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Invité
| VOLTAIRINE | Smile, it's free therapy. Sujet : VOLTAIRINE | Smile, it's free therapy. Dim 26 Oct 2014 - 12:18 |
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| [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Adelheid Voltairine Bakhtine
▬ carte d'identité ϟ ÂGE & DATE DE NAISSANCE : Ses papiers prouvent qu'elle est née il y a 20 ans de cela, le 15 Mai 1977. Mais elle ne sait rien de plus de sa naissance, ni des premiers instants de sa vie, ni de ses parents. Ne pensez pas qu'elle s'en préoccupe, qu'elle s'en inquiète, elle est sûre que sa mère biologique avait de très bonnes raisons d'accoucher anonymement et qu'elle ne s'en porte pas moins bien aujourd'hui. ϟ LIEU DE NAISSANCE : Encore une fois, ce sont ses papiers officiels qui lui indiquent qu'elle est née à Kiel, dans le nord de l'Allemagne. Par conséquent, elle a la nationalité allemande en plus d'être française de part son père adoptif. Peut-être que ça lui servira un jour, pour l'heure, elle est anti-patriotique, alors pensez bien que ces papiers administratifs, elle n'en a que faire. ϟ EMPLOI & ANCIENNE MAISON : Ce n'est peut-être pas le boulot rêvé pour nombre de sorciers, mais Voltairine est très heureuse en tant que Barmaid à La Tête de Sanglier. La clientèle y est hétéroclite, son patron divertissant à sa manière, non, elle s'y sent très bien, sans compter qu'elle gère un peu comme elle l'entend son emploi du temps sans que cela ne se ressente sur son salaire. Elle a fait ses classes à Poudlard, où elle était une charmante Serpentard, rusée, mais pas mauvaise. Elle était batteuse dans l'équipe de sa maison et en fut Capitaine pendant deux ans, avant de laisser sa place à Marcus Flint. ϟ ORIENTATION SEXUELLE : Bisexuelle affirmée, elle est très ouverte sur le sujet, aime à multiplier les rencontres, mais ne supporte pas l'engagement, qu'elle voit comme un enfermement, une restriction, plutôt qu'une promesse envers l'autre, ce qui ne l'empêche pas d'être loyale envers ses relations, tout en étant parfaitement infidèle, sans s'en cacher pour autant. ϟ DESCRIPTION DE LA BAGUETTE MAGIQUE : Il est étonnant que la première baguette qu'elle est eu soit une de celle qu'on a habituellement lorsque l'on est adulte. Le bois d'aulne n'est pas courant pour une gamine, pourtant c'était bien ce qu'elle était lorsqu'elle reçu sa baguette magique. Cette dernière est donc composé de bois d'aulne, signe annonciateur de sa grande capacité à lancer des sortilèges informulés, et d'une plume de phénix. Elle mesure 34,2 cm et est très rigide. ϟ PATRONUS : Un phénix au bec fendu, avec deux plumes manquantes sur sa traîne arrière.
ϟ AMORTENTIA : Le goudron chaud et humide, l'huile d'olive et la menthe fraîchement coupée.
ϟ ÉPOUVANTARD : Son père, mort. Sa plus grande peur est réellement de se retrouver seule face à ce vaste monde. | ϟ ALBUS DUMBLEDORE OU BELLATRIX LESTRANGE ? : Elle a tendance à pencher vers Bellatrix Lestrange, parce que cette dernière ne cache pas ce qu'elle pense, contrairement à Dumbledore dont elle n'apprécie guère le côté cachottier, mystérieux et l'impression de supériorité qui se dégage de lui.
ϟ CELUI-QUI-SAIT OU PHILÉAS FOLENGRAIN ? : Ni l'un, ni l'autre. Elle ne peut encadrer Philéas, comme tous les politiques, car ils pratiquent la langue de bois à un niveau très poussé. La démarche de Celui-qui-sait l'intéresse plus, dévoiler les secrets des uns et des autres, leurs manigances... mais le fait qu'il(s) le fasse(ent) en restant masqué(s), caché(s), la dérange tout autant que les mensonges des politiciens.
