ϟ ÂGE & DATE DE NAISSANCE : Trente quatre (même si pour ceux qui ne sont pas en mesure de savoir, c'est seulement trente ans !) - Un certain 12 septembre...
ϟ LIEU DE NAISSANCE : Loutry Ste Chaspoule, dans la maison de la grand mère infirmière.
ϟ ANNÉE & MAISON : Professeur de divination et ancienne Poufsouffle
ϟ ORIENTATION SEXUELLE : Les hommes sont les seuls qui puissent faire son bonheur !
ϟ DESCRIPTION DE LA BAGUETTE MAGIQUE : Bois de charme, coeur crin de licorne 26,8cm, assez souple.

ϟ BUT DANS LA VIE : Si jamais elle n'a eu de grande ambition professionnelle, Cassiopee a toujours su ce qu'elle voulait dans la vie, ce qu'il lui fallait vraiment pour qu'elle soit heureuse, et cette chose, c'est une famille, sa propre famille, celle qu'elle se construirait par elle-même. Cette grande rêveuse aimerait avoir un mari, et au moins deux enfants, mais pour l'instant, elle est seule, et multiplie les échecs dans sa vie personnelle.
ϟ CE QUI COULE DANS VOS VEINES : Née d'une mère sang mêlé et d'un père né moldu, elle en devient automatiquement une sang mêlé.
ϟ VOTRE ANIMAL DE COMPAGNIE : Il s'agit d'un furet, vif et intelligent, qui s'échappe souvent de sa cage pour lui faire faux bon. Elle l'a prénommé Cormic.
ϟ SIGNE PARTICULIER : 
Qu'appelle t-on vraiment particulier ? Si vous posiez cette question à Cassiopee, elle vous répondrait qu'elle n'a aucun signe qui la rende particulière si ce n'est son physique, dont elle est tout de même fière.
Son don la rend particulière, la voyance. De tous les élèves de sa promotion, elle fut la seule à obtenir un O à ses examens, et la seule à faire preuve d'une réelle capacité à voir l'avenir à travers les outils de voyance. Malheureusement, elle ne le maitrise pas complètement, et fait du mieux qu'elle peut pour séparer voyance, et espérance.
Son autre signe particulier : il n'est pas rare de la voir tenir l'une de ces cigarettes moldues qui la rendent accro.

ϟ DESCRIPTION PHYSIQUE ; 
La première impression dépend de l’apparence, ce qui fait en partie d'un être ce qu'il est. Cassiopee ne se plaint pas de ce que la nature lui a donné, parce qu'elle estime qu'elle a un physique plutôt avantageux, même si elle ne se vente pas de cette fierté et que parfois, elle se dit qu'il faudrait qu'elle perde un peu de poids.
Elle a trente quatre ans, mais il n'empêche pas qu'elle ait cette apparence pimpante que l'on voit au premier regard. Ses joues roses et enfantines soulignent ses iris bleus électriques qui peuvent parfois vous transpercer d'un regard. Celui ci est intense et profond, on y voit beaucoup de chose car il est expressif et véritable, ses yeux la trahissent bien souvent lorsqu'on la regarde bien en face (et non un cran au dessous). Tout autour de ce visage expressif aux traits dessinés par un artiste consciencieux (la nature), se déploie le feu roux de sa chevelure qui se joue des lumières et du vent. Tantôt vagues, tantôt plus lianes, on ne sait quel jour on l’apercevra sous cette image de femme lionne à la crinière lisse, ou déesse de feu aux cheveux ondulés.
Parce qu'elle aime garder une certaine légèreté, elle fait tailler ses cheveux à hauteur des épaules le plus souvent.
Un visage avec des traits de qualités certains, mais qui attire parfois moins l'attention que son corps. Sa silhouette voluptueuse attire les regards des hommes comme des femmes, peut-être pas pour de semblables raisons. Poitrine et hanches généreuses, cela fut plus un complexe durant des années, qu'un atout, et pourtant, aujourd'hui, elle assume complètement ces formes dans lesquelles elle est sculptée.


