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Mallory Baker ϟ Do not touch me. Please. It's gross.
Sujet : Mallory Baker ϟ Do not touch me. Please. It's gross. Lun 21 Avr 2014 - 1:20
Mallory Charles Baker
▬ carte d'identité
ϟ ÂGE & DATE DE NAISSANCE : 26 août 1969 - 29 ans ϟ LIEU DE NAISSANCE : Londres ϟ ANNÉE & MAISON : Dirige une entreprise de nettoyage, spécialisée dans les scènes de crime et accidents magiques – Ancien Serdaigle (1980-1987) ϟ ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel ϟ DESCRIPTION DE LA BAGUETTE MAGIQUE : Bois d'orme - Plume de phénix - 27 cm, fine et rigide
ϟ PATRONUS : Amateur de sortilèges raffinés, le patronus est un sort que Mallory a appris à maîtriser à la limite de la perfection; aussi le sien - un martin-pêcheur - se matérialise-t-il de manière très concrète, si bien qu'en l'appercevant, malgré sa couleur argentée, on pourrait presque croire deviner des nuances de bleu et d'orange.
ϟ AMORTENTIA : Une odeur de linge propre et de citron.
ϟ ÉPOUVANTARD : Une créature similaire au dieu putride qui apparaît dans le « Le voyage de Chihiro », et qui est la concrétisation littérale de ses pires phobies.
ϟ ALBUS DUMBLEDORE OU BELLATRIX LESTRANGE ? : Par le simple fait qu'il est né-moldu, il aurait plutôt tendance à soutenir Dumbledore, bien qu'il soit loin de le faire de façon vindicative.
ϟ CELUI-QUI-SAIT OU PHILÉAS FOLENGRAIN ? : Ah, intéressante question. Mallory se demande surtout lequel des deux ferait l'ennemi le plus dangereux. Question à laquelle il est bien incapable de répondre.
ϟ SUCRÉ OU SALÉ ? : Salé.
ϟ BUT DANS LA VIE : Assez étonnamment, Mallory n'a pas comme ambition de continuer à vivre dans un monde complètement aseptisé. En réalité, son souhait le plus cher serait de réussir à surmonter sa phobie des germes et, surtout, des contacts humains. S'étant un temps bercé avec l'illusion d'un amour parfaitement platonique, il s'est récemment rendu compte que cela ne lui suffisait pas, qu'il avait soif de quelque chose d'autre, quelque chose de plus animal. ϟ CE QUI COULE DANS VOS VEINES : Mallory est né de parents moldus et est le seul de sa fratrie a avoir manifesté un talent magique. ϟ VOTRE ANIMAL DE COMPAGNIE : Il y a des gens qui ne sont tout simplement pas faits pour avoir des animaux, vous savez. ϟ SIGNE PARTICULIER : Outre le fait de porter des gants hiver comme été, Mallory peut souvent être aperçu en train de frotter quelque chose, d'essuyer les mains de Viðja avec une lingette au citron ou encore de lancer des recurvit à des moments complètement inappropriés. Sinon, il se laisse difficilement toucher.
▬ physionomie
ϟ DESCRIPTION PHYSIQUE ;
« J'ai cette douleur affreuse dans la nuque. » lui expliquait le jeune homme assis sur son fauteuil d'examen.
Le docteur tapota légèrement sa lèvre du bas en l'observant d'un air curieux. Très propre sur lui, sa tenue et cette façon qu'il avait de se tenir assis, le dos bien droit, les mains bien à plat sur les cuisses, le faisait paraitre d'un extrême sérieux. Ses vêtements, d'ailleurs, étaient non seulement élégants - il portait un costume trois-pièces d'un ton gris-brun, du genre de ceux qu'on voyait dans les magazines de mode masculine - mais semblaient d'une propreté et d'une netteté presque irréelles. Sa chemise aurait sans conteste été des plus convaincantes dans une publicité pour de la lessive. Elle remarqua aussi ses cheveux bruns qui avaient cet aspect du négligé travaillé et qui encadraient son visage alors que, presque grave, il la fixait attentivement de son regard bleu, perçant. Intense ... Ah ! Le Docteur Andrews secoua imperceptiblement la tête. Il ne fallait pas mélanger le travail et ... Et ... Oui, c'était cela, travail. Consultation. Sérieux.
« Bien, monsieur Baker. » se reprit-elle en consultant la fiche que son patient avait dû préalablement remplir.
Tiens donc, il n'avait que 29 ans ? Au vue de son attitude générale, elle lui aurait facilement donné quelques années en plus, les rides en moins, peut-être.
« Est-ce régulier ? » « Régulier, je ne sais pas. Ce n'est pas la première fois que cela m'arrive, en tous les cas. » « Bien, voyons ça. »
C'est tout naturellement qu'elle s'approcha du jeune homme, dans l'intention bien légitime de l'ausculter. Mais, comme s'ils avaient été deux aimants de polarité similaire, il recula sur la banquette dans un même mouvement, passant carrément ses jambes de l'autre côté pour descendre et rester à une certaine distance.
« Monsieur Baker. » fit-elle avec une légère moue. « Oui ? » Mon dieu, mais il se foutait carrément d'elle, en plus ? « Vous réalisez que je ne peux guère vous ausculter, et en conséquence, vous diagnostiquer quoique ce soit, si vous me fuyez ? »
Il lui adressa un gentil sourire, pas condescendant non, plutôt comme si elle venait de dire une bêtise et qu'il avait trouvé cela mignon. Sans s'en rendre compte, elle lui souriait en retour. Lorsqu'elle en prit conscience, elle eut beau secouer la tête, elle n'arrivait pas à retrouver tout à fait son sérieux. Cet homme était on ne peut plus déstabilisant, et il avait l'air de savoir y faire pour retourner la situation à son avantage.