ϟ SUCRÉ OU SALÉ ? : Elle ne dit pas non à quelques sucreries, mais le sucré, elle l'aime surtout associé au salé. Alors que le salé, elle l'aime dans tous les cas. |
ϟ BUT DANS LA VIE : Rester fidèle à ses principes, jusqu'au bout. Son manque de grande ambition peut sembler surprenant pour une ancienne Serpentard. Oui, elle n'a pas envie de diriger un département du Ministère, encore moins de devenir Ministère de la Magie ; oui, elle refuse de devenir la plus grande chercheuse dans un domaine précis ; oui, elle est prise d'horreur à la simple idée de devenir une grande joueuse de Quidditch, mondialement connue ; et encore, oui, elle ne supporte pas la possibilité de devenir Directrice d'une grande école de magie. Non, tout ça n'est pas pour elle... Mais ce que le Choixpeau a vu, lorsqu'elle l'a placé sur sa tête est une ambition plus grande encore, plus improbable, plus étonnante, plus utopique : vivre sans autorité, aider les autres sans restriction et avoir confiance en tout être humain. Un défit plutôt difficile à relever pour une simple sorcière, un défit que tout le monde pourrait lui annoncer perdu d'avance, un défit qu'elle n'abandonnerait pour rien au monde. ϟ CE QUI COULE DANS VOS VEINES : Bien qu'elle ne connaisse pas ses parents, il est stipulé que ceux-ci étaient tous deux sangs-pur, ce qui l'a surprise lorsqu'elle l'a lu pour la première fois. Les sangs purs avaient plutôt tendance à se protéger, à se refermer sur eux-même, à tout faire pour que leur sang jamais ne soit entaché... alors pourquoi l'abandonner ? Mais finalement, elle s'est dit que ça importait peu et n'y a plus pensé. ϟ VOTRE ANIMAL DE COMPAGNIE : Deux chats, Gudule et Smadja, qu'elle adore, tout simplement. Une chouette effraie, nommée Moka. Elle en prend soin et l'apprécie particulièrement. Bien entendu, elle l'avait d'abord acheté pour l'aspect pratique de l'animal, mais elle a finit par s'y attacher. ϟ SIGNE PARTICULIER : Elle a un piercing à la narine droite, plusieurs tatouages sur le bras, dans le bas du dos, sur la cheville gauche, juste en dessous de son nombril. Elle a également une cicatrice sur l'arrière de son crâne, elle ne sait pas d'où elle vient, l'ayant depuis bien avant son adoption par Archibald.
▬ physionomie ϟ DESCRIPTION PHYSIQUE ; Vous vous ennuyiez sur une terrasse de café. Londres vous semblait bien morne aujourd'hui, les passants se pressaient pour se mettre à l'abri de la pluie, les serveurs vous regardaient mécontents : quelle idée de se mettre en terrasse quand il pleuvait des cordes ? vous ne pouviez pas attendre quelques minutes, le temps de boire votre bière, avant de fumer ? Vous jetâtes un coup d'oeil aux gens qui passaient, reconnaissant parmi eux quelques sorciers, essayant tant bien que mal de cacher leurs habitudes vestimentaires bien différentes de celles des moldus. Après une gorgée, une chevelure rousse attira votre regard. Vous levâtes la tête pour mieux observer cette silhouette féminine qui s'approchait à grandes enjambées de votre table. Sa démarche était assurée, ses hanches ondoyaient sans pour autant que sa dégaine s'en trouva vulgarisée. Elle avait le pas lourd, balançant ses jambes en avant, comme si elle sautait de pavé en pavé, plutôt que de marcher. Elle semblait plutôt sportive, du moins n'était-elle pas chétive, loin s'en faut. Grande, elle l'était d'autant plus qu'elle portait une paire de chaussures à talons épais, en velours noir. Son short noir, relativement court, laissait voir de longues jambes, tandis qu'une chemise blanche ne laissait guère deviner la taille de sa poitrine, qui ne devait, de toutes manières, pas être proéminente. Sous cette chemise, on pouvait deviner un ventre charnu, qu'elle touchait de temps en temps, le massant délicatement. Le galbe de ses cuisses et de ses mollets était subtilement mis en valeur par un collant noir, un peu transparent, sur lequel un trait noir, parcourait l'arrière de la jambe, de haut en bas.
Mais ce qui vous impressionnait, c'étaient ses cheveux. D'un roux presque rouge, des cheveux cinabres dont les pointes avaient une jolie teinte safran. Attachés avec négligence, des mèches s'enfuyaient ça et là, l'une tombant sur sa nuque, l'autre chatouillant son menton. Malgré cet apparent laisser-aller, il ne faisait aucune doute que la jeune femme prenait grand soin de sa crinière. D'une bonne épaisseur, ils encadraient un visage aux traits à la fois doux et bruts. Un menton présent et large, des sourcils épais mais bien dessinés, un nez droit, une face oscillant entre le carré et l'ovale, de part cette mâchoire nette et ses pommettes hautes. Sa bouche, fortement grimée d'un rouge à lèvre intense, était impeccablement dessinée. La lèvre inférieure plus épaisse que la supérieure, donnait un aspect boudeur à toute expression qui pouvaient s'y dessiner. Soudain, elle sourit. Peut-être venait-elle de se faire une réflexion personnelle très amusante, toujours est-il que son sourire, éclatant de bonne humeur, laissa apparaître des dents relativement blanches, bien alignées si ce n'était une incisive, quelque peu en avant, et une autre fendue sur les trois quarts de sa hauteur. Sa peau, d'un beige assez pâle, sans être pour autant de nacre, n'était pas uniforme. Par endroit, matte, elle brillait à l'endroit du front et du menton. On pouvait anticiper sa douceur, malgré les quelques imperfections, les grains de beautés et autres petites boules de peau présentes autant sur son coup que sur sa joue droite.
