ϟ ÂGE & DATE DE NAISSANCE : 24 ans, 2 janvier 1974.
ϟ LIEU DE NAISSANCE : Village de Birbury, Angleterre.
ϟ MAISON & MÉTIER : Ancien Gryffondor.
Journaliste politique à la Gazette du Sorcier.
ϟ ORIENTATION SEXUELLE : Homosexuel, mais qui ne s'assume pas.
ϟ DESCRIPTION DE LA BAGUETTE MAGIQUE : Bois de Cerisier et plume de phénix ; vingt-deux centimètres.

ϟ CE QUI COULE DANS VOS VEINES : Né-moldu.
ϟ VOTRE ANIMAL DE COMPAGNIE : Loir gris.
ϟ SIGNE PARTICULIER : Accro à la cigarette et au pain d'épice.

ϟ DESCRIPTION PHYSIQUE ; Il doit faire à peu près 1, 86 mètres à 1, 88 mètres de hauteur. Il pourrait presque exercer le métier de mannequin, mais tout ce qui lui importe, c'est de réussir à attraper des documents en haut d'une étagère, sans faire valser celle-ci à travers la pièce. Né dans un petit village anglais, il est de type caucasien, et de toutes les manières, celui qui dira le contraire devra probablement économiser pour s'acheter un chien d'aveugle. Sa pilosité est assez faible, mais même si on lui offrait une potion pour faire davantage pousser les poils, il ne pourrait s'empêcher de se les raser. D'où sa peau presque laiteuse. Sa silhouette svelte et sculptée montre qu'il a pour habitude de prendre soin de son corps. Son attitude avenante et délicate trahissent sa sensibilité. Les traits de son visage sont fins, et n'ayant jamais vraiment eu le temps de prendre le soleil, son teint se trouve alors blanc et lisse. Sa physionomie est généralement énigmatique et joviale. Il a des cheveux blonds et fins, toujours impeccables. Il a le front succinct et les yeux bleus. Ses yeux sont pénétrants et comparables à ceux d'une biche. Son nez est plutôt fin, et sa petite bouche légèrement pulpeuse. Les joues imperceptiblement creuses, ses pommettes sont visibles et son menton arrondi. Ses épaules sont carrées, et ses mains grandes et douces ; une chaleur constante s'en dégage. Il a les jambes et les bras musclés - juste ce qu'il faut - mais surtout, élancés. Sa démarche peu paraître fière et quelque peu fluette quand celle-ci n'est guère maladroite. Il est vrai qu'il a un charme incontesté, mais charmer ne semble pas être une de ses priorités.

ϟ AIME : Le journalisme, lire, écouter, analyser et rédiger de longs commentaires ; donc le métier qu'il exerce. Les livres ainsi que tous les documentaires susceptibles d'en apporter davantage à sa culture personnelle. L'odeur des crayons de papier et de la colle pour enfant. Être constamment impeccable, même quand il reste enfermé chez lui. Satisfaire sa curiosité, blaguer, avoir du temps pour méditer. La chaleur réconfortante d'une douche après une longue journée de travail. Voir le soleil se lever à l'Ouest pour se coucher à l'Est. Regarder les étoiles lors que le ciel est dégagé, et essayer de s'imaginer ce que peut représenter l'infini. Ecouter les chants des oiseaux et des insectes nocturnes au retour des beaux jours. Le grondement d'un orage qui s'annonce, et les gouttes de pluies qui heurtent les fenêtres. Faire de longues promenades en forêt dans l'espoir de se ressourcer et d'évacuer tout le stress qu'il accumule pendant la semaine. L'odeur de la mousse, de l'herbe humide et fraîchement coupée, de l'écorce et de la sève des grands arbres, de la terre et des feuilles mortes. La nature, il aime ça. Ça lui rappelle son village natale, un endroit magnifique. Mais il aime aussi la ville et plus particulièrement Londres, lorsqu'il n'y a pas d'épidémie de grippe. Il aime toutes les choses sucrées. Dont le pain d'épice et le chocolat. Mais ce qu'il aime encore plus que le pain d'épice et le chocolat, c'est Peeter.

