Secret du moment


A. LICHUAN WHITELAW
(TROUVÉ)

Finalement, tu as plus de points communs avec Lone que tu ne le prétends.

Alors, vous savez ce que c'est ?
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MessageSujet : James ♦ make a kingdom burn and the bloodshed start James ♦ make a kingdom burn and the bloodshed start EmptyLun 21 Avr 2014 - 23:52

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James Peter Lovecraft


carte d'identité
ϟ ÂGE & DATE DE NAISSANCE : 41 ans, premier octobre.
ϟ LIEU DE NAISSANCE : Londres, Angleterre.
ϟ ANNÉE & MAISON : Fabricant de baguette/mangemort, Serdaigle.
ϟ ORIENTATION SEXUELLE : Parfaitement hétérosexuel.
ϟ DESCRIPTION DE LA BAGUETTE MAGIQUE : Laurier, écaille de dragon, 30cm12, souple.

ϟ PATRONUS : Guépard.

ϟ AMORTENTIA : Un mélange de lessive, de sang, d'after shave et de vieux livres.

ϟ ÉPOUVANTARD : Lui même. Il ne fait rien de particulier, il se fixe d'un air particulièrement tranquille.
ϟ ALBUS DUMBLEDORE OU BELLATRIX LESTRANGE ? : Bellatrix Lestrange, définitivement.

ϟ CELUI-QUI-SAIT OU PHILÉAS FOLENGRAIN ? : Plus que d'être d'un côté ou de l'autre, il aimerait être Celui-qui-Sait.

ϟ SUCRÉ OU SALÉ ? : Sucré.

ϟ BUT DANS LA VIE : Supplanter Voldemort et les Mangemorts dans la domination et l'asservissement du monde moldu dont il considère le potentiel sous exploité.
ϟ CE QUI COULE DANS VOS VEINES : Sang-Pur.
ϟ VOTRE ANIMAL DE COMPAGNIE : Un serpent liane mâle nommé Iago.
ϟ SIGNE PARTICULIER : C'est le cousin d'Alistair.


physionomie

ϟ DESCRIPTION PHYSIQUE ; D'un geste paisible, il avait levé la coupe, un sourire suffisant sur le visage. À la lueur du lampadaire, le vin avait rougeoyé comme un rubis, kaléidoscope carmin sur le bitume gris. Du bout du pied, il avait repoussé la main qui convulsait au sol dans l'espoir d'attraper sa cheville. Il avait eu un petit rire sincère, presque tendre et, avant de porter la coupe à ses lèvres, avait soufflé :

« Tous mes vœux de bonne santé, Sang-de-Bourbe. »

Il n'avait eu qu'un râle de douleur en réponse. Lentement, son dos s'était décollé du mur de brique et, sa coupe à moitié vide dans une main et une batte de baseball jetée sur l'autre épaule, il avait tourné les talons.

On ne plaisantait pas avec James Lovecraft.

Il n'avait pas l'air imposant, comme ça, avec ses longues jambes et son air un peu frêle. Il n'avait pas l'air dangereux, pas l'air inquiétant. Il ressemblait à tous ces bureaucrates en chemises qui passaient plus de temps à remplir des papiers qu'à arpenter le monde. Il ressemblait à ces hommes qui ne connaissent de la vie que la version aseptisée que la loi leur impose. James n'était pas de ces gens-là. Ça vous échappait, au début, et puis il souriait, et c'était toute votre vie qui défilait devant vos yeux. Et puis il penchait la tête, et c'était le retour de la chasse, le retour du primaire, le prédateur qui vous guettait.

Dans la nuit noire, la lumière artificielle avait cliqueté sur ses dents. La lumière ne faisait pas un bruit, ses canines qui s'entrechoquaient, si. Il avait passé un bout de langue rose sur les pointes, avait esquissé ce demi-sourire satisfait qui faisait s'élever les chairs de poule les plus tenace. Insondable, il avait posé sa coupe sur le rebord d'une fenêtre pour retrousser avec nonchalance les manches de sa chemise. Tout dans son attitude respirait la tranquillité et l'assurance, son port de tête, la tenue basse de ses épaules, la cambrure impeccable de son dos, tout en lui trahissait le chasseur, le sanguinaire, le prédateur. Il émanait de son être une aura de charme et de frayeur.

James Lovecraft n'était qu'envie.

Ça se traduisait par une lueur au fond d'un regard bleu, par un pli suffisant au creux de sa joue. Il suffisait d'un claquement de doigt, pour que le visage, un peu enfantin, deviennent celui de l'Homme, celui de l'Animal, celui de la Peur. Il aurait pu être un homme doux, il aurait pu être un autre être. Il y avait dans les arrondis de son visage le potentiel d'une belle histoire, une où il serait tendre, un gentleman, vraiment galant. Et puis tout refluait, comme si son visage se transformait. Il décomposait ce bonheur de façade pour apparaître tel qu'il était. Un nez dur, un sourire tranchant, le menton volontaire et les pommettes acérées. Et qu'importait la courbe inégale de ses sourcils et les longs cils qui ombraient ses joues, peu importait les volutes de ses lèvres ou la fossette sur son menton, peu importait. La douceur s'effaçait et il se tenait là, brut.

