ϟ ÂGE & DATE DE NAISSANCE : Le 28 Février 1981, soit 17 ans !
ϟ LIEU DE NAISSANCE : Ste-Mangouste, London.
ϟ ANNÉE & MAISON : Etudiant en 7ème année à Serpentard.
ϟ ORIENTATION SEXUELLE : Ne sait pas, mais curieux.
ϟ DESCRIPTION DE LA BAGUETTE MAGIQUE : Chêne-liège, ventricule de dragon, 27,8 cm, souple. M’enfin, c’est ce que disait la publicité.

ϟ BUT DANS LA VIE : Travailler dans un endroit avec plein de livres. Au mieux, ouvrir lui-même une librairie ou une bibliothèque. Et, quoi qu’il arrive : avoir un chez-lui loin de la demeure familiale.
ϟ CE QUI COULE DANS VOS VEINES : Hélas, du pur sang de sorcier. *soupir*
ϟ VOTRE ANIMAL DE COMPAGNIE : Bartiméus, charmant corbeau-pie corvus albus de 11 ans vraisemblablement increvable et au caractère particulièrement difficile.
ϟ SIGNE PARTICULIER : Aucun. Se fondre dans la masse, paraît-il que c’est très cool.

ϟ DESCRIPTION PHYSIQUE ; Antoine est un jeune homme de maintenant 17 ans, et dont le physique évoque légèrement celui d’un adolescent qui a grandit trop vite. Ainsi, il a un corps très fin et allongé donnant l’impression qu’un simple coup de vent le ferait s’envoler. 

C’est que notre jeune homme ne possède pas non-plus une corpulence très impressionnante. Sa masse musculaire est réduite à un strict minimum, ce qui le rend particulièrement impuissant en cas de bagarre. Le seul avantage qu’il peut tirer de ce physique d’ado maigrelet se trouve être ses jambes, grâce auxquelles il peut fuir en cas de danger. Sûr que dans un monde magique où les gens vous rattrapent en un rien de temps, ça a une utilité folle.

Avec ses grands yeux sombres qui lui donnent un air d’ahuri et ses cheveux bruns constamment en bataille, Antoine serait considéré par certaines personnes (et à sa grande surprise)  comme étant relativement mignon. Mais là ou un garçon de 17 ans chercherait peut-être plus à mettre en valeur son physique, Antoine, lui, ne s'en donne pas vraiment la peine. Déchaîner des passions quelconque ne fait pas vraiment partie de ses priorités.

Sinon, d’un point de vue vestimentaire, Antoine aime porter ce qui lui tombe sous la main lorsqu’il ne doit pas mettre l’uniforme de Poudlard. Ça peut paraître tout à fait stupide, mais arborer des fringues prises de manière aléatoire dans votre placard alors qu’on vous a imposé des chemises impeccablement repassées depuis votre enfance, ça a un côté particulièrement libérateur.
 

ϟ AIME : Les cours d’Histoire Magique, l’étude des Moldus (mais chuuuut, ne le dites pas aux autres Serpentards !), la bibliothèque de Poudlard, les bons livres, s’assoir sous un arbre au bord du lac pour lézarder.

ϟ N'AIME PAS : Les machinations machiavéliques, les personnes qui viennent l’importuner, la violence gratuite, ceux qui abusent de leur pouvoir.

ϟ DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE ; Placide. C’est un adjectif qui correspond parfaitement à Antoine. Il est du genre de ceux qui réfléchissent plus qu’ils n’agissent, ce qui n’est à vrai dire pas qu’une qualité. Dans un groupe, notre jeune homme s’estime plus comme le cerveau que comme celui qui exécute, ce qui pose comme problème majeur le fait qu’on puisse douter des réelles motivations d’Antoine. Au point que celui-ci passe parfois pour un gros flemmard auprès de ses camarades.

