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Invité

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Swan Wisdom O'Connor

▬ carte d'identité

ϟ ÂGE & DATE DE NAISSANCE : 17 ans, née le 21 juin
ϟ LIEU DE NAISSANCE : À Londres
ϟ ANNÉE & MAISON : 7 ème année, dans la maison de Serdaigle ;)
ϟ ORIENTATION SEXUELLE : Moi j'aime tout le monde, les filles et les garçons.
ϟ DESCRIPTION DE LA BAGUETTE MAGIQUE : 24,3 cm, faîte en bois de Hêtre avec une plume de phénix.

ϟ PATRONUS : Il prend la forme d'un lynx, un lynx des neiges.

ϟ AMORTENTIA : Je sens l’odeur de vieux livre avec en arrière une odeur d’essence et à la fin, une fine odeur de muguet.

ϟ ÉPOUVANTARD :Face à moi, un épouvantard prend la forme de ma mère, sur son lit d'hôpital, pâle et sans vie.

ϟ ALBUS DUMBLEDORE OU BELLATRIX LESTRANGE ? : Bellatrix pourrait être une belle femme,si elle était moins folle mais je préfère quand même Dumbledore qui est plus sage et plus intelligent.

ϟ CELUI-QUI-SAIT OU PHILÉAS FOLENGRAIN ? : Celui-qui-sait me fait bien rire. Une vraie comère celui-là ;)

ϟ SUCRÉ OU SALÉ ? : Je préfère plus le sucré, c'est plus doux...

ϟ BUT DANS LA VIE : Plus tard, je serais Auror, c'est un rêve, un choix, une envie.
ϟ CE QUI COULE DANS VOS VEINES : Je suis née moldue et fier de ne pas avoir que du sang de sorcier dans mon sang.
ϟ VOTRE ANIMAL DE COMPAGNIE : Chez un petit chat que j'ai appelé Loucoulme, il a plein de poils et est tout doux.
ϟ SIGNE PARTICULIER : J'ai une tâche de naissance, derrière mon épaule gauche en forme de griffe, comme si on m'avait griffé étant petite.

▬ physionomie

ϟ DESCRIPTION PHYSIQUE ; Mon physique est tout ce qu’il y a de banale, j’ai des jambes, des bras, une bouche, des yeux, des oreilles, des mains, un ventre, des cuisses, des pieds, des cheveux… bref j’ai tous les éléments pour me qualifier d’Homme, avec un grand H bien entendu sinon je reste une femme. J’ai une belle silhouette, élancée et fragile, je mesure un mètre soixante-treize pour cinquante-huit kilogrammes. J’avoue que je n’ai pas la masse de muscles mais j’en ai assez pour pouvoir me défendre un au minimum. Mes jambes sont fines, c’est pourquoi les talons ne sont pas les chaussures que je préfère tout simplement que si j’en mets, on pourrait croire que je suis pire que maigre. Mes hanches sont bien dessinées, on les distingue, ma poitrine, elle, et bien comme il faut, ni trop, ni pas assez, je n’ai pas à me plaindre sur ce point. Comme mes jambes, mes bras sont fins, surtout mes poignets, on dirait qu’on pourrait les briser. Mon visage est comme je dis normal, rien d’exceptionnel, il plaît ou il ne plaît, c’est un visage parmi tant d’autres. J’ai des cheveux blonds, blonds véniciens parfois, un peu châtain à d’autres moments, mais ils s’accordent quand même avec le teint de ma peau lisse qui est assez bronzé. Mes yeux, eux, sont bleus, en hiver gris, en été azur, mes yeux ne sont pas ce que j’ai de plus beau, tout le monde a les yeux bleus. Ce que j’ai de plus beau, est mon sourire, avec des dents parfaitement alignées, j’illumine mes journées en souriant car dans la vie il vaut mieux être heureux que malheureux. Pour finir, je dirais que la chose la moins belle chez moi, est mes pieds, pieds d’ancienne danseuse, assez abimés par le temps, je ne les aime pas trop…

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▬ psychologie

ϟ AIME : bierraubeurre - plume en sucre - les cartes de chocogrenouille - les livres - mes amis - la défense contre les forces du mal - mon père - les blagues - rigoler - le quidditch - les sortilèges...