ϟ N'AIME PAS : Les endroits où il y a trop de monde - plus grand risque d'attraper une maladie quelconque, vous comprenez. Les Mangemorts ainsi que le Ministère. Ne pas savoir comment s'habiller, être forcé de manger les restes. L'amertume, l'acidité et certains légumes dont il ne se souvient plus du nom. Avoir froid et ne rien avoir sous la main pour se couvrir. Avoir le pantalon mouillé, et mettre un pull qui gratte à même la peau. Les insectes, quels qu'ils soient. L'injustice et l'abus de pouvoir. L'hypocrisie, les mensonges, la provocation. Qu'on lui force la main, le chantage et se sentir menacé. Tomber malade et en ignorer la nature. Aller se coucher et se sentir obligé de se relever afin de vérifier si la porte d'entrée est bien fermée. Que l'on fouille dans ses affaires. Les mauvaises attitudes et l'irrespect en général ; que l'on se moque de lui, qu'on lui dicte ce qu'il doit faire ou non et qu'on le juge d'une manière ou d'une autre. L'ennui profond, tourner en rond, être en manque d'inspiration. Qu'on dise de lui qu'il est gay - même si il n'y a pas plus vrai comme constatation.

ϟ DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE ;
NÉVROSÉ - aliénation, folie, psychose. La notion d'aliénation signifie « autre », « étranger ». La folie c'est le génie, et la psychose est un terme générique psychiatrique désignant un trouble, ou une condition anormale de l'esprit évoquant le plus souvent une « perte de contact avec la réalité. » En effet il n'est pas rare de voir Hippolyte s'entreprendre dans l'absurde, d'avoir des idées extravagantes et des pensées déraisonnables. De plus, il lui arrive de temps en temps de faire des crises d'anxiété ou d'abdiquer à quelques obsessions - comme éprouver le besoin de se laver les mains à tout moment, par exemple. Puis dans le genre « un peu hypocondriaque sur les bords » vous ne trouverez pas mieux.

MALADROIT - rustre, empoté, gaffeur. On ne le dirait pas à première vue, mais c'est quelqu'un d'entêté qui a tendance à vouloir placer la charrue avant les bœufs. Il n'a pas sa langue dans la poche et n'est pas du genre à mâcher ses mots. Il lui arrive donc de faire des commentaires déplacés ou d'agir sur un coup de tête sans vraiment réfléchir aux conséquences ; habituellement, il s'en rend compte assez vite mais c'est toujours trop tard. De plus, il est quelque peu - beaucoup en fait - étourdi. Dans la précipitation de faire les choses, il peut en oublier certaines et ses excuses ne seront que cafardeuses. Généralement, c'est là que son éternel pessimisme entre en jeu.

AMICAL - sympathique, blagueur, fiable. Malgré ses névroses et ses maladresses, il arrive à entretenir de bons rapports avec son entourage. C'est quelqu'un d'agréable ayant une grande ouverture d'esprit. Il est à l'écoute et répond pratiquement toujours présent lors que l'on a besoin de lui. Quelqu'un a qui l'on peut se confier facilement, sans appréhender de jugements trop négatifs ; en effet il est impossible de ne pas juger, que ce soit en bien ou en mal. Il fait alors de son mieux, favorisant le conseil au blâme. Aussi tel un blagueur confirmé, personne ne peut échapper à ses plaisanteries, qu'elles soient drôles ou non. Il apprécie voir la vie sous un autre angle dans ce monde de fous et estime que parfois - même souvent - qu'une touche d'humour suffit à calmer l'éréthisme. S'il devait choisir, il préférerait être achevé sur le champ plutôt que de sombrer dans un déni total de soi-même et dans la neurasthénie des temps qui courent.

SENSIBLE - délicat, émotif, sentimental. En dehors de son faible pour le pain d'épice, les petits animaux et les longues promenades en forêt, il est quelqu'un de compatissant et de particulièrement intuitif. Car sensible ne veut pas uniquement signifier sentimental, mais aussi réceptif. Chez Hippolyte, il y a une part des deux nuances. Tout comme il arrive à détecter les humeurs de ceux qui l'entourent, il arrive aussi à détecter les différentes personnalités de ses interlocuteurs. Cela ne lui avance pas à grand chose, hormis de pouvoir cerner un grand nombre de personnes et d'appréhender le retour d'une claque. Et chez lui, la sensibilité peut aussi se positionner à côté de son impulsivité et de sa susceptibilité.

