ϟ DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE ; Dixie est connue pour l’ironie dont elle fait preuve dans la plupart des discussions. Une ironie qu’elle utilise le plus souvent pour se moquer d’une situation ou d’une personne. Bien sûr, son but est seulement de faire rire, c’est évident à ses yeux. Mais quelquefois, il lui arrive d’être blessante et elle peut faire involontairement de la peine aux concernés. Dans ces cas-là, elle s’excuse et essaie de se montrer moins vexante. Malheureusement, elle n’y arrive que très rarement et finit par abandonner… Ah ! Voilà une autre de ses caractéristiques : elle abandonne vite. Elle déteste persévérer et préfère revenir à ses mauvaises habitudes plutôt que de faire des efforts qu’elle pense vains de toute façon. Elle a eu beau regarder les films Disney qui incitent les petits à ne jamais choisir la solution de facilité, elle n’a pas pris compte de ces conseils. Quand ça devient trop difficile, elle va se cacher sous sa couette. C’est pour cela que les gens la considèrent comme une paresseuse et ils n’ont pas tort. Elle aime dormir et faire la grasse matinée et peut devenir très irritable lorsqu’on la réveille. On peut aussi la trouver blottie dans un canapé à regarder le bois crépitait dans la cheminée en buvant du chocolat chaud. Elle adore être au chaud, surtout quand elle sait qu’il fait froid dehors ou qu’elle voit certains élèves sous la neige avec leurs gros bonnets et leurs écharpes.

Dixie est une élève moyenne, mais elle pourrait avoir de meilleures notes si elle s’en donnait les moyens. Non, elle préfère passer à la bibliothèque pour se moquer de ceux qui ont du mal à faire leurs devoirs. Elle, elle ne travaille que quand elle en a envie, mais elle se donne plus de mal lors des contrôles pour obtenir un A ou éventuellement un E. Elle est assez distraite en cours, elle ne peut s’empêcher de jouer avec ses cheveux ou de gribouiller sur son livre pendant que le professeur parle. Même si elle essaie d’être la plus attentive possible, elle finit par abandonner à un moment ou à un autre.

La jeune fille a aussi un côté extravagant et original dans sa façon de se comporter. Elle n’aime pas faire comme les autres et a un esprit de contradiction. Elle aime ébouriffer ses cheveux et contrairement aux autres filles, elle adore quand ses cheveux partent dans tous les sens à cause du vent et elle n’essaie pas de les arranger. C’est aussi une fêtarde qui chante à tue-tête avec ses amies dès qu’il y a une chanson qu’elle aime et qui invente des chorégraphies sur le coup parce qu’un pas de danse lui ait passé par la tête. Quand la Griffonne est seule, elle va fumer en cachette, ce qui la pousse à faire de profondes réflexions sur la vie. Des réflexions qu’elle oublie dès le lendemain parce qu’elle ne veut pas s’en souvenir. Ce qui fait qu’elle a été répartie à Gryffondor c’est tout simplement le fait qu’elle soit intrépide. Elle aime cette adrénaline qui l’emplit quand elle se met en danger, ce qu’elle adore faire. C’est aussi une sportive quand elle a assez d’énergie. Son sport favori reste la natation, c’est pour cette raison que son patronus est un dauphin, mais on peut la voir courir dans le parc. Le sport est ce qui a fait naitre en elle un esprit de compétitivité et elle aime relever les défis. Pourtant, elle n’aime pas le Quidditch, sûrement parce qu’elle n’est pas fan des balais volants. Elle suit tout de même les matchs pour supporter sa maison.

Dixie est aussi une personne très affectueuse qui aime les câlins et les p’tits bisous sur la joue. C’est pour ça qu’elle dort toujours en serrant son ours en peluche contre elle. Néanmoins ce qu’elle apprécie par-dessus tout c’est de faire croire aux gens que c’est une blonde écervelée. Elle peut sortir des phrases idiotes, glousser à la moindre blague idiote, regarder son reflet partout tout le temps et observer tout ce qu’il y a autour d’elle comme si elle le découvrait. Sinon, elle déteste manger des fruits et des légumes, elle préfère se goinfrer de chocolat ou de biscuits "petit prince" ! Et elle a une sainte horreur des poupées Barbie et de tout ce qui va avec. De plus, elle a peur qu’un jour l’une d’elle vienne la tuer dans son sommeil. Elle espère que son nounours la protégera.