ϟ N'AIME PAS : Les serpentards - les dragésurprises - les punitions - les moqueurs - les retardataires - les perturbateurs - les faiblards - les mauvais perdants - les mauvaises langues...

ϟ DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE ; Qui suis-je ? Telle est la question… Comme chaque élève dans cette institution, ils vous répondront qu’ils sont des sorciers, des sorciers né-moldu, de sang-mêlé ou encore de sang pur. Moi, je fais partie de ceux qu’on insulte en les appelants les « sang de bourbe ». Mais à part ça, certains arriveront à faire deux rouleaux de parchemin pour répondre à cette question, moi c’est plus compliqué. Qui suis-je ? Je suis moi. Je me suis jamais réellement posé la question, pourquoi ? Parce qu’une partie de moi a peur de décevoir et malgré toutes ces peurs je suis quelqu’un d’unique. Une personne qui ne se cache pas derrière plusieurs masques à cause de son lourd passé. Pour moi, ce n’est que chose futile de se cacher, malgré tous les efforts de ces personnes ils n’arriveront pas à masquer leur vrai visage car c’est ainsi que le monde est fait, avec beaucoup d’injustice. C’est comme les filles laides qui se mettent du maquillage pour se rendre belle, mais on réussit toujours même avec plusieurs couches à voir leur laideur car la nature est faite comme ça avec beaucoup d’injustice. Mais le monde n’est pas remplie que d’injustice, le monde peut-être beau et merveilleux, il peut nous faire des surprises comme ne pas en faire. Et la nature, elle, n’est que le pur visage du monde comme elle est le nôtre. Parfois elle peut s’avérer belle et intéressante, d'autres laide et décevante. Mais dans ce monde tout être humain arrive à trouver l’égale de sa nature, ce qui fait de ce monde injustice, un monde de justice. Mais ne nous arrêtons pas à comprendre le monde, aujourd’hui, ce n’est pas le monde que je dois faire la description mais de moi, simplement moi sur tous les aspects. Je vous préviens, je ne me suis jamais réellement amusé à faire des discours sur moi donc, ne vous plaigniez pas de la médiocrité de mon parchemin. Un A me suffirait, un E c’est étrange, un O ça voudra dire que je serais en train de rêver. Alors commençons :

Je pense que certains seront contre, d'autres ne sauront pas et mes amis, ceux qui me connaissent, diraient que je suis sage et généreuse. Sage, je ne sais pas trop pourquoi, mais on dit souvent que je suis calme et posée, et que je sais réfléchir et parler. Mes amis ajoutent qu’avec mon physique j’ai encore plus de charismes. –petite parenthèse pour parler de mon physique, c’est vrai je ne m’en plains pas, la nature m’a offert un beau visage et de belles formes.- Pour ajouter à la sagesse, un plus, on dit que je suis généreuse, car je pense à trop de gens avant moi. Je suis gentille avec les personnes qui me détestent et malgré leurs crasses j’arrive à avoir envie de les aider en cas de problème. Cela vient peut-être de mon origine, peut-être qu’étant née-moldu j’ai plus de savoir-vivre que certains sang-pur. Bon vous l’avez compris, les sangs purs ce n’est pas ma tasse de thé et pour eux je ne suis pas leur petit sucre.

Je suis quelqu’un qui aime être organisé et diriger, non n’imaginez pas que je deviendrais une dictatrice, je veux simplement dire, que j’aime diriger ma vie, ma vie m’appartient et il ne m'appartient qu’à moi de savoir ce que j’en fais, alors vos reproches et tout autres discours de ce genre ne feront que m’énerver. Oui, j’ai le sang chaud, je m’énerve facilement car je n’aime pas me faire marcher sur les pieds, encore moins par les sangs purs. Je suis un peu râleuse mais on m’aime pour ce que je suis.

Je ne sais pas si avoir un franc-parler est une qualité mais je le mets dans le panier quand même, parce qu'être honnête est chose rare de nos jours, donc oui, je suis ce genre de personne qui vous balance des choses à la figure, parfois blessante mais il faut être réaliste dans la vie et arrêter de mentir. La vérité apporte plus que le mensonge –une devise de mon père, que j’ai gardé-.