« Ce n'est pas grave, docteur. Je préfère encore vivre avec que de vous laissez me toucher. »
Elle sourit, en hochant la tête, compréhensive. ... Quoi ? Est-ce qu'il venait bien de l'insulter l'air de rien ?
▬ psychologie
ϟ AIME : Les dimanches matins ensoleillés - Les draps qui sentent encore la lessive - Avoir les cheveux propres - Les couleurs pures, immaculées - La propreté - Regarder le linge tourner et mousser - Le parfum citron - La limonade - La robe noire de Viðja - Les Impressionnistes - Les Préraphaélites - Lire - Le cinéma moldu - La sensation du travail bien fait - Être romantique - L’honnêteté - La magie, les sorts complexes, les duels magiques.
ϟ N'AIME PAS : La saleté - Les germes - La poussière - Remettre à plus tard une tâche ménagère - Les gens sales - L'odeur de transpiration - Ces gens qui semblent prendre la rue pour une grande décharge à ciel ouvert - La boue - Qu'on l'empêche de nettoyer quelque chose - Avoir trop bu - James - Les mangemorts - Les gens inutilement prétentieux - Perdre son calme - L'hypocrisie.
ϟ DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE ;
« Mademoiselle, excusez-moi. » La jeune femme s'arrête, se retourne. Mallory lui sourit d'un air engageant, et sans s'en rendre compte, elle esquisse elle aussi un sourire. Oh, il la trouve charmante. Elle doit avoir son âge, elle approche de la trentaine. Ses cheveux, qui ondulent sur ses épaules dénudées, sont d'une jolie nuance de noisette et Mallory a toujours eu un faible pour les brunes. « Vous avez fait tomber ceci. » Il lui tend le bouquin qu'il vient de ramasser - Anna Karénine, l'idée lui plait - et elle s'avance vers lui, tend la main. Leurs doigts se frôlent sur la tranche du livre et il frissonne imperceptiblement. L'inconnue a l'air troublée. Ou bien n'est-ce que le fruit de son imagination ? Elle murmure un remerciement et, au lieu de tourner les talons, elle hésite, baisse les yeux puis les relève. Il ne lui rend pas tout de suite son regard, le sien s'attarde sur ses lèvres, la petite fossette qu'elle a au menton, le grain de beauté dans le creux de sa gorge. Son expression se fait rêveuse, il s'imagine qu'elle n'appartient qu'à lui, que ses sourires et ses regards lui sont exclusivement réservés. Son imagination s'emballe, il lui semble deviner son prénom - un nom de fleur -, c'est comme s'il la connaissait depuis l'enfance. Elle serait assise sur le banc de pierre, dans le fond du jardin, sous les branches du cerisier qui se balanceraient doucement au-dessus d'elle, créant un fascinant jeu d'ombres et de lumières sur ses traits délicats. « Hum, cela va peut-être vous paraître un peu brusque mais ... » Elle vient de parler, son coeur s'emballe légèrement. Elle lui sourit alors, un sourire large et sincère. Mais ses doigts se posent délicatement sur son avant-bras et il sursaute, brusquement ramené à la réalité;
- « C'est un bon garçon. » commente laconiquement sa mère. Mallory - qui fixe obstinément le bureau depuis son arrivée - n'est même plus certain qu'elle soit encore sincère. « Il est serviable et attentionné. Déjà, enfant, il n'avait jamais un mot plus haut que l'autre, il jouait en silence. A vrai dire, on l'entendait rarement. » Du coin de l'oeil, il la voit s'humecter les lèvres. En face d'eux, le psychologue hoche la tête, affichant un vague sourire pour l'encourager à continuer. « Il n'était pas très câlin, c'est tout. Je ne m'en suis jamais formalisée. » - « Mais c'est différent, aujourd'hui. » Intervient le psychologue, en considérant l'adolescent assis aux côtés de sa mère. - « Oui. » Elle ferme brièvement les yeux, le pli de son front se creuse. « Depuis sa rentrée à ... Depuis sa rentrée au secondaire, il refuse même qu'on le touche. Mais ça, encore ... » Elle se passe lentement une main sur le visage. L'homme ne dit rien, se borne tout juste à continuer à hocher la tête. Mallory déplace son poids sur sa chaise, ses mains tirent légèrement sur le tissu de son pantalon au niveau des genoux. Il suit la conversation, mais son regard ne se détache pas de la surface du bureau. « Il y a eu ces gants, d'abord, qu'il s'est mis à porter constamment. » Il sent son regard se poser brièvement sur lui pour glisser aussitôt ailleurs. « Et puis, surtout, cette obsession du propre. Je veux dire, j'imagine que n'importe quelle mère serait plus qu'heureuse que son fils adolescent s'occupe des tâches ménagères sans rechigner, mais Mallory, c'est autre chose. » Nous y voilà. Sa mère s'interrompt, elle porte à sa bouche le gobelet en plastique qu'elle triture entre ses mains depuis le début de la séance, avale bruyamment une gorgée d'eau, comme si elle avait manqué s'étouffer avec. Elle tousse légèrement puis reprend: « Il y consacre son temps libre comme un autre consacrerait le sien aux jeux vidéo. Il repasse constamment derrière moi, ne supporte pas la moindre miette traînant sur la table. Dès que l'un d'entre nous a le malheur d'utiliser la douche ou de se brosser les dents