L'élégance, c'est un mot qui a toujours plu à cette sorcière. Elle choisis ses tenues avec beaucoup de soin, tout comme ses accessoires. Elle ne suit pas de mode, elle crée sa propre mode et assume ce côté femme fatale qu'elle arbore. Elle aime choisir des couleurs qui font ressortir ses yeux. Elle se ré-hausse de talons, pour avoir une silhouette élancée.

ϟ AIME : Les sucreries - La littérature moldue - Les enfants - Le calme - La pluie et l'odeur de la terre à ce moment - Offrir des cadeaux, et en reçevoir - Etre complimentée - Les objets anciens - La culture moldue en général - Les animaux - Bavarder - la France - La liberté - Regarder le quidditch - la Bierraubeure - Les beaux habits - La courtoisie - Les hommes élégants - Les différences - Les divergences d'opinion - Les surprises - manger la patte à gateau avant qu'elle ne soit cuite.

ϟ N'AIME PAS : Les étés trop chauds - Les repas trop légers - Les pleurs - L'injustice - Se sentir délaissée - Les disputes - Les secrets - Les hopitaux - Les créatures magiques (mais c'est surtout de la crainte par rapport aux animagus) - Les pièces sans fenêtres - Les véhicules moldus - Les sortilèges trop complexes - Faire la cuisine - La neige en abondance - La tristesse - Les elfes de maisons - Les salles d'attentes...

ϟ DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE ; 
Non, Cassiopee est peut-être professeur de divination, mais elle ne vit pas à trois cent kilomètres de la Terre, à se perdre dans un petit monde imaginaire. Elle a les pieds bien ancrés au sol, dans la réalité, et tout ces rêves qui font passage dans sa petite tête, sont très vite placés à l'état d'illusion, ou de possibilité difficile d'accès. Élevée par sa grand mère, on pourrait croire qu'elle eut une éducation très stricte, pourtant, non. Iselda lui apprit à mentir à bon escient, à ruser, et à profiter des meilleures opportunités, et la jeune fille suivit les bons conseils de sa grand mère. Elle ment lorsqu'elle voit que c'est plus avantageux pour elle ou pour l'un de ses proches de ne pas dire la vérité, elle est capable de monter un mini plan en quelques secondes pour se sortir des mauvais pas dans lesquels elles se met, et sait choisir ce qui sera le plus avantageux pour elle même.
Pourquoi n'a t-elle donc pas réussi à combler ses rêves de famille ? Tout simplement parce que lorsqu'il s'agit d'amour, c'est une toute autre chose. Cassiopee perd les pédales très vite, et se laisse entrainer par ses sentiments qui naissent à une vitesse folle. Il lui suffit de quelques mots doux pour que son cœur prenne en cible celui qui les lui a prononcé. En vrai cœur d’artichaut, elle est allé de déception en déception, mais elle a continué de se rouler dans ses échecs, et de donner sa confiance en un claquement de doigts, mais encore là, il ne s'agit pas de naïveté, mais d'amour aveugle. Pour autant, elle ne s'accrochera pas à quelqu'un qu'elle pressent comme indigne de confiance.
Cassiopee est aussi une femme très sure d'elle. Elle a confiance en son « intuition » (qui n'est autre que son don de voyance), et est capable de s'engager sur des chemins périlleux si elle estime que ça peut être bénéfique. On peut parfois s'apercevoir de cette confiance en elle à son visage parfois fier. Il lui arrive d'être sarcastique, elle n'hésite pas à lancer quelques piques sous cette forme, et si on la connait, on sait tout de suite qu'il n'y a rien de spécialement méchant, mais elle s'exprime pourtant quelques fois, de manière désagréable.

