ϟ ÂGE & DATE DE NAISSANCE : 24 novembre 1962 ; 36 ans
ϟ LIEU DE NAISSANCE : Aberdeen, Ecosse
ϟ ANNÉE & MAISON : Professeur d’histoire de la magie ; ancien Poufsouffle
ϟ ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel
ϟ DESCRIPTION DE LA BAGUETTE MAGIQUE : Bois de Houx, 28 centimètres, crin de licorne

ϟ BUT DANS LA VIE : C’est quelqu’un qui désire par-dessus-tout montrer aux sorciers que les moldus ne sont pas des sous-êtres et qu’ils sont aussi intelligents que les sorciers, débrouillards par leur façon non-magique de s’en sortir. Le but de Caesius serait donc de tout faire pour rassembler les deux communautés, ou plutôt de faire cesser la haine des sorciers envers les moldus. Sans cette haine, née de l’incompréhension, qui sait si beaucoup de conflits ne seraient pas tués dans l’œuf ?
ϟ CE QUI COULE DANS VOS VEINES : C’est un né-moldu, et il en est fier. Que le sang moldu puisse charrier de la magie montre bien que les deux communautés ne sont pas aussi séparées que le disent certains.
ϟ VOTRE ANIMAL DE COMPAGNIE : Aucun. Caesius ne possède pas d’animaux de compagnie – et la plupart des animaux semblent ne pas l’apprécier, feulant, aboyant ou tentant de le picorer quand il s’approche.
ϟ SIGNE PARTICULIER :

Spoiler:

ϟ DESCRIPTION PHYSIQUE ; Caesius est un homme au physique somme toute plutôt ordinaire. Il est assez grand, mesurant presque u, mètre quantre-vingt dix, à deux centimètres près. Sa corpulence le désigne comme quelqu’un de fin, dont la musculature n’est pas très développée. Il a les épaules carrées, néanmoins, et cela lui donne une carrure plus impressionnante qu’il ne l’est réellement. Au-delà de l’impression globale, qui donne le sentiment qu’il est quelqu’un d’effacé et discret, attardons nous sur les détails.
Son visage possède quelque chose de viril et de pourtant très doux : ce doit être le mélange entre sa pilosité faciale laissée en broussaille, et ses sourires toujours très délicats, très gentils. Son regard semble être deux glaçons emprisonnés dans un fourreau oculaire ; pourtant, là où certains auraient un regard de glace, dur comme l’acier, Caesius possède des yeux qui sont deux fenêtres sur son âme. Impossible pour lui de cacher quoi que ce soit, surtout quand on le regarde droit dans les yeux. Ses joues rougissent facilement, car il a la peau pâle, mais aussi parce qu’il est très aisément gêné. Il est presque amusant de voir cet homme si grand incommodé telle une pucelle effarouché. Caesius a de longs cheveux bruns, qui lui arrivent en-dessous des épaules, et qu’il attache très souvent en catogan. Il pourrait avoir l’air négligé, si monsieur ne s’habillait pas avec cette espèce de classe dégingandée qui est sienne.
Caesius possède un sens vestimentaire qui pourrait passer pour rustique, mais malgré lui, il est à la mode : son style est très anglais, très victorien à dire vrai. Il aime les longs manteaux gris de laine, les vestons à boutons sur des chemises blanches au col amidonnés. Oui, Caesius a un style victorien, et avec ses cheveux et sa barbe, on pourrait parfois le croire venu d’un autre temps.