C’est qu’il se donne pourtant à fond dans ce qu’il fait, notre jeune sorcier. Il lui arrive régulièrement de potasser jusqu’à des heures insensées la veille de certains devoirs en classe, et au diable ses compagnons de chambrée qui veulent dormir ! Ainsi, pour être tout à fait honnête, Antoine ne possède pas énormément d’amis à Serpentard. Au contraire, il passe plus de temps avec les autres maisons lorsqu’il s’agit d’avoir du temps libre qu’avec les personnes qu’il serait logiquement sensé apprécier.

Certes, lorsque l’on est un rat de bibliothèque, la solitude temporaire n’est pas dérangeante. Mais Antoine aime être entouré, et renoncerait volontiers à finir un bouquin s’il lui était donné l’occasion d’aller boire une bierraubeurre avec des amis. Quoique parfois un peu effacé, il s’avère toujours très souriant et muet comme une tombe si on lui révèle un secret. Ce qui, en fait, en fait un peu le confident idéal les jours de grande déprime.

Et puis il y a cette ambition ténue, là, que possède Antoine au fond de son cœur. Celle de faire de sa vie quelque chose de grand, qui permettrait peut-être enfin à quelqu'un d'être fier de lui, à commencer par lui-même. Ce qu'il veut, aussi, c'est ne plus rester conditionné par ces barrières qu'on lui a imposé tout au long de sa vie, afin de s'intéresser aux Moldus et délaisser les Mangemorts pour la cause de Dumbledore par exemple. Et notre jeune homme s'en est fait une promesse personnelle : tout essayer pour y parvenir.


Mais passons au plus intéressant : les défauts. Et autant dire que ceux d’Antoine ont ce don d’être particulièrement… amusants-pour-les-autres-mais-pas-vraiment-pour-lui ?

Premièrement : on a beau se retourner comme on le voudra, notre jeune sorcier ne possède qu’un courage très relatif. Il est trouillard, certes, mais sa curiosité a tendance à surmonter sa peur, et donc à le mettre de ce fait dans des situations où c’est rapidement la panique à bord. Car lorsqu’il est en danger, Antoine privilégiera toujours une technique vieille comme le monde : la fuite. 

Antoine est également parfois assez naïf, ce qui en fait le souffre-douleur favori de nombreux Serpentards. Avec le temps, heureusement, il a un peu gagné en méfiance, mais il ne suffit pas de grand-chose pour l’embarquer dans des plans foireux dont il ne se rendra compte des dangers qu’une fois trop loin pour reculer. 


Mais bon. Il faut de tout pour faire un monde, non ?

 

- Lemington, Antoine !

Tremblotant comme une feuille, le jeune garçon s'avança timidement vers la professeur McGonagall. Ce n'était pas tant de la sorcière que le petit avait peur, mais plutôt de cet objet qu'elle tenait dans les mains : le vénérable Choipeau Magique de l'école de sorcellerie Poudlard.

Maladroitement, Antoine s'assit sur le tabouret, les yeux fermés pour ne pas avoir à regarder les centaines d'élèves qui s'étalaient face à lui. Puis, lorsqu'il sentit le Choipeau se poser sur son crâne, le garçon prit une grande inspiration.

- Tiens tiens, qu'avons-nous là..., commença le couvre-chef. Je vois de la générosité, mais un grand manque de confiance en soi... Oui... Tu veux aider les autres, mais tu as peur... Hm... Je vois aussi beaucoup de capacité de réflexion... Tu pourrais être à ton aise à...

- Pitié, envoyez-moi à Serpentard ! S'exclama mentalement Antoine. Envoyez-moi à Serpentard !

- Hm ? Serpentard, tu dis ? ... Tu possèdes peut-être de l'ambition, mais elle est très ténue... Tu devrais plutôt aller à...

- Serpentard ! Répéta le garçon, en état de panique totale. Je vous en supplie, envoyez-moi là-bas ! Sinon... je vais encore décevoir mes parents.

