ϟ DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE ; Pas besoin de partir dans des grands mots directement. Car Rachelle est avant tout une personne à la psychologie stable. Pas de déficiences, avant tout, une femme dite « normale ».
Mais je suis bien consciente que ces deux phrases ne suffisent guère. Alors je vais entrer dans les détails, laisser l'esprit de cette femme vous êtres exposé.

Déterminée. En effet, lorsque Rachelle a un but, elle fait tout pour l'atteindre, malgré le danger autour d'elle. Déterminée, mais pas folle pour se lancer sans réfléchir. En effet, tout acte mérite un minimum de réflexion. Principe que cette femme pratique très souvent. L'impatience étant un de ses plus grands défauts, se contenir reste difficile, très même. Voici donc un autre trait de caractère de notre protagoniste. Impatiente, voulant toujours découvrir la vérité, cherchant les moindre indices de celle-ci. Et cela est sûrement un de ses plus grand défaut, l'empêchant de garder toujours son sang froid dans toutes les situations ou contextes.

Un cœur agréable à côtoyer. Car Rachelle n'a pas un mauvais fond, au contraire. Mais elle a sa façon de le montrer, et il faut juste la comprendre. Car elle est loin des effusions de câlins, ou des excès de sentiments, ce que certains lui ont toujours reproché. Cela vient sûrement de son petit côté garçon manqué, préférant d'ailleurs la compagnie masculine avec laquelle elle a plus d'intérêt à parler à ses yeux. Mais son habituel sourire accompagne quasiment toujours ses lèvres.

Pouvant être brusque sous son impulsivité, les mots sortent de ses lèvres facilement, la mettant dans quelques situations difficiles de temps en temps. Mais bon, ce n'est pas comme si Rachelle avait l'habitude d'une vie rose et plates. Et des moments difficiles, il y en a pas mal, cette femme ayant quelques mauvaises tendances à la bouteille. Si la cigarette lui donne juste la nausée à cause de l'odeur de carbone dégagée, l'alcool est souvent son compagnon de début de soirée. Pas alcoolique, juste aimante.

Peureuse. Car si les situations d'actions, stressantes, importantes provoquent principalement la création d’adrénaline, la solitude profonde, la haine totale des autres, ou l'idée d'être jugée pour ce qu'elle est, de tous, c'est cela, sa peur. Car derrière sa fonction d'auror au Ministère, derrière ses sourires et sa détermination, finalement, se cache une femme pas aussi forte psychologiquement qu'elle le prétend, puisque la simple attitude des autres peut provoquer ce malaise de crainte.

Téméraire. Problème qui vient de sa scolarité à Poudlard. Ses notes excellentes, en théorie comme en pratique, la facilité à être dans les meilleures … lui ont donné cette impression d'une certaine grandeur par rapport aux autres sorciers, lui jouant le tour de ne pas toujours bien juger face à qui elle se trouve.

Mais finalement, aux yeux de tous, Rachelle reste une sorcière, douée certes, mais aussi une femme de confiance, souriante et sûre d'elle.

ϟ DESCRIPTION PHYSIQUE ; Pas si désagréable à regarder, la Rachelle.
Pourquoi mentir ou rester modeste, mieux vos dire la vérité.
Celle-ci correspond au fait que cette femme pourrait être un des centaines de modèles féminins.
Cheveux blonds, pas platine, mais un blond à la fois lumineux et dur. Ce côté étant accentué par le fait que jamais, vous ne les verrez parfaitement coiffés, Rachelle se contentant d'un coup de brosse le matin. Rare sont les femmes blondes aux yeux marron, justement, son iris est constitué de bleu. Pas lumineux, un plus profond, tournant vers celui des profondeurs marines. Blond et bleu. Deux couleurs vives tranchant avec son teint naturellement pâle, depuis toujours. Une peau opaline d'une certaine façon.
Une silhouette plutôt bien taillée dirons-nous. Rachelle est de taille moyenne pour une femme de son âge, avoisinant le mètre soixante-dix. Légèrement élancée, cette femme n'est pas vraiment du genre à suivre la mode actuelle. Son corps souvent recouvert d'un pantalon noir, de bottes en cuir, d'un pull et de sa veste également en cuir. Rien de plus, rien de moins. Ah si, un collier, donné par sa mère le jour de ses dix-huit ans. Son seul bijoux. Une tenue souvent masculinisée, sans perdre tout féminité. Pour autant, jamais vous ne la verrez se pavaner en petite robe et talons. Jamais. - Navrée, je ne suis pas très douée pour les physiques -