ϟ DESCRIPTION PHYSIQUE ; Dixie est une jeune fille plutôt jolie. Elle a de longs cheveux blonds souvent lâchés et ébouriffés et des yeux verts mis en valeur par la pâleur de sa peau. Pâleur due au fait qu’elle ne mange pas assez sainement. Elle a une petite bosse sur le nez qu'elle veut faire disparaitre en appuyant bêtement dessus. Son visage est fin et lorsqu'elle sourie, de profondes fossettes se dessinent sur ses joues.
Malgré le fait qu’elle se nourrisse principalement de sucreries, elle possède une silhouette fine et reste maigre, surtout qu’elle courre pendant son temps libre. Elle est de taille moyenne et porte souvent des talons pour mettre ses jambes en valeur. Par contre, elle trouve sa poitrine trop petite et préfère porter des T-shirt qui ne sont pas moulants pour détourner les regards. Elle aime s’habiller simplement, un T-shirt avec un jean ou un short lui suffisent. Elle a un côté légèrement garçon manqué, mais elle le prend mal lorsqu’on lui fait la remarque. Pourtant, il lui arrive de porter des robes mais seulement pour certaines occasions. Elle aime aussi porter des chapeaux et de multiples bagues. Elle se maquille avec des couleurs plutôt claires parce qu’elle veut garder une part de naturel, elle préfèrera donc un rouge à lèvres rose clair à un rouge à lèvres rouge vif. D’ailleurs ses lèvres sont souvent étirées en un large sourire qui laisse entrevoir ses dents blanches et alignées.

ϟ BUT DANS LA VIE ; Elle aimerait bien devenir modèle photo parce qu'elle adore poser et être prise en photo.

ϟ CE QUI COULE DANS VOS VEINES ; Du Sang-mêlé

ϟ VOTRE ANIMAL DE COMPAGNIE ; Un ours en peluche ça compte ?

CHAPITRE I :
« Je sais que j’ai été adoptée ! » Dixie était âgée de 14 ans et elle ne put s’empêcher d’éclater de rire. Sa petite sœur avait une imagination débordante. Elle était persuadée d’être une descendante d’un roi parce qu’elle savait imiter la démarche de Cendrillon à merveille. Pour la petite fille, c’était certain, cette grâce venait sans aucun doute de ses nobles ancêtres et non de ses maladroits parents. Sa mère fut la première à réagir. La jeune femme était aussi blonde que ses deux filles, mais seule la plus jeune des deux avait hérité de ses yeux bleus. Ses joues potelées et sa petite taille lui donnaient un côté enfantin, une image qu’elle essayait d’effacer. Pourtant, elle était encore jeune pour avoir une fille de quatorze ans. Eh bien, c’était parce qu’elle l’avait eue jeune, à 19 ans. Le père du bébé l’avait laissée tomber quelques jours avant l’accouchement et elle ne put se résoudre à abandonner son enfant. Heureusement qu’elle avait rencontré Will ! Il l’avait aidée à remonter la pente. Maintenant ils sont mariés et ont eu une petite fille de sept ans ensemble. De plus, d’aussi longtemps que Dixie se souvienne, Will avait toujours été là et elle le considérait comme son père. Juliet était ensuite devenue une femme respectée pour sa marque de vêtements. Tous les matins, elle prenait des heures à se préparer. Il fallait choisir la tenue parfaite avec laquelle se marieraient un maquillage et des talons parfaits. Ce matin-là, elle avait revêtu les vêtements de la maman-cuisinière : son tablier rouge avec deux baguettes de pain et un chapeau de chef cuisinier qu’elle avait acheté dans une sorte de vide grenier. Personne ne l’aurait reconnue sans son mascara et son rouge à lèvres. « Mais, non ! Qui t’as dit ça ? C’est n’impor… »