DROIT - investi, franc, intègre. En dehors de son attitude très professionnelle qu'il a adopté au fil du temps et grâce à son métier, il se trouve être quelqu'un de considérablement honnête. Non seulement dans le sens « je dis toujours la vérité » mais aussi dans le sens d'être loyal, moral et substantiel. Il a des valeurs et des principes dont il est fidèle et très attaché. Bien que taquin, il est loin d'être fourbe. Là encore, nous avons une vague de nuances. Car il peut voler votre dessert en cachette, mais n'ira jamais vous planter un couteau dans le dos. Vous voyez ? Mais, passons. Hippolyte est quelqu'un de bien, c'est tout ce que vous devez savoir à ce sujet.

BRILLANT - bon analyste, intelligent, curieux. Ce n'est pas pour rien si il frôle la perfection en tant que journaliste analyste politique, et qu'il se trouve être l'un des meilleurs dans son domaine dans toute l'Angleterre. Car non seulement il a des yeux et des oreilles partout, mais il a aussi un cerveau en béton afin de pouvoir assimiler et comprendre de nombreuses informations en même temps. Bien qu'il soit très intelligent, cela n'est pas de grande importance, puisque c'est avant tout son sens de l'analyse et ses intuitions qui lui permettent d'être aussi doué en la matière.

Birbury est un charmant village quelque part en Angleterre, installé au bord de la rivière Coln, face au village d'Arlington. Les maisons sont faites avec de pierres, la plupart étant recouvertes d'une mousse humide et verdoyante. En ce lieu si paisible, c'est la végétation qui y règne. Et malgré l'absence de boutiques, c'est un vrai paradis pour les enfants et les amoureux de la nature. La plupart des habitants sont de vieilles personnes, éleveurs et agriculteurs qui se trouvent être très accueillants. Ce village est une merveille, pour ceux qui prennent le temps d'apprécier les bonnes choses. C'est ici même, que le 2 Janvier 1974, Hippolyte Nemours a vu le jour pour la première fois. Né-moldu, les premières années de son enfance furent paisibles. Ses parents, ainsi que lui-même, ignoraient tout de l'existence du monde où la magie est omniprésente. Mais parfois, le petit garçon adoptait des comportements étranges. Comme s'enfermer dans les placards de longues heures, se cacher sous les tables et s'isoler dans un coin du jardin où, lui semblait-il, sa magie était plus forte. En effet il s'imaginait avoir des pouvoirs, et s'inventait toutes sortes de vies imaginaires. Mais jusque là il n'y avait rien de très inquiétant puisqu'il n'était encore qu'un enfant un peu - trop rêveur.