Ses yeux, d'un marron profond, surplombés de longs cils noirs, vous observaient désormais, ayant pris conscience d'être observés, par dessus des lunettes de soleil rondes. Un sourire se dessina sur ses lèvres, charmeur, sans l'ombre d'un doute, étirant par la même occasion le coin de ses yeux, qu'elle avait campés en amande. Elle qui ne devait marcher que dans une direction proche de la vôtre acheminait maintenant son charmant portrait droit sur vous. Pressé par le temps, vous l'observiez alors avec plus de vivacité. Elle portait un long blazer aux motifs colorés, de nombreux bijoux, dont la majorité se trouvaient réparti sur ses longues mains fines. Elle arriva enfin à votre hauteur, s'appuyant sur la table en tournant ses avant-bras, vous fixant droit dans les yeux. « Vous désirez quelque chose ? » Sa voix s'était faite taquine, comme amusée par l'observation détaillée que vous veniez de faire d'elle. Son timbre était assez grave, suave presque, ce qui la rendait agréable et chaleureuse. Vous vous surprîtes alors à lui répondre, avec effronterie. « Peut-être bien... Et vous ? » Elle sourit, s'assit face à vous, croisa ses jambes. Très polie, presque révérencieuse, elle commanda une bière.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]▬ psychologie ϟ AIME : Son père, il n'est peut-être pas à l'origine de son existence, mais elle n'y voit aucun inconvénient, elle l'aime tant et si bien qu'elle utilise son deuxième prénom, celui qu'il lui a donné - Voltairine, en lieu et place du premier, donné par l'orphelinat magique de Kiel, Adelheid. Son oncle, avec son père et lui, ils formaient un sacré duo qui a toujours fait rire la jeune sorcière, il a disparu et elle s'inquiète de son sort ; les moldus, les êtres magiques (comme les centaures, les êtres de l'eau, les vampires, les vélanes) ; avoir une conversation franche, sans faux semblants, avec n'importe qui ; la campagne, le calme et la tranquillité d'un petit village sorcier comme Pré-au-Lard ; vivre à l'ombre de Poudlard, son ancienne école ; son patron, Abelforth Dumbledore, avec qui elle s'entend à merveille sur bien des sujets et qui la laisse libre de son temps, ils partagent d'ailleurs tous deux un potager duquel elle tire la plupart de sa nourriture ; la littérature, de toutes sortes, elle passe une grande partie de son temps libre à lire et dépense la moitié de son salaire dans des bouquins - l'autre étant dévolu principalement aux vêtements, une infime partie servant à subvenir à ses besoins plus primaires ; sortir le soir, boire un verre, ou deux, voire trois, faire des rencontres ; parler avec des gens qui n'ont pas les mêmes idées qu'elle ; transplaner, nombreux sont ceux qui n'aiment pas se moyen de transport, elle, elle le trouve absolument génial, cette sensation du corps qui s'en-va, qui se trouve malmener par cette magie qui lui est étrangère ; jouer au Quidditch ; boire de l'hydromel dans son café le matin, du whisky pur feu (toujours dans son café) le soir ; le coca-cola, elle est totalement acquise à cette boisson moldue.
ϟ N'AIME PAS : Qu'on lui mente, dissimulez vos pensées à vos risques et périls, si jamais elle l'apprend, je ne donne pas cher de votre peau ; le Ministère de la Magie, comme toutes formes d'autorités par ailleurs, que ça soit celle de son père - qu'il a bien fait de très vite effacée, celle des hommes sur les femmes la majeur partie du temps, celles des Professeurs, mais particulièrement le Ministère ; manger de la viande, ne vous méprenez pas, elle adore le goût de la viande, elle était même une très grande consommatrice jusqu'à un moment, puis elle a réfléchit et c'est dit qu'elle ne supportait pas l'idée de se nourrir de cadavres, elle se rattrape cependant sur le fromage et les œufs ; les gens qui tirent la tronche à longueur de journée, Merlin qu'ils sont incommodants ceux-là, ils ne peuvent pas être un peu plus optimistes et avenants ? ; les États-Unis d'Amérique, elle a horreur de ce pays, des lois qui y sont respectées, du patriotisme nauséabond qu'elle y a rencontré quand elle s'y est rendue, une fois ; les Religions, elle est agnostique, ce fichant éperdument de savoir s'il y a eu une quelconque volonté qui a décidé de la naissance de tout ça, se disant que si c'est le cas, cette dernière n'a plus rien à faire de ce que les hommes deviennent, elle n'a rien contre la foi et ceux qui croient en Dieu(x), elle déteste juste les institutions religieuses, le dogme religieux ; le mariage, elle n'est pas libertine ni échangiste, elle considère simplement qu'en amour, il ne faut pas chercher à posséder l'autre, mais profiter des instants en sa compagnie, s'en s'inquiéter de ce qu'il fait en dehors de ce temps. ϟ DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE ; Contrairement à ce que vous aviez pu croire en la voyant arriver, déterminée et sûre d'elle, vous la trouviez dorénavant plutôt accessible. Elle vous souriait, parlait avec désinvolture autant qu'engagement, abordant des sujets aussi divers que variés. Elle porta sa pinte à ses bouche, se délectant d'une ou deux gorgées avant de la reposer sur la table. « Alors? » Toute à sa contemplation, vous en aviez