Du bout de ses doigts osseux, il avait poussé la porte d'un bar avant de tirer d'un geste sec sur le nœud déjà lâche de sa cravate. Il avait passé une main puissante dans ses cheveux courts pour chasser la fine pellicule de sueur qui s'était déposée sur son front pâle. Sans prendre garde, il avait ébouriffé les épis noirs avant de s'avancer d'un pas volontaire. Il s'était mu dans la salle comme s'il en était le propriétaire, s'était accoudé au comptoir, avait lancé son sourire au barman. À la lisière de sa chemise, on devinait les volutes macabres de son tatouage. Il n'en avait cure. Personne ici n'était assez sobre pour le repérer.

Quand bien même quelqu'un le verrait, de toute façon, il n'en avait cure.

James Lovecraft n'avait pas peur.




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psychologie

ϟ AIME : Le thé au citron, Viðja , les échecs, les agrumes, l'odeur du café, les vieux livres, la littérature, l'art moldu, Simon & Garfunkel, danser, le cuir, la chasse, effrayer, menacer, le gingembre, faire la cuisine, regarder des films, le cinéma muet, sa collection d'insectes, les reptiles, Alistair, les Greta Oto, être en bonne société, les bonnes manières, les shortbreads, tester différents types de bois, son jardin d'hiver, son cabinet des curiosités, lire le journal sur sa terrasse le matin, son elfe de maison Beckett, Viðja, les pays de l'est, voyager, découvrir d'autres cultures, avoir le pouvoir, regarder ses mappemondes, exposer ses trophées de chasse, jouer du piano, le champagne, le faste, sa montre à gousset, débattre, Catius.

ϟ N'AIME PAS : Arlette, les biscuits au gingembre, le canard à l'orange, le soleil tapant, les gens bruyants, les réceptions ratés, les lâches, les faibles, les imbéciles, les vaniteux, Mallory, les mangemorts endoctrinés, le manque de recul, l'ennui, se cacher des moldus, voyager par poudre de cheminette, les gens qui ne savent pas tenir leur rang, ceux qui ne savent pas rester à leur place, les robes de sorcier mal ajustées, devoir subir l'aveuglement des mangemorts, Arlette, avoir des idées qu'il ne peut exprimer, avoir peur pour sa famille, les chaussettes dépareillées, l'immobilisme, Mallory.

ϟ DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE ;
L'indication fend la nuit, rouge, luisante. Elle clignote à ne plus savoir quoi faire, elle se perd, elle s'enterre. 24:01, tu voles une heure au temps. 24:01, c'est d'un sourire, que ta bouche se fend. Tu penches la tête sur le côté, ton attention s'étend, tentaculaire. Tu entends le vent, les bruits de pas, le bruissement des ailes de cet oiseau qui niche sur le toit. Tu sens l'odeur de la boulangerie à trois rues d'ici, l'odeur de son parfum, l'odeur de la poubelle, tu sens l'odeur des égouts, l'odeur des hommes, l'odeur des fleurs.

Tu portes sur toi le parfum de la Mort, le n°5 de la Grande Faucheuse.
Lorsque tu t'avances dans tes habits noires, c'est un peu elle qui guide tes pas.

Tu t'étires d'un geste sec et c'est toute ta vie résumé en un geste. D'un côté, le geste est déterminé et volontaire, comme une claque lancé sur la joue d'un quelconque opposant, c'est une force que rien ne peut stopper, quelque chose qui tranche, qui fend, qui écarte tout sur son passage. D'un autre côté, tout est calculé au millimètre près. Tes doigts n'effleurent pas même la tête de ton lit et tous tes muscles semblent jouer en choeur la même mélodie. Tu ne laisses rien au hasard. Tu ne laisses rien à la chance. Tu es tout en contrôle et en danger, tu te pares d'un devoir que tu ne saurais mettre de côté : à certains, il faut l'amour, la compagnie, le bonheur. À toi, il te faut le pouvoir. Tous tes efforts vont dans ce sens. Tu veux être plus fort que la Mort elle-même, plus fort que tout, tu veux t'immiscer dans la vie politique, être Serpent, être partout. Tu refuses de n'être qu'un pion, qu'un être faible dont on dispose. Tu refuses d'être un mouton que l'on glose. Tu n'es pas comme ces gens. Tu n'es pas comme tous ceux-ci.

Tu es puissant, intéressé, vif et volontaire.
Tu draperas d'un manteau de pluie la politique de ce pays.