Suis-je intelligente ? Comme je le dis avant je ne mens pas, et j’avoue que je suis plutôt douée en cours mais comme bien souvent le dise certains de mes amis, être douée en cours ne signifie pas être intelligente. Pourtant ils vous diront quand même que je le suis car pour eux j’ai « tous les symptômes ». C’est vrai que je suis quelqu’un de droit, de sensé, qui aime lire et se retrouver à la bibliothèque pour en découvrir davantage, ma mémoire est très impressionnante et ma logique fascinante. Avant que vous vous imaginiez que je suis une fille sérieuse qui ne rigole jamais, je vous arrête tout de suite, car bien que je sois mature et tout le tralala, je suis une personne drôle et qui adore rire. Mon sourire, me dit-on est ma plus belle arme, eh oui, je souris toujours, je suis très souriante parce que j’ai envie de sourire, ça illumine mes journées alors qu’être en train de tirer la grimace ça rend mélancolique. Je ne pleure presque jamais, parce que sois, je n’en ai pas envie ou bien je veux tout simplement cacher ma tristesse à mes amis pour éviter de les contaminer. Enfin bref, je suis quelqu’un qui peut s’avérer très sérieuse mais je peux facilement me mettre en moment de délire. Je surprends !?

Poudlard n’est pas qu’une simple école, c’est une école de sorciers et on sait tous que les années qu’on passe à Poudlard ne sont jamais de tout repos, il faut faire preuve d’une grande force. Je suis quelqu’un de fort, pas physiquement mais mentalement, je suis une fille obstinée, qui ne souhaite jamais abandonnée parce que je veux toujours faire de meilleures capacités que les fois d’avant. Je mets en œuvre mes diverses qualités pour réussir et lorsque je perds, je ne pleure pas ou je ne m’énerve pas parce que j’aurais appris, j’aurais appris pour devenir meilleure à la fois d’après. Je suis comme ça et c’est ma nature de l’être. J'essaye toujours d'optimiser les situations les plus désagréables.

Pour finir, je terminerais sur mes peurs et mon avenir. Je ne suis pas une personne invincible, j’ai des peurs comme beaucoup de monde, j’ai peur de la mort, de l’inconnue, du noir et des détraqueurs. Je ne détaille pas ce sujet car je pense qu’il n’est pas nécessaire de blablater davantage sur ces peurs.

Plus tard, je deviendrais grande joueuse de Quidditch m'étais-je dit le jour où j'ai vu mon premier match de Quidditch lors de ma première année à Poudlard. Plus le temps passe et je reviens sur cette envie, j'ai grandi maintenant, et ce rêve bien que je peux le réaliser, je ne le souhaite plus. Ce que je voudrais être plus tard, c'est devenir Auror.

Bon eh bien, voilà, je crois m’être assez bien décrite, si en revanche vous souhaitez plus d’informations, je vous laisse le privilège de me connaître parce que je ne repousse personne.

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▬ histoire

[/size]Comme pour tout être humain, on naît, on vit, on la sent, elle vient, elle nous cherche, et un jour elle nous prend, la mort.

Je suis née le 21 juin, jour du solstice d’été mais également celui du festival de la musique. C’était il y a 19 ans, ma mère me m’était au monde dans un hôpital de Londres, St Thomas'Hospital. Ma mère bien avant mon arrivée avait décidé qu’on m’appellerait Lyséa, pourquoi ? Tout simplement qu’elle aimait les prénoms comme Elizabeth, ou Isabella et à chaque fois ce prénom avait pour deuxième prénom Swan, c’était court et joli, alors avec mon père ils décidèrent de le prendre comme premier prénom, le second, cela fut plus compliqué. Le jour de ma mise au monde, les fenêtres étaient ouvertes, tellement la chaleur enivrait la pièce et lorsque mon corps fut sorti du ventre de ma maman, un vent frais traversa la pièce, les pleure avaient cessé et je souriais, mon père vit en moi, une qualité, c’est pourquoi il prit la décision d’utiliser « sagesse » comme deuxième prénom. C’est ainsi que je m’appelle ; Swan Wisdom O'connor ou tout simplement Swan.