oublié la question qu'elle venait de vous poser. Elle comprit ce qui se passait dans votre tête rien qu'à voir votre expression. Un rire, profond et pas très gracieux, s'échappa de sa gorge, le plus naturellement du monde. « Je te demandais d'où tu venais, mais j'avoue que ce n'est pas une question très intéressante alors gardons le mystère... je pourrais imaginer que tu as été élevé par deux mères homosexuelle en Allemagne de l'Est, qui ont dû se cacher et te cacher, ou alors que tu es l'héritier d'un Prince slovaque, ou encore un simple paysan canadien, en fuite sur le vieux continent pour avoir tué sa petite amie. » Vous ne saviez quoi lui répondre, aussi sourîtes-vous un instant, amusé par ses réflexions, mais un peu surpris par la fantaisie dont elle faisait preuve, sans aucun détour. Elle vous semblait être quelqu'un de franc à l'extrême, peut-être même un peu trop franche pour son propre bien si on y pensait, allez savoir sur qui elle pouvait tomber ! Et bavarde. La belle ne s'arrêtait pas de parler, débitant des phrases qui n'avaient pas forcément rapport les uns avec les autres, ou si elles avaient un lien, seule son interlocutrice en avait conscience. Elle était très vite passé au tutoiement, au bout de deux phrases échangés pour être exact, mais sa familiarité ne choquait pas. Étonnamment, et bien qu'elle sembla être charmeuse et quelque peu impulsive et sans gêne, elle pouvait être familière avec n'importe qui sans que ce dernier ne s'en sente offensé, ou agressé. De nombreuses fois, elle se montra caustique, parlant sarcastiquement de thèmes pas toujours politiquement correctes. Elle était très critique sur bon nombre de sujet, vous vous en étiez très rapidement rendu compte.
Soudain, elle appela le garçon de café, régla l'addition pour vous deux et vous attrapa par le poignet. « Profitons de cette éclaircie, j'ai bien envie de me promener, pas toi ? » Le contact de sa main sur la vôtre vous surpris, mais ne fut pas désagréable et vous acceptâtes de la suivre. En traversant, une voiture manqua de vous bousculer. La dénommée Voltairine se mit à pester, râlant contre le manque d'attention de ce chauffard mal avisé. Elle ajouta même qu'il ferait mieux de ne pas la croiser plus tard car elle avait une excellente mémoire et qu'elle n'aimait pas qu'on traita les gens ainsi, d'autant plus ceux qui ne polluaient pas la planète dans leurs véhicules malodorant ! Rancunière ? Lorsque vous lui posâtes la question, elle convint qu'elle l'était peut-être un peu. Vous entrâtes alors dans la première boutique qu'elle avait envie de visiter. Sautant d'un portant à l'autre, elle examinait avec hâte les vêtements qui s'y trouvaient suspendus. Elle semblait débordée, laissant vagabonder son regard d'une pièce de tissu à une autre, s'impatientant lorsque le vendeur ne lui donnait pas assez rapidement l'information dont elle avait besoin, même si elle n'en restait pas moins polie. Dans une autre boutique, un monsieur leur dit que vous formiez un beau couple. La rouquine s'approcha alors de vous, passant son bras sous le vôtre et vous couvant du regard. « N'est-ce pas ? » Vous haussâtes un sourcil, surpris, sans faire de commentaire. Elle dépensait, beaucoup. Pas uniquement pour des vêtements, à vrai dire, la plupart de ses achats avaient été des bouquins, qu'elle engouffrait dans son sac sans fond qu'elle commençait à porter avec difficulté. Affectueuse, elle s'amusa à jouer la tendre à vos côtés pendant les quelques boutiques que vous fîtes ensuite.
Vous voulûtes alors trouver de quoi manger. Elle avait envie de manger thaï, mais la boutique de restauration rapide à laquelle vous aviez d'abord pensé était fermée. Mais, entêtée, elle voulu quand même trouver un autre restaurant qui servit ce type d'alimentation. Elle finit par le trouver et vous y traîna, sans mal. Elle chuchote alors à votre attention une nouvelle idée de jeu. « Vous avez joué mon homme, maintenant, jouez mon père, vous en avez l'âge. » Elle n'avait pas tord, mais la situation vous paraissez un peu déplacé. Il était évident que dès le départ vous étiez l'un et l'autre tombé dans un jeu de séduction, amusant, divertissant et original, si bien qu'il vous semblait malsain de prétendre une relation toute autre. Il était étonnant qu'elle soit d'un coup repassé au vouvoiement, mais ça devait faire parti de son jeu également... et il marchait plutôt bien car la nouveauté toujours renouvelée de la manière dont elle s'adressait à vous ne manquait pas de vous charmer. Attentionnée, elle vous ouvrit la porte du restaurant, vous appelant soudainement Papa, sans que ça ne semble la déranger. Elle commanda une quantité astronomique de plat, pour elle seule, et se montra très attentive à ce que vous désiriez. Vous vous assîtes à une table, dégustant vos mets. Elle vous parlait de sa nouvelle vie, vous racontant qu'il n'était pas toujours facile d'avoir quitté le cocon familial, que maman et vous lui manquiez parfois, que vous deviez lui rendre plus souvent visite, que Londres n'était pas si horrible que ça, même s'il y avait beaucoup de monde, c'était vrai. Petit à petit, vous réussissiez à entrer dans ce nouveau jeu.