Tu ne dors plus beaucoup la nuit, ce n'est pas récent. Tu te lèves et tu arpentes les couloirs de l'ancienne maison familiale. Le silence règne et tu laisses traîner tes doigts sur la tapisserie comme pour accrocher les bribes de ton passé. Tu n'es pourtant pas prompt à la mélancolie, tu ne crois pas à ce devoir de mémoire qui dessert tes ambitions. Tu es homme d'action et tu avances, qu'il pleuve, qu'il neige, qu'il vente, que tu sois fatigué, abattu, heureux ou furieux. Tu ne laisses pas de places aux sentiments, tu fais table rase de tes scrupules. Évidemment que tu en as, évidemment que tu as une conscience. Tu n'es pas malade, ta psyché se porte très bien, merci pour elle. Tu es ce que tu es plus par nécessité que par plaisir ; tu te donnes les moyens de tes ambitions sans jamais faillir. Tu n'es pas Rapunzel en haut de sa tour, ou cette impératrice stupide dans sa Tour d'Ivoire. Tu n'es pas spécialement fort, pas spécialement de marbre, pas spécialement intouchable. Tu joues bien la comédie. Ton impassibilité, ta retenue et tes bonnes manières font place autour de toi et tu sais que tu impressionnes, que tu troubles ou que tu effraies. Tu attires aussi, comme la flamme attire les papillons de nuit, parce que tu as ce côté sauvage et exotique qui transparaît dès que ton masque se fendille.

Tu as vécu mille vies, dans des dizaines de pays différents et cela transpire dès que tu ouvres la bouche. Ce n'est pas que tu sois sage – tu ne l'es pas – mais ton expérience suinte des mots que tu prononces. Tu as été professeur de littérature, journaliste, détective, tu as exploré le monde magique et moldu et même si tu es avant tout sorcier, sang pur et fabricant de baguette, tu te tiens droit, là, présent, fort d'une expérience que d'autres que toi ne pourront jamais avoir. Tout cela se sent. Ton attitude ne trompe pas. Tu exerces une pression tranquille sur la porte de ton bureau.Les murs sont recouverts de cartes qui retracent, fil par fil, l'histoire politique du monde. Tu y as traduit méthodiquement les guerres et les combats, les magiques comme les moldus pour dresser le portrait d'une terre à feu et à sang. Assis à ton bureau, tu contemples ton œuvre et tu ne peux pas t'empêcher de trouver cela beau. Tu as devant les yeux des années de mort, de sang et de conflits.

Et tu trouves ça beau.

Non tu n'es pas malade. Non. Mais il y a quelque chose de tordu chez toi, un manque d'empathie et de compassion, un monde de contrôle et de raison qui a empiété sur tout le reste. Tes objectifs ont pris le pas sur tes sentiments. Ton but a dévoré ton âme. Tu as sacrifié conscience et âme sur l'autel de tes ambitions. Les gens t'intéressent mais tu ne les aimes pas. Les gens sont utiles mais tu ne t'y attaches pas. Personne n'est irremplaçable. Personne n'est attendu par le Monde.

Personne.

Personne à moins de faire parti de ta meute. Tu esquisses un sourire et ton regard dévie sur le dessin d'enfant pendu au mur, entre deux cartes. Tu n'es pas de pierre et ton éducation a fait de toi quelqu'un de profondément attaché à sa famille. Tu peux ne pas partager leurs opinions, leurs convictions, leurs croyances mais ta famille est sacrée. Tu mordrais, tuerais, dévasterais le monde sans pitié s'il fallait les sauver. Tu te dresserais contre tes ambitions, irait à contre-sens. Le sang n'a aucune importance. Tu n'as aucun lien de sang avec la moitié des gens que tu considères de ta famille. Ça ne change rien. Tu remuerais ciel et terre pour les empêcher de souffrir et si tu es capable de le masquer, et si tu es capable d'empêcher qui que ce soit d’entrapercevoir cet énorme et douloureux point faible, tu ne peux t'empêcher de réagir à cause de ça, de te révolter, d'aller contre tes intérêts. Tu aurais aimé empêcher Alistair de prendre la Marque, tu aurais voulu épargner à Viðja les douleurs qu'elle s'inflige. Tu ne peux pas les considérer comme quantité négligeable et cela te ait peur, et cela t'inquiète.

Alors, tu répliques par le sarcasme. Tu manies les mots, assassin ou poète, grandiloquent, passionné, tranchant ou sardonique. Sur les marches des temples de la Grèce Antique tu aurais été l'orateur, le fougueux, le rhéthorique, celui qui sait, qui manie aussi bien les mots que les hommes. Tu bâtis des empires que tu détruis en quelques mots. Quand tu as la parole, rien ne te fait peur, rien ne t'inquiète, rien ne te soucie. Tu sais ce que tu fais, tu es en maîtrise, en confiance. Tu sais bien trop de choses pour être pris au dépourvu alors tu souris, et tu inquiètes, et tu fais trembler. Tout va bien, dans ces moments-là.