Mon enfance et je crois la plus belle étape de ma vie, j’avais tout, une famille en or, une mère avocate, un père architecte, une maison de rêve dans un quartier de Londres, Greenwitch, j’avais tout. De plus je me relevais être douée en cours et en danse. -Oui car comme la plupart des petites filles, la danse est la première activité sportive que l’on tente.- J’avais commencé ce sport à l’âge de 4 ans, très jeune mais pourtant ma monitrice me complimentait pour ce que je faisais. Je participais même à des galas de danse et très vite mes parents étaient fiers d’avoir engendré une fille talentueuse qui recevait beaucoup de compliments pour son travail scolaire mais également pour ses efforts en danse.

Durant cette enfance il se passa par moments des petites choses anormales mais rien de très alarmant, pourtant plus je grandissais plus cela devenait fréquent. Cependant, là n’était pas le principal problème de ma famille, pendant mon année de mon septième anniversaire, ma mère dut être emmenée à l’hôpital à plusieurs reprises. Mon père me rassurait en me disant que ce n’était rien de grave, mais je le voyais, toutes ses visites à l’hôpital n’étaient pas là pour quelques broutilles. Néanmoins, comme mon père me l’indiquait, tout irait mieux et il ne fallait pas que je m’en préoccupe. Malheureusement le jour de mon huitième anniversaire, ma mère, qui tenait le gâteau des mains, le laissa tomber et ce qui s’était passé par la suite fut horrible, elle eut comme des spasmes, elle tremblait, de la salive sortait de sa bouche, elle suait bien plus que n’importe quels être-humains dans les environs. Les urgences arrivèrent très rapidement, ils la prirent sur un brancard et l’emmenèrent emportant mon père avec eux, me laissant sous surveillance de quelques-uns des amis de mes parents.

Ce fut comme un choc, quand mon père me l’annonça mais venant de ma mère, celle qui m’a toujours protégée, celle qui m’a chérit, celle qui m’aimera toujours, ce fut moins dure à entendre. Ma mère avait bel et bien quelque chose, elle était malade, mais pas une petite maladie, une vraie, une dure, elle avait un cancer, elle avait les poumons qui se remplissaient de liquide ce qui l’empêchait de bien respirer, et puis elle était également atteinte aux cerveaux ce qui pouvait parfois déclencher des crises, des crises de panique le plus souvent avait dit le médecin. Pour conclure, ma mère était malade et voyait ses jours s’estompaient, elle vivrait encore mais pas aussi longtemps que mon père ou même le médecin qui devait au moins avoir la soixantaine.