dans la salle de bain, il est là, à attendre qu'on ait terminé pour nettoyer derrière. » Mallory inspire profondément. « ... Mais le pire ... Le pire ... » - « Prenez votre temps, Mrs. Baker. » Elle hoche la tête, Mallory ne dit rien. « - L'autre jour, son frère - qui a 11 ans - a fait un malaise. Mon époux et moi-même étions absents. » Mallory serre les dents, il a désormais tout le mal du monde à rester immobile sur sa chaise. « Jamie a eu le malheur de vomir par terre, et, au lieu de s'occup- » Son fils bondit soudain de sa chaise et elle s'interrompt en sursautant. Mallory a en main une de ces lingettes parfumées dont il ne se sépare plus guère, et il se met à frotter vigoureusement la surface du bureau, à l'endroit même qu'il fixe depuis le début de l'entretien. - « Mallory ! » - « Je suis désolé. » Il frotte vigoureusement, presque désespérément, les traces de condensation laissées par la tasse de café. - « Allons, allons, ne vous en faites pas, Mrs. Baker. C'est une simple manifestation de stress. » - « Oh vous, taisez-vous aussi ! » éclate alors le garçon, excédé. Il n'a besoin de personne pour cerner quels étaient exactement ses problèmes, et certainement pas d'un lourdeau malpropre comme lui. Il a cependant presque aussitôt envie de ravaler sa langue en voyant sa mère blêmir et se lever. Elle quitte brusquement la pièce, le laissant complètement désemparé. - « Oh maman, s'il-te-plait, attend, je suis désolé ! » Il la poursuit dans la salle d'attente, mais son anxiété est telle qu'il ne peut résister à la pulsion qui le force à se mettre à quatre pattes par terre et frotter vigoureusement le sol. Ce faisant, il se met à sangloter devant les yeux éberlués des quelques personnes présentes dans la pièce.
Mallory s'excuse et fuit, assez littéralement. Il s'en veut, comme à chaque fois. Pourquoi, pourquoi, il se le demande constamment, pourquoi est-il comme ça. Pourquoi lui, pourquoi, grands dieux, alors que sa famille a toujours été tout ce qu'il y a de plus normale ? Et aimante ? Il n'avait souffert d'aucun manque affectif dans son enfance, d'aucun traumatisme. Le souvenir était toujours aussi douloureux, il s'en voulait, il s'en voulait beaucoup d'avoir fait subir cela à sa mère, à son père, à Jamie. La culpabilité était comme ce léger bourdonnement qui lui revenait parfois en tête lorsque le silence autour de lui était total. Mallory se posait des questions sur lui-même, souvent. La seule chose qui lui permettait vraiment de s'évader, bien sûr, c'était son travail.
Avec hâte, il transplana jusqu'à son bureau. Il y avait toujours quelqu'un, quelque part, qui avait besoin de leurs services.
▬ histoire
Mallory s'avance posément dans le salon. Du haut de ses 4 ans, il se sent un peu le maître des legos, c'est lui qui décide si Jamie peut jouer avec ou non. Mais sa mère l’intercepte alors qu'il passe devant le canapé et le pose sur ses genoux, referme ses bras autour de lui.
Mallory se laisse glisser hors de son étreinte et fuit vers la cuisine.
Mallory est tombé dans la cour, son genou saigne et ça fait mal. Son père s'approche, inquiet, le garçon lui assure que tout va bien, mais il ne l'écoute pas et le soulève dans l'intention de le faire rentrer dans la maison.
Mallory gigote et se débat, son père le lâche et il part se cacher dans les branches du cerisier.
« Mallory. » L'enfant se retourna, les bras enroulés autour de sa poitrine comme un bouclier. Mais sa mère se contenta de lui tendre une enveloppe non timbrée où son nom avait été tracé à la plume d'une écriture soignée. Il l'attrapa, la considéra longuement, curieux, et finit par l'ouvrir et en sortir deux feuilles d'aspect parcheminé. « Maman, c'est une blague ? » fit-il après les avoir toutes deux parcourues.
Non, ce n'était pas une blague. Le fameux Chemin de Traverse, où se proposait de les renvoyer la fameuse lettre, existait bel et bien, par exemple. Si l'on passe sur l'émerveillement, bien sûr, qu'éprouva le garçon face à tout ce qu'il y découvrit, il reste cet évènement marquant que fut pour lui l'acquisition de sa baguette. Il était entré chez Ollivander, flanqué de ses parents, et son regard curieux avait embrassé l'ensemble de la boutique, qui lui était apparue, au premier abord, comme un genre d'antique papeterie qui, pour une raison obscure, n'aurait proposé que des portes-plume. Le désordre apparent et l'épaisse couche de poussière qui semblait recouvrir la plupart des étagères ne déclenchèrent, à l'époque, aucune crise de maniaquerie; il trouva même au lieu un charme indéniable. Ollivander l'approcha, accueillant, comme il avait dû le faire avec des centaines d'autres.
« Ah, un jeune homme d'origine moldue, je suppose. » « Moldue ? » « Les non-sorciers. » précisa le vieil homme.
C'était la première fois que Mallory entendait ce terme. Il hocha vaguement la tête en jetant un coup d'oeil à ses parents qui étaient, quant à eux, occupés à commenter les tenues des passants de l'autre côté de la vitrine.