ϟ BUT DANS LA VIE ; Être utile. Pouvoir avoir une certaine valeur, dans le sens où sa vie pourrait être précieuse. Sa fonction d'Auror lui convient parfaitement. Son but, surtout de ne pas avoir une vie monotone, et une vie loin de la solitude.

ϟ CE QUI COULE DANS VOS VEINES ; Une vraie Sang-Mêlé. Son père était un « simple » moldu, qui avant de découvrir l’existence de sa mère. Sa mère justement, une Sang-Pur. Le milieu parfait, l'équilibre entre les deux mondes à la fois si différents et en même temps, tellement proches.  

ϟ VOTRE ANIMAL DE COMPAGNIE ; Peu commun pour un sorcier, Rachelle possède un Golden Retriver. Le compagnon de ses soirées tranquilles, loin des bars ou du danger.

Pourquoi cette nuit ? Pourquoi te remplir ainsi en quelques heures ? Ce carnet aux pages qui auraient dues rester blanches. Il pleut. Sortir par une nuits de tempête comme celle là serait pure folie. Alors tu allas dans la cuisine et attrapa ta vieille tasse au signe des Rolling Stones, versant l'eau dans la bouilloire et attendis quelques instants, juste assez longtemps pour lire les gros titres de la Gazette. Deux minutes plus tard, te voilà sur ton canapé nouvellement acheté, l'ancien aux coussins rapés n'étant plus affichable. Vaguement placée contre l'accoudoir, Caramel, ta fidèle chienne en face de toi, ton regard se retrouva attiré par ce vieux carnet. Tellement inutile qu'il était devenu invisible à tes yeux. Tentant d'allumer la télévision, rien. La lumière, non plus. Coupure d'électricité. Quelques minutes plus tard, et un geste non attentu. Tu attrapas le livrets de cuir et parcourus les pages immaculées. Sans vraiment réfléchir, le stylo plume arriva dans l'autre main. Le silence de l'appartement te faisait frémir, et c'est dans le but de te calmer, et que commenças à poser l'encre humide sur la page. Un titre, il te fallait un titre. Comment qualifier ta vie ? Soupirant légèrement, tu sautas deux pages. Les plus grands titres sont ceux que l'on trouve à la fin du récit, te dis tu. 

"Née à Sainte-Mangouste ..." Et ? Puis quoi d'autre Rachelle ? Ce n'est pas un bon début ça ? Oui, début assez banal, certes, mais au moins tu commences par le début ? Non, ça ne te plait pas ? 

D'un geste vif, la jeune femme raya ces premiers mots et les remplaça par d'autres. 

"De ce que je sais, ma mère, Astrid Milthood rencontra mon père, Arthur Gilt à Londres. Pas très loin d'ici d'ailleurs, près de Tower Bridge il me semble ... oui, c'est ça. Elle m'a toujours dit que c'était THE coup de foudre, heureusement que j'ai pas les mêmes goût. Je ne sais pas comment c'est possible. J'ai vu les photos de l'époque. Elle était si belle, si grande. Et lui, bah, ... un mec sans plus, non, même avec moi que les autres. J'en ai fait des recherches, sans qu'elle le sache. Il a arrêté l'école à quatorze ans, a foutu en l'air sa vie. Je sais qu'il a trouvé un travail comme aide cuisinier. Des images que j'ai vu, il n'était pas très grand, pas très musclé. Je ne lui ressemble pas. Pourtant, j'ai cherché. Je n'ai pas ses yeux, ses cheveux ... pas la même expression du visage, ni de traits ressemblant. Je sais juste que c'est de cet homme que je viens, mais sinon, je ne le connais pas. Ma mère m'a pourtant dit qu'il l'avait charmée dès le début, dès le premier regard et qu'elle n'en avait jamais aimé un autre. Il ne fallut pas plus d'un an pour que je sois là, c'est assez court, quand on y réfléchit bien. Pourquoi je ne l'ai jamais connu ..."