Tu relèves la tête lorsque tu entends des pas dans le couloir et tes coudes s'appuient sur le bois de merisier fatigué de ton bureau. Lorsqu'elle se dresse sur le pas de la porte, tu lui adresses un sourire doux, presque tendre, que tu ne t'autoriserais pas si qui que ce soit pouvait l'apercevoir :

« Perdu le sommeil, Viðja ? »

Elle hoche de la tête. Tu lui tends les bras.



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histoire

Les yeux brillants, Arlette Rowle rit en lui tendant les bras. Fille de bonne famille, elle se fend d'une courbette moqueuse avant de se pendre à son cou, effleurant du bout du nez la joue de son petit ami. Il attrape son poignet pour mieux la faire danser, une main posée sur sa taille et l'autre qui serre fort les doigts pâles de la jeune femme. Elle respire le bonheur, sourit, sa tête dodeline. Il l'embrasse. Les yeux brillants, Arlette Rowle rit en lui tendant les bras. Fille de bonne famille, elle se fend d'une courbette moqueuse avant de se pendre à son cou, effleurant du bout du nez la joue de son petit ami. Il attrape son poignet pour mieux la faire danser, une main posée sur sa taille et l'autre qui serre fort les doigts pâles de la jeune femme. Elle respire le bonheur, sourit, sa tête dodeline. Il l'embrasse. Les yeux brillants, Arlette Rowle rit en lui tendant les bras. Fille de bonne famille, elle se fend d'une courbette moqueuse avant de se pendre à son cou, effleurant du bout du nez la joue de son petit ami. Il attrape son poignet pour mieux la faire danser, une main posée sur sa taille et l'autre qui serre fort les doigts pâles de la jeune femme. Elle respire le bonheur, sourit, sa tête dodeline. Il l'embrasse.

D'un geste sec, la photo se déchire. Les débris jonchent le parquet clair.

♦ ♦ ♦

James a les mains noués sur la table d'extérieur, le regard absent, droit, franc. Il entend plus qu'il n'écoute Flavia, sa mère, qui récite un poème, assise sur la balancelle qu'a construit son père, vêtue d'une robe blanche, un rire dans la gorge. Flavia est une jeune femme pleine de vie et de bonne éducation, le symbole même du romantisme anglais. Nourrie de la plus pure littérature anglo-saxonne, elle a depuis bien longtemps identifiée ses modèles et héroïnes et a entreprit depuis bien longtemps de les transmettre à son fils. Il est vrai qu'elle n'a pas réellement rencontré de protestations. James, de toute façon, a toujours été un fils obéissant.

Avec un soupir ennuyé, James appuie son menton dans sa main, imitant parfaitement, sans même en avoir conscience, les mimiques et attitudes de Vitus, qui le couve d'un regard amusé. Vitus a toujours eu l'élégance de ne pas se parer d'arrogance. S'il est fier, il est fier d'être lui et non d'être un Sang-Pur, et cela le démarque foncièrement de la plupart des hommes qui lui a été donné de croiser jusque là. Plus que cela, Vitus Lovecraft est un homme serein et calme. S'il ne viendrait à l'esprit de personne de l'ennuyer, c'est tout simplement parce qu'il ne laisse personne avoir de l'emprise sur lui. Vitus a toujours été un électron libre.

James aimerait pouvoir en faire autant.

James a huit ans et déjà le port de tête fier qui le distinguera par la suite. James a huit ans et déjà des ambitions. Bien sûr, il ne réfléchit pas encore en terme de politique, de pouvoir, d'ascendances, de dominants ou de dominés, mais il sait qu'il aimerait être à la fois aussi important que son oncle Catius et heureux que son père. Les deux lui semblent reposer sur un équilibre fragile et il ne sait pas bien encore comment envisager la suite. Il sait qu'il a l'âme d'un meneur et qu'il a sans doute hérité ça de ses parents. Quand il rencontre ses cousins, il s'arrange toujours pour prendre la tête des opérations. Il sait s'y faire pour éblouir, pour attirer et mener à la baguette son petit monde. Néanmoins, comme tous ces enfants sorciers, il vit dans ce vase clos de pureté, qui l'empêche de voir trop loin, qui l'empêche de voir plus loin. Il ne connaît du monde que la fraction approuvée par ses parents. Ça ne lui convient pas. Ce n'est pas très important, cependant, il a tout le loisir d'explorer le monde plus tard.

Il a encore tout le temps de grandir.

♦ ♦ ♦

« Ce sont les baguettes qui choisissent leur propriétaire, tu sais, James. » souffle Vitus tout en le poussant du plat de la main vers la boutique crasseuse d'Ollivanders.
« Je trouve ça absurde. » répond James à mi-voix en frottant d'un air dépité ses mains gantées sur son manteau neuf. « N'y a-t-il pas une autre boutique – sur l'Allée des Embrumes, par exemple – qui aurait l'idée de faire des baguettes sur mesure ? On fait bien des vêtements sur mesure, pourquoi pas des baguettes ? »

Vitus Lovecraft lève les yeux au ciel. Depuis quelques temps, James ne jure plus que par son oncle et cet attitude tend à lui nouer l'estomac. S'il comprend que James soit attiré par le charisme de Catius il ne peut s'empêcher de craindre les répercussions que cela pourrait avoir sur lui. Il pousse un soupir, se passe une main dans les cheveux, secoue la tête.