Le Choipeau marqua un temps de réflexion, visiblement confus. Finalement, après une pause qui sembla interminable pour Antoine, le couvre-chef s'écria afin que toute la salle entende :

- Fort bien... SERPENTARD !

Puis, il ajouta précipitamment avant que la professeur McGonagall ne l'ôte de la tête d'Antoine :

- Au fait, tu devrais respirer, gamin, sinon tu vas...

Trop tard. Non pas que l'enseignante avait récupéré le Choipeau, non. Disons plutôt qu'Antoine venait de tourner de l'œil, certainement sous le coup de toute cette pression.

- Eh bien, ça promet..., Maugréa le Choipeau pour lui-même, alors que l'infirmière se précipitait déjà vers le garçon.



Vous vous en doutez, après une arrivée aussi fracassante à Poudlard, c'était très dur de passer inaperçu. Antoine eut le relatif privilège d'inaugurer l'infirmerie, loupant de ce fait le fameux banquet de début d'année. Au lieu de passer sa première nuit dans un douillet lit de la salle commune des Serpentard, il dut péniblement chercher le sommeil sur l'un de ces matelas durs et inconfortables qui se trouvaient dans les locaux gérés par Mrs Pomfresh.

Les premiers jours de cours furent de ce fait très difficile, moins par leur contenu que par les quelques moqueries que pouvait recevoir Antoine au sujet de cette fameuse soirée de répartition. Mais à la grande surprise du garçon, il se faisait plus railler par ses camarades de classe que par les jeunes des autres maisons. Au contraire, un groupe d'élèves de Griffondor vint même s'enquérir sur son état de santé. Surprenant, non ?



Mais je vois où vous voulez en venir. Vous vous demandez sans doute pourquoi Antoine paniquait autant au sujet de la maison dans laquelle il allait être envoyé. Alors prenez ce retourneur de temps, là, et laissez-moi vous expliquer...



Tout commença une soirée de fin Février 1981, au département NAISSANCES de l’hôpital St-Mangouste. Dans une chambre, une dame brune au port élégante attendait impatiemment qu’on lui rapporte son quatrième enfant (et dernier-né, par la même occasion). À la droite de son lit, un sorcier tout aussi élégant au physique longiligne serrait la main de sa femme, tout aussi curieux. 

Lorsqu’enfin, l’attente fut interrompue par la porte qui s’ouvrait sur une infirmière, qui tenait dans ses bras un nourrisson paisiblement endormi. Avec douceur, elle le déposa dans les bras de sa mère, qui sourit tendrement à l’enfant. Mais ce sourire se mua soudainement en grimace.

- M-Mais… ! S’exclama la femme, paraissant outrée. C’est un garçon ?!

Interloquée, l’infirmière fronça les sourcils.

- Oui madame ! Un joli petit garçon en pleine forme !

La mère regarda son enfant un moment, et soupira en le tendant à son mari.

- Tu vois, Henry, je te l’avais dit ! Moi qui voulait une fille…

Le père ne répondit pas, fixant le petit garçon avec tout de même un certain contentement. Même s’il s’agissait là de son quatrième fils, Henry Lemington était satisfait. De toute manière, sa femme était si capricieuse de nature que, si l’accouchement avait eu lieu une semaine plus tard, elle aurait été en-chan-tée d’enfanter un petit garçon.

- Tu as une idée pour le prénom, Mary ? Questionna le père en berçant le gamin.

- Je te laisse choisir ! Sauf si tu veux l’appeler “ Rose ”…

Henry ne put s’empêcher de soupirer face au cynisme de sa douce et tendre. Quel humour, vraiment…

- Antoine, proposa-t-il finalement. C’est bien, Antoine, non ?