ϟ AIME : Le café ϟ Le thé ϟ L’histoire ϟ Les moldus ϟ Les inventions moldues ϟ La magie ϟ Lire ϟ S’endormir sur un livre ϟ Quand on lui sourit ϟ Le chocolat chaud ϟ le citron ϟ le réglisse ϟ le canada ϟ les ordinateurs portables ϟ internet ϟ la bibliothèque de Poudlard ϟ Le professeur Binns ϟ Qu’on touche ou coiffe ses cheveux ϟ Ses parents ϟ Ses élèves ϟ Les poufsouffles en particulier ♥ ϟ Les licornes ϟ Les enfants ϟ la musique classique ϟ le rock progressif ϟ la belotte ϟ la mousse dans un bain ϟ les séries niaises ϟ chanter (mal)
ϟ N'AIME PAS : Les loup-garous ϟ Fenrir Greyback ϟ Les Mangemorts ϟ La divination ϟ Qu’on rabaisse les moldus ϟ Qu’on lui tire les cheveux ϟ l’impolitesse ϟ que Fenrir Greyback soit en vie ϟ la bêtise ϟ l’alcool ϟ les épices ϟ les boissons gazeuses ϟ être un loup-garou ϟ perdre le contrôle de lui-même ϟ devoir crier ϟ répéter ou rabâcher ϟ que quelqu’un ait fini le papier toilette avant lui ϟ quand il n’y a plus de dentifrice ϟ être de mauvais poil ϟ les transports en commun ϟ rougir ϟ ses yeux bleus ϟ le vacarme ϟ la pleine lune ϟ mentir ϟ l’immaturité ϟ qu’on lui dise qu’il chante mal

ϟ DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE ;

Caesius st un homme doux et gentil, qui s'intéresse énormément aux autres et les fait passer avant lui, avant son propre bien-être. C'est quelqu'un d'extrêmement protecteur, et il protège notamment ceux qui l'entourent de lui-même. Si il s'attache très facilement, peut-être même trop, il en devient facilement jaloux dans ses relations : il a tendance à être possessif, et aimerait avoir ses amis juste pour lui. Dans son tempérament, le professeur est bizarrement quelqu'un d'innocent, d'extrêmement naïf et parfois même un peu niais : il est digne d'une pucelle quand on lui parle de choses vulgaires ou portées sur des parties anatomiquement indécentes. Il s'embarrasse très facilement, et il est aisé de le gêner au point qu'il se renferme sur lui-même, tout timide qu'il est.
Caesius haït perdre le contrôle de lui, alors il a fait beaucoup d'efforts sur sa personne - il a notamment appris à faire du yoga, ce qui lui permet de rester serein dès qu'il en a besoin. Réfléchi, c'est quelqu'un qui pèse le pour et le contre, au point parfois de paraître trop réfléchi : il peut passer pour passif, voire pour paresseux, pas assez impulsif. Doté d'une grande imagination, c'est également quelqu'un d'appliqué dans ce qu'il fait ; il se montre compréhensif et très à l'écoute des gens qui l'entourent. Il est dévoué et fidèle à ses amis et sa famille. Il est à ce point honnête qu'il est aussi nul qu'une bille en mensonges - lorsqu'il essaye de proférer une ineptie, il rougit au point de ressembler à une tomate !
Caesius est très sociable, et s'entend bien avec tout le monde, bonne pâte comme il est. L'homme est influençable, même si il est autonome et indépendant, assez pour se forger ses propres idées et tenter de le véhiculer. Cependant, même si il peut être ferme et volontaire, il a tendance à se faire discret et avoir du mal à être assez dur pour être pédagogue. C'est quelqu'un de foncièrement gentil, mais qui cache son lourd secret depuis si longtemps qu'il en est fatigué. Il tombe parfois dans des excès de rêverie, quand il est seul, mais reste toujours vigilant quand il est en présence d'autrui.

▬ […] vivant.

Un son. Une voix ? Un corps qui se tend. Douleur rouge, douleur noire, douleur douloureuse. Cri déchirant d’un corps silencieux, qui tente de se mouvoir sans y parvenir. Pauvre hère, triste homme tordu comme un pantin jeté sur un lit. On s’approche ; un souffle dans son cou renifle. Un rire, aussi effrayant que des hurlements. Un rire, qui est comme un seau de cailloux qu’on ferait danser. Rocailleux, grave. Cruel.

▬ Vis.

C’est un ordre. Un ordre direct. Et le corps se contente d’obéir, face à la mort qui semble bien définitive, en y réfléchissant. Le corps, qui tente d’arrêter le flot de sang. Le liquide vital s’étale sur les trottoirs ; la conscience papillonne, s’accrochant comme un insecte aux lumières pâles du ciel, et à celle plus factice d’un réverbère. Où est-il ? Il doit se cramponner à ce qui lui reste de lucidité. Hélas, en y arrivant, c’est également la douleur qu’il réveille. Son être tout entier semble être à vif. Le souffle du vent, le bruit des étoiles, le tintement de la nuit, tout lui fait mal. La lune l’observe, ronde et maternelle. Comme un gigantesque œil nocturne, qui veillerait sur son agonie.