« Bien, donne-moi ton bras. » poursuivit Ollivander, un mètre-ruban à la main et faisant mine de vouloir lui attraper le poignet. « Non ! » ne put s'empêcher de s'exclamer le garçon en ramenant son bras contre lui avec un mouvement de recul.
Aussitôt gêné, il s'apprêtait à présenter ses excuses - il avait réagi par réflexe, le vieil homme l'avait pris au dépourvu - quand il se rendit compte que, loin d'être vexé, celui-ci semblait plutôt le considérer d'un air pensif, comme si une idée lui était venue, brusquement. Au final, il disparut dans son arrière-boutique avant de revenir, quelques minutes plus tard avec une boîte d'un bleu sombre.
« Essaye celle-ci. » « Et comment est-ce que je fais ça ? »
Avec un sourire sibyllin, Ollivander ouvrit la boîte et lui présenta une fine baguette de bois clair.
« Prend-la en main et agite-la. »
Hautement sceptique et se sentant, pour tout dire, assez ridicule, Mallory attrapa délicatement la baguette. Lorsque ses doigts se refermèrent autour de cette dernière, cependant, il ressentit quelque chose d'étrange. D'abord, comme une douce chaleur qui émanait du bois et semblait pénétrer sa main pour remonter le long de son bras, une sensation agréable. Et puis, ce sentiment de puissance, soudain, inexpliqué mais intense. Il leva le bras, et il eut l'impression que la baguette n'était déjà plus qu'une extension de celui-ci, qu'il agita, comme on le lui avait suggéré. Et sous ses yeux émerveillés, une nuée de papillons dorés s'en échappa. Il s'y était presque attendu, à vrai dire, tant la prise en main de sa baguette lui avait paru naturelle. Car il s'agissait bien de sa baguette, il n'en doutait pas.
« Bois d'orme et plume de phénix. » commenta Ollivander en hochant la tête d'un air approbateur. « Un bois raffiné, capable de produire une magie puissante et les sortilèges les plus élégants. »
Mallory se sentait complètement transporté, à la fois extatique et extrêmement calme.
« Cependant, méfie-toi. Le phénix est une créature forte et indépendante, l’allégeance d'une telle baguette se gagne difficilement. Il faut la mériter. »
Les phénix n'étaient pas des créatures imaginaires, les baguettes magiques avaient une personnalité. Mallory considéra la sienne avec un mélange de fascination et d'excitation.
A ce moment précis, il sut qu'il n'aurait jamais pu être complètement heureux si la magie n'avait pas été partie intégrante de sa vie.
Des serments d'amour faits en nouant un fil rouge autour de leurs mains jointes. Des serments de mort, parce qu'ils donneraient chacun leur vie pour l'autre. Mallory était assis contre le mur du sommet de la tour d'astronomie. Une jeune fille tournoie devant lui, ses cheveux sont comme des fils d'or dans la lumière orangée du jour déclinant. Elle sourit, comme pour elle-même, elle a l'air heureuse. Le silence les enveloppe. Lui pourrait rester toute sa vie à la regarder évoluer gracieusement. Des serments ... Il aurait voulu être l'un de ces chevaliers du Moyen-Âge, à une époque où un serment d'amour était une affaire sérieuse. Il aurait voulu pouvoir lui prouver à quel point il était sincère, passionnément, mortellement sincère. Mais il était idiot. Bien sûr qu'elle le croyait ! Elle riait de sa frustration. Bien sûr, voyons ! Elle aussi. Elle aussi, elle aurait aimé être une de ces dames du Moyen-Âge qui, ayant accepté le serment de son chevalier, lui reste vouée toute sa vie. Mallory ferme doucement les yeux de contentement. Le silence les enveloppe à nouveau et il se détend à la chaleur des derniers rayons du soleil, parfaitement serein.
« Dis, Mallory. »
Il était sorti de sa torpeur, et elle se tenait maintenant accroupie face à lui, les lèvres pincées sur un sourire qui semblait ne demander qu'à s'épanouir sur son visage, les cheveux ramenés derrière ses oreilles. Elle se tordait les mains, ce qui lui fit comprendre que ce qui allait suivre était important. Leurs regards s'accrochèrent, quelque chose de nouveau passa entre eux.
« Est-ce que tu viendrais passer les vacances chez moi ? »
C'était fou, l'influence du temps sur l'humeur, aberrant de constater l'effet que pouvait lui faire un pan de ciel bleu, la chaleur du soleil sur sa peau, le bruit, constant, de la faune active après de longs mois de silence, et le vert, enfin, omniprésent, presque envahissant. Il paraissait d'ailleurs que le vert était une couleur apaisante; enfin, il l'avait lu quelque part, il ne se rappelait guère où.
C'était fou comment tout cela n'avait pourtant aucune espèce d'effet sur lui, présentement.
Elle le couvrait de baisers, et il était submergé par l'angoisse. Chaque contact de ses lèvres contre les siennes était comme une brûlure insupportable, et pourtant il le supportait. Les paumes de ses mains qui parcouraient tendrement la peau nue de son torse lui faisaient l'effet de racloirs, douloureux, mais il serrait les dents. Il était crispé, rigide, aussi raide qu'une planche, vraiment, répondait à peine à ses cajoleries. Ah, mais elle ne semblait même pas s'en rendre compte, sûrement le mettait-elle sur le compte de la nervosité.