- Ça sonne si Français, soupira la mère en levant les yeux au ciel. C’est d’un ridicule…

Mais Henry n’avait d’yeux que pour son petit garçon, qui babillait joyeusement. Au moins un de content, c’était déjà ça…



Fort heureusement, le couple Lemington finit par trouver un terrain d’entente quant à l’utilité d’avoir un quatrième fils : elle était tout à fait nulle. Que ce soit pour une question d’héritage ou d’originalité, Antoine n’apportait strictement rien à la petite famille de sorciers. Naturellement, le jeune n’était pas non-plus haït par qui que ce soit. Ses parents et frères éprouvaient juste un certain désintérêt au sujet du garçon. Autant dire qu’il allait être dur de les contenter.

Antoine grandit comme un sorcier classique. Assez tôt, il développa des aptitudes à la Magie. Dans une autre famille, tant de précocité aurait certainement déclenché une vague de fierté. Mais chez les Lemington, ce fut tout juste si Mary ne dit pas de son fils « Au moins, ce n’est pas un Cracmol, c’est déjà ça… ».

Dans un même temps, les parents Lemington, déjà très proches des Mangemorts à l’époque, vinrent finalement gonfler leurs rangs. Pour raison principale : cette certitude que seuls les sang-purs méritent une haute place dans le monde magique. M’enfin. Paraît-il que les goûts et les couleurs, ça se discute pas. 



À l’aube de ses sept ans, notre petit Antoine, qui commençait à bien s’ouvrir sur le monde, reçut un bien curieux cadeau de la part de ses parents : une petite boule de plumes blanche et noir, qui croassait à intervalles réguliers pour quémander de la nourriture.

- Oh, c’est gentil ! S’était exclamé le petit garçon en prenant l’oiseau dans ses bras. C’est en attendant que j’ai un hibou ?

Henry et Mary s’étaient regardés d’un air désespéré face à tant de vivacité d’esprit.

- C’est comme un hibou, avait alors expliqué le père du gamin. Sauf qu’il va falloir que tu lui apprennes à envoyer du courrier.

Antoine avait difficilement caché sa déception. Il s’imaginait déjà comme ses grands frères et leurs fiers hiboux grand-duc. Le garçonnet s’était même déjà renseigné sur la manière dont il allait devoir s’en occuper !

Ravalant une remarque, l’enfant avait fixé le jeune corbeau-pie qui croassait, puis avait fini par sourire.

- Toi, je vais t’appeler Bartiméus ! Avait fini par déclarer Antoine en secouant joyeusement le petit oiseau. C’est comme l’aveugle qu’a guéri Jésus aux portes de Jéricho !

Les parents Lemington avaient poussé des exclamations de surprise.

- Depuis quand tu lis de la littérature religieuse pour Moldus, toi ?! Avait questionné Henry, Mary étant trop scandalisée pour articuler le moindre mot. 

- J’ai vu ce livre dans la bibliothèque, avait avoué le garçonnet en baissant la tête. Je l’ai trouvé intéressant…

Oui oui, vous avez le droit d’être surpris. Antoine est certainement le seul sorcier du monde à avoir lu des extraits de la Bible à 6 ans et demie, alors qu’il venait tout juste d’apprendre la lecture. Mais chez les Lemington, mis à part une exaspération notable, ça n’avait pas déclenché grand-chose niveau réactions.




Cher professeur Dumbledore,

J’espère que je ne vous dérange pas trop. Mes frères m’ont dit que si, et que je ferais mieux de ne pas vous écrire, mais je le fais quand-même parce que je n’aime pas écouter mes frères. Je suis suffisamment grand pour savoir ce que j’ai le droit de faire. J’espère juste que Bartiméus est arrivé à bon port… La dernière fois qu’il a livré une lettre, il l’a déposée en Allemagne, vous vous rendez compte ?

Je voulais vous poser une petite question au sujet de la cérémonie de répartition à Poudlard. Je sais que j’ai encore un peu de temps devant moi, mais je voulais savoir : est-ce que c’est vrai que le Choipeau peut nous laisser choisir notre maison ? Ça m’arrangerait beaucoup, en fait. Je crois que mes parents vivraient assez mal le fait que je ne sois pas à Serpentard.

Merci beaucoup d’avoir lu ma lettre (si Bartiméus est arrivé à Poudlard, bien sûr).


