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Swan arriva finalement dans le grand hall du Ministère, s'y arrêtant quelques secondes pour voir si sa robe n'avait pas trop souffert de la foule de sorciers qui se baladaient dans les rues de Londres. ... Cela fait quelques temps, qu'elle avait quitter son ancien de lieu de travail cette pensée chassée par l'envie de retrouver celui qui l'avait invitée. Wallace. Commençant à se mêler à tout le beau monde londonien, la jeune femme finit par apercevoir sa silhouette, et d'un pas léger, finit par rejoindre Wallace et Hélène, souriante et impatiente. "Navrée pour ce retard, mais joyeuse nouvelle année avant tout."

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Un sourire franc orne ton visage alors que tu te tournes vers ton sauveur. Wallace. Votre dernière rencontre s'est plutôt bien passée et même si rien ne pourra être effacé - jamais pour des gens comme toi et lui, tu es presque heureuse d'avoir retrouvé un camarade. « On aurait pu penser que la mort m'aurait évité de supporter ce genre de spectacle. Tu croises tes bras nus. Casser des verres ? Tu ne penses pas que nous pourrions faire mieux ? » Soudain une jeune femme vous approche, radieuse. Tu hausses un sourcil discret en direction du mangemort cherchant des réponses . « Mes meilleurs vœux également, Miss... ? »

Jessie venait de la planter en pleine conversation. Bon il s'était excusé au moins, car elle était à deux doigts de planifier un prochain meurtre. Touché dans son amour-propre elle se tourna dédaigneusement vers la seule personne qui n'avait pas encore fuit. Un serveur les frôla, elle attrape deux flûtes de champagne et en donna une à Electre.

« Quoi de neuf dans ta vie sentimentale ma chère, tu as fini pas trouver le bon ? »

Electre souffla : enfin, Warren était parti. Elle se trouvait désormais seule face à Eden, mais ça, c'était un autre problème. Elle attrapa la coupe de champagne, la remercia poliment, puis, la porta à ses lèvres.

« Tu as pu voir l'impolitesse de Warren...Non...J'ai été en couple pendant un moment, mais j'ai été plus ou moins obligée de le laisser. Je ne sais plus trop pourquoi...j'ai quelques problèmes de mémoires en ce moment. » - toutes les choses ayant un rapport avec Peeter avaient été effacées. La rupture avec Charlie y compris.

« Vraiment ? T'es un des premiers que j'entends dire ça. Enfin, on verra ça sans lui. C'est quoi alors, ton type de mec ? »

Elle porte la coupe à ses lèvres, le liquide doré laisse sur sa langue une saveur agréable. Ce qui est bien avec les fêtes au Ministère c'est que Philéas ne lésine pas sur la qualité. Une chose que Eden apprécie.

« Tu devrais consulter, enfin je te déconseille d'aller à l'hôpital, contrairement à ce que l'on pense c'est un endroit hautement indésirable. Des maladies qui flottent dans l'air. Par contre il y a surement des bons bouquins pour renforcer sa mémoire. »

Give my the alcohol

and nobody gets hurt

Dieu seul sait ce qui lui avait pris de se pointer à cette fête à la con. Elle aurait mieux fait de rester chez elle avec Kewpie à manger des donuts allégés en regardant un teen movie ou de se prendre une grosse murge en toute honnêteté au Deus. Mais non. A la place, elle était campée près du bar, son verre toujours plein, alternant entre sourires feints et regards torves. Il y avait bien des visages connus dans cette foules mais pour l'heure, Dahlia ne se sentait bien qu'avec son amie Vodka.

Il est fier de la situation dans laquelle il vient de fourrer son meilleur ami. Parce qu'il connaît suffisamment Théo pour savoir que c'est impossible de lui échapper. Il décide quand même de venir partiellement en aide à Basile.
— Mais Basile, arrête de faire ton timide. C'est toi hier soir qui me disait que Philéas était ton fantasme. Jessie, pote de l'année. Par contre Théo, je pense qu'il doit être occupé ce soir.

