaite Leor et bientôt, tu oublieras le visage de ta soeur.

Tu souhaites vraiment passer ta journée dans cet endroit ? C’est une bibliothèque, une prison ! Pardon, je m’emporte mais va-y, entre. Ta passion pour les livres est incroyable, je suis certain que tu possèdes la plus grande collection de ‘’livres improbables’’. Qu’est-ce qui te fascine dans cet endroit ? Ah oui, je me souviens, c’est avant tout l’odeur des vieux manuscrits, et toutes ces connaissances que tu peux avaler rapidement. Tu as toujours eu ce don, celui de pouvoir apprendre facilement. Ta mémoire est ton plus grand atout. Ils étaient jaloux à Poudlard, jaloux que tu ne passes que quelques heures à réviser pour les examens. C’est ainsi, mais tu ne t’es jamais vanté de cela. A vrai dire, tu ne dis jamais rien de toi. Seul ton prénom s’échappe parfois de tes lèvres mais pour apprendre à te connaitre, il faut être courageux, ou diablement entêté.

Bien, à présent que veux-tu faire ? Marcher sur les toits ? C’est un peu stupide mais allons-y. Le danger t’attire, cette sensation de vide sous tes pieds. Tu sautilles, cours, manque de chuter mais tu te rattrapes toujours au dernier moment. On ne saurait dire si tu as avalé du felix felicis à la naissance ou si tu es un funambule né. Les étoiles sont source d’apaisement. Tu ne connais pas leur nom, rien de tout cela mais tu te plais à t’allonger sur la terrasse d’un inconnu pour observer ce ciel changeant.

Pourrions-nous rentrer ? Tu adresses quelques regards furtifs aux passants. Malgré ta peur, tu es curieux de connaitre leur visage, de capturer des regards, des sourires. Tu cherches sournoisement à voler le bonheur d’autrui. Londres est vide de monde à cette heure-ci. Tu n’es pas effrayé parce que tu sais que tu es plus fort qu’eux, qu’un seul sortilège peut réduire une vie à néant, tu l’as déjà fait. Les mains dans les poches, le col de ton manteau relevé, tu avances péniblement. Le froid n’est pas un problème, c’est ce vent qui repousse sans arrêt ton corps. Redoubler d’effort. Un cri déchire la nuit. Tu avances, refuse l’évidence mais voila que tu cours comme le gryffondor que tu es - ta tête la première dans la gueule du cerbère. Ton calme est désarmant devant le spectacle. Pas de panique. Un sort fuse et atteint l’agresseur. Il n’est pas mineur, il est violent, magie noire. Tu n’as jamais fait la distinction entre les formes de magie. Tu attaques sans pitié. Tu ne ressens plus ce sentiment depuis longtemps. La victime s’effondre au sol, tu pourrais lui dire de venir avec toi, l’aider, la soigner mais tu repars. Tu n’es pas un héros, juste un gamin à qui on a confié une arme et des souvenirs trop douloureux.