« Ça n'existe pas. Ollivanders n'a aucun concurrent. De plus, ce serait une perte de temps : une baguette qui ne s'accorderait pas avec son porteur verrait son efficacité diminuée. Ce serait contre-productif. »

L'argument fait mouche. James obtempère. D'un pas traînant, presque boudeur, il pénètre dans la boutique.
Si Ollivanders est décevant, la baguette qu'il se voit attribué lui convient tout à fait. De façon plus large, il tend à trouver le Chemin de Traverse ennuyeux mais, lorsqu'il se risque à évoquer une nouvelle fois l'Allée des Embrumes, le regard de son père le coupe net dans son élan. Vitus ne supporte pas la magie noire. Vitus a des idées très arrêtées sur le fait de prendre le pouvoir par la violence. Vitus a toujours préféré un peu plus de finesse. James le trouve inactif si ce n'est couard. La haute opinion qu'il avait eu un temps de son père s'est vite morcelée en petit bout de rien. Il ne voit que sa passivité, ses idées d'un autre temps, toute la rhétorique qu'il déploie dans le vent.

Tout le contraire de Catius, en somme.

♦ ♦ ♦

« Je t'aime. » Il sourit, pas très grand, pas très franchement, mais son cœur rate un battement et Arlette rit.
« Pardon ? » il demande, l'air faussement ingénu, juste pour l'entendre répéter, encore une fois.
« Je t'aime ! Et tu m'as très bien entendu ! »

Il lève les yeux au ciel, ricane, embrasse sa tempe. Gentiment, elle lui met un petit coup de poing sur l'épaule. Il hausse les épaules. Arlette ne sait jamais très bien ce qu'il pense. Ce n'est pas évident pour elle de comprendre tout ce qu'il lui tait, d'appréhender une vie où elle ne saurait jamais sur quel pied danser. C'est pourtant lui qui est venu l'inviter au bal en premier lieu. Ils ne s'étaient jamais vraiment parlés, avant, maisons différentes obliges, mais elle l'avait remarqué. Elle n'a pas été la seule et elle le sait : James est brillant, lumineux, intéressant. Elle n'avait jamais pensé qu'il viendrait la trouver, elle. Il était venu pourtant. Il était resté ensuite.

Avec un sourire, il embrasse ses lèvres avant de sermonner, doucement :

« Une jeune femme bien élevée ne se déclare jamais en premier. »

Elle ravale une exclamation outrée lorsqu'il éclate de rire devant son air déconfit.

« Fais pas cette tête, Arlette. Si tu veux, je te laisserais me demander en mariage en premier. »

Il n'est pas sérieux, elle le sait. Le mariage, à quinze ans ? Des mirages ! Du reste, l'air moqueur sur son visage ne trompe pas. Elle secoue la tête et lève les yeux au ciel. Elle n'en reste pas moins rêveuse lorsque, d'un pas tranquille, la main dans la sienne, il la raccompagne vers Poudlard.

♦ ♦ ♦

Poudlard est une maison pour la plupart de ses étudiants.
Assis dans la bibliothèques, le menton coincé entre ses poings, James récite en silence une liste de sortilèges. S'il y a une chose que lui a appris Serdaigle c'est qu'être brillant est une chose mais que rien ne remplace le travail acharné. James ne se contente pas d'avoir les connaissances, il les vole, se les approprie, les transforme, les fait évoluer. James n'est pas de ceux qui attendent passivement le savoir ; il va à sa rencontre et repousse autant qu'il le peut ses limites. La période des examens, stressantes au possible, ne l'a pas laissé aussi exsangue que ses autres camarades. Les épreuves à peine finies, il était déjà blotti dans un des fauteuils de la salle commune, à travailler tranquillement les matières de l'année prochaine.

Lovecraft cultive ses passions et ne tire de trait sur aucune d'elle. Il découpe tranquillement son temps entre études, littérature, sport et Arlette. C'est un jonglage pénible qui porte pourtant ses fruits puisqu'il parvient à ne rien négliger. En soit, ce n'est pas un exploit, James a toujours été méticuleusement organisé.

Ce n'est pas venu en un jour mais il ferait tout pour que sa famille soit fier de lui. Son oncle Catius, en particulier.