Antoine Lemington








Mon très cher Antoine,

Pardonne-moi de ne pas t’avoir répondu plus tôt, mais ton corbeau ne m’a pas laissé le temps de me saisir de ma plume qu’il était déjà reparti. Tu devrais lui expliquer un peu mieux la manière dont fonctionne une correspondance, si tu en as le temps.

Ainsi, pour t’éclairer : le Choipeau Magique est également un très grand joueur d’échecs, et connaît la délicieuse recette des tartes préparées par nos elfes de maison. Je pense donc que tant que tu restes poli avec lui, tu as toutes les chances qu’il t’écoute.

En espérant avoir répondu à ta question, et à bientôt à Poudlard !

Cordialement,


Albus Perceval Wulfric Brian Dumbledore.



Lorsqu’Antoine arriva sur ses dix ans, ses parents eurent enfin ce qu’ils voulaient : une petite fille, naturellement nommée Rose. Comme on pourrait s’en douter, la petite eut toute cette considération que ne reçut jamais le garçonnet. Elle fut également pourrie-gâtée, mais il ne s’agit là que d’un détail.

Vous comprenez donc d’où provient ce cruel manque de confiance en lui qu’éprouve constamment Antoine. C’est certain qu’au fond de lui, il ne recherche qu’un peu de reconnaissance de la part de ses parents. Mais, vraisemblablement, jusque là, tous ses efforts se sont avérés vains.

Un autre problème concerne son avenir. Car qu’on se le dise : hors de question de devenir Mangemort. Déjà, ça va à l’encontre de ses principes de paix dans le monde. Ensuite, bah… c’est qu’il n’en a pas vraiment la carrure, notre Antoine. Il préfère plutôt les livres, puis perdre son temps à tenter désespérément d’apprendre à Bartiméus comment livrer une lettre convenablement. Puis… notre garçon est aussi intéressé par les Moldus. Ou plutôt par ce qu’ils écrivent, en l’occurrence.



Mais faisons un bond dans le présent. Comme vous vous en souvenez, l’arrivée à Poudlard d’Antoine fut assez remarquée. Quant à la suite de ses études, elle prit un tournant tout à fait banal. Il n’y eut qu’en cinquième année que le désormais jeune homme eut beaucoup de mal à avoir ses BUSES. Trop de stress, sans doute.

Maintenant qu’il est en septième année, Antoine se doit de faire une petite rétrospective sur sa vie. Rien de bien palpitant ni de bien glorieux jusque là. Rien dont il puisse être particulièrement fier, non-plus.

Alors que va faire notre jeune sorcier ? Continuer à essayer de gagner de l’intérêt auprès de ses parents, ou au contraire ouvrir ses ailes et s’envoler dans son coin ? Tout cela, c’est une autre histoire…


Notez tout de même que si l’envol d’Antoine doit s’apparenter au talent de Bartiméus pour louper les destinataires d’un courrier, le pire est à craindre pour notre pauvre adolescent.

ϟ COMMENT NOUS AS-TU DÉCOUVERT ? Par une amie, que je remercie chaleureusement ! >w<

ϟ LE NOM DE LA PERSONNE SUR TON AVATAR ; Le très talentueux Pierre Niney ! ^^

ϟ QUE PENSES-TU DU FORUM ? J’aime beaucoup l’habillage et le contexte (quoique j’ai bien cru me perdre un peu en le lisant au début…) ! Puis l’ambiance m’a l’air très sympathique, et votre guide anti-Mary Sue m’a vraiment tapé dans l’œil. ovo

ϟ AS-TU LU/VU TOUS LES HARRY POTTER ? Oui. Mais… il y a longtemps ? oAo;; *sent qu’elle va devoir s’y remettre sous peu*

ϟ SUR COMBIEN D'AUTRES RP ES-TU INSCRIT SANS COMPTER CELUI-CI ? Deux autres forums RPG à mon actif !