Une clameur ramène sa conscience à la surface. Des gens sont autour de lui – une femme ne cesse de palper son visage, appelant quelqu’un, quelque chose. Lui peut-être ? Confusion. Ses paupières glissent vers le bas : est-ce son sang ? Par Merlin, est-ce que c’est à lui, tout ce sang ?! Il voit diverses personnes l’entourer. Les questions fusent sous son crâne, mais aucun son cohérent ne s’échappe de ses lèvres. Tous ses muscles, ses os, ses membres pèsent trois tonnes cinq exactement.

▬ […]-ouste ! Monsieur ? Monsieur ! Oui ! Ne vous évanouissez pas ! On va venir vous chercher, des infirmiers de Sainte-Mangouste vont arriver ! Monsieur ? Vous vous rappelez ? (Lourdement, mollement, la tête fait un non discret.) Vous avez été mordu ! Monsieur ? Gilda, vite ! OU SONT PASSES CES FICHUS INFIRMIERS ? IL VA DE NOUVEAU S’EVAN-

Perte, détachement, il descend, il plonge dans les ténèbres bienfaitrices. Là où le froid n’est plus si froid, où la douleur n’est que lointaine, arrivant à quelqu’un d’autre. Tout est doux, tout est cotonneux. Mais le corps continue de se battre, jusqu’à la fin. Et c’est dans des draps blancs qu’il se réveille, totalement perdu. Troublé, il cherche dans son esprit. Et la peur le pend au ventre, quand il revoie au ralenti l’ombre gigantesque, l’énorme bête aux poils de nuit, aux yeux rouges et fous. Créature monstrueuse, monstre de sous un lit, qui s’approche, déjà victorieuse, sa proie déjà vaincue même si elle ne le sait pas. Puis, d’un bond, ils se heurtent. Odeurs fétides, toucher rêche, alors que ses mains cherchent à éloigner la menace mortelle. Hélas, les crocs d’ivoire se plantent dans la chair d’un flanc, goûtant au goût métallique du sang, imprimant leur marque éternelle.

Il tremble, dans ses draps. Délicatement, il soulève la chemise de malade. Sous un bandage qu’il défait également, se fichant des pointes de douleur qui éclosent en lui comme des fleurs du mal, il observa avec consternation l’empreinte du loup. Il sent la nausée venir. Il serre les dents. Il n’est pas fort, pas assez pour faire face. Mais quand il lève les yeux, il n’est pas seul. Et il puise la force non pas en lui mais ailleurs – ses parents sont là. Sa mère pleurniche, dans un mouchoir. Son père le regarde, comme si il était un héros revenu d’un combat épique. Mais c’est l’infirmier à leurs côtés qui obtient toute son attention. Ses paroles sont lancées en l’air, comme du cristal prêt à se briser dans les mains du malade.

▬ Monsieur Abhain, nous avons le plaisir de vous dire que vos jours ne sont plus en danger. Nous avons su endiguer l’infection et la blessure en elle-même. Mais … Il y a une complication. Vous souvenez-vous de l’attaque en elle-même ? C’était …

Un loup-garou. Bien sûr. Quel autre monstre de cruauté survenu des cauchemars de l’humanité cela aurait-il pu être ? Puis, les connexions se font. Un loup-garou. Lui aussi, en est un à présent. Et la voix, tonnante comme une avalanche, résonne encore dans ses oreilles : Vis. Voilà pourquoi : pour qu’il devienne à son tour un monstre ! Fureur. Un poing s’abat sur le lit, interrompant les paroles de l’infirmier et les larmes de sa mère. L’homme a le regard rivé droit devant lui, fixé dans le vide. Et sa voix monte de sa gorge asséchée, traversant ses lèvres où nul sourire ne point :

▬ Je ne veux pas être comme ce monstre. N’y a-t-il aucun moyen de lutter contre cela, si ce n’est possible de me guérir ?
▬ Nos médicomages travaillent en collaboration avec des maîtres en potions, et une décoction capable de freiner la férocité durant la pleine lune devrait être mise au point bientôt. Mais cela ne vous empêchera pas de vous transformer.
▬ Une dernière chose … Qui ?