Catius est un Mangemort et James avance d'un pas leste sur ses traces. Bien sûr, il est encore trop jeune pour prendre la marque mais tout le monde sait dans sa famille qu'il la prendra un jour. Au début, son père pensait à une simple envie de copier son modèle. Très vite, il s'est rendu compte qu'il y avait de cela... Mais pas uniquement. James a déjà des opinions politiques engagées et il suffit de l'entendre parler pour savoir qu'il n'est pas qu'un perroquet. Certes, il n'a rien de l'orateur qu'il sera plus tard mais, tout à sa verve, on discerne les réflexions qui se trament sous son front pâle. James porte encore les traits de la jeunesse mais gare à celui qui le sous-estimerait. Ses pensées n'ont plus rien d'enfantines.
Il a d'ailleurs mouché le père d'Arlette lorsqu'elle l'a invitée pour un brunch chez elle pendant les vacances. L'homme a plissé les yeux et James a su que ses opinions les moins avouables avaient été percées à jour. Le père n'avait rien dit. James non plus. Il n'a plus jamais été invité chez eux, du reste.

James est brillant mais cela inquiète parfois. Il ne fait pas bon être brillant sur les mauvais sujets.
Mieux vaut la bêtise à l'ignominie.

♦ ♦ ♦

L'ignominie arrive l'année de ses dix-sept ans avec la marque serpentine que l'on grave dans sa chair. James croit au serment sans croire à l'aveuglement. James croit au pouvoir sans croire à l'élimination. James croit à l'asservissement sans croire à la brutalité. James rêve de subtilité et de machination. James rêve d'un pouvoir qui lui serait propre.

James obéit, sans moufter. Cela sert ses projets. Il est jeune, mais prometteur, et brille bientôt au milieu des autres mangemorts. Poudlard ferme sa porte derrière lui mais la vie lui ouvre les bras.

Il incline la tête, sourit. Le drame ne tarde pas à arriver.

Les yeux brillants, Arlette Rowle lui tend les bras. Ce n'est plus le rire mais les larmes qui brouillent son regard.

« J'ai un secret » avoue-t-elle. « J'ai été adoptée. » Silence. « Je suis une née-moldue. »

James se fend, se craquelle. James n'a jamais toléré le mensonge.
Le corps s'effondre, le sang tâche le parquet.
James s'enfuit.

♦ ♦ ♦

« Maman, Mère, Flavia,
Père est mort il y a quelques années déjà et je ne sais pas si vous recevrez ce courrier à temps pour l'anniversaire de sa mort. Je tenais à vous faire part de mon soutien. J'aurais voulu être là, mais je ne peux rentrer. Votre frère, Catius, s'est présenté à ma porte il y a quelques semaines accompagnés d'un jeune garçon qu'il semble avoir pris sous son aile.
Je pense que l'enfant vous plaira, c'est un garçon intelligent et il semble être heureux d'appartenir à notre famille. J'ai été heureux de le rencontrer. J'espère le voir sous peu.
Depuis quelques temps, je voyage beaucoup. J'ai mis à profit ma formation dans la fabrication de baguettes pour me former auprès d'artisans étrangers. J'ai découvert des choses intéressantes que j'espère pouvoir exploiter à mon retour à Londres.
Je ne sais que vous dire d'autre. Le temps passe et j'ai la sensation que le gouffre qui nous séparait ne fait que s'accentuer.

Ne doutez jamais de mon affection, Mère, je pense à vous.

James Lovecraft. »

♦ ♦ ♦

Les yeux brillants, Viðja Sveinsdóttir rit en lui tendant les bras. Petite sauvageonne, elle se fend d'une courbette moqueuse avant de se pendre à son cou, effleurant du bout du nez la joue de son professeur. Il attrape son poignet pour mieux la faire tourner, une main posée sur sa taille et l'autre qui serre fort le poignet pâle de la jeune femme. Elle respire le danger, glousse, sa tête dodeline paresseusement. Il l'embrasse. D'un geste sec, il la presse contre lui pour la faire sienne.

Elle ne lui échappera pas.

Elle a signé son destin le jour même où elle a passé le pas de sa porte. Il a décidé que ce serait elle, n'en a plus jamais démordu depuis. Il l'a enchaîné, embrassé, agrippé. Elle halète au bout de ses bras.

« Tu seras mon prophète, mon chevalier, mon fou, mon bras droit, ma vie. » susurre-t-il en taisant l'important. Tu seras la femme de ma vie, mon obsession, ma plus noire addiction. Il mord ses lèvres, l'entraîne avec lui. Malgré le chaos, malgré les remous. Elle est sa plaie, le fardeau qu'il s'est choisi, sa partenaire attitrée, l'être aimé. Il n'hésite pas à l'envoyer au loin, pour mieux la retenir, à la blesser, à l'aliéner, pour mieux l'asservir.

Il craint qu'elle ne lui échappe aussi se livre-t-il à des expérimentations cruelles, à la fuir pour mieux se faire rattraper, à lui susurrer des mots doux tout en la privant du mot « Je t'aime. ». Il l'aime pourtant.