Depuis ce jour, je profitais de chaque instant avec ma mère craignant que la mort vienne la chercher à tout moment, la nuit, le jour, mais presque deux ans et demi passèrent sans que rien d’inquiétant se passe, seules quelques crises mais rien de plus. Maintenant ce qui inquiétait mes parents fut, moi, les choses étranges qui se passaient étaient devenues rares mais quand elles se passaient, c’était comme une bombe. Ces évènements se passaient la plupart du temps à la danse. Pour moi la danse était devenue une sorte de compétition, j’ai la rivale de tout le monde parce que j’étais jeune et la chouchoute de notre monitrice. Les examens pour savoir quels rôles allaient avoir telle personne dans le futur spectacle commençaient. Bien entendu je visais le rôle principal. Les autres filles plus âgées, me faisaient pas mal de crasse, comme trouer mes chaussons, ou me retarder, puis un jour, la goutte déborda du vase, j’étais en colère, à cause d’elle je n’arrivai pas à faire un jeté, long et harmonieux. Je voulais me venger, mais je ne savais pas comment. Avant l’examen, à l’heure du déjeuner, tout le monde se rassembla pour manger. Les pestes me dévisageaient, sortant mon pique-nique et quand je l’ouvris, je vis quoi ? Tout était écrabouillé, il y avait de la boue, des cailloux, bref je n’avais plus rien à manger. J’avais faim, j’allais bientôt passer, et je n’avais rien dans le ventre. J’avais peur de rater mon examen, j’avais peur de rater mon jeté tout ça à cause de gamine bien plus âgée que moi voulant le rôle principal. On m’appela, c’était mon tour. J’enchaînai les mouvements, les pas, j’y arrivais, cela me rassurait. Mais le moment du jeté arriva, je priai le plus fort possible pour le réussir et c’était comme dans un rêve. J’avais réussi, il était unique, beau, harmonieux, fantastique, merveilleux, j’avais fait le plus beau de tous les jetés de l’examen. Lorsque mon passage fut terminé, la monitrice vint même me voir pour me féliciter. Après l'épreuve, les filles ne s'arrêtèrent pas à mon déjeuner, quand j’arrivais pour prendre mon gouter, je remarquai que lui aussi avaient subi les mêmes dommages que mon pique-nique. Je détestais ces pestes, les voyants manger leur gouter, j’eus comme une envie de les voir manger un sandwich aux vers de terre au lieu d'être remplie de Nutella. Je les regardais, lançant mon plus beau regard noir, priant pour qu’elles se mordent la langue. « Aaaaahhhh » cria l’une d’entre elles, « C’est horrible » cria une autre. Toutes les filles de la danse coururent vers elle pour voir ce qui se passait, même moi, je venais vers elle. Et quand je vis ce qui se passait je crus que j'allais évanouir. Des vers de terres étaient apparus dans leur sandwich. Une de ces pestes m’accusa, et peu après toutes me montrèrent du doigt. Après que tous les examens furent passés, le rôle principal m'avait échappé à cause de ce que j’avais fait, je les détestais. Quand mes parents vinrent me chercher, la monitrice leur expliqua ce qu’il s’était passé. Le soir à table, je leur racontai ce qu’il m’était arrivé, tout en détails, contant l'évènements surnaturels qui avaient eu lieu, j’avais l’air si sincère, je ne mentais pas, ils le voyaient, et bien qu’ils ne souhaitaient pas me croire, une part d’eux me crut. Depuis ce jour je n’avais pas remis les pieds à l’école de danse.

Après cet évènement, on n’en reparla plus pour éviter toute angoisse auprès de ma mère qui avait fait une crise le soir où ils avaient appris que je m'étais des limaces sans rien faire dans les Sandwich de danseuses. Malheureusement, autre chose vint bouleverser notre vie, une lettre, une simple lettre. On l’avait reçu, environ un mois après mon onzième anniversaire, elle était faite de vieux papier qui sentait le vieux livre, une odeur que j’aimais beaucoup, elle portait également un caché rouge en forme de rond avec une grand H qui le dominait. Je retournais la lettre pour savoir à qui elle était destinée mais quand je vis qu’elle était pour moi, je fus prise d’une grande joie. J’aimais beaucoup recevoir du courrier, je l’ouvris. Mes parents près de moi, attendaient que je la lise, je la lus. Pourdlard, magie, sorcière, don… Je n’en revenais pas, j’étais vraiment différente ! Même ma mère avait un sourire aux lèvres alors qu’elle aurait dû être choquée et elle m’a dit : « J’ai toujours su que tu étais unique. » Juste après elle fit une crise.