En sortant, elle s'écarta de vous de quelques pas et commença à imposer une cadence de marche assez dynamique, tout comme elle semblait être une jeune femme très active. Alors que vous étiez en sa compagnie depuis déjà trois heures, vous n'en saviez pas plus que son nom et son caractère fantasque. Elle vous parla alors, s'adressant à vous d'une bien étrange manière. « Je suppose que vous voulez des nouvelles, Professeur ? » Un nouveau jeu ? A priori. Elle changeait si vite de rôle, sans en parler au préalable, que vous vous en trouviez toujours fort stupéfait. Vous lui fîtes un signe de tête, acquiesçant silencieusement à sa question. Peut-être en apprendrez-vous un peu plus sur elle ? Ou peut-être tout ce qui sortirait de sa bouche ne sera que fabulation pour le jeu ? « Et bien, j'ai essayé de me calmer un peu depuis que j'ai quitté Poudlard. Vous savez, moins de bagards, tout ça... Non, je plaisante. Si quelqu'un me cherche, je ne vois pas pourquoi je ne devrai pas riposter, sous prétexte que je suis une fille... » Elle marqua une pause, comme si elle était honteuse de ce qu'elle venait de dire, ce qui était à coup sûr pur jeu d'actrice de sa part. « ... excusez-moi, Professeur, je m’égares. » Pour une fois, vous trouvâtes une réflexion fort à propos à utiliser dans cette situation. « En effet, mais ça importe peu. Vous avez trouvé un emploi ? » Elle sourit et acquiesça avec détermination. « Oui, barmaid à la Tête du Sanglier ! » Vos deux sourcils se haussèrent d'un même ensemble. « Ce n'est pas un établissement très recommandable pour une jeune fille ! » Elle haussa les épaules. « Oh vous savez, je suis débrouillarde... et Abelforth Dumbledore est un très bon ami maintenant, je lui resterai loyale. » Vous continuiez ainsi à parler un peu avec elle, piochant çà et là des informations qui vous semblaient intéressantes.
Vous allâtes alors partager une tasse dans un salon de thé, où le jeu semblait être revenu à la normal, à savoir : deux inconnus qui se cherchent. À la fin de votre thé au jasmin, vous lui tendîtes la main, un peu maladroitement. Elle l'attrapa, vous tira un peu et déposa un baiser sur votre joue avant de vous donner son nom de famille pour que vous puissiez lui envoyer un hibou si l'envie vous prenait. « C'était amusant. » Elle s'en alla sur ses paroles, sans même se retourner. Un étonnant personnage, vous ne saviez pas si vous vouliez la revoir ou garder le souvenir intact de cette rencontre peu habituelle.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]▬ histoire Tranches de vie, souvenirs éparses, plus ou moins précis, plus ou moins vrais : on ne peut être exhaustif lorsque l'on veut raconter une vie. Dans ces conditions, nous nous satisfaisons de quelques souvenirs laconiques, irréguliers et capricieux qui tentent, en vain, de nous donner l'illusion d'une histoire compréhensible, intelligible et accessible. ▬ La petite Adelheid jouait avec les autres enfants de l'orphelinat lorsqu'une des sorcières qui venaient leur rendre visite de temps en temps vint la chercher. On l'avait prévenu, elle savait qu'aujourd'hui, elle rencontrait son papa. Elle dit au revoir à ses amis, les serrant dans ses bras, aussi fort qu'elle le pouvait. Elle savait qu'elle ne les reverrait pas, pour autant, elle n'était pas triste. Quelqu'un avait voulu d'elle, elle allait avoir un papa. Elle se répéta en descendant les marches, puis en avançant dans le grand couloir du rez-de-chaussée. La sorcière qui l'accompagnait, lui tenant la main, ouvrit la porte derrière laquelle se trouvait son père. Mais l'enfant resta là, interdite. Elle regardait alternativement les deux hommes qui se trouvaient dans la pièce. Lequel était son père ? Et si elle en avait deux ? Ce serait merveilleux quand même ! « C'est qui mon papa ? J'ai deux papas ? » On lui expliqua que l'un des deux était son père, quand l'autre était son oncle. Elle sourit. Celui qui était son père s'appelait Archibald, il avait une expression bienveillante fichée sur son visage. Timide, mais déterminée à faire bonne impression, la gamine s'avança vers le sorcier, posa sa main sur son bras et lui fit un grand sourire. Elle n'avait peut-être qu'un père, mais elle se disait que c'était mieux que de rester à l'orphelinat. Il avait l'air gentil. Elle s'empressa de lui demander s'il y avait des jouets chez lui. Ce à quoi il répondit à l'affirmative, ajoutant que ce n'était pas chez lui, mais chez eux. Elle sourit. Une nouvelle fois. ▬ « Papa ! Papa ! Tonton m'embête ! » La petite rouquine secouait comme elle pouvait son père, endormi sur le canapé. Ce dernier finit par ouvrir un œil, grand mal lui prit ! L'enfant se mit à déblatérer tous les griefs qu'elle avait à l'encontre de son tonton, n'omettant aucun détail. L'intéressé finit