C'est vrai. Née dans l'hôpital des sorciers, Arthur ne vint jamais. La raison était simple, s'en était trop. Vraiment trop. La magie, le monde des sorciers, voir Astrid quitter chaque matin les personnes comme lui, les Moldus, pour risquer sa vie comme Auror. Savoir qu'il ne verrait son enfant que quelques vacances. Il n'était pas de ce monde, il n'avait rien à faire dans cette position et laissa Astrid et Rachelle seules. Entre personnes de "la même espèce". 

Astrid garda à tout jamais la blessure d'avoir perdu celui qu'elle aimait. Pour la jeune Rachelle, ça n'avait guère d'importance, à cet âge tellement bas. Age qui ne cessa de grandir, et la petite fille découvrant doucement, la vie l'entourant. 

"Je n'avais pas à me plaindre, loin de là. Une belle chambre, un jardin, des jouets. Et puis il y avait Caki, mon chien de l'époque. Mais Maman rentrait tard, très tard. Même, des fois, la gardienne venait à sa place. Où était-elle ? Pourquoi elle ne venait pas m'embrasser ce soir ? Je savais que sa fonction au ministère était dure, mais j'ignorais à quel point." 

Arthur n'est jamais revenu. Mais la petite tête blonde ne fut jamais réellement intéressée sur ce point. Avoir un papa ? Rachelle ignorait ce que cela signifiait. Et la fillette ne pensait qu'à jouer, et à doucement, laisser ses pouvoirs s'éveiller. Une vraie petite sorcière, grandissant dans cette environnement protégé. C'est avec un air fier qu'Astrid emmena sa fille sur le Chemin de Traverse, franchissant le sourire aux lèvres, la porte du célèbre vendeur de baguettes. Et il ne fallut qu'un seul essai pour trouver la perle rare, la baguette parfaite pour Rachelle qui émerveillée, vivait le rêve de tous les enfants de son âge. La découverte de King Cross, le fameux quaie et le voyage dans le train de Poudlard. Rachelle ne mit pas longtemps à se faire quelques amis, provisoires.
Car la cérémonie envoya comme chaque année, les élèves dans la maison leur correspondant. Gryffondor, Rachelle le souhaitait tellement ... Sa mère y avait été, et sa grand-mère aussi. Serdaigle ? Non ... elle le supplia et résigné, il finit par l'écouter. La petite et courageuse Rachelle Milthood avait réussi à réaliser un partie de son rêve.

"Les meilleures années que j'ai vécues furent dans cette école. J'allais aux différents cours avec le sourire aux lèvres, je crois bien que mon préféré était de loin la Défense contre les Forces du Mal, les potions aussi. Je passais toutes mes nuits à dévorer des livres de sortilèges. La vie me semblait si paisible, entre les rires, les punitions et les cours. Mon dieu, je ne compte plus les bêtises faites, ni les réprimandes ... les meilleurs moment de ma vie. J'aimais être la première, d'ailleurs, je pense que c'est encore le cas ... mais je me plaisais, dans mon rôle de l'élève intelligente de la classe. Si bien que je n'ai jamais vraiment eu de problème d'apprentissage, bien au contraire. J'avais presque toujours des A, et dès qu'il fallait montrer un sort devant toute la classe, j'étais volontaire. Je dévorais les livres d'enigmes et cherchais toujours à en savoir plus."

