ÂGE & DATE DE NAISSANCE ; Kitty est née un beau 10 janvier 1981.
ANNÉE & MAISON ; En quatrième année à la maison Poufsouffle

AIME ; Les oiseaux. Les chats. La nature. Le grand air. Le feu. Rêver. Les blagues. Le quidditch. L’action. La vie. Lire. Le chocolat. La nourriture. La forêt. Le gazon. L’inattendu. La musique. Elle-même. Sa mère. Son frère. Sa petite sœur. Les foules. Le bruit. Les grands espaces. Le sport. La magie. Les nuages. La lune. Les étoiles. Le soleil. Marcher pieds nus. La chaleur. Les couleurs. La lumière.

N'AIME PAS ; L’eau. Les poissons. La solitude. La pluie. La routine. Les petits espaces. Le froid. Avoir mal. être triste. La monotonie. La terre. La neige. L’hiver. Le gris et blanc. Son père. Se faire manipuler. La mort. Les rats. Les araignées. Les insectes. Les nuages gris. Le noir. Étudier. Écrire. Avoir peur. Le citron. Les uniformes. Les gens timides, triste et qui n’aime pas la vie. Les cauchemars. Le ministère. Les règles.

ÉPOUVANTARD ; Une mer bleue clair qui devient noire et d’où une créature meurtrière en sort.

AMORENTIA ; Ça serait l’odeur délicate du chocolat avec un peu de vanille, sans oublier l’odeur du réconfort.


DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE ;

Rêveuse. C’est bien rêver. Avoir une perception différente des choses qui nous entourent. Penser à tout et à rien comme si tout ce qui dérangerait serait de se perdre quelque part dans la Grande-Bretagne et même à ce point, ce n’est toujours pas sûr que ça dérange réellement. Kitty est l’une de ses personnes qui rêve à tout et à rien. Elle ne rêve pas souvent lorsqu’elle est avec ses amis, mais dès qu’elle se retrouve seule, elle est partit dans un autre monde. Peut-être un moyen d’échapper à la solitude. Ça lui arrive également en cours, elle quitte complètement la salle de classe et va retrouver les nuages, voler parmi eux, sans jamais en tomber et se faire mal. Parfois c’est un monde sans lois, là où elle est celle qui décide et qu’elle fait ce qu’elle veut. Personne pour l’en empêcher.

Alors pour ce qui est du général on va commencer par les défauts et ensuite les qualités.

Kitty adore le feu et certain pourrait croire qu’elle est une pyromane fière d’elle. En fait, elle se réfugie dans les sorts du feu pour se réconforter et se trouver une douce chaleur. Ça lui apporte également un peu de la lumière. C’est dans toutes ses raisons qui l’ont poussé à maitriser les sorts de feu, seuls sorts d’ailleurs qu’elle semble pouvoir faire sans difficulté. Elle à également de mauvaises tendance à utiliser le feu pour se défendre et se cacher de la souffrance. De cette façon ce n’est pas rare qu’elle mette le feu à quelques objets sans le vouloir, ce qui a tendance à lui attirer les foudres des adultes et parfois de ses amis. Mais Kitty peut également utiliser son talent pour faire des farces et s’amuser avec ses proches, ou pour mettre le feu dans la place comme on dit.

La jeune fille à une peur bleue de l’eau ce qui la rend pratiquement incapable de jeter un sort d’eau. Elle est incapable d’approcher un point d’eau sans paniquée. Elle déteste la pluie car elle a l’impression de perdre sont seul talent en magie ce qui pour elle veut dire la rendre vulnérable et elle déteste ce point. C’est de même pour l’hiver. Elle n’aime pas la neige, peu importe la couleur de celle-ci. Kitty sait que c’est mouillé et froid. En plus, pour la jeune fille, la neige tue temporairement les arbres, le gazon et le soleil. Elle se montre très irritable lorsqu’il neige ou pleut, mais elle essaie de s’améliorer sur ce point.