Lorsqu’elle revint à la maison, le jour même, un homme aux vêtements étranges vint sonner à notre porte. C’était un professeur de cette école, il était venu pour expliquer à moi et à ma famille tout sur cette lettre, tout sur moi, tout sur l’école. Ce jour-là, je sus qu’une nouvelle vie s’offrait à moi. Comme il nous l’avait indiqué, on était allé au chemin de traverse pour acheter les fournitures. C’était un jour vraiment inoubliable, mes parents étaient à mes côtés et eux aussi n’en revenaient pas. L’allée était vraiment fascinante, il y avait plein de boutiques aux couleurs chaleureuses, les passants l’étaient aussi. La première boutique fut celle du fabricant de baguettes, monsieur Ollivander. Sa boutique était un peu plus lugubre que les autres mais lorsqu’on le rencontra on comprit. Il était très vieux, il devait avoir plus de 100 ans, pourtant il avait l’air en pleine forme. Il me fit essayer plusieurs baguettes et avant que j'eusse trouver la bonne il me dit :
« Celle-ci mesure 24,3 centimètres, elle est fait en bois de Hêtre, sagesse & compréhension. Sont les deux termes qui conviennent le mieux à ce bois. Le possesseur idéal d’une baguette de hêtre sera, s’il est jeune, d’une sagesse avancée pour son âge. S’il est adulte, il aura une compréhension du monde et une expérience d’une grande richesse. Les baguettes de hêtre ne sont pas très efficaces entre les mains des personnes intolérantes et à l’esprit étroit. De tels sorciers et sorcières, en possession d’une baguette de hêtre qui ne leur convenait pas (alors que, pourtant, ils convoitaient ce bois très recherché, aux teintes éclatantes, et hautement précieux), se sont souvent présentés chez des fabricants érudits, moi-même notamment, en exigeant de savoir pourquoi leur magnifique baguette manquait tellement de puissance. Lorsqu’elle est confiée à la bonne personne, la baguette de hêtre montre une subtilité et un art de la magie qu’on trouve rarement dans d’autres bois, d’où sa brillante réputation. Cette baguette a pour cœur une plume de phénix, c'est le cœur le plus rare. Les plumes de phénix offrent le plus large éventail de pouvoirs magiques, bien qu'elles puissent mettre davantage de temps à en faire la preuve que le crin de licorne ou le ventricule de dragon. Elles manifestent la plus grande capacité d'initiative, agissant parfois de leur propre chef, une qualité qui déplaît à nombre de sorcières et de sorciers. Les baguettes à plume de phénix sont toujours les plus exigeantes lorsqu'il s'agit de choisir un propriétaire potentiel, car les créatures dont ces plumes sont issues comptent parmi les plus indépendantes et les plus réservées du monde. Ces baguettes sont très difficiles à apprivoiser et à personnaliser et, en règle générale, leur allégeance se gagne difficilement. »
J’étais heureuse, j’avais une baguette, une chouette et après avoir fait toutes les autres boutiques, j’étais prête pour le premier septembre.

Et ce jour arriva rapidement. J’étais vraiment surexcitée, j’avais hâte, certes j’étais triste de quitter ma mère et mon père mais je savais qu’ils s’en sortiraient à merveille.

J’étais monté dans le fameux Poudlard Express, mes parents sur le quai 9 3/4, à l’endroit où se trouvait le compartiment que j’avais choisi. Le train hurla et toussa, il avança. Au moment de dire au revoir à mes parents, ma mère s’évanouit, mon père la retint, il l’allongea, et s’alarma. Je voulus descendre, j’étais en panique, ma mère, et si ma mère mourrait. Le train quittait déjà la gare de King’s Cross. Je m’étais rassise dans mon siège, paniquant, inquiète, qu’il soit arrivé quelque chose à ma mère. C’était trop tard, maintenant je n’avais plus qu’à aller à cette célèbre école de sorcellerie. La route fut longue, très longue, mais quand j’arrivai, tous mes problèmes disparurent. C’était comme dans un rêve, quand on descendit du train, quelqu’un vint nous guider pour nous emmener dans les barques qui se trouvaient près du lac. Après cette petite balade sur l’eau, on monta vers le château. Je n’en pouvais plus tellement c’était incroyable, j’avais le cœur qui battait la chamade, tout était merveilleux. Lorsqu’on rentra dans le hall, le château était comme je l’imaginais, énorme ! Finalement, on n’attendit pas longtemps dans le hall, quelqu’un, sûrement un professeur, nous emmena avec lui dans la pièce à côté, la grande salle. Il y avait quatre tables installaient parallèlement, en face et perpendiculairement à elle, se trouvait la table des professeurs. Le professeur qui nous amena, attrapa un chapeau étrange, vieux et assez moisi, le posa sur un tabouret et nous donna des instructions. Plusieurs élèves passèrent avant moi et quand ce fut mon tour, je commençais à paniquer, j’avais peur que le choixpeau m’envoie dans une maison que je ne souhaitais. Avec quelques-uns de mes nouveaux camarades, on en avait discuté dans le train, et je crois que la maison que je voulais le plus était Serdaigle mais aussi Gryffondor. Je m’assis sur le tabouret, et je sursautai lorsque l’objet sur ma tête pris la parole : « Mmmh, oui, courageuse, intelligente, tu as toutes les qualités pour aller à Gryffondor mais je vois que tu espères aller à Serdaigle aussi, bleu ou rouge, c’est un choix rude et difficile que tu m’as donné... Voyons, moui, je sais, SERDAIGLE ! » Je fus soulagée, je descendis du tabouret et accueillis par les élèves de la table des Serdaigles, je m’installai et mangeai.