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Le sourire s’agrandit, de celui du garçon pirate, prêt à commettre les pires méfaits, amusant cette différence de comportement selon les gens. Pas de voile avec Hélène. « Mes idées ne te plairaient pas, même si coudre la bouche de tous ces imbéciles me tente » Il imagine le silence, clos les yeux un instant et les ouvre lorsqu’une voix familière l’interpelle. « Le retard n’est rien, vous êtes là, c’est l’essentiel » Kanzler s’incline. Pas de réponse aux voeux, à ces foutaises d’hypocrisie de nouvelle année. Une hésitation, il a oublié qu’elles ne se connaissent pas « Swan, partenaire d’un futur voyage et Hélène, une amie qui m’a aidé à supporter ces soirées... fascinantes »

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En bref : Pixie détestait ces fêtes. Mal à l'aise dans la robe trop élégante qu'elle avait enfilé, elle s'était résignée à passer une soirée pourrie. Elle avait finalement réussi à extorquer une coupe de champagne et presque un plateau entier de petit four avant de trouver la planque parfaite. Maintenant qu'elle était assise pratiquement sous une table, elle faisait des mots croisées, la coupe posée sur le sol à côté d'elle. Par le maigre espace entre le sol et la nappe. Elle avait mis quelques notes aux pompes qu'elle avait vu jusqu'à ce qu'un événement tragique survienne : son stylo avait roulé jusqu'à l'extérieur. Hors de portée. Urg. Elle avait noté du coin de l'oeil une paire de jambe à proximité et avait tapoté le mollet en question, inquisitrice :

- Excusez-moi, vous pourriez me rendre mon crayon ?

Parfois Jessie c'était un bon connard, surtout quand on parlait sexualité. Cela dit, comme il n'avait vraiment pas envie de se retrouver sous la couette avec ses deux là, ou même avec un éventuel ministre de la magie, même si celui-ci lui promet une promotion, il tenta de dévier un peu la conversation.

- Vous savez quoi ? Je paye ma tournée.

A ce rythme-là, ils seront morts avant de pouvoir bouger au Deus.

Give my the alcohol

and nobody gets hurt

Un petit tapotement contre sa jambe la fit légèrement sursauter et Lia baissa la tête, les sourcils froncés. Une petite tête brune la dévisageait et lui - oh. mon. dieu. - demandait un service. Un SERVICE. La jeune femme fit la moue et pesta avec son altruisme caractéristique : « Récupère-le toi-même, je ne suis pas ta bonniche. » Et de s'éloigner du buffet, de coller volontairement un petit coup de pied dans le stylo et d'aborder Eden et Electre, verre vissé à la main. « Hey. Bonne soirée, hein ? » Blague. Regard noir à la fille de sous la table.

« Oh, vous savez... Il peut toujours se libérer. Mais je comprends que vous soyez timides, peut-être une autre fois ? »

« Avec plaisir ! ♥ T'essaies pas de me rendre ivre pour me mettre dans ton lit, au moins ? »

« Ca fait plaisir de te voir, Jessie ! Ravi de voir que tu as des amis si... intéressants. Vous êtes libres, ce soir ?»

Il se retient d'exploser de rire face aux tentatives de Basile de s'échapper de cette situation. Ça gâcherait tout. Il se laisse amener proche des boissons et attrape le verre que lui tend son meilleur ami.
— Toi aussi, j'ai l'impression que ça fait une éternité qu'on ne s'est pas vus !Tous les deux savent très bien ce que sous-entendu le « vus. » On comptait bouger au Deus en fait, mais on peut se libérer, n'est-ce pas chéri ?

- Mon petit doigt me dit que je n'ai même pas besoin de te faire boire.

Note pour lui-même : Changer de meilleur ami. Sérieusement, s'il y en a bien un qui était en train de l'enfoncer, c'était bien lui, son soit disant meilleur ami. Apprendre que ces deux-là se connaissaient ne surprenait pas vraiment l'Ecossais, après tout Jessie avait toujours été assez populaire dans son genre et traînait souvent avec des gens un peu perchés. Peut-être que lui aussi l'était. La dernière réplique de son ami lui fit faire une tête plus que comique, en même temps la situation était hilarante.

- C'est tellement dommage, moi qui voulais tant me déguiser en Hobbit...

Un verre de plus dans la sang.

Lester ne tarda pas à délaisser son verre en apercevant ce visage qui lui était tant familier, qu'il croisait souvent dans les couloir du Ministère. Arsinoé. Ils n'avaient jamais réellement eu de longues conversations, et en voyant la belle s'avancer vers lui, Lester se redressa et lui adressa un sourire. Pas un sourire d’hypocrite, mais sincère.

Un premier échange plutôt froid, mais Lester s'y attendait un peu. Il finit par répliquer, souriant toujours. "En effet, et je vous souhaite une excellente année, Arsinoé. Superbe robe, pour cet événement."

Quoi ? Même Anterfield ne peut toujours paraître insensible. Surtout face à elle.