Mais à sa manière.
Il l'aime alors il la fait emprisonner, il l'aime alors il la fait sortir. Il l'aime alors il l'emmène avec lui en Angleterre lorsque l'appel de la Marque se fait ressentir.

Ils laissent en Europe derrière eux des traînées sanglantes.

En Angleterre, il l'introduit à son cercle. Il affermit sa prise sur son épaule, en fait son plus bel objet de fierté.

Il l'aime.
Avec le temps, elle lui échappe. Ça se fissure, ça se fendille. Émotionnellement fragile depuis la mort de sa mère, il ne sait plus quoi faire pour la retenir.

Elle a introduit un nouvel élément dans leur vie.
Il s'appelle Mallory.

James espère le tuer.



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hrp

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Fray O. Cabble
Fray O. Cabble

ϟ ÂGE : 42
ϟ FONCTION : Psychologue scolaire ; Fantôme en déni ; Ex-Serdaigle.
ϟ AVATAR : Hugh Dancy
https://2img.net/r/hpimg11/pics/256635tumblrmo8pqsLzd81r0jkkko2r1250.gif

ϟ LIENS : You won't like me when I'm psychoanalyzed.
Therapy doesn't work on me.

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MessageSujet : Re: James ♦ make a kingdom burn and the bloodshed start James ♦ make a kingdom burn and the bloodshed start EmptyMer 23 Avr 2014 - 5:32

    C'est qui ce canon ?  wowowowowowowowo  wowowowowowowowo J'le connaissais pas, mais je suis ravie de voir que tu t'implantes comme un chewing-gum sous une table (enfin c'est peu flatteur comme comparaison) sur le forum, Malabar ! Toi et tes rp superbement écrits.

    J'ai hâte de voir ce que tu vas faire de cette nouvelle recrue mangemort et je viendrais te quémander un lien avec Fray (j'ai déjà plus ou moins une idée qui impliquerait Emily, faudra que tu me donnes ton avis !). Bref, tu sais déjà que tu gères et je lirais la fiche d'un seul coup, sinon je vais faire mon impatiente comme quand j'attends la suite d'une série géniale.  huggiesy 
http://miettes-petillantes.blogspot.fr/
Jodie A. Graham
Jodie A. Graham

: Vivre, c'est être au coeur d'un prodige.

ϟ ÂGE : 34
ϟ FONCTION : Vendeuse à temps partiel chez Honeydukes ; Membre de l'Ordre
ϟ AVATAR : Alison Sudol
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ϟ LIENS : Trick or treat ?

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MessageSujet : Re: James ♦ make a kingdom burn and the bloodshed start James ♦ make a kingdom burn and the bloodshed start EmptyVen 25 Avr 2014 - 13:43

    Je. Je...
    Spoiler:

    EPOUSE-MOI. J'aime tellement Matthew Goode ♥♥

    Sauf que contrairement à Chips, j'ai pas résisté et j'ai commencé à lire ton génial début de fiche... Maintenant j'en veux plus  pourtoalily 
Sofia A. Skogar
Sofia A. Skogar

: what does the nargle say?

ϟ ÂGE : 27
ϟ FONCTION : 7ème année (pour la deuxième fois)
ϟ AVATAR : Anna Popplewell
ϟ ABSENCE ? : Quasi totale jusqu'au 24 juin

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ϟ LIENS : Do you remember when I was a bird
And you were a map?

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MessageSujet : Re: James ♦ make a kingdom burn and the bloodshed start James ♦ make a kingdom burn and the bloodshed start EmptyLun 28 Avr 2014 - 16:57


    Arghbulargh, quel perso classieux j'aime j'aime j'aime. °° Bienvenue ici !  heartheart 
Fray O. Cabble
Fray O. Cabble

ϟ ÂGE : 42
ϟ FONCTION : Psychologue scolaire ; Fantôme en déni ; Ex-Serdaigle.
ϟ AVATAR : Hugh Dancy
https://2img.net/r/hpimg11/pics/256635tumblrmo8pqsLzd81r0jkkko2r1250.gif

ϟ LIENS : You won't like me when I'm psychoanalyzed.
Therapy doesn't work on me.

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MessageSujet : Re: James ♦ make a kingdom burn and the bloodshed start James ♦ make a kingdom burn and the bloodshed start EmptyJeu 8 Mai 2014 - 12:03

    Tu t'en sors ? Des nouvelles ?  huggiesy 
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MessageSujet : Re: James ♦ make a kingdom burn and the bloodshed start James ♦ make a kingdom burn and the bloodshed start EmptySam 10 Mai 2014 - 18:01

Ca avance, pardon ! C'est que j'attends toujours votre réponse pour son métier aussi, histoire de ne pas écrire de bêtises dans l'histoire !

(et merci à tout le monde ♥♥♥)
Lucas Drifloon
Lucas Drifloon

: Nah. It's not me, I don't know this "Drifloon". What a shitty name, by the way. Me ? I'm just Nessie. Don't mind me.