Un beau jour, sa grand-mère qui habitait Londres décida de passer une semaine dans la maison familiale. Le lendemain de son arrivée, vers 7H00 am, le père profita de se retrouver seul afin de tuer un lapin pour le dîner du soir. Ayant conscience de la sensibilité d'Hippolyte et de son sens analytique, il créa une petite mise en scène pour lui faire croire que celui-ci se serait échappé. Comme les lapins précédemment tués d'ailleurs. Et le soir, ils lui feraient croire que la viande qu'il aurait dans son assiette serait du poulet, tout simplement. À son réveil, après avoir prit le petit-déjeuner, il s'empressa d'aller jouer dans le jardin qui se situait derrière la maison. Un cri furieux se fait alors entendre à travers tout le village. Les parents, ainsi que la grand-mère se précipitèrent vers la source du vacarme. Le petit garçon, haut comme trois pommes, avait le visage rouge écarlate et les poings serrés. Il avait adopté un air si effrayant, que lorsqu'il se dirigea d'un pas rythmé vers son père, celui-ci eu un mouvement de recul. Il l'accusa d'avoir tué un lapin et d'avoir voulu lui faire croire le contraire avec une mise en scène ridicule. « Tu te trompes mon garçon, ce lapin doit probablement courir comme un fou dans les petits bois. Ne t'inquiète pas pour lui. » rétorqua la mère, tentant de rattraper le coup. Mais la petite tête blonde continuait à s'égosiller, les traitant de menteurs l'un comme l'autre. Lassé par toute cette mascarade, le père avoua. Il lui expliqua les raisons de son acte, et finit par lui demander comment il avait deviné ce qu'il avait fait plus tôt avec ce lapin. Hippolyte pointa du doigt le clapier, et lâcha tristement ; « C'est l'Elfe qui me l'a dit. Il a tout vu. » Les rires fusèrent. Ses parents, fidèles adultes cartésiens, se contentèrent de le traiter pour ce qu'il était vraiment - un enfant, avant de retourner à leurs occupations. Seule la grand-mère resta aux côtés d'Hippolyte. Elle tenta de le réconforter, elle l'aimait bien ce petit bout de chou. Quel rêveur. Quelle imagination. « Tu sais, des Elfes, j'en ai déjà vu il y a très longtemps, quand j'étais jeune mariée avec ton grand-père. Mais chut, c'est un secret. Tu le vois souvent, l'Elfe ? » fit-elle, lui pinçant la joue avec affection. Il acquiesça d'un signe de tête, boudeur. La vieille dame fit alors une petite moue. « Je vois. Ta maman m'a dit que tu étais un grand magicien. C'est vrai ? Car si c'est le cas, j'ai un petit cadeau pour toi. Je voulais te le donner plus tard mais puisqu'on y est .. » Le petit blond acquiesça à nouveau, retrouvant alors le sourire. La dame aux cheveux argentés s'éclipsa un instant puis revint avec une petite boîte allongée, avant de lui la tendre généreusement. Quand Hippolyte ouvrit celle-ci, il hoqueta de surprise. « Cette baguette magique appartenait à ton grand-père. Malheureusement, tes parents ne l'ont pas connu. Il nous a quitté trop tôt. Mais entre toi et moi, sache que c'était un grand sorcier. Tout comme toi. Alors prends en bien soin. » avoua-t-elle, un demi sourire creusé au coin des lèvres. Il s'avérait en effet que son grand-père était lui aussi un né-moldu. La vieille dame avait donc un minimum de connaissances sur ce sujet. Mais elle était loin d'imaginer que son petit-fils était un jeune sorcier. Ce jour là, elle voulu lui offrir cette baguette pour qu'il puisse sécher ses larmes, et avoir un héritage quel qu'il soit, un souvenir, la seule chose qu'il restait de son grand-père. Sautillant presque sur place, Hippolyte s'empressa d'extirper le petit morceau de bois de sa boîte. Il la manipulait, l'analysait, sentait son odeur, puis, d'un geste vif, il s'imagina lancer un sort abracadabrantesque. Et soudain, quelque chose d'inimaginable, d'incroyable. Choc. Collision. Le clapier qui se trouvait à seulement quelques mètres, venait d'exploser, libérant ainsi les dizaines de lapins qui y étaient enfermés. Surpris par ce qu'il venait de se passer, le jeune garçon eu un mouvement de recul, provocant par la même occasion un nouveau mouvement brusque avec la baguette ; le linge qui était étendu fit une valse en plein air. Le blondinet n'en croyait pas ses yeux. Il avait raison ! Il avait raison depuis le début. « C'est magique ! Regarde Grand-mère, c'est magique ! » Et tandis que la vieille dame observait la scène les yeux exorbités, Hippolyte continuait les gestes, encore et encore, et à chaque fois quelque chose dans le jardin valsait ou explosait. « Oui .. C'est .. Magique. » affirma-t-elle, ne sachant plus où donner de la tête. Elle était tellement surprise, et heureuse à la fois, c'était un sentiment très étrange qui prenait possession de son corps. Son petit-fils. Le petit Hippolyte adoré. Un sorcier ? Dans le cas contraire, la baguette n'aurait pas réagit. Elle aurait été comme n'importe quel autre bout de bois.

La Grand-Mère finit par tout raconter à sa fille et à son beau-fils, devant les yeux brillants de mille feux de son petit-fils. Elle leur raconta ce qu'elle avait vécu dans sa jeunesse aux côtés de son défunt mari. Elle leur raconta tout ce qu'elle savait sur les Sorciers. Elle eut énormément de mal à les convaincre, mais les réactions furent néanmoins immédiates lorsque Hippolyte, leur propre fils, fit voler les meubles à travers la maison d'un simple coup de baguette. Juste devant leurs yeux. Elle leur expliqua qu'elle devait reprendre cette baguette magique car celle-ci n'était pas adaptée à un petit garçon de son âge. Que, seulement plus tard, une fois qu'il sera prêt, il pourra avoir sa propre baguette - celle qui le choisira. Qu'il devra un jour ou l'autre intégrer une école de sorcellerie, et que tout cela devait rester secrets. Aucun autre moldu ne devait savoir, hormis la famille. Les parents eurent beaucoup de mal à digérer la nouvelle. Mais au fil des semaines, des mois, ils finirent pas accepter l'idée. Ils y étaient contraints. « Je vais avertir une vieille connaissance. Il vous apprendra à gérer la chose. » avait annoncé la vieille dame, avant de retourner pour Londres.