☞ He came from the sky. The black one. The winged shadow. « Leor ! Regarde, y’en a partout ! Ils ne sont pas très jolis mais je les aime beaucoup » Lui ne voit pas, il tourne la tête à droite, puis à gauche, pivote sur lui-même, cligne plusieurs fois des yeux mais Leor ne distingue rien d’autre qu’une prairie bordée par une foret et la maison de leur oncle au loin. Le garçon s’approche de sa soeur qui a déjà oublié la présence d’autrui pour se concentrer sur un animal que seule elle est en mesure de voir. « Tu savais qu’il élevait une autre race que les abraxans ? » Il hausse les épaules, ne sachant pas du tout comment il doit réagir. Doit-il lui dire qu’elle imagine tout cela ? Que ce qu’elle pense voir n’est en réalité que dans sa tête ? Ravel a toujours eu un surplus d’imagination, inventant les histoires les plus farfelues mais surtout les plus intéressantes. Combien de nuits ont-ils passé, éveillés, une lampe torche, sous la couette, afin de raconter ces histoires fabuleuses de dragons, griffons et autres créatures ? Un nombre certain. Les histoires ont été écrites dans un petit carnet qu’il promène toujours avec lui. « Pourquoi tu ne dis rien ? » S’inquiète la plus jeune, deux ans de différence. « Je… regarde, notre oncle arrive » Détourner la conversation est ce qu’il sait faire de mieux. Leor n’est pas de ceux qui apprécient les longs discours, il est toujours en retrait, observant le monde avant d’ouvrir la bouche. « Ravel ! Je vois que tu as fait connaissance avec Hélios » L’oncle est le jumeau de leur père, ce qui est drôlement perturbant pour les enfants qui parfois sont incapables de les différencier. Leor tourne vivement la tête, un sourcil arqué. « Qui est Hélios ? » Un sourire lui répond, mais il est tordu, presque triste. « C’est un sombral, il y en a tout un troupeau dans la foret et bien souvent, ils viennent jouer avec mes abraxans » Le garçon ne comprend plus rien. Tout ceci n’est qu’une blague de très mauvais gout. « Mais il n’y a rien DU TOUT! » L’incompréhension est insupportable. Il a besoin de tout savoir, tout de suite, alors ces moqueries le perturbent. « Tu ne peux pas les voir. Ils ne sont visibles que pour certaines personnes, notamment celles qui ont beaucoup d’imagination » C’est un mensonge, il le sait, l’oncle aussi a compris que ses paroles étaient inutiles. Leor attendait la vérité, mais il n’en est rien. C’est un voile, encore, parce qu’il est trop jeune et que la vérité éclatera plus tard. Symboles de mort. Ravel est celle qui a vu leur mère mourir, un vulgaire accident de voiture, une catastrophe moldue mais elle était trop jeune, et ne se souvient de rien.


☞ I’m going to kill you. I’m going to kill you because you’re innocent. Les enfants jouent avec leur baguette. Quatorze et douze ans. L’utilisation de magie en dehors de Poudlard est interdite alors ils inventent des noms de sortilèges, font des duels. Le père ne peut pas leur interdire d’emporter le morceau de bois, même lorsqu’ils fréquentent le monde moldu. « Je ne peux pas l’abandonner ! Imagine si un troll vient me voler MA baguette! » Les talents de comédien de Leor sont inexistants, et ceux de Ravel sont encore plus pitoyables mais leur père cède aux caprices des enfants - c’est ainsi depuis la mort de la mère. Il tente maladroitement de combler le vide. C’est une famille bancale mais ils sont heureux et c’est tout ce qui compte, même si Leor apprécierait grandement de manger autre chose que des pâtes tous les jours ou presque. Ils jurent qu’ils seront sages, alors le père les laissent dans un parc moldu. Leur baguette n’attire pas la curiosité des autres enfants, ils ont tous l’habitude de jouer à ces jeux de sorcellerie, prétendant qu’un morceau de bois devient magique. C’est une poursuite, et bientôt ils engagent tout le parc dans leur bataille. Eclats de rire. Course. « Diffindo » Ce n’est pas une invention, c’est une véritable formule et la baguette crache des étincelles, un sort qui frappe de plein fouet un enfant. Coupures à la jambe. Tout le monde a vu, tout le monde sait à présent que la jeune Hathorne n’est pas ‘’normale’’. Hurlements. Course. L’enfant blessé est emmené au loin, le reste des adultes s’approche, encercle les petits sorciers. La soeur est placée dans le dos du frère, baguette en main, il est prêt à la défendre. « MONSTRE » hurle t-on à leur encontre et d’autres insultes. Un homme s’avance, plus téméraire que les autres, lui connait la magie, il l’a déjà affronté. Un sorcier lui a volé la vie de sa femme. Il attrape Leor par le col de son pull, l’enfant est soulevé du sol mais un sortilège fuse, et fait chuter le bourreau à terre. « RAVEL! » Elle n’est plus derrière lui. Perdue la petite soeur. Un moldu l'emporte au loin, avide de pouvoir. Le corps de l’enfant est retrouvé quelques jours plus tard. Coupures diverses. L’assassin a maladroitement cherché à extraire la magie pour s’en emparer. Le père refuse de parler de cet événement. Il sait ce qu’il en coute de montrer aux moldus la puissance de la magie, il connait leurs peurs, connait leur rage et ce qu’ils ont fait à Ravel n’est que le commencement. La mémoire de Leor est détraquée, fouillée, effacée. Le père modifie les souvenirs.