Son mari l’arrêta d’un signe de la main. Will était un homme grand et brun qui avait pour habitude de toujours se passer la main dans les cheveux. Il avait des yeux noisette légèrement en amande et un beau sourire. Il était drôle, il aimait prendre soin de sa peau en cachette, mais il ne pouvait s’empêcher de laisser trainer quelques produits. Sa famille s’abstenait de le lui dire pour lui laisser une part d’intimité. Surtout qu’il vivait avec trois filles ! C’était un présentateur télévisé pour une émission moldue, même s’il était un sorcier. « Ecoute, Juliet on ne peut pas le lui cacher plus longtemps. Il fallait bien qu’elle le découvre un jour. » Il en rajoutait des tonnes, faisant de grands gestes et des grimaces de tristesse. Dixie essayait de ne pas éclater de rire, surtout que sa sœur était plus sérieuse que jamais. L’aînée aimait avoir une famille originale, elle ne s’ennuyait jamais lorsqu’elle revenait de Poudlard pour les vacances. Will posa son regard sur la petite Mercedes. « Comment tu l’as su ? » Il prenait un ton désespéré tout simplement hilarant. Mais, l’expression de sa fille n’en demeurait pas moins grave. « Bah vous êtes trop maladroits et moi je le suis pas. Et puis, maman elle peut pas imiter Cendrillon parce qu’elle trébuche tout le temps. »  Oui, même Juliet aimait en faire trop, en faire plus. La jeune femme soupira et déposa des œufs dans chacune des assiettes avant d’enlever son chapeau et son tablier et de venir s’assoir avec eux. « Mais tu vis avec nous et tu manges mes œufs donc t’es officiellement ma fille. » « A cause des œufs ? » Mercedes semblait en pleine réflexion, mais ils ne s’attardèrent plus sur la question. Juliet se tourna vers son autre fille. « Alors, c’était comment Poudlard ? » « Bien. La Salle Commune est très confortable. » Sa mère sourit, elle aussi avait été à Gryffondor comme son vrai père et Will à Serdaigle. Dixie n’arrivait pas à comprendre comment un lâche comme son père a pu être réparti dans la maison des Rouges et Ors. Elle le détestait, ce qui était normal, mais ne pouvait s’empêcher d’essayer de l’imaginer.

CHAPITRE II :
« On se croirait chez les cougars. » « Je te le fais pas dire ! » Dixie était allée rendre visite à une amie moldue. Elles étaient assises sur l’herbe de son jardin et ne pouvaient s’empêcher de jeter des coups d’œil vers les voisins. Une certaine Liliane, âgée d’une quarantaine d’années avait engagé un jardinier qui lui devait avoir 20 ans et elle posait sur lui un regard envieux. Elle se tenait sur le seuil de sa porte, pendant qu’il tondait le gazon. Puis un homme en costume passa devant la maison. Il avait une démarche hautaine et un regard assez méprisant. Son amie lui avait souvent parlé de lui, il était apparemment imbu de lui-même ce qui se remarquait très vite. « Si on faisait une centrale électrique de son ego, on éclairerait tout le Texas ! » Son amie se mit à rire et elles continuèrent de parler de tout, de rien et des voisins. Elles passèrent toute l’après-midi ensemble, profitant du beau temps qui était rare en Angleterre. Puis, Dixie décida de rentrer chez elle, le soleil allait bientôt se coucher et elle ne voulait pas que ses parents se fassent du souci. Les connaissant, ils alerteraient peut-être les pompiers…

CHAPITRE III :
C’était la sixième année de Dixie. Elle choisit le lit le plus éloigné de la fenêtre pour que le gazouillement des oiseaux ne trouble pas son sommeil. Elle s’allongea et fixa le plafond en chantonnant, sa valise posée au pied du lit. Ses camarades avaient déjà commencé à mettre leurs pyjamas et elle se rendit compte qu’elle ne pouvait pas dormir en robe de sorcier. Elle se retourna et, c’est, allongée sur le ventre qu’elle entreprit de fouiller dans ses affaires. Paresseuse comme elle était, elle ne voulait pas se lever si elle n’y était pas obligée. Elle trouva finalement ce qu’elle cherchait et décida tout de même de se mettre debout pour se changer. Dès que ce fut fini, elle s’affala de nouveau sur son lit, puis se couvrit et prit son ours en peluche qu’elle serra contre elle. Le lendemain, une de ses camarades la réveilla, mais connaissant Dixie, elle partit avant que la jeune fille ne prenne conscience de ce qu’il lui arrivait. Car, la Simons pouvait se montrer très irritable le matin, surtout envers la personne qui l’avait réveillée. Elle alla prendre une douche puis elle s’habilla et se maquilla. Elle mit des bottes noires à talons avec sa robe de sorcier et sortit ensuite de son dortoir pour aller prendre son petit-déjeuner. Elle s’assit avec quelques amis et mangea des biscuits qu’elle trempait dans du lait chaud. C’était rapidement devenu une habitude que tous ses amis connaissaient. Ils durent ensuite aller en cours de botanique.

Après deux cours, c’était l’heure du déjeuner, Dixie mangea rapidement puis alla se promener dans le parc. Elle y vit Edward assis sur l’herbe, appuyé sur le tronc d’un arbre. Il tenait un immense livre d’Histoire de la Magie entre les mains. Enfin, elle se doutait que c’était un livre d’Histoire de la Magie parce que c’était sa matière préférée. Elle se surprit à le connaitre alors qu’elle ne faisait que semblant d’être une blonde écervelée en sa présence en lui posant des questions idiotes. Des questions qui rendaient le Serdaigle fou. Ça faisait bien rire la Rouge et Or et puis elle l’aimait bien, même si se moquer de lui était un de ses passe-temps favoris. Elle se dirigea vers lui et en arrivant, il ne leva même pas les yeux vers elle. Mais elle savait pertinemment qu’il l’avait vue. Elle s’allongea sur le ventre à côté de lui et se mit à glousser bêtement. Il soupira et la regarda.