Kitty est également gaffeuse. Elle trébuche parfois, échappe parfois des choses fragiles et chères aux yeux de certain et échappe à peu près tout le temps son vers de jus de citrouille sur la table. Ce coté semble partir lorsque la jeune fille joue au Quidditch, mais revient tout de suite après. L’adolescente peut se montrer rancunière, mais jamais pour bien longtemps, peut-être la journée qui va suivre, mais après elle va s’arrangée pour l’oublier et penser à autre chose. La blonde aime bien faire des farces et rigoler, certains l’apprécient pour ce coté alors que d’autre ne la porte pas dans leur cœur à cause de ça.

La blonde est sociable et n’hésite pas à aller vers les autres. Elle n’aime pas la solitude alors elle s’arrange pour toujours avoir quelqu’un à ses cotés et de ne pas se retrouver trop près d’un coin d’eau. Elle parle beaucoup et aime se sentir accompagnée. Elle ne supporte pas l’idée d’être blessée et de ne rien faire, mais joue tout de même au Quidditch (je peux?) Elle adore aussi faire la folle et faire rire les personnes qui l’entourent. Elle n’écoute pas vraiment en cours et est toujours complètement perdue, mais peut parfois lâcher une réplique question d’animer un peu le cours, mais ne cherche pas spécialement les ennuis. Kitty aime beaucoup lire, mais ne lit qu’en moment de grande solitude. Ainsi le monde et les personnages du livre prennent tous vie autour d’elle et de ce fait elle se sent moins seule. La blonde à des tendances à développer des attachements trop rapide envers les gens et à un léger trouble de dépendance affective.


DESCRIPTION PHYSIQUE ; Pour Kitty la grandeur à toujours été facultatif. En effet, elle n’est pas très grande et peut être considérée comme très petite par certaine personne. Certes, elle n’a pas fini de grandir, mais pour l’instant elle est petite. Kitty à des cheveux blonds pour la plupart du temps lisse ou bouclés. La jeune fille n’aime pas vraiment faire en sorte qu’ils soient toujours parfait, mais s’y efforce chaque matin pour ne pas ressembler à un lion fou furieux sortit de sa sieste dans le champ de bataille. La jeune fille à des yeux gris qui en disent long sur son humeur. Elle à beau essayer de le cacher, ses yeux disent toujours la vérité. En dessous de ses yeux, on peu y apercevoir d’éternelles cernes que la blonde ne cherche même plus à cacher. Ce n’est pas là à cause de la fatigue. On dirait qu’elles veulent rester collées là. Kitty ne semble pas très musclée, mais l’est pour quelqu’un de sa grandeur sauf que ça ne parait pas.

Coté vestimentaire Kitty est quelqu’un de très difficile sans l’être pour autant. Elle déteste tout vêtements qui n’ont pas de couleurs vives et encore moins les uniformes de l’école. Lors des sortie ou quand elle n’est pas obligée de porter l’uniforme, la blonde opte pour des vêtements colorés aux couleurs flash. Elle passe de la petite robe d’été fleurie aux jeans jaunes et à la veste verte avec des rubans rose et rouge dans les cheveux. Elle se donne un style coloré que ce n’est certainement pas tout le monde qui va aimer. Mais l’important c’est qu’elle se sente bien. Lorsqu’elle doit porter l’uniforme Kitty y ajoute une petite touche personnelle. Parfois c’est simplement des couleurs en plus ci et là sur la robe alors que parfois c’est de la couleur partout. Ça lui a valu plusieurs reproche alors elle essaie de modérer là-dessus. Lors des événements importants la blonde s’efforce de porter l’uniforme sans y rajouter quoique ce soit, mais ne se séparera jamais de ses rubans aux multiples teintes. La jeune fille porte toujours à son cou un collier très simple. Au bout, c’est une dent qu’il y a et jamais elle ne s’en séparera.