Elle a des airs de grande dame, mais au fond, elle est une personne très simple qui peut se contenter de peu quand il le faut. Bien sur, elle apprécie fortement les cadeaux de valeur, mais c'est surtout le geste qu'elle regarde avant le prix. Pour lui faire plaisir, rien de mieux qu'un objet ancien ou moldu (ou encore les deux à la fois), sa culture en milieu moldu est excellente, et elle se plait à en discuter avec qui partage cette même passion.
Autrement, Cassiopee est une femme très posée, elle n'a jamais eu de goût prononcé pour l'aventure, les conflits ou tout autre chose qui l'obligerait à avoir une vie trop vive, elle aime avoir un minimum de confort et avoir des points de repère pour se sentir bien. La jolie rousse prend facilement peur dans des situations de danger et au quel cas, elle se plonge dans un état pittoresque qui lui fait honte par la suite, cependant, elle sait tenir sa langue. Elle n'aime pas être contredite, et devient intolérante lorsque cela se produit, sa parole pour elle, est importante tout comme le fait qu'elle veuille toujours qu'on la croit.
En tant que professeur, madame, ou devrions nous dire, mademoiselle Maxence, franchit parfois les limites pédagogiques pour transmettre tout son savoir à ses élèves, c'est à dire qu'elle n'hésite pas à donner cours à des heures tardives à un élève ou un groupe d'élèves, mais elle s'est fait la promesse de ne jamais céder aux avances de l'un d'eux, elle est enseignante, un point c'est tout. Elle a peur de la nuit, parce qu'elle pense que les ténèbres cachent bon nombre de choses, et on ne la verra pas en séance de divination durant les heures nocturnes. (Elle en est à croire que la dernière fois qu'elle était entrée en transe lors d'une vision provoquée par son bon vouloir, elle se faisait de peu posséder par une âme malveillante). Elle se montre donc très amicale envers les jeunes, et dans le même sens, elle déteste devoir jouer à la policière pendant ses cours, raison pour laquelle si deux personnes se disputent, elle est capable de les ficeler ensemble d'un coup de baguette. Elle ne considère pas cela comme une perte de patience, mais comme une manifestation d'attente au respect.
En revenant sur la divination, Cassy prend très au sérieux les images qui lui viennent, que ce soit au travers de visions ou d'interprétation des outils de divination, mais elle se trouve souvent prise au dépourvu lorsqu'on lui demande de provoquer des prédictions. Le stress qu'elle éprouve pour cette demande, lui vaut un blocage complet de son don, et elle s'indignera que quelqu'un puisse lui montrer un tel manque de confiance.

Pour ses amis, elle est très fidèle et patiente, elle se montre généralement disponible et compatissante lorsque survient un problème. On lui connait une joie de vivre teintée de quelques regrets menés par son incapacité à trouver l'homme qu'il lui faut. Sa porte est toujours ouverte aux personnes qu'elle estime agréables, et petits gâteaux et tasse de thé sont garantis de sa part, s'il vient à une personne de toquer à sa porte.

Si l'on veut résumer à quelques mots qui est Cassiopee, on peut parler d'une femme forte et douce à la fois, dotée d'un caractère de femme sure d'elle et déterminée, qui se trouve bien ancrée dans son quotidien, dans la vie qu'elle mène.

Ses yeux balayèrent l'assemblée d'élèves qui s'agitaient sous ses yeux, à leur table respective. Pour la quatrième fois, elle était assise à la table des professeur pour un jour de rentrée. Elle aimait cette vue d'ensemble que lui offrait son poste, et pour rien au monde elle ne le quitterait, elle se sentait chez elle, Poudlard, c'était sa maison à présent, beaucoup plus que durant sa jeunesse... Pour autant, cette rentrée était bien différente des autres, peut-être pour les élèves aussi, mais pour elle d'autant plus. En effet, cela ne faisait pas deux mois que sa vie avait prit un nouveau tournant, qu'elle n'était plus la même, même si cela ne changeait pas ce qu'elle était en fin de compte. Ce qui faisait que son quotidien n'était plus le même : L'Ordre du Phénix. Son cœur faisait un bon à chaque fois qu'elle y pensait, mais elle était des leurs à présent, et elle prenait part à ce qui se tramait derrière l'actualité. Une vision dans la boule de cristal l'avait mené sur ce chemin, sans doute périlleux, mais important. C'était à présent, le troisième chapitre de sa vie.