Ils en étaient là, et il avait envie de hurler, de la repousser, de ne plus jamais la laisser le toucher. Ils en étaient là. Il l'aimait, c'était idiot. Ridicule. Il ne pouvait pas le faire.
« Non. » Sa voix n'était qu'un souffle, elle venait de le repousser contre le lit. « Qu'est-ce que tu dis ? » « Ne me touche pas ! »
♢♢♢
L'eau qui coulait le long de son dos était froide. Depuis combien de temps était-il là-dedans ? La luminosité de la pièce avait changé, ce qui lui laissait à penser que le soir était tombé. Mais il se sentait toujours aussi sale, il ne pouvait pas encore sortir, pas tout de suite. Sa peau était irritée de partout à force se de frotter, trop fort, avec ses ongles, avec hargne.
Il renversa la tête en arrière, laissant l'eau couler sur son visage offert, remplir sa bouche ouverte, couler à l'intérieur de ses narines, ce qui finit inévitablement par le faire tousser et cracher. Qu'est-ce qu'il croyait, elle le détestait maintenant, il lui avait brisé le coeur. Il l'avait trahie de la pire façon en la repoussant comme il l'avait fait; dégoûté, il avait été dégoûté par son contact, et il ne pouvait que trop bien imaginer l'effet que cela avait du lui faire. Ou le pouvait-il, vraiment ? Hé, cela ne changeait pas le résultat: il était enfermé dans la salle de bain depuis des heures, et elle le détestait. Mais sûrement, certainement, elle ne pouvait pas le détester autant qu'il se détestait lui-même.
Il avait du mal à se souvenir exactement des ambitions qu'il avait pu entretenir à son entrée à Poudlard: Auror ? Médicomage ? Ministre de la magie, peut-être ? Quelque chose, en tout cas, car Mallory avait toujours eu de l'ambition, il voulait faire quelque chose de significatif de sa vie, de sa vie de sorcier.
Mallory Baker avait eu des ambitions de ce genre-là, oui, mais aujourd'hui, une seule chose l'obsédait, accaparait son attention où qu'il aille: la propreté. A vrai dire, il pouvait difficilement se concentrer sur autre chose, l'année qui venait de s'écouler et cet épisode avec Jamie le lui avaient suffisamment prouvé. Alors il en avait fait son métier, à 17 ans.
Le tout jeune adulte qu'il était avait raisonné de cette façon: peu importe sa profession, après tout, rien ne l'empêchait de trouver sa propre manière de concilier son amour des sortilèges et son besoin maladif de propreté. Si, en effet, les aurors protégeaient la population des mages noirs, il se promettait, lui, de la protéger de la saleté, des germes; bref, de ses propres démons. Et non seulement il en serait ainsi, mais il deviendrait d'une efficacité redoutable. Le meilleur. Il développa ainsi assez rapidement toute une série de sorts et de potions, ces dernières bien souvent inspirées de recettes de grand-mère moldues et rendues extrêmement efficaces grâce aux ingrédients magiques. Mais ce qui le bottait, surtout, c'était les sortilèges. Mallory les utilisait non seulement dans le cadre de son travail, mais il s'entraînait énormément au duel, et passait nombre de ses heures solitaires à perfectionner sa maîtrise des sorts les plus compliqués. Ça le bottait, lui donnait des frissons, ça l’exaltait, lui faisait chérir sa condition de sorcier.
Malgré cela, il avait trimé longtemps, durement, avant de pouvoir devenir complètement indépendant. Trouver des clients n'avait jamais été un problème, mais gagner suffisamment sa vie en nettoyant chez les autres demandait une charge de travail assez conséquente. Il y trouva malgré tout, malgré la fatigue, un certain apaisement. Mais, bien qu'il l'ignora encore, il n'avait pas encore trouvé sa véritable voie.
Ce n'était pas la première fois qu'il effectuait un nettoyage à la Voerman Corp. Par contre, c'était bien la première fois que Voerman lui adressait personnellement la parole. Mallory avait tout juste 24 ans quand Thaddeus lui proposa un nouveau genre de travail, mieux payé. Intrigué, il avait accepté. C'est une fois dans la salle de réunion qu'il avait compris exactement ce que le 'spécial' impliquait exactement. C'est que, un certain nombre de personnes semblaient avoir perdu une certaine quantité de sang, dans cette salle. Il avait même trouvé un peu de cendres dans un coin. Cependant, nettoyer l'endroit lui avait apporté infiniment plus de satisfaction que tout ce qu'il lui avait été donné de frotter par le passé.
Par la suite, Thaddeus, puis d'autres, firent de plus en plus souvent appel à ses services. Il était, après tout, si ce n'était le seul, en tout cas le plus efficace sur ce nouveau marché: le nettoyage des scènes de crime et accidents magiques. Rapidement, il dut se résoudre à engager du personnel, se résoudre étant le terme exact. Mallory n'avait confiance qu'en lui-même, après tout, mais il ne pouvait humainement pas gérer autant de travail. C'est ainsi qu'il fonda la sobrement baptisée Baker Cleaning Ltd. (quoique de forme juridique, elle n'en n'ait réellement aucune; dans le monde sorcier, on ne payait pas d'impôts, après tout !).