Les onze ans d'Hippolyte arrivèrent bien assez vite, tout comme la lettre envoyée par le Directeur de Poudlard. La famille Nemours s'y attendait, et était désormais prête à accompagner leur fils unique dans sa démarche. Mais pour ce qui était des achats pour la rentrée scolaire, ce fut la vieille connaissance de la grand-mère qui l'emmena à travers les rues inaccessibles aux moldus. Le jour J, ses parents l'accompagnèrent à la Gare et d'ailleurs, eurent beaucoup de mal à trouver le bon Quai. Ils furent obligés de rester du côté qui leur était approprié. Les adieux furent lourds et chargés en émotion. Le jeune Sorcier traversa la mur, seul, les valises en main et une boule au ventre.

Dans le train, il se mit à côté d'un certain Peeter. Dès le premier regard, il su que c'était avec lui qu'il allait faire les cent coups. C'était un vrai sorcier, et il savait tellement de choses à propos de ce monde étrange. De plus, ils avaient l'air de partager la même passion pour les sucreries. Ils se retrouvèrent ensemble dans la maison Gryffondor, et le lien qui les unissait se créa à la vitesse de la lumière. Au fil des années ils devinrent de très bon amis toujours fourrés à deux dans les mauvais coups contre les serpentards ou dans les évasions nocturne à la frontière de la forêt interdite. Ainsi que partenaires de Colle car Rusard les avaient à l'œil. Même en dehors des cours, ils se retrouvaient dans Londres moldu à fumer leurs premières clopes à l'abris des parents. C'était la belle vie Poudlard. Une amitié forte parfois ambiguë, mais les double-sens ça leurs sortaient des oreilles à ces deux ados.

Puis, il y a eu la séparation lorsque Hippolyte pendant trois ans est parti faire ses études dans la meilleure école de Journalisme Sorcier d'Amérique. Ils continuaient à s'écrire, de temps en temps. Mais en réalité chacun faisait sa vie et ses découvertes. Cela faisait déjà une année et quelques mois qu'il avait intégré cette école supérieure quand il reçu une lettre lui annonçant le décès de sa Grand-Mère. Il était dit qu'elle lui léguait sa maison, au centre de Londres. Ce fut une période très difficile pour le grand blond, qui, séparé de tout ce qu'il chérissait, devait fournir un travail au-delà de ses capacités. Son manque d'affection l'incita à vivre une aventure avec une fille. Celle-ci était magnifique. Elle avait tout pour elle. Mais il y avait un étrange blocage, chez le sorcier. Il l'appréciait, mais n'arrivait pas à ressentir de désirs bien concrets. Il fut forcer de la quitter, à contre-coeur. Il essayait de se convaincre que cette aventure n'était qu'une exception ; mais lors qu'il plongeait dans ses souvenirs, il en découvrait la triste vérité. Les filles, ça n'était pas son truc. Tout simplement. Il le savait, il le savait bien. Mais il fallait y remédier. Au plus vite.

Au bout de ses trois ans d'études, il revint à Londres. Il reprit la maison de sa Grand-Mère, puis alla saluer ses parents avant d'être finalement accepté dans l'équipe de la Gazette du Sorcier en tant que Journaliste Politique. Cela fait désormais deux ans qu'il est de retour au pays. Il a retrouvé son bon vieil ami, Peeter.

ϟ COMMENT NOUS AS-TU DÉCOUVERT ? Top-sites. J'en suis fière !

ϟ LE NOM DE LA PERSONNE SUR TON AVATAR ; Clément Chabernaud.

ϟ QUE PENSES-TU DU FORUM ? Complet et bien organisé, un concept original, un design magnifique, des membres chaleureux, que désirer de mieux ? Vous connaissez la recette pour un forum parfait, j'ai envie de le croquer ♥ Je tiens aussi à remercier Peeter D. Bletchley pour avoir accepté de me confier son pré-créé (déshabille-toi, j'arrive) !

ϟ AS-TU LU/VU TOUS LES HARRY POTTER ? Ha ha. Si vous saviez.

ϟ SUR COMBIEN D'AUTRES RP ES-TU INSCRIT SANS COMPTER CELUI-CI ? Un seul. Je préfère me consacrer au nombre de deux forums maximum afin de m'investir à fond dans mes personnages, d'assurer une présence régulière et d'avoir une activité sans faille ! Vous en aurez la preuve.