« Ton... petit doigt ? »

« Et puis, c'est quoi un Hobbit ? C'est une sorte d'esclave sexuel, ou un parfum de glace en Andalousie ? »

Pour le jeu.

« Hey, j'suis pas une fille facile ! »

Proche, beaucoup trop proche.

« Rassure-moi, t'as déjà embrassé un garçon autre que Jessie, au moins ? »

Au compliment Arsinoé haussa simplement les épaules avec fatalisme. « C’est l’intérêt de ce genre de soirée. Sortir sa plus belle robe, prétendre que l’élégance est toute naturelle quand derrière se cache en réalité une longue et pénible préparation. » Puis l’idée que Lester avait simplement voulu être aimable et ne méritait en ce soir de fête pas d’assommant pragmatisme lui traversa l’esprit. « Mais merci. » … Elle sentait alors qu’il lui fallait trouver quelque chose d’aimable à dire en retour.
« Quant à vous, vous portez élégamment votre costume. » Voilà qui devrait faire l’affaire pour le moment. Avec un peu de chance ce semblant d’intérêt porté suffirait à ce qu’il ne s’enfuit pas, l’abandonnant en proie à d’autres convives supposément désagréables.

« Merci ... Et encore merci d'avoir accepté. Je hais ce genre d'événements, mais on est un peu obligés d'y être. »

Wendy

« Promis, on abrège si ça devient nul. Mais on risque de s'amuser, tu sais, ils ont tous un peu un grain à leur manière ici. »

« Santé ! »

« On fait comme on peut, si seulement Philéas pouvait sortir de son bureau hum. On aurait un peu plus d'ambiance. »

Elle attrapa un petit four au passage.

« Tu connais Electre au fait ? »

— On peut toujours se déguiser en Hobbit ici. Il le supplie du regard en repensant aux magnifiques déguisements qui sont dans son sac. Il se fiche pas mal de savoir qu'il est au ministère. Ils sont Pippin et Merry après tout. J'avoue, tu es beaucoup plus attirant qu'une fille facile. C'est exactement ce que Basile me disait avant que t'arrives. Et il avale son verre. C'est Théo qui risque d'être frustré quand il apprend que Basile est hétéro. Oh, il en a embrassé pas mal. Je serais presque jaloux, tu verrais comment il embrasse bien.

- Ouais t'façon on ne sera pas plus ridicule que dans ces costards.

Basile faillit tout simplement s'étouffer en entendant son ami le foutre dans un joyeux bordel. Le pire dans tout cela, c'était qu'il avait non seulement déjà embrassé des potes, mais en plus Jessie en faisait partie. Bien sûr, c'était en soirée et ça ne voulait rien dire. Cependant, à la dernière remarque de son ami, il rigola et le regarda d'un sourire un peu moqueur.

- Je ne savais pas que j'embrassais si bien !

En souvenir à une vieille soirée qui restera sûrement inoubliable.

Give my the alcohol

and nobody gets hurt

La jeune femme acquiesça les propos d'Eden d'un hochement de tête en faisant vaguement tourner le contenue de son verre. « C'est sûr... » Et si Philéas sortait de son trou, elle ne finirait peut-être pas la nuit seule. Sinon, elle irait elle-même le déterrer. Peut-être.
Dahlia pivota vers Electre en buvant une gorgée « Non, je ne pense pas. » Le hall était un fort lieu de passage, elle ne pouvait pas retenir toutes les têtes ET se vernir les ongles. « Dahlia Hargensen, enchantée. »

« Vous déguiser ? Vous savez que les vestiaires ne sont pas accessibles actuellement ? ... Ça veut dire qu'il faudrait vous CHANGER ici. »

« J'espère que vous avez un déguisement en rab pour moi. »

« Oh oh.

« C'est elle, j'vous jure ! Elle m'a lancé un impérium juste parce qu'elle est triste que je veuille pas lui donner mon corps ! »

« J'espère que vous courrez vite ! »

— On se casse. Il attrape la main de Basile et le tire rapidement à la suite de Théo, s'éloignant le plus possible de Wallace. De tous les scénarios possibles, celui-ci est sans la moindre hésitation le pire. Pourtant, ça avait si bien commencé. Il récupère son sac au passage et l'envoie à Basile. Alors, tu m'accompagnes Merry ? Regarde si y'a pas des trucs en rab pour Théo. Ça vous dit pas qu'on aille se changer dans un coin plus tranquille ? Une pièce totalement vide par exemple. Il fait un clin d'oeil à Théo en s'assurant que Basile le voit. Ou comment se faire haïr par son pote en une leçon.