ϟ ÂGE : 30
ϟ FONCTION : Ancien Serpentard ; Gamin borné et blessé, guidé par ses mauvais choix. Ex-mangemort actuellement en reconversion.
ϟ AVATAR : Alex Pettyfer.
ϟ ABSENCE ? : En Suisse pendant un an ; présence réduite.

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ϟ LIENS : Substract love, add anger.


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MessageSujet : Re: James ♦ make a kingdom burn and the bloodshed start James ♦ make a kingdom burn and the bloodshed start EmptySam 10 Mai 2014 - 18:25

    Alors finalement on ne tue pas encore Ollivanders, mais James peut vendre des baguettes sur l'allée des embrumes, de "meilleure qualité" et pas pour les "sales moldus" ? 8D
http://miettes-petillantes.blogspot.fr/
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MessageSujet : Re: James ♦ make a kingdom burn and the bloodshed start James ♦ make a kingdom burn and the bloodshed start EmptySam 10 Mai 2014 - 19:21

Ca marche pour moi !
Mallory C. Baker
Mallory C. Baker

: Same rules apply.

ϟ ÂGE : 40
ϟ FONCTION : Dirigeant d'une entreprise de nettoyage magique
ϟ AVATAR : James McAvoy
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ϟ LIENS : It's clean, it's sparkling!

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MessageSujet : Re: James ♦ make a kingdom burn and the bloodshed start James ♦ make a kingdom burn and the bloodshed start EmptyMar 20 Mai 2014 - 15:11

James, grand fou !

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Fray O. Cabble
Fray O. Cabble

ϟ ÂGE : 42
ϟ FONCTION : Psychologue scolaire ; Fantôme en déni ; Ex-Serdaigle.
ϟ AVATAR : Hugh Dancy
https://2img.net/r/hpimg11/pics/256635tumblrmo8pqsLzd81r0jkkko2r1250.gif

ϟ LIENS : You won't like me when I'm psychoanalyzed.
Therapy doesn't work on me.

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MessageSujet : Re: James ♦ make a kingdom burn and the bloodshed start James ♦ make a kingdom burn and the bloodshed start EmptyMar 20 Mai 2014 - 20:21

    Je crois que la prochaine fois que je lis une de tes fiches, j'appelle tous les éditeurs pour me faire du fric sur ton dos. Ça devrait être interdit un tel maniement des mots. Tu m'embêtes, prout d'abord !  cacaagite 

    Comment te dire ? Ton personnage a beau avoir des côtés un peu flippants, ils sont totalement maîtrisés, et ça colle parfaitement avec son caractère. Vu son ambition, je me suis demandé au départ pourquoi pas serpentard, mais il est vraiment un serdaigle dans le fond, vu sa soif de connaissances et son avancée sur le programme pour ne rien laisser au hasard. J'aime le fait qu'il apprécie sa famille malgré ses désaccords avec lui, sa relation avec Alistair, avec son oncle. Son couple avec Vidja est presque mignon dans le fond, vu que ça cache son angoisse plus profonde de la perdre.

    Et la dernière phrase de l'histoire m'a tuée. SAUVEZ MALLORY. Mettez le en couple avec Thaddeus (en plus c'est plus effrayant qu'un videur de boîte de nuit, un videur de sang à son bras), et laissez Vidja à James. Bref j'arrête mes délires Xmeniens et je te valide bien évidemment sans plus tarder. Viens me demander des liens de bestah avec Lucas, Fray et Théodore (étrangement pour le dernier une idée m'a pop ou leur "loisir" serait d'essayer de s'entre-tuer). Tu connais déjà le chemin. RP TOUT PARTOUT, c'est un ordre.  soinlovewithacat  weheartitbeaucoup 
http://miettes-petillantes.blogspot.fr/
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MessageSujet : Re: James ♦ make a kingdom burn and the bloodshed start James ♦ make a kingdom burn and the bloodshed start EmptyMar 20 Mai 2014 - 20:31

Gnih merci tout plein ♥
Je m'en vais conquérir le monde bouhahaha *file en agitant sa cape* (non en fait non) (mais un peu quand même)

et of course pour les relations on va voir ça *w*
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MessageSujet : Re: James ♦ make a kingdom burn and the bloodshed start James ♦ make a kingdom burn and the bloodshed start EmptyLun 26 Mai 2014 - 11:55

Je ne vais pas faire un long discours : j'aime. Je te l'avais déjà dit pour Malachi mais tu as une "écriture" magnifique. J'aime comment malgré la distance qu'il prend avec sa famille, il les aime. J'aime comment tu as su rendre entier et humain James. Ton personnage est effrayant mais on a envie de se faire malmener par lui ♥
Vivement que tu commences à rp avec lui.
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MessageSujet : Re: James ♦ make a kingdom burn and the bloodshed start James ♦ make a kingdom burn and the bloodshed start Empty

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