Chapitre 1.

Cassiopee Ann Maxence, seconde enfant du couple marié, vit le jour dans la maison, à Loutry Ste Chaspoule, de sa grand mère qui avait déjà tout planifié pour l'accueillir. Dire qu'elle a vu le jour, pour la petite rousse, est quelque peu mensonger lorsque l'on sait que ce fut en pleine nuit qu'elle poussa son premier cri de nourrisson. Une sœur ainée de deux ans – sans compter sa grand mère Iselda et sa mère – l'attendait. Le père de famille n'était pas présent, encore une absence qu'Eleanor Maxence se promettait de lui reprocher.
La petite rousse venait de faire ses deux ans quelques semaines plus tôt, et aujourd'hui, c'était tout autre chose qui se déroulait devant ses yeux. Elle était là, à regarder les cents pas que faisait sa mère devant sa chaise d'enfant. Trop jeune pour comprendre le sens des phrases qu'elle prodiguait à sa grand mère, trop jeune pour interpréter les larmes ruisselantes sur les joues de sa mère, trop jeune pour savoir ce que signifiait « papa nous a quitté en héro », et pourtant, elle pleurait, elle hurlait sans savoir pourquoi. Son père, un auror qualifié, était mort en mission, et c'était à croire qu'il ne vivait que pour travailler. Plus rien ne fut pareil depuis ce jour là, elle le ressentait sans vraiment s'en apercevoir, mais sa mère n'était plus la même, elle ne s'occupait plus vraiment d'elle, tout comme de sa sœur, confiant sans arrêt les deux enfants à Iselda qui devenait, en dehors de sa volonté, leurmère de substitution . Cassiopee grandissait et avait développé plus d'affinité, de liens étroits avec sa grand mère que sa propre mère. Trois années plus tard, elle observa les fameux cent pas nerveux devant elle, sauf que cette fois, c'était ceux d'Iselda. Eleanor n'était plus de ce monde à son tour. Un vide se fit en elle, elle se retrouvait orpheline, et elle en avait conscience, elle ne reverrait plus jamais sa mère et son visage bordé d'inquiétude et de tristesse. Pourtant, la vie continuait, et bien que sur les premiers temps, elle ne courrait plus partout dans la maison avec sa sœur, elle reprit peu à peu de sa joie de vivre, sa mère lui manquait, et c'est à travers sa grand mère qu'elle la retrouvait, elles se ressemblaient tant. A chaque fois qu'Iselda partait au travail en la laissant avec la nounou, elle se mettait à pleurer et s'accrochait à elle, les départs étaient à chaque fois un déchirement.

La lettre de Poudlard lui étant destinée, venait d'arriver, et aussitôt qu'Iselda avait décroché l'enveloppe de la patte de l'animal, Cassiopee prit la fuite dans sa chambre du premier étage. Elle savait qu'elle allait devoir se séparer de cette maison, de ses petites habitudes, qu'elle ne pourrait plus aller autant du côté moldu visiter les cathédrales et les boutiques, elle allait devoir prendre le chemin de l'école tout comme sa sœur. La dame qui commençait à prendre de l'âge, la rejoint doucement.
- Je veux pas y aller et te laisser toute seule, je veux rester avec toi ! 
- Tu sais très bien que ce n'est pas possible ma chérie, c'est très important si tu veux devenir aussi intelligente que l'étaient ta maman et ton papa.
- M'en fou, toi aussi tu peut me montrer plein de choses !
Elle dut user de beaucoup de mots pour la convaincre, mais ce n'est pas pour autant qu'elle reçut un sourire de la part de la rouquine une fois sur le quai 9 ¾ . Un autre déchirement, comme à chaque fois qu'elle voyait sa grand mère s'éloigner d'elle. Ce jour là, c'était elle qui s'éloignait de sa grand mère.