Il faisait incroyablement chaud dans son bureau, lorsqu'il avait reçu Esther Baranovska pour un entretien d'embauche. C'était l'été, un été plutôt chaud pour la capitale anglaise, mais Mallory avait toujours apprécié ce genre de temps. Quant à la jeune femme assise en face de lui, elle lui avait fait bonne impression. Plus que cela, à vrai dire, elle l'avait intrigué. Certes, elle semblait sérieuse et efficace, mais il avait comme une arrière-pensée en prenant la décision de l'engager. Il avait toujours cette même arrière-pensée lorsqu'il la voyait traverser le couloir pour gagner la salle de repos et qu'il se levait précipitamment pour l'y rejoindre. Lorsqu'il plaisantait avec elle ou lorsqu'il attrapait ses mains pour lui enlever les crasses qu'elle semblait toujours se fourrer sous les ongles. Bien sûr, elle était toujours présente lorsque Esther lui avait un jour lancé cette invitation à dîner.
Il n'était pas très sûr. Pourquoi avait-il accepté, au final ? Ce n'était pas la première fois qu'on l'invitait, mais on finissait toujours par s'en mordre les doigts. Les gens ne réalisaient jamais à quel point la propreté était pour lui une obsession, du moins pas avant qu'il se mette à astiquer leur salle de bain ou leur cuisine en leur faisant des remontrances sur leur manque flagrant d'hygiène. Il le savait, donc, qu'il aurait peut-être mieux fait de refuser. Mais il avait accepté. La soirée s'était bien passée en somme - même s'il avait récuré un lavabo en prétextant devoir aller aux toilettes - jusqu'à ce qu'elle essaye de l'embrasser. Le jeune homme s'était esquivé, bien sûr, mais s'était damné tout le long du chemin ensuite.
Avait-il grillé toutes ses chances ? Il se l'était demandé plusieurs fois par la suite. Esther semblait fidèle à elle-même, et son arrière-pensée se faisait de plus en plus oppressante. Et c'est ainsi qu'il s'était retrouvé à demander à Thaddeus de lui rendre ce petit service "mafieux" qu'il lui avait un jour promis. Esther, Freyja, Marketa. Sólveig. Viðja. Mallory n'était pas tant choqué par la révélation de ces fausses identités que par le fait que la jeune femme semblait avoir eu un passé plutôt mouvementé. Et un doctorat.
Viðja et ses mystères. Il était fasciné. Il avait pesé le pour et le contre. Il avait envoyé au diable raison et logique. Il l'avait confrontée, il l'avait gardée, et elle l'avait accepté. Mallory pensait difficilement pouvoir être plus heureux qu'il ne l'avait été à cet instant. Encore une fois, il se trompait. Au final, il se trompait sur toute la ligne.
Elle lui apparaissait différente des autres femmes. D'ailleurs, elle tenait autant de l'enfant que de la femme, et il se demandait parfois si ce n'était pas ce qu'il aimait chez elle. En partie, oui, mais pas que. Il était heureux, mais la distance physique qui se maintenait entre eux le rendait vaguement triste. Mais bientôt - bientôt étant une notion tout à fait relative si l'on considérait qu'il leur avait tout même bien fallu cinq mois - même cette dernière barrière n'exista plus entre eux.
Every time I see you in the world, you always step to my girl
La seule ombre au tableau, au final, pour Mallory, était l'existence de James Lovecraft. Le mentor de Viðja, son ancien professeur d'université. Son ancien amant. Il ne l'avait pas compris tout de suite, peut-être à cause de leur différence d'âge et des manières impeccables de James. Plus certainement à cause de son incroyable naïveté. Leur première rencontre s'était terminée sur une note étrange. La seconde avait carrément tourné au vinaigre et Mallory avait réalisé avec horreur qu'il était loin de connaître Viðja aussi bien qu'il l'aurait voulu, qu'il l'aurait du, aussi bien que James. Sa confiance en lui, son bonheur, ses certitudes, en avaient pris un coup.
Il était retourné voir Thaddeus. Mais le retour de Viðja à sa porte lui fit vite oublier ses soupçons à l'encontre de James. Tout ce qu'il désirait, c'était ne plus jamais avoir à supporter son expression condescendante sous des airs faussement polis.
The gloves are off, the wisdom teeth are out What you on about? I feel it in my bones, I feel it in my bones I'm stronger now, I'm ready for the house Such a modest mouse, I can't do it alone, I can't do it alone-
▬ hrp
ϟ COMMENT NOUS AS-TU DÉCOUVERT ? J'suis juste une droguée qui a besoin d'une triple-dose ♥ (Vu que Woody va potentiellement se faire défoncer par Wallace et Alistair vider de son sang par Thaddeus, et bah, voilà).
ϟ LE NOM DE LA PERSONNE SUR TON AVATAR ; James McAvoy
ϟ QUE PENSES-TU DU FORUM ? J'attends patiemment qu'il atteigne la majorité pour lui passer la bague au doigt et lui faire plein de bébés ! **
ϟ AS-TU LU/VU TOUS LES HARRY POTTER ? Fuck yeah, I did !
ϟ SUR COMBIEN D'AUTRES RP ES-TU INSCRIT SANS COMPTER CELUI-CI ? Toujours deux !
Charlie N. Daniels
: Son ombre glisse et sa semelle claque. Charlie caresse le trottoir. Il n'a que les os, l'esprit et la peau, Charlie va danser ce soir.
ϟ ÂGE : 38 ϟ FONCTION : Libraire chez Fleury & Bott – Membre de l'Ordre du Phénix ϟ AVATAR : Oliver Sykes
Mallory Baker ϟ Do not touch me. Please. It's gross.