Ma première année passa rudement vite, j’avais réussi mes examens et j’étais heureuse, j’étais rentrée chez moi à Noël cette année-là, la maladie de ma mère s’était aggravée, maintenant elle devait transporter un chariot d’oxygène avec elle. Mais cet évènement ne perturba en rien mon année, la deuxième se passa rapidement également, mais avant de débuter la troisième, juste après ma deuxième année, il se passa quelque chose d’horrible, quelque chose qui n’aurait pas pu attrister encore plus ma famille, ma mère avait perdu la vie. Elle avait fait un malaise, elle avait perdu connaissance, avec mon père on ne s’était pas inquiétés car elle avait l’habitude mais le lendemain lorsque l’hôpital appela pour nous annoncer la mauvaise nouvelle, mon père s’effondra et moi avec. Je la vis, elle était allongée sur ce lit blanc, typique des hôpitaux, blanche, sans chaleur émanant de sa peau quand je lui pris la main, son regard vidé alors que la vieille il était rempli de joie, sa bouche ouverte alors qu’elle souriait d’habitude. Je sanglotai, durant tout mon été, ma seule occupation était de faire mon deuil, d’être là pour mon père et ramener un peu de joie dans cette famille.

[size=12]Je quittai la maison avec regret, craignant de faire une erreur en abandonnant mon père seul sur la gare, souriant, agitant la main, mais ce sourire en disait long et je savais qu’il était faux tout comme le mien. Mais cette troisième année réussit à me faire oublier la mélancolie de l’été, mon professeur de défense contre les forces du mal nous montra des choses extraordinaires, il nous montra plein de créatures que le monde de la magie renfermait, la plupart dangereuses mais cela restait fascinant. Cette même année, avec l’aide de ce professeur j’appris à faire un patronus, malgré ce qui s’était passé l’été dernier, je n’avais pas oublié les merveilleux moments que j’avais passés avec mes parents bien avant tout cela, il était donc facile pour moi de créer un patronus. Le mien ressemblait à un lynx, un lynx du Canada. J’étais heureuse, j’aimais bien le créer pour avoir l’occasion de me rappeler des bons moments. Puis un jour, ce professeur nous amena, un épouvantard, chaque élève devait passer devant la créature et lancer le sortilège de Riddikulus, mais pour que cela marche il fallait d’abord penser à quelque chose de drôle. Ce fit rire tout le monde lorsque les premiers passèrent mais quand ce fut mon tour, ma peur me vainquit. Je la voyais sur son lit d’hôpital, sans vie, les larmes coulaient abondamment sur mes joues et bien que je lance le sort, il ne marchait pas, je n’arrivais pas à vaincre ce simple épouvantard, le professeur du intervenir. À la sortie du cours, je lançai mon patronus, j’en avais besoin. Et après ça, rien de triste ne se passa, je redevins la fille talentueuse, souriante et blagueuse que connaissait tout le monde.

Maintenant je rentre en 7 ème année, le monde de la magie coule, mais si il le faut je me battrais !

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▬ hrp

ϟ COMMENT NOUS AS-TU DÉCOUVERT ?Via top-site

ϟ LE NOM DE LA PERSONNE SUR TON AVATAR ; Ginny Gardner

ϟ QUE PENSES-TU DU FORUM ? Très originale et très chouette ;)

ϟ AS-TU LU/VU TOUS LES HARRY POTTER ?Oui tous 2 fois sans exception.

ϟ SUR COMBIEN D'AUTRES RP ES-TU INSCRIT SANS COMPTER CELUI-CI ? trois :)

Des nouvelles ?

Invité

LawLaw a écrit:: e ne doute pas que tu en sois l'auteur, mais tout simplement, nous ne voulons pas de simple duplicata x1000 d'un personnage.

Quel personnage ? *se barre car elle n'a rien à foutre ici*
Je suis juste curieuse.

Pas de nouvelles, fiche déplacée.