« Eh baleine, elle a fait comment ta mère pour trouver des vêtements à ta taille ? » Les ricanements des petits serpentards l'horripilèrent, et malgré le fait qu'elle n'était pas rassurée de devoir affronter deux garçons, elle poussa son interlocuteur avec force. Oui, elle était enrobée, et elle avait du mal à s'assumer elle même quand elle voyait tous les corps de clou autour d'elle. Elle venait d'être répartie chez poufsouffle, et si l'enthousiasme n'était pas son carburant pour cette rentrée, elle trouva quand même quelques amis sur qui compter. Elle aurait tellement aimé être à Serdaigle comme sa sœur, sa grand mère, et sa mère, mais elle n'avait peut-être pas autant d'intelligence que la famille, du moins, c'est ce qu'elle se disait. La première année passée, les choses devinrent moins horribles. Elle grandissait, prenait en assurance, et s'affirmait au rythme que s'affirmait son corps d'adolescente, mais plus essentiel, les premiers signes de son don de voyance firent leur apparition. Elle nommait cela « un pressentiment », elle se refusait de penser que c'était plus que ça. Elle en vint à prévenir parfois ses camarades que quelque chose allait leur arriver, sans toujours savoir pourquoi, et la plupart du temps, c'était vrai, d'autre fois, elle se trompait purement et simplement. Ce fut une nouvelle source de moqueries, certains l'appelaient « la carotte cinglée », surnom qui avait le don de la mettre dans un bon état de rage pendant quelques heures, mais quand il s'agissait de deviner les sujets d'interrogation, les vanneries cessaient pour laisser place à de la curiosité, bien que malheureusement, elle ne savait pas à tous les coups.
Elle attendait la fin des études avec impatience, et lorsque tel fut le moment, elle sentit un poids lâcher ses épaules, elle en avait fini avec les écoles et pouvait retourner à plein temps avec sa grand mère, sauf qu'elle avait d'autres ambition, elle voulait rencontrer le prince charmant, avant même de penser à un travail.


Chapitre 2.