En effet, la vie était plus qu'agréable, Astrid faisant tout son possible pour permettre à son enfant de rentrer pendant les vacances, mais dans le cas contraire, Rachelle n'était pas seule dans cette école, car avec le temps, il arriva forcément la meilleure amies, Eugénie. La malicieuse Eugénie, souvent punie pour ses devoirs rendus en retard, très douée en sortilège, mais qui n'apprennait jamais. Les deux adolescentes étaient toujours ensembles, à chaque cours. 

"J'obtenus mes BUSES avec félicitations. Ce fameux examen était la représentation de ma vie à Poudlard, même si mon rôle de gardienne en faisait aussi partie. Populaire et aux meilleures résultats, je pensais que ma vie serait un long fleuve tranquille, à l'image de ma scolarité qui toucha à sa fin. Je n'eus plus de contacts avec Eugénie, si même, avec mes camarades, car tout bascula d'un coup. A peine Poudlard fini, un envoyé du Ministère arriva. Et ... je sava..."

Rachelle savait déjà que cet homme à la mine sombre ne pouvait être porteur de bonne nouvelle. Une mission qui tourna mal, des sortilèges lancés de partout et Astrid Milthood quitta ce monde. Tuée par un Mangemort. La vie de Rachelle se brisa en morceaux, comme une pierre brisant la surface gelée d'un lac. 

"J'avais envie de détruire. De détruire ceux qui l'avaient envoyée là-bas. Torturer ce Mangemort, le saigner. Haine contre les autres Aurors qui ne l'avaient pas protégée. Car à dix-huit ans, je la voyais encore comme ma mère, et non comme une grande sorcière. Je voulais être seule, qu'on me foute la paix, vraiment. Je n'avais jamais imaginer ma vie sans elle pour me guider. Mon père, je m'en fichais royalement. Mais ma mère, personne n'avait le droit de me la prendre. Aujourd'hui, quand je repense à l'état dans lequel j'étais, je me dis que je devais ressembler à un animal blessé. Car j'en ai fait, des conneries. La haine, la douleur m'aveuglaient. Ma fameuse descente au enfer." 

Boire, fréquenter les bars, tout faire pour oublier. Oublier, se détruire la mémoire. Thomas, Lucy, Dareen, Mike ... et tant d'autres que la jeune femme a rencontrés dans les bars de nuit. Ils ont tous à leur manière, tenté de l'aider. Combien de nuits passées dans des chambres inconnues ? Combien de verres enfilés ? Beaucoup trop pour une femme de vingt ans. Puis cette nuit, celle qui arrêta la chute. 

"Un cri, pas très loin. J'attendais le métro pour rentrer, et pour une fois, j'étais presque sobre. Pourquoi j'y suis allée ? Parce que c'était un cri de douleur comme j'en avais rarement entendu. Et je l'ai vu cette marque, sur son bras. Je l'avais déjà vues en dessin mais jamais en vrai. Et cette femme allongée ... blonde, pâle, sans mouvement. Pendant un instant, j'ai cru voir Maman. Là, tout changea. Je me rappelle avoir couru et qu'il transplana. Les larmes aux yeux, je hurlais. Silencieusement. Morte, je ne pouvais rien faire. Mais j'aurais pu ...


C'est à ce moment là, que je choisis de donner "un sens" à mon existence. Je connaissais mes capacités, ma force. Sans compter que ma détermination était plus que présente. Je comprenais enfin les motivations de ma mère, et son engagement comme Auror. Je voulais être aussi forte, comme elle." 