Kitty à une petite cicatrice dans le dos au niveau de l’épaule droite. Ça date du jour de sa première fois dans l’eau. Un très mauvais souvenir, voir traumatisant. Elle n’aime pas vraiment montrer cette marque. De toute façon, très peu de gens en sont au courant. L’adolescente aborde également des boucles d’oreilles diverses et variées sans aller dans le coté loufoque de la chose. Kitty ne l’a jamais avoué, mais elle n’a jamais aimé ses orteils. Elle en à toujours été complexée par celles-ci, même si elle se promène pieds nus. Elle préfère les cacher dans les feuilles ou dans des bas.



BUT DANS LA VIE ; Kitty n’a jamais eu u but clair dans la vie. Cependant elle songe bien à trouver un moyen de pouvoir restée séparée des gens quelques temps, ou supporter les petits endroits.
CE QUI COULE DANS VOS VEINES ; sang-mêlé depuis quelques générations.

VOTRE ANIMAL DE COMPAGNIE ; Une chouette brune nommée Fire-Kiwie

Don’t be scare, you little thing.

You’ll see everything will be fine.

Just smile.

Ne soit pas effrayée. Petit enfant qui vient de respirer pour la première fois. Tout va bien aller, tu verras. Il te suffit de sourire. De regarder les personnes devant toi et de leur adressé un petit salut amical, juste pour te montrer amicale, sympathique. Quelqu’un de bien. Une personne joyeuse, heureuse qui saura redonner le sourire à ceux qui l’ont perdu. La plupart du temps ils passeront avant toi. Dans tes priorités, tu seras en bas de la liste. Mais toutes ces personnes que tu as aidées un jour ou l’autre te le revaudront. À ce moment-là, tu seras comblée. Tu sauras que tu pourras ainsi partir dans la paix. Tu sauras que ton devoir est accompli. Que malgré toutes les épreuves de la vie, tu as réussis. Tu auras atteint le but ultime. Une de tes plus grandes réussites.

Don’t cry little child.

You won’t get hurt.

You’ll be strong enough to survive.

Ce n’est pas moi qui suis destinée à faire de ce monde un monde meilleur. C’était ma mère. Cette femme était toujours là pour les autres. Jamais elle ne pensait à elle. Elle ne comptait pas. Elle n’était qu’une option facultative souvent oubliée. Elle était destinée à rendre les personnes heureuses, partout où elle passait. Mais je crois qu’elle nous a quittés beaucoup trop vite. Elle n’avait pas finit sa tâche. Je suis probablement une égoïste pour dire de telles choses, mais ce n’est que la pure vérité. Elle a faillit à sa mission. Je suis l’une des mieux placée pour le dire. C’était ma mère après tout. Elle m’a rendue heureuse. Oui, j’étais probablement l’enfant le plus heureux sur terre avec elle. Mais ma mère est partie. Elle m’a laissée derrière elle, avec mon père et mon frère. Elle n’avait pas le droit de nous abandonner ainsi. C’était ma source de réconfort, maintenant je n’en ai plus. Pour mon frère, elle était sa lumière. Pour mon père, elle était tout. Maintenant, mon paternel est convaincu que c’est moi qui l’ai tuée. Je suis persuadée du contraire, mais il me le fait croire si fort que par moment j’en doute. Elle m’ne voudrait de penser cela. Je le sais, je la vois me regarder avec cet air faussement en colère. « Ne dis pas ça » m’aurait-elle dit, avant de me prendre dans ses bras, là où je retrouve ma petite source de chaleur. Mon réconfort de tous les jours. Par moment, je me demande comment cet être à pu être avec ma mère. Il est si froid envers moi. À chaque fois qu’il entre dans une pièce, c’est un vent froid qui s’y persiste. Il est comme le méchant bonhomme hiver. Il me blâme pour la mort de celle qu’il aimait plus que tout. Sa sorcière bien aimée. Parfois ce mauvais jour revient me hanter. Toutes les fois avec plus de force. Comme un coup de la vie destiné à me mettre à terre. Peu importe le temps que ça prendra. Mais chaque année c’est plus fort, plus vif, plus douloureux. Mais à chaque fois, je me retiens de pleurer. Je m’en empêche. Je m’installe face au foyer, là où il y a toujours un petit feu qui flambe. Ça me réconforte, ça me rassure. J’ai parfois l’impression que c’est elle, mon ange gardien, qui est dans cette flamme, qui me dit de ne pas m’en faire. Que tout ira bien. Je la vois danser dans l’orangé, avec moi. Ensemble, nous sommes heureuses. Parfois, mon frère vient me rejoindre. Il m’entoure de ses bras, comme maman le faisait. Et là je me mets à pleurer, à laisser les larmes sortir. Puis il me chante une petite berceuse. Comme elle avait l’habitude de le faire. Je sais que je n’ai rien fait. Je sais que c’était un accident, qu’il fallait qu’elle parte pour mieux veiller sur ceux qu’elle aime plus que tout au monde. Je le sais c’est tout.