L’identité de la brute qui a fait cela aurait pu être inconnue. Ce loup-garou aurait pu disparaître, victime de ses transformations sauvages. Mais celui qui a fait cela avait choisi – Fenrir Greyback. Le lycan aux ordres des Mangemorts, qui laissait sa marque derrière lui, sa signature, revendiquant chacune de ses morsures, chacun de ses assassinats. Ce nom se grave aussi sûrement que le stigmate sur le flanc. Fenrir Greyback. Si Caesius était capable de haïr quelqu’un, c’était bien celui qui l’avait maudit. Il était à présent un enfant de la lune.

▬ Tu es encore jeune, fils.
▬ Je ne peux pas rester professeur chez les moldus. Ce serait trop dangereux.
▬ Que vas-tu faire, alors ?

Silence. Lui-même ne le sait pas. Il a toujours aimé les moldus – ses parents en sont, et il n’a jamais cru aux sornettes disant que les sorciers n’ont rien à faire avec les non-magiques. La preuve étant que tous sont liés : son sang charrie de la magie sans pour autant que ses parents soient sorciers. Et si il avait toujours trouvé glorifiant de faire cours d’histoire aux enfants moldus, à présent, ce n’était plus possible. Il refusait de mettre autrui en danger. Le jeune homme disparut, pendant plus d’un mois – nul ne sut jamais où il était parti. Mais quand il revint, sonnant un matin à la porte de chez ses parents, il semblait changé. Toujours timide, toujours doux. Mais il avait fait la connaissance du loup en lui – il avait conscience de la partie féroce et sauvage, qui sommeillait dans un coin de son esprit. Il se mit à pratiquer le yoga, consciencieusement, afin d’éviter de s’énerver ou de perdre le contrôle de soi. Il trouvait des emplois à droite et à gauche, comme professeur remplaçant. Mais il faisait toujours extrêmement attention – au point d’en devenir un perfectionniste dans ses moindres gestes, annihilant l’impulsivité ou l’irréflexion. Huit ans passèrent. Chaque pleine lune restait un déchirement dans son temps, dans son essence. Il prit aussitôt la potion Tue-Loup quand elle put lui être administrée, et cessa de fuir dans les montagnes forestières d’Ecosse. Il cessa de fuir tout court sa condition, pour l’accepter avec un peu plus de sérénité.

▬ Tu as une lettre, Cae.

Etrangeté de mots fixés sur le parchemin. Encre bleue, comme la nuit, sur la douceur du vélin. Les phrases sautent aux yeux bleus, comme pour embrasser l’être qu’est le jeune homme. Son cœur pulse plus fort, et ses narines s’évasent – il n’ose y croire. Mais chaque mot est bien là, gravé dans le papier.

▬ Je suis invité à prendre le rôle de professeur d’Histoire Magique à Poudlard. L’ancien professeur Grayson est parti à la retraite.

Lors de son arrivée à Poudlard, Caesius se montre aussi honnête que possible. Dumbledore n’est pas épargné. Il a le droit à chaque imperfection, à chaque trait que le jeune historien juge mauvais. Mais le regard d’un bleu gris ne s’abaisse pas, ne se détourne pas. Il sait. Il sait également que le jeune homme peut se révéler un professeur digne d’intérêt. Il serait criminel de ne pas donner sa chance à ceux qui le méritent. Voilà ce que lui enseigne ce jour là Dumbledore. Que chacun peut faire du mieux qu’il pouvait. Même un être comme lui.

ϟ COMMENT NOUS AS-TU DÉCOUVERT ? JE SUIS DEJA ZICI ! I AM WATCHING U ! (Ozzy & Eli & Pan se sentaient seuls 8'D)

ϟ LE NOM DE LA PERSONNE SUR TON AVATAR ; Tom Mison

ϟ QUE PENSES-TU DU FORUM ?

ϟ AS-TU LU/VU TOUS LES HARRY POTTER ? Vui !

ϟ SUR COMBIEN D'AUTRES RP ES-TU INSCRIT SANS COMPTER CELUI-CI ? 4/5