par débarquer dans la pièce, échangeant un regard complice avec son frère. Un magnifique gâteau fit alors son apparition sur la table du salon, sous les yeux ébahis de l'enfant qui en oublia aussitôt ses revendications. Elle avait oublié que c'était son anniversaire, comme tous les ans. Elle avait huit ans, c'était une grande fille maintenant ! D'ici peu, elle irait même à Poudlard. La petite famille s'installa autour de la table basse, on dégusta le gâteau, on se goinfra de bonbons et autres sucreries, puis on ouvrit les cadeaux. ▬ Des noms étaient appelés, les uns à la suite des autres, mais Voltairine n'eut pas longtemps à attendre avant d'être appelée, avantage d'être en début de liste alphabétique. Elle monta sur l'estrade, salua la Directrice Adjointe qui venait de l'appeler et s'assit sur le tabouret, faisant désormais face à toute la Grande Salle. La vision était pour le moins intimidante, mais la sorcière essaya de faire bonne figure. Elle sentit qu'on venait de lui poser le Choixpeau magique sur la tête et tenta de ne se concentrer que sur ce qu'il avait à lui dire. « Aucun membre de ta famille n'a été ici, du sang nouveau ! » Elle se serait bien passé de cette information, elle se fichait de savoir si ses parents biologiques avaient été ou non à Poudlard, et là, par une malheureuse situation, elle avait la réponse à cette question qu'elle ne s'était jamais posée. « Tu es bien singulière, jeune fille, bien singulière. Pas assez travailleuse pour aller à Poufsouffle, bien que ta loyauté puisse te rattraper. Curieuse, mais pas érudite pour autant. Tu as une certaine forme de courage, mais sûrement pas de bravoure. Tu n'es pas si rusée... » Il y avait un côté très désagréable à se faire examiné ainsi par un bout de cuir. « Mais je vois une grande ambition en toi, une très grande ambition... » Voltairine paru surprise, n'importe qui la regardant à cette instant pu s'en rendre compte. Elle n'avait pas d'ambition. Elle ne voulait surtout pas devenir quelqu'un d'important... Qu'est-ce ce vieux chapeau lui chantait ? « Pas la peine de m'insulter, jeune fille ! Et c'est décidé, tu iras à Serpentard ! » Sa voix avait augmenté sur les derniers mots si bien qu'une salve d'applaudissement retentit à la table des verts et argents. Elle alla s'y installer, saluant ses voisins de tables et se retourna vers l'estrade pour écouter la Directrice Adjointe reprendre sa litanie. Marcus Belby, Serdaigle ; Lucian Bole, Serpentard ; Eddie Carmichael, Serdaigle ; Peregrine Derrick, Serpentard ; Robert Hilliard, Serdaigle ; Jack Sloper, Gryffondor ; Gabriel Truman, Poufsouffle. ▬ Revêtant sa tenue de Quidditch, Voltairine avait une annonce assez importante à faire à son équipe. Elle en avait discuté longuement avec Marcus Flint, de deux ans son aîné, et bien qu'elle n'appréciait guère le personnage, elle n'avait pu voir aucune autre personne pour prendre sa suite. Elle attrapa son balais, sa batte, ainsi que la caisse contenant les différentes balles et sorti des vestiaires qu'elle ne partageait qu'avec une autre sorcière, qui n'était même pas titulaire. Elles étaient donc en minorité, face aux compagnons mâles de cette équipe et ils n'étaient pas tous très solidaire de leurs deux camarades féminines. L'ambiance lui déplaisait, même si elle savait très bien ne pas être capable de se passer de son sport préféré. Elle avait donc pris la décision de se détacher de l'équipe et des soucis de gestion pour redevenir une simple batteuse. Mais avant ça, un dernier entraînement. Tous étaient réunis sur le terrain, le balais entre les jambes, près à s'envoler. Elle libéra en premier le vif d'or, lança le souaffle à Warrington qui l'attrapa au vol, elle prit le cognard sous son bras et fit un signe de tête. Tous s'envolèrent et elle lança le cognard sur Flint pour démarrer l'entraînement. Un dernier entraînement. Un dernier à prendre en charge tout ça. Un dernier à être responsable de ses idiots. Ensuite, elle jouerait, bien sûr, mais sans s'inquiéter des dérives de ses partenaires de jeu. ▬ Un hibou vint frapper à la fenêtre de la jeune Bakhtine. C'était un hibou grand duc et en un coup d’œil, la sorcière reconnu le cachet de Poudlard. Ses résultats. Elle ouvrit la fenêtre, laissant l'oiseau s'engouffrer dans sa chambre. Il lâcha la lettre devant elle et se posa là, attendant clairement une compensation. Elle se leva, cherchant dans un de ses tiroirs quelques biscuits et finit par en trouver aux amandes. Elle effrita le petit palet puis tendit la main au volatile qui commença à picorer avant de s'en aller, visiblement satisfait. Elle referma la fenêtre et ouvrit sa lettre. Voltairine Bakhtine,
Voici les résultats de votre Brevet Universel de Sorcellerie Élémentaire. Vous avez obtenu sept de vos six B.U.S.E.