« Tu vas bien Edgar ? » Elle adorait faire semblant de se tromper de prénom, c’était amusant de l’écouter la corriger continuellement. « Moi c’est Edward. » « C’est ce que j’ai dit ! » Oui, elle était à fond sur les blagues Disney et elle imaginait les petites voix qui riaient. Elle aurait fait une London très réaliste ! Il reposa son regard bleu sur son livre. Pour lui c’était simple : Dixie Simons était un cas désespéré. « Oh ! Tu sais, tu sais ! » Il ne posa pas son attention sur elle. Elle se redressa et s’assit à côté de lui. « Tu sais, il paraît que les végétariens poireautent, s'aspergent, pêchent, citeront, fraisent, noient, mentent, paument, murent et truffent. » Elle se mit à rire toute seule, pendant qu’il essayait de l’ignorer. Elle avait lu ça quelque part et elle savait qu’il n’allait pas aimer cette blague, mais bon rien ne valait une question vraiment débile. « Dis pourquoi paye-t-on des chercheurs alors que des trouveurs suffiraient ? » Il la regarda un instant, il devait se demander si c’était possible de poser des questions de ce genre. « Je ne sais pas, il faudrait que tu cherches la réponse et quand tu trouves tu me dis. D’accord ? » Bien sûr sa réponse avait pour but de la pousser à le laisser tranquille. Mais, il ne put s’empêcher de lui donner un petit indice. Dixie sourit et hocha la tête affirmativement. « Je le ferai. » Elle se leva et s’en alla, assez fière d’elle. En tous cas, c’était drôle. Elle se demandait comment il réagirait en sachant qu’elle n’était pas idiote. Il serait fâché ou il trouverait ça marrant ?

CHAPITRE IV :
Aujourd’hui un match de Quidditch – qui était censé être amical – opposerait Gryffondor à Poufsouffle. Dixie n’était pas spécialement excitée contrairement aux autres élèves. Elle portait peut-être l’écharpe aux couleurs de sa maison et voulait être spectatrice, mais ce n’était que pour montrer son soutien. Ce sport ne l’avait jamais intéressé. Elle préférait être dans l’eau plutôt que dans les airs sur un balai. D’ailleurs elle ne comprenait pas pourquoi certains balais étaient plus enviés que d’autres. Un balai reste balai. En plus, c’était dur de s’y retrouver avec tant de ballons, même si elle trouvait le vif d’or très mignon avec ses petites ailes.

Elle marchait vers le terrain alors qu’autour d’elle les gens couraient pour arriver en premier. Elle aimait ça. Voir des pauvres petites élèves essoufflés et pleins de sueur continuer de courir. Lorsqu’elle arriva, la plupart des sièges étaient pris. Elle se plaça au fond, et croisa les jambes. Lorsque le match commença, elle se leva comme tous les autres et agita un drapeau rouge et or de gauche à droite. On lui hurlait dans les oreilles et on la bousculait. Elle essayait de ne pas partir retrouver sa couette et son dortoir qui devait être calme et vide. Elle décida de faire un léger effort et se mit à crier elle aussi sans oublier de bousculer à son tour certains élèves qui poussèrent des "Hé" indignés.  Finalement Gryffondor a gagné. Maintenant que c’était fini, peut-être pourra-t-elle dormir. Ou pas. Arrivée dans la Salle Commune, elle trouva ses camarades fêtant leur victoire. Ce n’était qu’un match amical, non ? Oh ! Et puis c’est pas grave. On ne dit jamais non à une fête. Elle posa son écharpe sur une table et alla se joindre aux autres.  

ϟ COMMENT NOUS AS-TU DÉCOUVERT ? ; J'étais Bee (= la reine des abeilles) ! I'm back, comme promis !
ϟ LE NOM DE LA PERSONNE SUR TON AVATAR ; Gillian Zinser

ϟ QUE PENSES-TU DU FORUM ? ; Toujours aussi génial et en plus il est trop bô en jaune .

ϟ AS-TU LU/VU TOUS LES HARRY POTTER ? ; Oui, mais ça fait un moment...

ϟ SUR COMBIEN D'AUTRES RP ES-TU INSCRIT SANS COMPTER CELUI-CI ? ; Deux