☞ She was not the sun and the light like his sister. She was a storm of chaos and beauty in everything she did. Poudlard est derrière lui. Le petit gryffondor abandonne le château, délaisse des souvenirs, sème un chemin. Il ressent toujours ce vide, ce trou béant dans sa mémoire, comme si on lui avait arraché quelques années. Il ne sait pas d’où cela vient. Le père lui dit que c’est la perte de Ravel, sa soeur qui était malade, mais il ne se souvient pas de cela. Seule la couleur des yeux est restée, un bleu quasi violine au soleil, une belle curiosité. Hésitations sur la voie à choisir : médicomage, employé du ministère, chercheur dans un musée, dresseur d’abraxans… il note tout sur une feuille, dresse des listes. C’est finalement le Ministère qui l’emporte. Employé au Département des Mystères. Le premier jour, il manque de toucher à tout. C’est fascinant tous ces petits objets, tous ces secrets. La Salle du Temps lui convient parfaitement, lui qui est obsédé par les minutes qui défilent, lui qui porte une montre à chaque poignet, aucune autre salle n’aurait pu lui convenir. Il apprécie de travailler de nuit mais cette semaine, il doit rentrer plus tôt. Leor a recueilli un hérisson et il craint que l’animal meurt. C’est une supplique auprès de la Directrice du Département. Il invente quelques excuses grotesques. C’est la première fois qu’il demande à pouvoir partir plutôt. Elle accepte. Il se promet d’emmener le petit animal demain pour lui montrer. Ou plutôt que non, elle serait capable de le renvoyer pour cela. L’homme, ou plutôt le garçon car il n’en a clairement pas le physique court à travers le Ministère, puis dévale les rues de Londres. Il pourrait transplaner directement chez lui, mais il préfère marcher, regarder le ciel. Son corps heurte violemment celui d’une étrangère. Il relève les yeux, n’y discerne qu’une forme grisâtre. Ses yeux se détraquent de jour en jour depuis cet incident, cette chute involontaire. Il est curieux de connaitre la couleur des yeux. Les couleurs dites pures lui sont encore visibles, c’est pourquoi il remarque ce bleu, cette singularité qui le frappe immédiatement. Leor en oublie de s’excuser, pour l’avoir renverser, pour la fixer avec démesure. Il bafouille quelques paroles mais la jeune femme lui sourit et il ne peut s’empêcher de répondre par la même expression. « Excusez-moi, je… les étoiles, vous savez, je regarde toujours le ciel en marchant, ce qui est problématique car après je trébuche, ou je me cogne un peu partout. Vous devriez voir, j’ai des bleus partout, c’est un peu dérangeant d’ailleurs… » Les paroles auraient pu s’enchaîner pendant des minutes si elle ne l’avait pas coupé. « Je m’appelle Céleste »

ϟ COMMENT NOUS AS-TU DÉCOUVERT ? Je t'explique, une petite voix dans ma tête m'a chuchoté qu'il serait bien que j'ai un personnage non psychopathe pour cette fois-ci. Faut dire que Wallace il est quand même bien timbré alors je reviens avec quelqu'un de mignon.

ϟ LE NOM DE LA PERSONNE SUR TON AVATAR ; Luke Newberry   

ϟ QUE PENSES-TU DU FORUM ? Il est quand même pas mal du tout. Vraiment. Ok, il est superbe et je l'aime toujours autant.

ϟ AS-TU LU/VU TOUS LES HARRY POTTER ? Yeap. Même que ce week-end, c'était marathon films !

ϟ SUR COMBIEN D'AUTRES RP ES-TU INSCRIT SANS COMPTER CELUI-CI ? Deux autres.