Don’t look in the past.

It won’t change.

Stay strong for the future.

Pour mieux expliquer ce dernier passage, il faut retourner en arrière. Plusieurs années même. Je crois que j’avais dans les quatre ans à ce moment. Je vivais heureuse avec ma mère, mon père et mon frère. Nous étions tous des sorciers, pas de sang-pur, mais de sang-mêlé. Je me souviens aussi que cette même année, maman m’avait dit de ne pas trop m’en faire, que le sang ne valait rien. Tout ce qui comptait était à l’intérieur de notre cœur. Que seuls ceux qui le comprenne sont digne d’être mes plus proches amis. Ils en faisaient tous partis. Papa souriait encore à l’époque, il m’aimait encore. Nous avions notre propre demeure dans la campagne anglaise. Une maison de taille moyenne, entre deux petites collines. Le jour de mon anniversaire, maman m’avait amené voir le lac. Il n’était pas sur notre propriété, mais on y avait accès. Ça été ma première rencontre avec l’eau. Froide, pas très accueillante. Maman ne me quittait pas. Elle disait qu’il fallait que j’apprenne à nager avant de pouvoir m’y baigner seule. Elle a promit de m’apprendre. C’était un jour de juillet. Il faisait chaud avec un beau soleil. Maman m’avait amené au lac. Elle y est entrée et m’a dit de l’attendre. Elle était partie chercher quelque chose. Les minutes ont passées et moi j’ai attendu. Elle allait probablement sortir bientôt, mais non. L’eau était restée intacte pendant près d’une heure. Puis, papa est venu nous rejoindre avec mon frère. Il m’avait demandé où elle était. Je ne me souviens plus vraiment de la réponse, mais je sais que j’avais pointé le lac. Je n’avais pas vraiment compris le regard de papa à ce moment-là. Il n’a pas perdu une seconde. Il est sauté dans l’eau. Il en est ressortit quelques secondes après, dans ses bras se trouvait maman. Elle avait les yeux clos, ne souriait pas. Elle semblait étrangement endormie. Nous sommes rentré et papa l’a amenée quelque part, l’hôpital je crois. Il en est revenu sans mamans. Il a dit qu’elle était partit pour de bon. Qu’elle ne reviendrait pas. Il a dit que c’était de ma faute, que je n’avais prévenus personne. Si je l’avais fait maman serait toujours là selon lui. Mais j’ai essayé de lui expliquer que c’était de la faute de ce lac. Que c’est lui qui avait emporté maman. Il s’est simplement refermer. Je suis partie en courant dans ma chambre. J’avais compris. Compris que l’eau avait emporté maman. Que c’était de sa faute si je ne la revoyais pas. Sur le coup, j’ai été dans une grande colère. Cette eau allait payer, elle avait prit ce qu’il y a de plus chers à mes yeux. Mon frère est venu me voir, mais il s’est prit un oreiller. C’était ma première manifestation magique, mais maman n’était là pour la voir. J’en voulais à l’eau, elle va me redonner ma mère, coûte que coûte. Je voulais me venger, retrouver ma mère. Puis j’ai eu peur. Si l’eau était capable d’emporter l’être le plus fort, elle n’allait faire qu’une bouchée de moi. J’ai pris peur. L’eau était froide et dangereuse. Mortelle.