Sujet : Re: Mallory Baker ϟ Do not touch me. Please. It's gross. Lun 21 Avr 2014 - 1:29
REBIENVENUE COPAIN SERDAIGLE. ♥
Anselme N. Alwell
: « Cette brume insensée où s'agitent des ombres, comment pourrais-je l'éclaircir ? – Cette brume insensée où s'agitent des ombres, est-ce donc là mon avenir ? » (Raymond Queneau)
ϟ ÂGE : 39 ϟ FONCTION : Médicomage au service d'empoisonnements par plantes et potions. ϟ AVATAR : Benedict Cumberbatch
Mallory Baker ϟ Do not touch me. Please. It's gross.
Sujet : Re: Mallory Baker ϟ Do not touch me. Please. It's gross. Lun 21 Avr 2014 - 1:29
Ahah, bienvenue dans le club des triples-comptes ! Plus on est de fous et plus on rit n'est-ce pas XD
Premièrement, j'ai adoré le concept d'agent de nettoyage. Je sais pas pourquoi, mais sa présentation sent l'eau de javel et le savon noir ... -je divague- Ensuite j'ai absolument adoré le premier paragraphe de la description psychologique... et tout le reste d'ailleurs !
Bon courage pour le reste et tout mon amour à ton nouveau compte.
PS - J'approuve tout à fait la musique pour ton personnage !
Lawrence E. Sullivan
: Look at all the fucks I give.
ϟ ÂGE : 38 ϟ FONCTION : Directeur des Serpentards, professeur pratique de DCFM, tireur d'élite de baguette magique, membre de l'Ordre, BAMF. ϟ AVATAR : Matthew Gray Gublerϟ ABSENCE ? : Activité principalement le week-end pour cause de Terminale sauvage /o/
ϟ LIENS : It'll be alright
We may make it through the war
If we make it through the night
Mallory Baker ϟ Do not touch me. Please. It's gross.
Sujet : Re: Mallory Baker ϟ Do not touch me. Please. It's gross. Lun 21 Avr 2014 - 1:33
JAMES MC FUCKING AVOY Je ne peux littéralement PAS rester calme.
Le personnage a l'air fabuleux. La description est fabuleuse. Tu es fabuleuse. Je vais donc retourner me rouler par terre en attendant la suite. Et putain, qu'est-ce que je veux un lien de TOC-bros avec Law. D8
Mallory C. Baker
: Same rules apply.
ϟ ÂGE : 40 ϟ FONCTION : Dirigeant d'une entreprise de nettoyage magique ϟ AVATAR : James McAvoy
Mallory Baker ϟ Do not touch me. Please. It's gross.
Sujet : Re: Mallory Baker ϟ Do not touch me. Please. It's gross. Lun 21 Avr 2014 - 3:51
Han, vous êtes trop gentils ! ;;
Charlie> Merciii ** Et oui, je vais faire toutes les maisons, wouuh ! /sbaf
Anselme> Han ! C'est comme un club premium, on a des accès VIP à certaines parties du forum ? Merci, si c'est l'impression que ça te donne, c'est que j'ai bien fait mon boulot. XD Et pour la musique, yees ♥
Law> James McAvoyyyyy nidshdsgjd. YES. Merci ! ET JE SUIS TELLEMENT POUR UN LIEN DE TOC-BROS XDD
*toute motivée pour terminer*
Fray O. Cabble
ϟ ÂGE : 42 ϟ FONCTION : Psychologue scolaire ; Fantôme en déni ; Ex-Serdaigle. ϟ AVATAR : Hugh Dancy
Mallory Baker ϟ Do not touch me. Please. It's gross.
Sujet : Re: Mallory Baker ϟ Do not touch me. Please. It's gross. Mer 23 Avr 2014 - 5:36
J'ai eu à peu près la même réaction que Law en lançant des "JAMES MC AVOY" pleins de coeur partout dans le ciel~
Outre le métier super original et sa bouille d'ange, je te fais confiance pour en faire un personnage trop chou (et enfin, avec Malabar vous nous faites une arrivée d'adultes garçons hétérosexuels, ça manquait à ces demoiselles - même si j'adore les personnages gays/bis/plantophiles ♥♥ /BAM/)
Bref, j'ai hâte de voir ce que tu vas nous faire cette fois-ci. Mais après l'originalité d'Alistair et la choutitude de ta reprise de Woody, j'te fais pleinement confiance !
Jodie A. Graham
: Vivre, c'est être au coeur d'un prodige.
ϟ ÂGE : 34 ϟ FONCTION : Vendeuse à temps partiel chez Honeydukes ; Membre de l'Ordre ϟ AVATAR : Alison Sudol
Mallory Baker ϟ Do not touch me. Please. It's gross.
Sujet : Re: Mallory Baker ϟ Do not touch me. Please. It's gross. Ven 25 Avr 2014 - 13:38
Sans surprise je suis archi fan de ton début de fiche ♥ Ne serait-ce que pour son épouvantard et la référence à Chihiro ** Bref. Hâte d'en connaître encore plus sur ce perso qui sent bon le détergent
Fray O. Cabble
ϟ ÂGE : 42 ϟ FONCTION : Psychologue scolaire ; Fantôme en déni ; Ex-Serdaigle. ϟ AVATAR : Hugh Dancy
Mallory Baker ϟ Do not touch me. Please. It's gross.
Sujet : Re: Mallory Baker ϟ Do not touch me. Please. It's gross. Jeu 8 Mai 2014 - 19:05
Tout à fait ! ** J'ai bien avancé, l'histoire est presque terminée donc je poste le tout ce week-end sans faute ! ♥
Lawrence E. Sullivan
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Mallory Baker ϟ Do not touch me. Please. It's gross.