Astronomie : Acceptable Botanique : Désolant Défense contre les forces du mal : Acceptable Divination : Troll Histoire de la magie : Piètre Métamorphose : Effort Exceptionnel Potions : Optimal Soins aux Créatures Magiques : Effort Exceptionnel Sortilèges : Effort Exceptionnel Vol : Optimal
Par conséquent, vous pourrez suivre lors de vos deux dernières années d'enseignement les matières qui suivent : Métamorphose, Potions, Soins aux Créatures Magiques et Sortilèges. Vous avez également obtenu un Optimal pour valider votre diplôme en Vol, ce qui vous ouvre les portes de certaines professions dès à présent. Pour plus de renseignements, veuillez nous contacter.
Cordialement, Minerva McGonagall, Directrice Adjointe de Poudlard. Elle était contente. Les résultats ne la surprenaient pas tant que ça. Elle ne s'attendait pas à avoir un Effort Exceptionnel en Métamorphose et en était tout à fait ravi. Elle était un peu déçu par ses résultats en Botanique, elle pensait avoir réussi, de justesse, mais au moins avec un Acceptable. En ce qui concernait l'Histoire de la magie et la Divination, elle en connaissait déjà les résultats avant d'avoir passé les examens, aussi ne s'en trouvait-elle pas chagrinée pour un gallion. ▬ Ses doigts, parcourant un ouvrage moldu avec hésitation, Voltairine n'entendit pas le bec d'un hibou rencontrer avec fracas la vitre de son petit appartement. Ce fut son père, qui séjournait chez elle pour les premiers jours de son installation à Pré-au-Lard, qui alla ouvrir la fenêtre et récupéra la lettre. « Tairie, ce sont tes résultats. » Il s'approcha du canapé, de seconde main, lui tendit la missive, souriant de toutes ses dents. Voltairine Bakhtine,
Nous sommes heureux de vous annoncer que vous avez valider vos quatre A.S.P.I.C. Nous vous félicitons pour l'ensemble de votre scolarité à Poudlard et vous encourageons à vous investir dans les domaines qui vous tiennent à cœur dans votre vie de sorcière accomplie.
Métamorphose : Effort Exceptionnel Potions : Effort Exceptionnel Soins aux Créatures Magiques : Effort Exceptionnel Sortilèges : Optimal
Cordialement, Minerva McGonagall, Directrice Adjointe de Poudlard. Alors qu'elle s’apprêtait à lui annoncer le verdict, elle tourna la tête pour voir son père, le visage penché au dessus de son épaule, épiant depuis un moment ce qui était écrit sur la lettre. Elle n'avait rien à ajouter, il l'embrassa sur le front, jouant un temps avec ses cheveux comme il le faisait lorsqu'elle était enfant. Il n'avait pas besoin de la féliciter, elle savait qu'il était fier. Il se retourna rapidement pour aller préparer le repas. ▬ « Voltairine ! Voltairine, par l'amour de Merlin ! » Ça devait bien faire trois fois qu'il criait le nom de la jeune sorcière, à travers son établissement. Mais qu'est-ce qu'elle pouvait bien faire ? Il l'avait juste envoyée chercher un tonneau de xérès dans la cave, tonneau qui se trouvait bien en évidence. Elle n'était pas capable de le faire léviter jusqu'ici, en y ramenant son fessier parla même occasion ? Abelforth finit par entendre une réponse, d'une voix bien moins forte que ne l'avait été la sienne. « Ne t'énerve pas, vieux bougon, j'arrive ! » Le sorcier aux cheveux blancs vit alors le dessus du crâne de sa jeune employée, montant tranquillement les marches, le tonneau lévitant à sa suite. « Tu en as mis du temps ! » Elle posa le tonneau derrière le comptoir et le fixa. « Et pourtant, aucun client ne s'est plaint, pas d'inquiétude. » Tout en disant ça, elle lui passa par derrière, non sans coller un baiser sur sa joue rugueuse – manie qu'il détestait au plus haut point, ce qui ne manquait pas d'amuser la rouquine, pour aller déboucher le tonneau, le préparer. La porte tinta, un client venait d'entrer. Ils se faisaient rares, ce qui était appréciable. Celui-ci n'avait d'ailleurs pas l'air très commode, mais Voltairine lui sourit et le servit, sans trop parler, ayant cette capacité de comprendre à quel client il fallait parler et auquel il valait mieux ne pas adresser la parole. ▬ Un cri retentit dans la maison de famille d'Omonville-la-Petite. Suivit d'un second. Des pas martelèrent avec rapidité l'escalier en bois, une chevelure rousse courut à travers les trois pièces du rez-de-chaussée, sortant nus pieds. Affolée, Voltairine se mit à hurler. « Papa ! Papa ! » Sa voix s'éreintait à mesure qu'elle criait, encore et encore, appelant son père, ne comprenant pas ce qu'il se passait. Elle s'était réveillée, en sursaut, en reconnaissant distinctement la voix de son tonton, appelant à l'aide, au fin fond d'elle ne savait où. Son papa surgit soudainement, du fond du jardin. Il s'approcha de sa fille, la prit par le bras et l'entraîna à sa suite, retournant dans la maison. Elle était inquiète, perdue. « Qu'est-ce qu'il y a ? » L'angoisse dans sa voix n'était en aucun cas surjoué, des larmes perlaient au coin de ses yeux. « Je ne sais pas, c'est Émile... Il a crié, j'ai couru, mais il n'était plus là. » Elle se blottit contre le torse du paternel, ne voulant pas regarder ce visage si calme, bien qu'elle le préféra à un visage inquiet qui lui renverrait sa propre inintelligence de la situation. Elle craignait, craignait le pire. L'incompréhension des choses était habituellement un fait qu'elle appréciait. À l'heure actuelle, elle détestait ne pas savoir.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]▬ hrp ϟ COMMENT NOUS AS-TU DÉCOUVERT ? Ceci n'est pas un double compte... ou pas. J'ai craqué, je n'arrivais pas à imaginer Archibald seul et j'avais absolument envie de jouer sa fille. Je sais que je viens juste d'arriver, mais je promets de bien gérer les deux personnages (n'être que sur Legilimens devrait m'aider, je n'ai pas d'autres personnages).
ϟ LE NOM DE LA PERSONNE SUR TON AVATAR ; Luanna Perez-Garreaud
ϟ QUE PENSES-TU DU FORUM ? Je le trouve très sympathique !
ϟ AS-TU LU/VU TOUS LES HARRY POTTER ? Vus, lus et approuvés.
ϟ SUR COMBIEN D'AUTRES RP ES-TU INSCRIT SANS COMPTER CELUI-CI ? Aucun, comme je l'ai déjà dis. |
| | | | VOLTAIRINE | Smile, it's free therapy. Sujet : Re: VOLTAIRINE | Smile, it's free therapy. Dim 26 Oct 2014 - 22:19 |
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| OH, je ne connaissais pas la fille que tu as choisi pour apparence, mais elle est vraiment magnifique. ♥ Et pas de souci pour le DC, au contraire ! Ca fait plaisir de te voir t'agripper à notre forum, et puis nous on t'aime déjà. Bon, j'ai pas encore terminé de lire l'histoire d'Archibald dans sa fiche mais... Cette fiche est absolument parfaite. Comme ce que j'avais déjà lu chez Archibou, c'est super bien écrit et le personnage est très humain. J'aime beaucoup sa franchise à toute épreuve, et son côté très "rentre-dedans" qui ne se soucie pas vraiment de rentrer dans l'espace personnel des gens ou de les choquer.
Et puis. 20 ans... Ex Serpentard. Darling, je veux absolument un lien avec Lucas. Quel qu'il soit ! Fiche validée, évidemment. |
| | | Invité
| VOLTAIRINE | Smile, it's free therapy. Sujet : Re: VOLTAIRINE | Smile, it's free therapy. Dim 26 Oct 2014 - 23:15 |
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| Je ne la connaissais pas non plus Elle collait juste parfaitement à l'idée que je me faisais de Voltairine.Merci Tes compliments sont fortement appréciée par la joueuse peu sûre de ses fiches que je suis Et pour le lien, comme je te l'ai dis, c'est quand tu veux ! En plus, tu appelles Archi, Archibou, c'est juste adorable |
| | | Invité
| VOLTAIRINE | Smile, it's free therapy. Sujet : Re: VOLTAIRINE | Smile, it's free therapy. Dim 30 Nov 2014 - 12:49 |
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| Je ne trouve rien à redire à part : parfait. C'est humain, c'est frais, c'est joliment écrit. Tout comme pour la fiche d'Archi c'est un plaisir à lire et j'ai hâte de voir évoluer sur le forum Voltairine ♥ (puis il faudra un lien avec Meredith c'est obligé o/) |
| | | | VOLTAIRINE | Smile, it's free therapy. Sujet : Re: VOLTAIRINE | Smile, it's free therapy. |
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