Fire is strong

Fire is dangerous

But it’s something beautiful.

Puis j’ai découvert le feu. Je me suis brûlée en voulant le toucher. Il était méchant, mais chaud. Il était le contraire de l’eau. Il donnait de la chaleur, du réconfort, de la lumière et pouvait vaincre l’eau meurtrière. J’avais 6 ans quand j’ai découvert cet allié de taille. Je l’ai adopté, tout comme il a fait avec moi. Il me donnait ce dont j’avais besoin, en échange, je le laissais brûler ce qu’il voulait. Pourtant il se contentait simplement de rester dans son coin, discret, tranquille, rassurant. Il ne m’a jamais fait peur. Papa à crut que j’avais perdu la tête. « Parler au foyer! Non mais! » C’est ce qu’il disait. Mais lui, il ne pouvait pas me comprendre. Il ne savait pas. J’en ai déduit que papa était avec l’eau, contre moi et mon ami. Ma petite sœur avait 2 ans quand le drame c’est produit alors elle ne comprend rien, mais je lui pardonne. Je l‘aime bien. Même si papa ne m’aimait pas, il m’amenait sur le chemin de traverse. Avec mon frère et ma petite sœur il nous faisait découvrir de nouvelles choses chaque fois. J’ai découvert le Quidditch de cette manière. J’ignore pourquoi, mais j’ai apprécié le fait de pouvoir voler sur un balais. Je me sentais libre. Peut-être que ça me rapprochais de ma mère. J’ai grandi avec comme seuls amis le feu, mon frère, ma petite sœur et la magie. Le jour de mes onze ans j’ai pu avoir un autre réconfort. Tout comme mon frère, j’ai reçus ma lettre pour Poudlard. Ça avait été une joie d’aller acheter mon matériel sur le chemin de traverse. J’avais retrouvé le sourire en même temps que le feu. Je m’étais dis ce jour-là que tant qu’il y aurait du feu, j’aurais mon sourire. Comme maman. Puis vint le jour de la rentrée. J’avais rejoint la gare King cross pour la première fois et par ce fait-même le train qui menait à l’école de sorcellerie. Quand je suis entrée dans la grande salle j’avais été émerveillée. C’était magnifique. Je savais que la magie était fabuleuse, mais pas à ce point. Je me souviens encore de la répartition. J’avais subit un stress énorme. Mais maman était-là, tout près de moi. Les bougies la représentaient, tout comme les étoiles. Elle me regardait. Le choixpeau avait touché ma tête, il m’avait répartie dans la maison des Poufsouffles. Les noirs et jaunes. J’en étais heureuse. J’aimais la couleur jaune, elle me rappelait le soleil, le feu. Tout ce que j’aime. En plus, j’avais toujours aimé le jaune en plus des couleurs vives. Mes trois premières années se sont bien déroulées dans mon souvenir.

Now only the present count

Write your future

Don’t let the others choose your path for you

Be the master of your life.

Maintenant c’est ma quatrième année. Pendants mes trois premières année j’ai fais des rencontres. Certaines se sont bien finis alors que d’autre je n’en reparlerai pas. Ça n’en vaut pas la peine. J’ai déjà réussis à M’attirer quelques foudres du coté des enseignants en riant à la vie. En donnant la joie aux autres. Comme maman. Peut-être n’était-ce pas sa manière, mais celle-là c’est la mienne et elle marche souvent.