Sujet : Re: Mallory Baker ϟ Do not touch me. Please. It's gross. Dim 11 Mai 2014 - 20:37
Contre toute attente, tu es validée. ♥ /feint la surprise/ Mallory est très bien développé ; ni complètement adorable ni fait pour être détesté, il est vraiment totalement humain (et un petit peu chou quand même) (c'est McAvoy qui me distrait) et ça fait incroyablement du bien à voir. Ça se lit très bien, le style est comme d'hab irréprochable et je maintiens que le lien est obligatoire (en plus, il a le même bois de baguette que Law, IT WAS MEANT TO BE). Bref, tu connais le chemin et évidemment on te re-re-accueille avec tout plein d'amour. ♥ N'oublie pas d'envoyer ton secret à CQS ~
Mallory C. Baker
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ϟ ÂGE : 40 ϟ FONCTION : Dirigeant d'une entreprise de nettoyage magique ϟ AVATAR : James McAvoy
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Sujet : Re: Mallory Baker ϟ Do not touch me. Please. It's gross. Dim 11 Mai 2014 - 21:26
Lawrence E. Sullivan a écrit:
et je maintiens que le lien est obligatoire (en plus, il a le même bois de baguette que Law, IT WAS MEANT TO BE).
A match made in heaven ! Merci pour la validation et les compliments, jhgjd, c'est trop. ;; Mais je prend l'amour et tout !
*s'empresse de mp CQS*
Thaddeus R. Voerman
: Do you think this is a motherfucking game ?
ϟ ÂGE : 377 ϟ FONCTION : Homme d'affaires. Propriétaire foncier. Plus ou moins mafieux. Patron du Deus Ex Machina. Roi de la Nuit. ϟ AVATAR : Michael Fassbender.ϟ ABSENCE ? : Du 3 au 20 Juillet puis du 28 Juillet au 3 Août.
Mallory Baker ϟ Do not touch me. Please. It's gross.
Sujet : Re: Mallory Baker ϟ Do not touch me. Please. It's gross. Dim 11 Mai 2014 - 23:39
Monsieur propre. ♥♥ Ta fiche de présentation riche en agrumes et lingettes désinfectantes fut un vrai bonheur à lire. J'adore absolument tout, de ses tocs et rendez-vous chez le psy en nettoyant tout partout autour de lui à ses descriptions des filles qu'il décrit comme des fleurs ou des champs de blé. Sa relation avec Vidja est juste trop mignonne, mais je veux qu'il la quitte pour se mettre en couple avec Thaddeus. Il est digne de confiance, lui.
J'ai hâte de voir ce que vous allez nous réserver pour le trio, et je t'ai déjà tout dit sur skype. Ton choix de musique est tellement parfait. I LUUUV YA !
Mallory C. Baker
: Same rules apply.
ϟ ÂGE : 40 ϟ FONCTION : Dirigeant d'une entreprise de nettoyage magique ϟ AVATAR : James McAvoy
Mallory Baker ϟ Do not touch me. Please. It's gross.
Sujet : Re: Mallory Baker ϟ Do not touch me. Please. It's gross. Lun 12 Mai 2014 - 0:40
Oh Thad, tmtc ! ♥
Papa> (oui je vais t'appeler papa avec tous mes comptes, osef !) C'est tellement adorable comme commentaire ! (oui même la partie suggérant de virer Vidja ! 8D), je te aime, fort ! **
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Mallory Baker ϟ Do not touch me. Please. It's gross.
Sujet : Re: Mallory Baker ϟ Do not touch me. Please. It's gross. Mar 13 Mai 2014 - 10:52
PROFESSEUR XAVIERRRR (je bave je bave je bave). J'ai été fière d'avoir reconnu ta plume sans même lire que c'était un TC (bon j'étais pas certaine à 100% mais je me disais "tiens on dirait woody"). Je sais pas pourquoi mais ton personnage me fait penser à l'été. J'aime évidemment Mallory et ses problèmes avec la saleté. Tu as bien su décrire comment cela envahit et bousille sa vie, jusqu'à ce qu'il décide d'en faire quelque chose de productif (et même là encore), pour avoir connu une personne qui a eu un temps un souci similaire, c'est plutôt fidèle à la réalité. Il faudra forcément un lien avec Clément. Le "quelque chose de plus animal." m'a donné envie de... de je sais pas quoi mais je n'arrive pas à imaginer un Mallory bestial, je le veux couvert de rose et de coton et de papillon et voilà ♥
Hâte de voir ce qu'il va donner en rp o/
Mallory C. Baker
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Sujet : Re: Mallory Baker ϟ Do not touch me. Please. It's gross. Lun 19 Mai 2014 - 7:28
Oh mon dieu, j'aurais un style reconnaissable ? *A* (cela dit, j'ai eu la même en lisant le début de fiche d'Hélène ♥) Ça me fait vraiment plaisir que tu le dises fidèle à la réalité, parce que j'avais peur d'être un peu à côté de la plaque par moments (soit en faisant trop, soit en zappant certaines choses). >< J'approuve mille fois pour le lien, je viendrai te poker ** Daw ! XDD Son côté bestial est bien caché sous trois tonnes de roses, de coton et de papillons, t'inquiète ♥♥
LOVE LOVE !
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Mallory Baker ϟ Do not touch me. Please. It's gross.
Sujet : Re: Mallory Baker ϟ Do not touch me. Please. It's gross.