La lettre au Ministère de la Magie fut envoyée le lendemain matin, dès la première heure. Et la réponse se fit attendre trois jours exactement. Trois jours à scruter les hiboux, trois jours dans un très fort état d'impatience. Et enfin, elle arriva. L'enveloppe vite ouverte, Rachelle s'assit pour découvrir la réponse que sûrement beaucoup devait recevoir. Tant de formules de politesse. Mais au moins, la jeune femme avait gagné un rendez-vous. Son dossier semblait être passé, et les épreuves, réussites, mais il était clairement expliqué que seul en entretien oral pouvait décider de son sort. Rendez-vous avec Margery E. Hensley. Rachelle avait vaguement vu son nom dans quelques articles, mais les pages politiques ne l'ont jamais intéressée. Tenue sobre, baguette sur elle, la jeune femme entra dans ce lieu que sa mère avait tant connu. Longeant les couloirs, découvrant les busculades entre employés, Rachelle arriva enfin devant la porte de cette fameuse Hensley. Attendre, attendre et attendre. Un homme finit par sortir, pâle comme la mort. Souriant, c'était à croire qu'il avait vu un dragon. Et c'est avec curiosité, que Rachelle entra en entendant la voix ferme de cette inconnue. Sans une parole, la jeune femme fut invitée à s'asseoir, regardant avec politesse cette femme dont apparement tant se plaisaient à la critiquer. Certes, elle dégageait une certaines présence, mais Rachelle n'en était pas plus impressionnée. Une demie-heure, pas plus. C'était sa première rencontre auprès de son nouveau supérieur. Margery Hensley, Rachelle ressentait pour cette femme plie mais ferme, une sorte d'admiration, sans pour autant l'envie, c'était même le contraire. Faire de la politique ? Avec son impatience et son impulsivité, il en était vraiment hors de question, surtout, que c'était un domaine qui ne l'intéressait pas. Bien sûr qu'elle savait à quoi s'attendre en venant ici, pas besoin de lui rappeler. Si bien qu'après quelques phrases échangées, Rachelle assura vite de sa motivation et de son envie d'être utile à ce moment. Elle avait réussi. 

"J'ai pris la meilleure décision possible. Pour rien au monde je ne changerais ma situation. La fonction d'auror me correspond même mieux que je le pensais, je m'y plais. Aussi, durant les sept années qui suivre cette rencontre, j'ai retrouvé mon enthousiasme, comme à Poudlard. Certes, j'avoue continuer mes soirées le soirs, mais maintenant, je sors avec cette impression de servir une cause, d'être utile aux sorciers. Et je n'avais jamais vraiment eu d'amis depuis Eugénie, mais j'ai vite trouvé a place parmi les autres aurors. Des personnes géniales, comme Dora. Et Margery, quand je pense l'avoir comparé à un dragon sans même la connaître. Si ma vie n'est pas parfaite, au moins, elle a un sens, et elle me fait sourire." 

Ces fameuses sept années ne furent pas de tout repos, entre la lutte contre les Mangemorts, les violences ou encore les attaques contre la Directrice de la Justice Magique. Pour autant, jamais Rachelle ne fut vraiment blessée. Sept années à tenter de rétablir le calme dans ce monde torturé, sept années, à finalement, devenir le reflet de sa mère. 

Un titre ? La jeune femme regarda la page blanche, toujours son stylo en main, et un sourire aux lèvres. Les meilleurs titres sont ceux trouvés à la fin de l'histoire. Et nous ne sommes même pas à la moitié du livre.

ϟ COMMENT NOUS AS-TU DÉCOUVERT ? ;Par un de vos membres, mais je le connaissais déjà avant. M'en parler m'a juste rappelé que j'avais adoré le contexte.

ϟ LE NOM DE LA PERSONNE SUR TON AVATAR ; Jennifer Morrison.

ϟ QUE PENSES-TU DU FORUM ? ; Magnifique. Vraiment, j'adore le design, le contexte et de ce que j'ai pu voir, cette communauté est très agréable à vivre.

ϟ AS-TU LU/VU TOUS LES HARRY POTTER ? ; Bien sûr, à m'en exploser les yeux de nombreuses nuits. J'ai même lu La Coupe de feu en allemand.

ϟ SUR COMBIEN D'AUTRES RP ES-TU INSCRIT SANS COMPTER CELUI-CI ? ; Hum ... je réfléchis. Sept.