Cela faisait déjà presque un an qu'il flirtait avec elle, lors de leurs rendez vous, à travers les lettres qu'il lui envoyait. La dernière, elle la relut une vingtaine de fois pour comprendre qu'elle ne rêvait pas. Il lui demandait de venir vivre avec lui, en France, où ils pourraient vivre leur relation avec plus de liberté, et sans chercher à trouver le moindre piège dans cette invitation, elle embrassa sa grand mère, et la quitta pour rejoindre son amoureux dans ce nouveau pays. Elle était amoureuse, c'était indéniable, c'était son premier grand amour, un sorcier français, joueur de quidditch qu'elle avait rencontré à la suite d'un match auquel il ne participait qu'en tant que remplaçant. En effet, il n'y avait aucun piège, lui l'attendait avec impatience. Mais elle se sentait isolée là bas, sans ses amis, sans sa famille, elle n'était pas seule, elle s'entendait bien avec les personnes qui entouraient son concubin, mais elle avait l'impression d'avoir rayé une partie de sa vie. Pourtant, elle tint bon, et continua de vivre son idylle avec lui. Ce ne fut que lorsqu'elle comprit qu'il n'avait aucun projet de famille, qu'il ne voulait pas d'enfant, mais seulement emporter la gloire dans le sport, qu'elle le quitta, en bons thermes. Deux ans de sa vie gâchés, elle n'avait pas écouté son intuition malheureusement. Elle revint auprès de sa famille, complètement dépitée, mais consolée par sa grand mère et Orianne.
De la même sorte, elle enchaina les déceptions amoureuses, au point de parfois se décourager et penser que l'amour réel n'existait pas, mais sa sœur lui prouva qu'elle avait tort lorsqu'elle lui annonça qu'elle allait se marier avec son petit ami de l'époque. Plus heureuse que jamais – avec une pointe de jalousie – Cassiopee fut d'une grande aide pour la préparation de la cérémonie, et ne pressentit que de bonnes choses sur son couple. Pendant ce temps, la tenancière des Trois Balais avait accepté de lui laisser une place dans la taverne, où elle pourrait s'adonner à ses séances de divination, à condition qu'elle ne perturbe personne, et c'est de cette manière qu'elle se faisait un peu d'argent (suggestion de sa grand mère!). Lasse de jouer à la voyante, elle décida de s'installer parmi les moldus, en pensant que les choses pourraient être bien mieux, mais, bien que le livre qu'elle eut écrit concernant la chiromancie fut un réel succès pour le genre, elle ne trouva pas plus ce qu'elle cherchait. Et elle reçut, cette fois par surprise, une lettre de poudlard.
Elle avait tenté une première fois de se présenter à Poudlard pour le poste de professeur de divination, mais la place fut cédée à une autre personne. Un an plus tard, c'est à dire à ce moment, elle fut contactée par Dumbledore qui la convia à son nouveau poste, et elle rejoint le corps enseignant la rentrée qui arriva.
Aujourd'hui, elle a bien conscience qu'il y a réel danger, et que le ministère n'est plus apte à se charger du problème. Celui qui sait ne l'a encore jamais prit en cible, et elle ne pense pas qu'il trouve grand chose d'intéressant à dire sur elle si ce n'est ses déplorables expériences amoureuses, ce qu'elle craint, ce sont toute ces choses, ces évènements qui montrent que le monde sorcier ne restera pas dans ce climat très longtemps. Elle a de forts pressentiments que quelque chose de grave, de puissant, va abattre sur les sorciers, elle tente de ne pas en tenir compte, et pour l'instant ça marche si ce n'est qu'elle a intégré les rangs de l'Ordre.

ϟ COMMENT NOUS AS-TU DÉCOUVERT ? Par l'annuaire de forumactif, vous n'êtes pas loin d'être les premiers !

ϟ LE NOM DE LA PERSONNE SUR TON AVATAR ; Christina Hendricks. Alors je ne sais pas si vous la comptez parmi les bêtes noire des avatars, j'ai eu une petite hésitation avant de la prendre elle, mais si jamais je l'échangerais contre une autre, comme Alex Kingston qui correspond pas mal à l'idée que j'ai du personnage...  =)

ϟ QUE PENSES-TU DU FORUM ? Déjà pour le design, je le trouve très beau, et j'adore les couleurs... pour les codages, j'aime beaucoup aussi, il y a tellement d'originalité ♥ Et surtout, ce que j'ai adoré plus que tout, c'est la lecture des annexes, qui m'ont tiré pas mal de sourires, je crois même que j'irais les relire dans pas longtemps ! (surtout l'anti Mary Sue )

ϟ AS-TU LU/VU TOUS LES HARRY POTTER ? J'ai vu les quatre premiers, et j'ai lu les cinq premiers (tout récemment), et donc là, je suis en pleine lecture du Prince de Sang Mêlé, mais étant donné que je joue sur des forums HP depuis le début, je crois que je suis spoilée à fond les ballons !
Je tiens à préciser que je les préfère en livre, mais qu'il faut absolument que je les vois tous une fois les livres lus...


ϟ SUR COMBIEN D'AUTRES RP ES-TU INSCRIT SANS COMPTER CELUI-CI ? Sur deux autres, mais l'un deux est plutôt dans la catégorie inactif... Donc je pense avoir du temps à consacrer à Legimens (surtout que je n'ai plus de travail et que j'ai du temps à revendre maintenant !)